Bon alors, tu l’as finie ta clope, ou quoi ?
Oui, si ça continue comme ça, c’est toi qui vas te faire fumer !
OK, c’est reparti !
Après les jérémiades de, dans l’ordre, Xavier puis Greg, je réintégrai ma place à la table, avec une bonne Leffe bien glacée à ma place. Décidément, je venais de prendre du galon dans notre petite communauté… elle les intéressait bien mon histoire. Le pire, c’était que je n’inventais rien, contrairement à certains de mes condisciples, ou "disciples du con", comme l’on voudra, attablés présentement. Il était venu pour moi le temps de me mettre à table, et de raconter la suite de cette merveilleuse histoire pour oreilles aguerries, interdite aux moins de dix-huit ans !
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Ma mère était blême, elle se cachait toujours les seins et son sexe. Mais à la fin, après sans doute avoir étudié toutes les perspectives d’avenir, bien fermé pour elle, je devais le regretter, elle se dit que la meilleure solution était de m’obéir, et de sortir nue de son bain moussant. Je la voyais cogiter au maximum de ses capacités cognitives, pour trouver une échappatoire, mais il n’y en avait pas.
Elle tenta quand même :
Et si je refuse de t’obéir, que va-t-il se passer ?
Je raconte tout à papa !
Tu ferais cela à ta mère, qui s’est toujours occupée de toi comme un petit prince ? Tu es… tu es…
Un monstre, une ordure ? C’est ça ? La flatterie ne te mènera à rien ! Moi, ce que je veux voir, c’est ton corps dénudé devant moi ! Ma petite maman !
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Putain, mais tu racontes tout, quoi ? Bordel ? sécria Greg, à bout de nerfs.
Bon alors les mecs, il y a trois options !
1 : Je raconte ce qui s’est d’abord passé avec ma mère.
2 : Je vous raconte ce que j’ai vu et enregistré dans la chambre, ce matin-là.
Et 3 : si vous continuez à me couper, et à me casser les bonbons, je vous laisse en plan et je rentre chez moi ! Dobra ?
OK, ne t’énerve pas. Y a vraiment pas de quoi ! Nous, on veut tout savoir, fais-le dans le sens qui te convient le mieux. Et excuse Greg, il est toujours au bord des nerfs ! Me dit Lucas, conciliant comme d’habitude.
Bon, je reprends !
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Tu veux me voir à poil ? Et après si je dis oui, ça s’arrête là ? Tu ne diras rien, ce sera notre secret, mon chéri ! Je voudrais comprendre une chose. Pourquoi agis-tu de cette façon avec moi ? Je ne me suis pas assez occupée de toi ?
Trop !! Beaucoup trop, maman ! Tu m’as toujours étouffé, castré devrais-je même dire ! Ton trop-plein d’amour maternel à mon égard m’a empêché de voler de mes propres ailes, de découvrir le monde, d’avoir de vraies relations normales avec les filles de mon âge ! Tu étais toujours dans mes pattes ! Alors maintenant, il faut en payer le prix… et je dois dire que je te trouve très bandante comme ça !
Je comprends mieux mon chéri, je te demande humblement pardon. Ta petite maman va te donner un joli spectacle, pour se faire pardonner !
Ah, ma mère, elle y allait toujours aux sentiments. Elle me dit tout cela en minaudant et en battant des paupières. Sauf que moi, il m’en fallait plus. Mais je jouais le jeu. Pas la peine de l’affoler et de lui dévoiler mes plans… pas comme cet andouille d’empereur Palpatine qui sort toute sa stratégie, pour voler l’âme de cette petite effrontée de Rey, et devenir le plsuuusss puisssant de tousss les Siiiiiiiiiiiith !
