Elle fait valser ses affaires sur son lit, vite imitée par Sophie et moi-même. Farouk est comme un fou, il sent qu’il va être à la fête et tourne autour de nous, en sortant un peu sa bite. Je vais quand même dans la salle de bain me préparer, quand je reviens dans la chambre de Céline elles sont allongées sur le lit têtes bêches et se font un broute minou d’enfer. Je vois la tête de Céline qui s’active entre les cuisses de Sophie grande ouverte m’offrant une vue imprenable son anus et sur sa vulve rose ruisselante. Ma bite se redresse immédiatement, j’ai souvent vu ma sur nue, mais jamais elle ne m’a offert une telle vue sur son intimité. Elles finissent par jouir ensemble. Quelques minutes plus tard, elles se lèvent et viennent vers moi. Céline prend la boite de graisse anale, me fait plier en avant et m’en enduit les fesses et l’anus.
Allez, au turf !!
Je me mets à quatre pattes, Céline pose une couverture sur mon dos, Farouk n’hésite pas une seconde et me saute dessus. Il n’arrive pas à trouver le bon chemin, sa bite bute contre mes cuisses. Céline se tourne vers Sophie.
Tu veux l’aider ?
Volontiers.
Elle se penche sur Farouk, s’empare de sa bite et la guide vers ma rondelle. Il m’empale d’un seul coup en entrainant la main de Sophie qui vient me toucher les fesses et se retire en me les caressant. Farouk s’en donne à cur joie, il me défonce violemment, mais il est trop rapide, il s’immobilise en se vidant en moi, je n’ai pas eu le temps de jouir. Il se retire, et me tourne autour en remuant la queue. Je pense qu’il va revenir, mais Céline se met en place, Sophie m’enlève la serviette pour la mettre sur elle, Farouk comprend et se jette sur sa maîtresse qu’il perfore d’un seul coup de toute la longueur de sa bite. Il s’active sur elle de toute sa vigueur, Céline repli les bras pour poser sa tête sur le sol, elle reste les fesses hautes offertes à Farouk. Il finit par s’immobiliser et je vois qu’il se vide en elle. Céline se laisse tomber, Farouk ne suit pas et saute sur le côté. Sophie nous regarde assise sur le lit. Céline se lève.
A toi ma chérie, tu veux toujours ?
Bien sûr, mais je veux que ce soit Michel qui le guide dans le bon orifice, je veux être enculée, je veux garder mon sexe pour quelqu’un d’autre.
Ok
Sophie se met à quatre pattes, je lui mets la serviette sur le dos et m’agenouille à côté d’elle.
Céline lui badigeonne le fion de graisse.
Tu assure mon Michel, je ne veux pas qu’il me baise.
Pourquoi ?
Parce que, c’est tout, assure-toi qu’il me le mette bien dans le cul, d’ailleurs, j’adore me faire enculer.
Ok, ok, je le guide.
Farouk, qui a compris, monte sur Sophie. Je plaque ma main sur le sexe de ma sur pour l’empêcher de lui introduire son sexe qui naturellement trouve le chemin de l’anus. Je sens son sexe s’humidifier de plus en plus, je ne sais pourquoi, mais je laisse ma main plaquée dessus, mon majeur touche son clitoris qui a un peu gonflé.
Oui, oui, oh mon Michel, oui, oui.
Les coups de butoirs de Farouk font bouger mon doigt sur son clitoris. Je ne peux m’empêcher d’appuyer un peu plus, je sens Sophie s’abandonner, ses bras se replient, sa tête touche le sol, ce mouvement dégage encore plus son sexe, mon pouce est sur son périnée, je fais un peu bouger mes doigts et soudain Sophie explose dans un formidable orgasme.
AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui, oh oui mon Michel, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Je réalise que je suis la source de son excitation, je retire ma main en même temps que Farouk descend de son dos. Elle tombe sur le tapis, se redresse, me regarde.
Tu comprends pourquoi je ne voulais pas qu’il me baise
.
