Bonjour afin de faire plus ample connaissance je vais me présenter à vous.
J’ai une quarantaine d’années, totalement hétéro, même pas bis, ni zoophile. Je mesure 1,82 m pour 78 kg et je suis musicien. Célibataire, ou plutôt séparé comme une très grande partie des gens de mon âge, je profite de la vie et de toutes les rencontres que je fais grâce a mon métier, mais également parce que je sors beaucoup.
L’histoire que je vais vous raconter est assez extraordinaire et m’est arrivée tout à fait par hasard.
En ce mois de mai, les journées commençaient à devenir de plus en plus longues et il faisait bon se promener le long des quais ; et à la douceur de la nuit qui commençait à tomber, je sentais bien que l’été approchait à grands pas et tout en rêvassant, je me disais qu’il faudrait quand même, que je me décide à prévoir mes vacances, quand tout d’un coup, mon regard fut attiré par une scène assez cocasse. Un chien était en train de monter une chienne, au nez et à la barbe de tous, enfin de tous, bien peu de gens finalement faisaient cas de ce qui se passait et les quelques badauds qui se baladaient, tournaient à peine la tête en direction des deux chiens.
Je restais là quelques minutes, à pratiquer une sorte de voyeurisme, ce qui me surprenait moi-même.
Je m’approchai alors d’un banc qui se trouvait à proximité et je m’assis un moment, comme pour mieux les voir.
— Bonsoir, je peux ? Oooops je me sentis surpris en flagrant délit de "matage"
— Oui bien sûr, tout en me poussant pour laisser un peu de place à cet homme de 65/70 ans environ, je ne savais pas trop lui donner un âge exact.
Je cessai alors, de regarder ce chien qui tentait partout les moyens, de grimper cette petite chienne et pour donner le change, je fis mine d’envoyer un SMS.
— Intéressant non ? Reprit mon voisin de banc.
— Quoi donc ? Faisant semblant de ne pas comprendre la question.
— Et bien, me dit-il tout en esquissant un petit sourire à peine déguisé : Le mal que se donne ce chien, pour essayer de baiser sa "copine",
— Heu je sais pas, enfin oui peut être…
Et le chien de reprendre de plus belles, ses tentatives.
Je dois tout de même avouer, que cela m’avait un peu excité, car ça me rappelait une expérience que j’avais vécu quelques mois auparavant en vacances. Je pense que l’homme s’en était aperçu, car il promenait son regard, sur ma braguette et sur la bosse naissante qui me trahissait déjà.
J’étais un peu gêné, heureusement qu’il faisait à présent presque nuit.
— Il faudra que je lui apprenne à être plus précis, me dit alors mon voisin.
— Mais il est à vous ce beau labrador ?
— Oui, je viens souvent le promener par ici et je le laisse parfois gambader sans sa laisse, car il est très gentil.
— Alors oui en effet, il a peut-être besoin d’un peu d’expérience, mais ça ne doit pas être évident devant tout le monde, ou en public et puis il est peut-être pudique votre chien, lui répondis-je en souriant…
— Il n’y a que les humains qui peuvent être pudiques et encore reprit-il.
— Vous par exemple vous l’êtes ?
— Et bien disons que ça dépend sûrement de la situation.
Je voyais bien qu’il dirigeait la discussion de manière assez directe et précise.
— Là par exemple je vois bien que vous êtes excité, par ce que vous voyez, mais vous n’osez peut-être pas vous l’avouer, parce qu’il s’agit de deux chiens, n’est-ce pas ? Soyez franc !
Sa voix était claire, il parlait très intelligiblement et j’étais assez embarrassé par sa question, mais après tout je ne le connaissais pas, nous n’étions que voisins de banc et je pouvais lui parler librement, on ne se reverrait sans doute jamais.
— Heu non, enfin je ne pense pas.
— Et cette bosse qui est de plus en plus grosse c’est quoi ?
— Pardon ?
— Et bien ça ! Répondit-t’il en posant sa main sur ma braguette, tout en serrant virilement ma queue et mes bourses, au travers de mon jeans.
Je restai alors quelques secondes totalement paralysé et muet, c’était la première fois qu’une chose pareille m’arrivait.
— Mais, que faites vous ? Ce fut ma seule réaction, sans même essayer de repousser sa main.
— Ce que je fais ? Et bien ce que tu avais envie de faire, depuis que tu t’es assis sur ce banc pour voir de plus près, ce que faisait mon chien…
Et pendant qu’il continuait de malaxer mes boules et la base de ma queue, je n’eu aucune réaction.
Je regardais ce chien qui baisait cette chienne, pendant qu’un homme d’âge mûr à côté de moi, finissait de m’exciter, en pétrissant mes couilles, sans dire un seul mot et qui n’avait vraiment pas du tout l’air gêné par cette situation.