Non maman, c’est promis ! Bon tu sors ?! M’écriai-je, la gorge congestionnée et une érection mortelle dans mon pyjama, qui valait bien le sabre laser de Kylo Ren ! "
Alors le miracle se produisit ! Telle la déesse Aphrodite sortant des flots, ma mère se redressa dans la baignoire, et posa un pied par terre, ruisselante de mousse. Je pris le temps de la couvrir de la serviette pour bien la mater…
38 ans, eh oui, ma mère m’a eu tout de suite, dès sa majorité, après avoir connu l’homme, breuhmm, de sa vie, à savoir mon paternel !
1,65 mètre, brune, et une vraie… si j’avais pu encore avoir un doute ! Les cheveux sur les épaules, des yeux verts, un joli petit minois, un petit menton et une petite bouche sensuelle… quand elle n’était pas absorbée par tel ou tel conflit ménager de faible intensité, à savoir :
Avait-elle pensé au beurre lors des courses ?
Avait-elle mis l’adoucissant dans la machine à laver ?
Avait-elle repassé la chemise de mon père ?
Cette odeur de brûlé c’est quoi ? Merde, mes chocolatines !
Ah lala, elle en avait une vie passionnante, l’auteure de mes jours ! Pleine de surprises, de sensualité, de sexe, et de passion ! Une vie à rendre folles de jalousie les héroïnes dAmour, gloire et beauté, dont elle était une fan assidue !
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Putain, mais on s’en branle de la vie de petite bourgeoise ratée de ta mère ! Putain, décris comment elle est à poil !
Bon Greg, encore un mot de toi, et tu joueras avec ton braquemart toute la nuit, en pensant à comment était ma mère toute nue !
Ouais, Greg, ta gueule, dit Xavier énervé, il a raison. Mais c’est pas lui qui va sortir, c’est toi ! Alors, t’arrêtes tes conneries maintenant !
Bon OK, je continue. Mais si je vous explique tout ça, c’est pour vous donner les raisons du comportement aberrant de ma mère, durant ces quelques jours… sinon vous ne me croiriez pas ! Ah, et si vous vous tenez coi, il y aura une petite surprise à la fin…
Quoi ? Quoi ? sécria Lucas.
La preuve en image de ce que je vous raconte !
Putain, t’as pris ta mère en photo à poil ? sécria Greg.
A ton avis ? Bon, je vois que ça calme tout le monde… alors donc ma mère est…
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Bandante ! A un point que je n’aurais pas cru ! Elle mettait tellement d’efforts à se construire un physique de bonne sur, avec ses fringues monstrueuses, que je fus étonné par sa plastique très sensuelle ! La peau bronzée, sauf aux endroits stratégiques, ma mère à des origines latinos, des seins… hummmmmm. Pas trop gros, un 90B, mais alors superbes ! Un ventre plat, des hanches jolies à regarder, très féminines. Un cul… hummm. Pas la bimbo, mais pas la mémé non plus. En tout cas, chacun aurait eu envie de lui palper les fesses !
Des cuisses pleines, mais bien faites. Et… sa chatte ! Putain, j’avais le regard fixé dessus, je ne pouvais en détourner les yeux. Et puis, consciente de mon trouble, elle roula des hanches dans un mouvement très sexy, pour faire égoutter l’eau qu’elle avait sur le corps. Putain, j’ai failli me gicler dessus ! Je ne rêvais pas, ma mère à poil devant moi, me provoquait. Elle ne semblait nullement gênée par la situation. Je compris qu’elle voulait m’en donner pour mon argent, et se débarrasser de ce fardeau…
Mais c’était compter sans moi !
Dis, tu pourrais faire un tour sur toi même, et ensuite poser une jambe sur le rebord de la baignoire… je vois pas tout, là !
Ohhh… Paul !! Tu es un petit cochon, dit-elle, en un mélange de provocation et de dépit.
Elle tourna sur elle-même, je vis bien son cul appétissant, et lui mis une petite claque sur la fesse, elle se mit à couiner.
Ouille, mais tu es pervers ma parole !
Autant que toi, ma petite maman !
Puis elle posa sans honte sa jambe comme demandé, et m’exhiba sa vulve.
