Avant de développer mon histoire devant vous je voudrais me présenter. Je m’appelle Caroline, 53 ans, brune d’un mètre soixante. La ménopause m’a fait prendre un peu de poids à tous niveaux, seins, fesses et hanches mais si j’en juge par les regards des hommes dans la rue je suis encore désirable. Mariée depuis 25 ans à Serge, commercial dans les voitures et entraineur de l’équipe de foot local, pas très grand et dégarni avec la bouée que prennent les hommes passée la cinquantaine, plus vraiment l’homme épousé il y a 25 ans. Puis quoi deux enfants, Séverine 21 ans brune, pimpante partie faire ses études à la capitale et Thomas 19 ans beau petit mec d’un mètre quatre-vingts qui vit toujours chez nous en attendant… Je ne sais quoi ! Pas la grande vie, l’ennui qui s’installe doucement et niveau sexe, calme plat. Serge n’est plus le gaillard qui me faisait jouir dès que l’occasion se présentait, le petit coup du samedi soir à la papa et encore quand il ne s’endort pas avant.
Vendredi soir Thomas rentre de je ne sais pas où et m’annonce que son copain Marc va venir dormir à la maison cela leur permettra de partir ensemble avec Serge pour le match de samedi. C’est déjà arrangé !
Placée devant le fait accompli, j’acquiesce. Je n’aime pas trop Marc, jeune mec qui se la joue grande vedette parce quavant-centre dans l’équipe de foot de mon mari. Blond, pas vraiment beau mais avec un certain charme, l’arrogance de ces vingt ans. Mais comme c’est le meilleur ami de Thomas je ne dis rien.
Serge rentre fatigué, s’enfonce dans le canapé en attendant le diner.
On frappe je vais ouvrir, Marc m’embrasse en se collant à moi en entrant.
— Bonjour Caroline, Thomas vous a mise au courant je vais passer la nuit chez vous.
— Oui, tu peux monter le voir il est dans sa chambre.
La soirée se passe tranquillement, les « « hommes » discutent du match du lendemain sans faire plus attention à ce qu’il mange, et décide d’aller se coucher « pas trop tard » pour être en forme au matin.
Après la vaisselle je monte moi aussi, en passant devant la chambre de Thomas, la porte entre ouverte me laisse voir les deux jeunes entrains discuter. Par curiosité je m’approche pour écouter un peu ce qu’ils disent.
— Elle est encore bien gaulée, qu’est-ce tu en penses ? Dit Marc
— Oui ça peut aller il y a pire, mais bon… Répond Thomas
— Tu l’as déjà vu à poil ?
— Oui
— Et alors elle est comment ? Ça t’a fait bander ?
— C’est bon arrête… Ok ça m’a mis la gaule
Ah le salaud…
Ne voulant pas en entendre plus, savoir que mon fils « ai la gaule » me gêne un peu, je regagne ma chambre où Serge m’attend, c’est samedi soir.
Après avoir posé son magazine, Serge se tourne vers moi et commence à m’embrasser dans le cou, sa main passe sur mes seins, je réponds à ses caresses. Je retire ma nuisette et repousse les draps, je le branle un peu avant qu’il ne se mette sur moi. J’écarte les cuisses, il me pénètre, si son sexe n’est plus aussi dur qu’avant il me fait encore de l’effet, j’en ai besoin.
Pas vraiment concentré je m’aperçois que j’ai oublié de fermer la porte de ma chambre, trop tard pour aller la fermer, Serge accentue ses va-et-vient, il va bientôt jouir moi j’en suis encore loin.
Soudain mon regard se tourne vers la porte et là dans l’ouverture je vois Marc qui nous regarde en train de faire l’amour, enfin il me regarde me faire sauter. Serge sort sa queue et me jouit sur le ventre. Marc se délecte de ce qu’il voit. Serge ayant fini sa petite affaire il se tourne et s’endort.
Marc est reparti dans sa chambre apparemment, quand je décide de me lever pour aller prendre une douche, il faut que je me calme.
En descendant l’escalier qui mène à la salle de bain je vois que la lumière de la cuisine est allumée, quelqu’un a encore dû oublier de l’éteindre, quand je m’apprête à le faire je vois Marc qui se sert dans le frigo. Il m’a entendu et se tourne vers moi.
— Ça va Caroline ? Vous n’aviez pas l’air de trop vous amuser tout à l’heure, je pense qu’il serait temps pour vous de passer à autre chose, non ?
— Et moi je pense que tu ferais mieux de retourner te coucher si tu veux être en forme demain !
— Ne vous inquiétez pas je suis toujours en forme moi et pour tout si vous voyez ce que ça veut dire !
Ceci dit, il pose son verre et sort de la cuisine, il en profite pour se coller à moi en passant, son torse frôlant mes seins.
— Bonne nuit Caroline, à demain.