— On risque de nous voir… C’était la seule chose que j’avais trouvé à répondre d’une toute petite voix, à son initiative.
Le problème c’est que j’étais vraiment excité et que tous mes sens étaient en éveil.
Ce chien devant moi, cet inconnu qui secouait à présent assez vigoureusement ma queue, wow ! Tout cela était nouveau pour moi et j’avoue que ce petit côté exhib’, ajoutait à mon excitation.
Je n’avais jamais eu auparavant, la moindre sensation, ou la moindre attirance pour un homme, bien au contraire ; mais cet inconnu et cette situation provoquaient en moi, une sensation à laquelle j’avais bien du mal à résister.
Plus personne ou presque ne se promenait le long des quais.
— Je sens que ça te plaît, regarde le spectacle et laisse-toi faire. Cet homme ne doutait de rien.
Il entreprit alors, de descendre tout doucement mon zip et décrocha la boucle du ceinturon qui maintenait mon jeans.
J’étais pétrifié, pourquoi est-ce que je ne réagissais pas ?
Au contraire je posai une main de chaque côté de mes hanches sur le banc, en me laissant aller en arrière sur le dossier.
Immédiatement, il sortit ma verge de mon jeans, ce qui eu pour effet de provoquer une érection immédiate et totale.
J’ai même eu l’impression qu’à un moment, j’ai écarté un peu les cuisses pour qu’il soit plus libre de ses mouvements.
— T’aime ça hein ? Pas la peine de répondre, je n’ai qu’à voir ta queue bien chaude et bien dure, elle parle pour toi…
Ma queue était à présent à l’air libre et l’homme toujours assis à côté de moi, se pencha entre mes jambes, et je sentis qu’il allait me prendre en bouche.
Mais que m’arrive-t-il, comment pouvais-je accepter une telle situation ? J’étais trop excité et je n’avais aucune réaction.
Il ouvrit grand la bouche et commença par prendre seulement les quelques premiers centimètres de ma queue, puis il se mit à sucer tout mon gland. Il resta ainsi deux ou trois minutes, c’était vraiment délicieux et je sentais mes mains, se crisper sur le banc, puis d’un coup, il avala ma queue toute entière hum quelle sensation..!!
Je dû me retenir pour ne pas gicler dans la bouche de ce vieux.
Je tournais la tête de droite à gauche, pour m’assurer qu’il n’y avait vraiment personne, je me sentais plus tranquille.
Mais comment, un hétéro convaincu comme moi, pouvait-il bien se trouver dans une situation aussi ambiguë ? J’avais rarement ressenti une aussi forte excitation.
Son chien était à présent assis à côté et il semblait regarder avec curiosité. Les rôles étaient inversés il était passé d’acteur à voyeur et moi, de voyeur à victime, enfin de victime consentante, mais c’était si bon et ce vieil homme qui n’arrêtait pas de bouffer ma queue.
Il était à présent à genoux devant moi et mes cuisses étaient totalement ouvertes, j’avais même soulevé mes fesses pour pouvoir descendre mon jeans.
Ce vieux suçait vraiment très bien et à mon avis il était habitué à ce genre de situations. Il me faisait une pipe d’enfer pendant que sa main chaude me malaxait doucement les couilles.
-T’aimes ça hein petite pute ? Et en plus, je le laissais m’insulter, je dois même dire que ça me plaisait.
Il se baissa au maximum que son âge et son manque de souplesse le lui permirent, souleva mes couilles, puis il commença à lécher mon petit trou, c’était vraiment un truc de fou et moi de le laisser faire.
L’excitation était à présent trop forte j’étais sous contrôle, il trempa sont majeur tout entier dans sa bouche, pour bien le mouiller et il commença à tourner autour de mon anus.
— Mais.. heu que faites-vous ? Lui dis-je d’un air faussement gêné.
— Chuuuut laisse-toi faire ma petite salope, tu vas adorer et ça ne fait que commencer..
Je ne répondis rien et je le laissais faire, j’étais en train de devenir sa pute, sa salope.
Après quelques minutes à tourner autour de mon anus, il se décida enfin à me pénétrer avec son doigt, d’abord quelques millimètres, je voyais bien que c’était un expert, puis de plus en plus profond.
Je sentais bien qu’il prenait son temps pour bien me dilater, puis il commença ses va et vient, longs et lents entre mes fesses. C’était juste délicieux et moi j’écartais doucement les fesses avec mes mains, pour mieux le laisser entrer en moi.
Ce vieux était en train de m’enculer et en même temps il me pompait la queue !
Je bandais comme un âne et ma queue était brûlante et dure comme du bois.
C’était dingue, je n’avais jamais connu de telles sensations de plaisir et ça se passait dehors, n’importe qui aurait pu nous surprendre, est-ce que c’est ça qui en plus, augmentait mon excitation ? Après coup j’en suis persuadé.