Sa chatte… de petites lèvres assez discrètes, mais un clitoris assez volumineux, sous un triangle de poils noirs. Vous voyez la mode des meufs des années 70, dans les films pornos. Et bien idem. Une toison assez fournie, mais pas la jungle amazonienne non plus ! Quoique… la jungle amazonienne… avec Bolsonaro !? Là encore, bien quexhibant à son fils ce qu’elle avait de plus sacré, elle ne regimba pas. J’en étais même à penser qu’elle commençait à y prendre du plaisir ! "Hein, maman, c’est mieux que "Plus belle la vie", ça ! Ça t’arrive pas tous les jours ! Depuis que papa ne te touche plus !" pensai-je très amusé.
Je n’avais qu’une envie, passer ma main en propriétaire sur la chatte maternelle, la doigter bien profond, et lui branler son clito rouge qui semblait me défier. Je me demandais comment elle jouissait cette salope ? Était-elle bruyante, discrète ?
Mais je ne m’inquiétais pas… j’allais bientôt le savoir !
Bon, tu en as assez vu, petit pervers ? Maintenant, excuse-moi, je commence à avoir froid.
Alors doucement je pris la serviette, et pour ne pas effaroucher la gazelle, j’y allai mollo. D’abord essuyer les zones neutres. Je passais doucement la serviette sur son dos, ses cheveux, ses flancs, descendis sur ses jambes, restait alors le plus intéressant. Je remontai lentement sur son petit cul qui deviendrait bientôt ma propriété privée.
Comme on dit quand on est en vacances, il faut toujours visiter l’arrière-pays !
Je frottai les fesses relativement fermes, puis remontai le long de son ventre et m’intéressai à sa poitrine dont les seins dégouttaient d’eau. Alors je testai la plasticité des seins maternels, lentement, doucement. Ma mère ferma les yeux.
A un moment, mon doigt effleura une pointe de sein, qui se dressa instantanément, provoquant une respiration intempestive. Et enfin apothéose, je redescendis le long du ventre, et passai la serviette sur la toison brune. Le contact des poils qui s’écrasaient sous la serviette était très érotique. Je bandais comme un taureau !
Et alors je m’enhardis entre les cuisses, passant la serviette doucement en va-et-vient, sur ses nymphes. Elle soupira, et gémit document alors que j’appuyai la caresse, plaçai directement ma main sur la toison de son pubis, puis en coupelle sous la vulve. Mon doigt caressa furtivement le clitoris. Nouveau soupir. Je la vis abandonner sa tête en arrière, et dire : *Mon Dieu !
J’osai alors forcer, enfin un bien grand mot – l’équivalent d’une lame de couteau chauffée à cent degrés, qui forcerait une motte de beurre – l’entrée de la vulve qui s’ouvrit comme une fleur, sous la rosée du matin, et je retrouvai mes doigts dans le conduit qui m’avait vu naître.
Ma mère poussa un cri de jouissance, rauque, mais très vite s’écria :
Non il ne faut pas, c’est pas bien ! Bon, tu me rends mon peignoir, c’est fini ce petit jeu !
Une dernière condition… tu l’auras en haut de l’escalier, devant ta chambre…
Quoi ?! me cracha-t-elle, avec incrédulité. Tu veux que je monte l’escalier nue, jusqu’à la chambre où dort ton père, et si ta tante ou ton oncle sortaient dans le couloir ?
Pas de risques, tout le monde est crevé, il est 2 heures du matin. Bon allez, tu m’obéis, sinon je ne te le rends pas !
Vaincue, ma mère sortit de la salle de bain, la tête un peu basse, l’oreille aux aguets. Nous montâmes l’escalier, moi, braquant ma lampe de poche sur son petit cul, et la contre-plongée que j’avais sur sa chatte en la suivant ! Arrivé devant la chambre paternelle, je lui donnai le peignoir dont elle se vêtit immédiatement. Puis elle fit mine de tourner la clenche de la porte. Mais elle semblait attendre quelque chose…
Bah alors, tu dis pas au revoir à ton fils chéri, qui s’est si bien occupé de sa petite maman ?