Sur ce je rentre dans la salle de bains, un peu décontenancer, Marc le meilleur ami de mon fils vient clairement de me proposer de coucher avec lui ! Non mais pour qui il se prend ce petit con !
Une fois sous la douche, je me surprends à penser à me faire prendre, je caresse mes seins les bouts durcissent tout de suite, ma main se dirige vers ma chatte et je commence à me branler…
Merde je suis vraiment en manque à me masturber sous la douche comme ça !
Il est temps de retourner me coucher. Passant devant la chambre de Thomas je vois de la lumière par la porte restée entrebâillée, je jette un il dans la pièce… Ce que je vois me laisse sans voix.
Marc nu, debout devant le lit de mon fils le sexe dressé dans la main. Thomas nu lui aussi, prend la queue dans sa bouche et la suce goulument, à sa manière de faire je vois bien que ça n’est pas la première fois qu’il fait ça. Je n’ose plus bouger de peur d’être surprise, Marc qui vient de me faire des avances à peine dissimuler se fait sucer par mon fils !
Et moi, je regarde mon fils se branler tout en léchant la bite de ce type, à la fois étonnée et excitée par la longueur de ces deux queues, malgré moi ma main se porte sur ma chatte, je mouille, qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je reprends mes esprits quand je croise le regard de Marc, il m’a vu, il a surement fait exprès de laisser la porte ouverte. Il ne dit rien, mieux il joue avec sa queue sur le visage de Thomas qui visiblement n’en peut plus.
Thomas se met en position de levrette sur lit, Marc tout en soutenant mon regard se place derrière lui, c’est à ce moment-là que je décide de regagner ma chambre m’apercevant que ma main n’a toujours pas lâché mon sexe, elle est trempée… Je me couche sans imaginer ce qui va arriver ensuite…
Le lendemain au petit-déjeuner mon mari trouve que j’ai des petits yeux, s’il pense que c’est grâce à ses « exploits » de la veille, il se trompe. Effectivement une fois couchée je n’ai pas cessé de penser à ce que je venais de voir : mon fils et Marc en plein baise, ces deux corps jeunes, les sexes dressés se donnant du plaisir sans retenue. Thomas n’était plus un petit garçon c’était un homme maintenant et Marc ce petit con avait une bite d’âne. Enfin pensais-je s’il est homo, il va me foutre la paix.
Tournant et retournant dans mon lit je ne trouve pas le sommeil, la chatte me démange, mes seins durcissent, j’ai envie de baiser, n’en pouvant plus je cède à mes pulsions avec la honte de penser à la queue de Thomas. Mes doigts rentrent sans peine dans ma cavité inondée, je me caresse les seins, j’ai l’impression que mon clitoris va exploser. Je jouis rapidement, il y a longtemps que je nai pris un tel pied !
Quand les « garçons » descendent j’ai droit à un « bien dormi ? » narquois de Marc.
— Oui, très bien, et toi pas trop fatigué?
— Moi, non toujours en pleine forme ! Me lance-t-il en matant mon peignoir tendu par mes nichons, je vois bien qu’il a remarqué mon absence de soutien-gorge mais je m’en fiche.
Tout ce beau petit monde s’en va à son match me laissant seule avec mes pensées.
Une semaine est passée est je pense toujours à ce que j’ai vu dans la de Thomas, au boulot ou dans la rue je me surprends à mater les hommes et surtout la bosse dans leur pantalon. Le sexe me travaille mais bon, il faut que passe à autre chose après tout je suis mariée et pas si malheureuse que ça puis à mon âge c’est un peu tard pour jouer les nymphos !
C’est en rentrant un vendredi après-midi que tout a changé, les bras chargés de provisions je pousse la porte de la maison et me dirige vers la cuisine, en passant devant le salon je vois Marc et Thomas s’embrassant et se pelotant sans aucune retenue. Les bras m’en tombent et lâchant mes courses je hurle :
— Vous ne pouvez pas aller faire ça ailleurs, non ? Si ton père arrive qu’est-ce que tu crois qu’il va dire ?
— C’est bon calme toi me dit Thomas on ne fait rien de mal !
— Laisse tomber tu vois bien qu’elle est jalouse, Répond Marc
— Jalouse ? Fit Thomas
— Oui depuis qu’elle nous a vus baiser la semaine dernière, elle doit t’envier, la baise avec ton père ça ne doit pas être le pied !
Quand je m’approche pour mettre une paire de gifles à Marc, les deux gars se sont relevés, Thomas se place devant moi et dit
— C’est vrai ? Tu nous as vus ? Et tu es jalouse ?
— NON ! Oui je vous ai vu mais… Je ne suis pas jalouse c’est n’importe quoi !
— Elle en crève d’envie ça se voit, sors-la Marc en passant sa main sur sa braguette, si tu veux voir si c’est vrai Thomas tu n’as qu’à lui montrer ce qui te fait plaisir chez moi, allez sors la moi !
— Arrête dis Thomas c’est pas drôle, t’es con !