Pas très bien.
Mais enfin Michel, tu ne comprends pas ce que veut dire ta sur ?
Non !!
Elle veut que ce soit toi qui la baise.
Mais, c’est ma sur.
Justement, tu es mon frère et ça fait des années que je fantasme sur toi, mais toi, tu vis ta vie sans regarder autour, tu ne t’es jamais demandé pourquoi j’ai voulu venir avec toi pour faire mes études à Toulouse, pourquoi j’ai refusé ce travail à Marseille, pourquoi je ne suis pas partie en vacances avec Yves l’été dernier, ce qui a abouti à notre rupture, pourquoi j’ai tout fait pour m’installer dans la même rue, c’est juste pour ne pas être trop loin de toi, pour t’avoir à portée de regard, pouvoir venir te voir quand j’en ai envie.
Je suis abasourdi, je regarde ma sur comme si j’avais devant moi une étrangère. Sophie, toujours agenouillée, vient vers moi et m’attire à elle. Sa bouche me gobe la bite encore un peu molle. Sa langue s’active sur mon gland ce qui a pour effet de me faire bander en un tour de main. En trente secondes, je suis raide dans sa bouche qui m’aspire et me fait gonfler. Quand elle juge ma bite suffisamment raide, elle se lève et me prend la main pour m’entrainer vers le lit. Je me laisse faire, je suis dans un état second, je suis horrifié par ce qui se passe, mais je ne peux pas m’y opposer, ma volonté m’a abandonné. Elle me pousse pour me faire allonger sur le dos. Elle m’enjambe, se positionne face à moi et se saisi de ma bite. Je vois son sexe descendre lentement sur ma bite. Mon gland arrive sur ses lèvres, elle s’immobilise en me regardant droit dans les yeux.
Je vais enfin l’avoir au plus profond de moi cet engin qui me fait rêver depuis si longtemps. Je vais te faire jouir mon frère adoré, je veux que tu te vide en moi, que tu me remplisses de ton foutre, je veux te sentir vibrer en moi.
Elle reprend sa lente descente, mon gland se fraye un passage entre ses lèvres et pénètre lentement dans une grotte chaude et humide.
Oh là là, quelle bite, quel gland, depuis le temps que je l’imaginais en moi, c’est encore plus fort que dans mes rêves les plus fous.
Elle monte et descend sur mon vit, lentement, en se servant de toute sa longueur.
Céline, tu ne veux pas en profiter, je pense que mon frère adoré a soif, et moi, j’aimerais bien te câliner un peu.
Céline monte sur le lit et vient se positionner au-dessus de ma bouche. Elle descend sur moi et m’offre ses lèvres à lécher. Ma langue s’active sur son sexe, j’aspire son clitoris tout en lui caressant les fesses et en introduisant un doigt dans sa rondelle. Elles échangent un long baiser tout en se caressant. Cette situation m’excite de plus en plus, je ne pensais pas être capable de jouir en baisant ma sur, mais je dois admettre que j’y prends un certain plaisir, d’autant plus que Céline participe à la fête.
Oh oui mes chéris, oui, oui, je vais jouir, je vais jouir grâce à vous, venez avec moi, oui, oui, oooooooooohhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Sophie se raidi sur ma bite pendant que Céline m’inonde de sa cyprine, je ne peux plus me retenir et me lâche dans les entrailles de ma sur.
Oh oui, je te sens, tu me remplis, tu me donne ton jus d’amour, oui, oui, merci mon chéri, merci.
Nous finissons tous les trois par revenir sur terre, Céline s’est allongée à côté de moi, sur ma droite, et Sophie sur ma gauche. Elles ont toutes les deux un bras sur mon torse. Je suis épuisé, mais surtout déboussolé, je viens de faire l’amour à ma sur, mon double au féminin, celle avec qui j’ai tout partagé, je n’arrive pas à réaliser. Céline se colle à mon oreille.