J’étais en transe, c’est le mot exact je crois…
Sans arrêter quoi que ce soit, il fit un geste avec sa main gauche en direction de son chien, qui était juste à côté de nous.
Sur le coup je n’y avais pas prêté attention, j’avais la tête en arrière et je ne voulais rien voir de ce qui se passait, uniquement sentir mon corps se tordre de plaisir. Puis je sentis quelque chose d’étrange, d’inconnu…
Le vieux monsieur s’était retiré de ma bouche et c’était à présent son chien qui léchait mon gland tout entier !
J’eu comme un moment de recul, mais comme pour mieux me tenir, le vieux enfonça un peu plus profond son doigt dans mon cul, puis son index s’engouffra également en moi.
Le vieux pervers m’enculait à présent avec ses deux doigts, pendant que son chien me léchait la queue avec une gourmandise non dissimulée.
Je ne pouvais plus bouger c’était vraiment trop bon, l’homme accélérait ses va-et-vient, pendant que son chien n’arrêtait pas de me bouffer la queue et c’était juste divin.
— Alors ma petite pute, je t’avais pas dit que tu allais adorer ? Allez mon chien bouffe le bien, fais lui voir comment tu suces bien et toi vas y ma petite salope, vas y laisse toi aller.
Je ne pu me contenir davantage et mon sperme inonda la bouche de ce chien qui me lapait si bien.
— Ouiii c’est bon, encore, criais-je en essayant d’étouffer ma voix avec ma main, pour éviter qu’on puisse m’entendre.
Et ce chien qui faisait à présent ma toilette et qui avala mon sperme jusqu’à la dernière goutte, il semblait aimer ça, pendant que son maître retirait doucement ses doigts de mon intimité..
— C’est bien mon chien, c’est bien, vas-y fini bien notre petite salope, si on veut qu’elle revienne nous voir..!
Je venais de prendre un pied monstrueux, mais que dire, comment faire maintenant une fois l’excitation tombée.
Le vieil homme pris l’initiative.
— Alors il semble que tu es aimé ? Dit-il en souriant.
— Oui il semblerait que j’ai adoré même… un peu gêné, c’était normal, puisque c’était une première pour moi, je n’aimais ni les hommes, ni les vieux.
Je pensais à présent qu’il était temps de partir et j’allais repousser le chien, pour remonter mon jeans, car lui en revanche n’avait pas cessé de me lécher.
Le vieux s’installa de nouveau à côté de moi et s’approcha doucement. Il déboutonna alors quelques boutons de ma chemise et se mit à me lécher lentement le bout de mes tétons, il tournait tout autour avec le bout de sa langue.
Je n’osais rien dire, car je ne savais pas où il voulait en venir.
Mais ce n’est pas possible me disais-je, le vieux cherche à m’exciter encore ?
Et après deux ou trois minutes de ses petits lapements, je sentais de nouveau ma queue se gonfler… mon jeans était encore baissé je n’avais toujours pas bougé et le vieux monsieur passait d’un téton à l’autre sans discontinuer, il me léchait aussi bien les tétons, qu’il m’avait sucé la queue.
— Hum soupirais-je, c’est bon !
Je ne bougeais plus, je me laissais faire encore une fois et je m’étais de nouveau laissé aller sur le dossier du banc et pendant que le vieux n’arrêtait pas de me lécher les tétons, il me prit par les épaules et m’allongea doucement sur le dos, il abandonna quelques secondes mes seins, pour remonter mes jambes sur le banc.
J’étais à présent couché sur le dos et les genoux pliés, les jambes écartées, L’homme avait pris soin d’enlever mes baskets ainsi que mon jeans, bref j’étais à poil couché sur un banc public avec pour seul vêtement ma chemise ouverte. Il revint sur mes tétons, pendant que son chien repris de me léchait le cul et les boules, il était passé cette fois entre mes jambes.
De nouveau mon chibre était au garde-à-vous, je ne comprenais plus rien.
— Tu vas adorer ma petite putain, laisse-toi faire tu vas en redemander, tu verras…
Puis le vieux redescendit vers ma queue iqu’il se partageait avec son chien, c’était complètement insensé, lui gobait ma queue et me refaisait une bonne pipe, pendant que son chien léchait mes boules et mon anus.
Je n’osais plus bouger, j’avais perdu tout sens des réalités et surtout le faite que nous étions sur un banc public, même si c’est vrai qu’il était assez tard et dans un endroit plutôt isolé, mais tout de même..
Je vis le vieux pervers qui déboutonnait doucement son pantalon et pendant qu’il me suçait, il commença à se branler, en tout cas c’est ce que je croyais deviner, puisqu’il était de dos, mais le geste de son bras ne laissait planer aucun doute sur ce qu’il faisait…
La suite, si mon histoire vous intéressé, peut être dans un prochain chapitre