Bonsoir " me dit-elle un peu pincée, alors qu’elle me faisait la bise.
J’en profitai pour l’enlacer, placer ma bouche sur la sienne, et forcer le barrage des lèvres, tandis que ma main venait au travers du peignoir, saisir sa toison pubienne sans ménagements. Doigts que je retirai aussitôt, alors qu’une gifle, enfin plutôt légère, comme pour marquer le coup, atteignit ma joue.
Salop", murmura-t-elle mollement, juste pour le principe !
Tu es excitée maman, tu mouilles, tu es une véritable salope sous tes petits airs d’innocente ! Dis-je avec moquerie, montrant mes doigts souillés de sa cyprine, et les lui passant sous le nez.
Elle resta interdite, ne sachant quoi dire, les bras ballants. Elle se savait prise en faute. Elle ne pouvait nier la réalité. Tout ce que je lui avais fait l’avait excitée à mort !
La bonne mère de famille aimante se révélait être une salope de compétition, et incestueuse en plus ! Elle avait tellement envie de cul, quelle était prête à toutes les bassesses ! Je transformai l’essai ! Il faut dire que, intentionnellement ou pas, son peignoir s’ouvrit, me révélant son corps fantastique, alors je n’hésitai plus, la tirant par le bras, je l’emmenai dans ma chambre et poussai la porte. Là, je l’enlaçai de nouveau avec passion ! Elle fondit dans mes bras ; je la tripotais partout, lui caressant les seins, lui prenant les pointes, que je faisais rouler entre mes doigts. Elle n’arrêtait pas de répéter :
Oh, mon Dieu, oh, mon Dieu. Il ne faut pas, mais c’est tellement bon !
Putain t’es bonne maman, regarde dans quel état tu me mets !
Et je lui pris la main et la posai sur mon sexe en danger d’exploser. Elle en sentit la dureté, évalua la longueur du bout des doigts et serra fort. Je lui pris alors la bouche et dardant ma langue, la pénétrai. Là encore, elle s’ouvrit à mon baiser profond, et nos langues jouèrent un long moment. Alors qu’elle faisait coulisser sa main sur mon sexe, je présentai ma main sous sa vulve, et y fit pénétrer trois doigts. Elle dégoulinait de mouille. Je la sentais frémir contre moi. Vingt secondes de ces exercices jubilatoires me conduisirent à une jouissance que je ne pus refréner. J’explosai dans mon pantalon. Souillant le tissu et sa main.
Alors que je quittai sa bouche accueillante, tout en continuant de lui branler la chatte, elle se mit à gémir, puis ahaner.
Il y eut alors un bruit dans le couloir, quelqu’un sortait d’une des trois chambres contiguës. Nous stoppâmes nos jeux interdits, et je lui soufflai à l’oreille :
Suce ton doigt, je veux te voir goûter mon sperme. "
Elle s’exécuta, suçant son doigt de façon très pornographique. Puis elle me dit avec un dernier baiser :
Je dois y aller, demain ta petite maman te fera tout ce que tu voudras !
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Putain, c’est trop bon ! Putain la salope ! Elle en avait envie, la pute. Tu l’as sautée ensuite ? gémit Xavier, au comble de l’excitation.
Et ho, tu parles de ma mère quand même ! déclarai-je faussement outré.
Je ne vais pas sauter les étapes. Vous ne voulez pas savoir comment j’ai pu l’abaisser -avant de la baiser- à tous mes caprices ?
Oui, renchérit Lucas, après on va plus rien comprendre… alors elle a fait un essayage avec ta tante ?
Eh oui ! Ce matin-là…"
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Avant notre départ pour le grand repas de famille, ma mère, qui n’était alors pas aussi intime avec moi, que le soir me dit, contrainte et forcée par mes demandes successives, que sa belle-sur lui avait proposé un essayage comme l’année précédente. Mais que ce coup-ci elle avait prévu des vêtements sexy pour elle !