Je t’avais dit « pas de femme », mais avec Sophie, ça ne compte pas car moi aussi j’en profite.
Sophie se lève.
Je vais prendre une douche, on pourra faire un tour de la ferme après ?
Bien sûr, prends ton temps.
Je me retourne vers Céline.
Je ne sais ce qui m’arrive, mais je suis bien, très bien même.
Moi aussi je suis très bien, je ne pense pas avoir été aussi bien dans ma vie, être avec toi, là, contre toi me remplit de bonheur, j’aimerais que ça dure toute la vie.
Dis donc, tu ne me ferais pas une demande en mariage ?
Elle se redresse, me met sur le dos et se plaque contre moi. Ma bite commence à réagir à ce contact peau à peau.
Et tu serais contre ?
Faut voir.
Elle pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un long baiser jusqu’à ce que Sophie revienne de la douche enveloppée dans sa serviette.
Allez, allons voir cette ferme.
Nous nous levons et sortons de la chambre directement dans la cour.
Vous restez à poil ?
Bien sûr, il fait encore très chaud et il n’y a personne à la ronde.
Ok, pas de problème.
Elle jette sa serviette et nous suit. Nous faisons un rapide tour, il commence à se faire tard, mais arrivés devant les chevaux, Sophie ne veut pas partir avant d’avoir essayé Sirroco quand elle voit cette magnifique bite pendre sous son ventre.
Je veux essayer tout de suite, vous m’avez trop parlé du plaisir que vous en tirez, je veux essayer.
Ok, j’ai ce qu’il faut, mais j’espère qu’il va comprendre tout de suite, je ne sais pas comment il va réagir si je te présente directement à lui.
Allons-y
Céline sort sa boite de graisse.
Non, pas de graisse, je veux me faire baiser, je pense qu’il est encore trop gros pour mon petit cul, on verra plus tard.
Tu es sûre ?
Tu m’as bien dit que ça se passait bien avec ta mère ?
oui
Alors, pas de problème.
Céline guide Sophie pour se mettre en place, Sirroco comprend très vite ce qu’on attend de lui et se positionne derrière elle. Sa bite va un peu n’importe où, je m’en empare et la dirige vers le vagin de ma sur. D’un seul coup, elle disparait au plus profond d’elle.
Ouha, quelle bite, oui, encore, il va me défoncer le con, oui, oui.
Sirroco se comporte comme d’habitude, au bout de trois ou quatre coups, il se retire en laissant couler son sperme du sexe de Sophie. Il revient trois fois à la charge jusqu’à ce que Sophie explose dans un terrible orgasme.
Oui, oui, AAAAAAAHHHHHHH oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiii, oh, oui
Il se retire et se tourne vers le fond de son box. Sophie est cotonneuse, elle tient tout juste debout, nous sommes obligés de la soutenir, mais son visage resplendi de bonheur.
Quel pied, il me remplissait complètement, il butait sur mon col, quel pied, quel pied, je n’ai jamais joui comme ça, tu devrais essayer aussi Céline.
Plus tard, mais maintenant il faut rentrer, il se fait vraiment tard et je suis fatigué.
Moi aussi.
Après ce que tu viens de te faire mettre, je comprends parfaitement que tu sois fatiguée.
Nous entrons à la ferme en aidant Sophie. La soirée s’est passée en douceur, câlins, amour, à deux ou à trois, tout y est passé jusque tard dans la nuit. Le lendemain matin, nous nous sommes réveillés dans le même lit tous entrelacés.
Aujourd’hui, Céline et moi nous sommes mariés, nous avons créé une société de traitement informatique dont le siège est à Mirepoix dans la ferme. Nous avons emménagé dans la villa annexe, et partageons notre temps entre Sirroco, Tonnerre, Alphonse, Farouk et Sophie qui vit vient passer tous ses week-ends avec nous.
J’ai une nouvelle personnalité sexuelle, je ne regrette pas l’ancienne tout en ne la rejetant pas, je suis différent.
Tout va bien.