— Tais-toi et sors-la maintenant lance Marc en ouvrant son pantalon, je te dis qu’elle en peut plus, elle transpire comme une vache !
Le petit con a raison je ne sais plus quoi dire, la vue du sexe qu’il sort me laisse sans voix, Thomas s’en aperçoit en me regardant et se retourne vers Marc pour lui empoigner la queue. Il commence à le branler doucement.
— C’est vrai ça te fait envie ? Dit-il
Je balbutie un non indécis et menteur qui a du mal à sortir de ma gorge.
— À genoux Thom, suce-moi je suis sûr qu’elle a oublié comment on fait !
Mon fils s’exécute, à genoux il prend la bite arrogante de Marc dans sa bouche, devant moi sa mère !
Choquée et honteuse je ne peux plus bouger, je ne me suis pas aperçu que Marc s’est rapproché de moi, il passe sa main derrière mon cou et attire mon visage du sien pour m’emballer goulument.
Sa langue fouille la mienne, c’est bon, je ne sais plus où j’en suis quand il pose ses mains sur mes épaules pour me faire mettre à mon tour à genoux. Thomas le suce toujours lentement, lui léchant tour à tour le gland et les couilles.
Marc reprend sa queue en main et la dirige vers mon visage, il me la passe sur les joues et bouche, que j’ouvre pour pouvoir l’avaler toute entière, j’en crève d’envie !
— Tu vois qu’elle attend que ça, même pas la peine de lui demander d’ouvrir, cette grosse vache, allez ouvre plus grand, dit Marc en m’enfonçant sa bite au fond la gorge.
A côté de moi, Thomas regarde sa mère se faire traiter de vache et sucer son amant, il sort la queue de ma bouche avant de la remettre lui-même. Il recommence plusieurs fois branlant son mec sur mon visage puis il me prend à son tour la bouche avec sa langue, je mouille comme une folle si ça continue je vais jouir à genoux dans mon salon !
— Mets-la à poil qu’on voit si elle est encore bandante ta pute de mère ! Elle joue moins les bourgeoises coincées maintenant ! Lance Marc à Thomas qui commence à ouvrir mon chemisier.
Je me relève, Thomas aussi, il continue de me déshabiller, après mon chemisier il s’attaque à mon soutien-gorge, il dégrafe mon 95c, mes seins excités sortent comme des beaux diables, en deux temps trois mouvements ma jupe est à terre et mon collant aussi ! La queue dressée, Marc est aux anges quand Thom fait glisser ma culotte taille 46 en bas de mes jambes.
— T’avais raison Thomas, elle est bandante la vache, on va bien s’occuper de toi ma grosse, tu vas voir tu vas aimer en prendre deux en même temps !
Deux ? Non je ne vais pas laisser mon fils me baiser quand même ?
Alors que je m’apprête à fuir je sens les mains de Thomas sur mes fesses, il me pousse sur le canapé du salon où je me retrouve allongée, la bite de Marc sur mon visage et celle de mon fils dans la main !
— Allez fait pas ta bourge, suce-nous, on voit bien que tu as envie ! Dit Marc en prenant possession de ma chatte avec ses doigts. Il a raison je n’ai jamais été trempée comme aujourd’hui, il est trop tard pour reculer, j’ouvre la bouche pour enfourner Marc pendant que Thomas me caresse les nichons, j’ai toujours sa bite dans la main. Elle est raide et longue, plus longue que celle de son père !
Marc sort de ma bouche pour me prendre la chatte, il laisse la place à mon fils, je le suce avec envie, je suis une salope, j’ai besoin de jouir et ils savent y faire les salauds !
Le sexe de Marc me laboure les reins, il me traite de salope pendant que je lèche les couilles de Thom. Il en profite et il a raison, il a baisé le fils et maintenant la mère, il ne lui manque plus que la fille, mais qu’est-ce que je me raconte ? Je suis vraiment en manque de cul là !
Marc me retourne comme une crêpe sur le canapé, je me retrouve en prise en levrette, il empoigne mes hanches et me donne de grands coups de queue, Thomas a repris sa place devant moi et me baise la bouche.
Je sens la bite de Marc exploser dans ma chatte à grand jet de foutre, je jouis, il se retire et dit à Thomas de prendre sa place « pendant que la grosse va me nettoyer la queue ! » Son manque de « délicatesse » ne me gêne même plus, ils échangent leurs places et Thomas, mon fils, me baise, ma chatte déborde du sperme de Marc qui me coule le long des cuisses !
Goulument je « nettoie » la bite de Marc, j’avale le mélange de foutre et de cyprine sur cette jeune queue quand Thomas jouit à son tour dans mon antre baveux, il se retire en me disant « Tu es vraiment une grosse pute ! » je m’écroule sur le canapé pendant qu’ils s’en vont se doucher ensemble.
Tout est en vrac dans la maison, il va falloir que je remette de l’ordre avant le retour de mon mari !