Très excité par la situation, et ce que j’espérais voir par le trou de la serrure de la chambre de ma tante, j’attendis que les deux femmes senferment dans la pièce. Puis cinq minutes plus tard, je montai moi aussi, très silencieusement, et m’agenouillant je mis mon il au niveau du trou de la serrure.
Alors, je vis l’un des spectacles les plus érotiques de ma vie ! Ma tante avait un pied posé sur la chaise et elle avait revêtu son porte-jarretelles, ma mère était agenouillée devant elle, et elle était en train de lui clipser ses bas sur les jarretelles…
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" Putain, mais attends, t’as sauté un truc ! Ta tante, elle avait des sous-vêtements où ?? demanda Xavier, qui se rognait nerveusement les ongles.
Eh bien, ma tante était…
Xav ! Xav ! Tu pourrais venir mon chéri ? J’ai besoin de toi ! dit une voix féminine mélodieuse, à travers la porte…
Rhaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Pas ma mère !!! Agonisa Xavier.
Et apparu dans l’entrebâillement de la porte, une jolie tête blonde aux cheveux mi courts, Nadine Lepers, la mère de Xavier !
Désolé les garçons, je ne vous dérange pas ?
Mais pas le moins du monde, maman ! éructa Xavier, la voix sifflante comme un crotale. Qu’est-ce que tu veux ?
Vous parliez de quoi ? Minauda Nadine, en posant les mains sur la table, laissant béante l’échancrure de sa petite robe moulante noire. Les jeunes avaient ainsi une belle vision du décolleté, et de la superbe poitrine de Mme Lepers.
Et vous buvez pas trop quand même… moi je ne tiens pas l’alcool ! Une bière et on peut me faire tout ce qu’on veut ! Lança Nadine, le regard brillant…
(Xavier lui lança un regard noir !)
Physique quantique, trous noirs, théorie des cordes, balbutia Lucas, rouge pivoine.
Houla, mais c’est l’académie des sciences ici, pouffa Nadine ! Pas le moins du monde sérieuse. J’aurai pensé que des beaux mâles, pleins de sève comme vous, avaient des conversations… comment dire… plus en adéquation avec leur taux d’hormones !
Bon maman, maintenant que t’as bien cassé l’ambiance, dis-moi ce que tu veux et laisse-nous !
Et bien la machine à laver a encore fait sauter un plomb… tu veux venir arranger ça, mon chéri ?
Oui, je te suis, mais tu viens plus après !
D’accord ! Mais peut-être que tes copains voudraient bien m’avoir à leur table un prochain soir… et m’offrir une bière ?!? A bientôt les garçoooonnnnssss ! dit Nadine, alors qu’elle quittait la pièce, en tournant la tête avec espièglerie.
Vous, vous m’attendez ! OK !! Le ton de Xavier était nerveux et autoritaire !
On aurait entendu une mouche voler, une fois les deux partis… on se regarda les uns les autres ahuris. Il se passa cinq minutes sans échange de conversation. Chacun digérait les événements récents.
Oh putain ! Tu m’as tellement excité avec ton récit, que je l’aurais bien prise sur la table, cette salope de Nadine ! s’écria Greg.
Comment tu parles de la mère de Xav, tu crains ! Dit Lucas, désabusé.
Non, mais attends, t’as vu comment elle nous a parlé ! Elle minaude, elle roule du cul. T’as vu quand elle s’est penchée. Putain, cette paire de nibards ! C’est d’la dynamite cette meuf ! Dire qu’il a fallu que ce soit la mère de notre meilleur pote !
T’inquiète Greg, dis-je. J’ai de petits tuyaux la concernant. Elle est infirmière, et je peux te dire que c’est pas seulement une douce mère de famille. Mais j’en dirai pas plus. Un soir peut-être ? Je suis sûr qu’elle écoutait à la porte et qu’elle a entendu toutes les saloperies que je racontais… mais voilà Xav qui revient !
