Jaimais le regard quelle mavait lancé en disant cela. Je commençai alors pas des vas et viens lent et profond. Je me répète mais cétait exquis. Mon gland qui frotte contre son col de lutérus. Les muscles de son vagin qui se contractent autour de mon sexe. Et étant donné le niveau dexcitation de ma mère et moi, nous navions vraiment pas besoin de lubrifiant. Mon sexe était presque trempé par la mouille de ma mère. Puis jaccélérai mon mouvement. Je variais la cadence. Je tenais bien sa jambe pour ne pas quelle bouge trop. Parfois, je sortais mon sexe en entier pour y revenir aussitôt jusquau fond, parfois, je restais au plus profond que je pouvais et je ne bougeais que sur quelques centimètres. Tantôt rapidement, tantôt lentement. Jaimais claquer mes hanches sur son sexe. Et jaimais bien quand nos poils pubiens se frottaient.
Quand je sentais que jallais éjaculer, je sortais quelques secondes de son vagin, je lembrassais et je frottais ma queue contre son clitoris pour ne pas quelle perde le fil de son plaisir.
— Cest super bon, mon chéri, mencouragea-t-elle, ton père ne ma jamais fais jouir ainsi.
Je donnais quelques derniers coups secs puis nous changions de position. Maman a voulu que je la prenne en levrette.
Elle prit appuie au bord du lit, et tendit ses superbes fesses vers moi. Elle me regarda, et tout en se mordant les fesses, elle balança dun côté et de lautre son fessier. Dun air de dire « viens me chercher ». Quand elle vit que cela redonna encore plus de vigueur à mon érection, elle gloussa. Javais bien compris quelle adorait me faire languir de plaisir.
Avec ses deux mains, elle écarta ses fesses. Moi, jentrai mon pénis encore mouillé.
Cétait encore plus serré, donc meilleur. Son clitoris était moins stimulé, mais dans cette position jexerçai une meilleure pression sur son point G. Et ça sest vite vu : elle a très vite joui et a « éjaculé ».
Ses seins basculait plus fort. Je ne pu mempêcher de la peloter. Je me penchai sur son dos et en même temps je titillais gentiment ses tétons.
Après quelques minutes dans cette position, ma mère jouit une nouvelle fois, et je me retira pour faire une courte pause. Je masseyais sur le lit pour souffler un peu.
Mais ma mère remarqua que je commençai à débander.
— Pas question dêtre mou, jeune homme ! Jen veux encore !
Elle se pencha alors vers moi et me dit :
— Voyons quel goût ma petite chatte a.
— Elle est délicieuse. Dis-je.
Elle me suça alors la queue. Ou plutôt elle me la nettoya. Parce que partout là où il y avait de la mouille, maman y passait sa langue rappeuse. Elle me branla en même temps, et inutile de vous dire que mon engin se remit vite au garde à vous. Pendant ce temps là, mes doigts fouillait délicatement son vagin. Mon autre main caressait son dos.
— Voilà toute propre ! Dit ma mère après mavoir bien léché.
— Dommage quil va être vite sali de nouveau.
Elle déposa un bisous sur mes lèvres, et je voulu me lever pour continuer, mais elle marrêta :
— Non, reste assis. Je vais te monter.
Elle leva la jambe et elle se retrouva vite en position du cow-boy prêt à monter son cheval. Mais avant quelle sassit sur mon sexe, je profitai quelle soit là jambes écartées à 20 centimètres de moi pour lui lécher le minou encore un peu.
Jembrassais son con, ma langue léchait son clitoris, mon nez nétait même plus dérangé par son odeur intime, au contraire. Je lui bouffais la chatte comme ça pendant quelques secondes. Et ce fut le temps quil lui fallut pour atteindre lorgasme. Je lavais bien compris, quand une de ses mains agrippait mes cheveux, tandis que lautre caresse mon menton en guise dencouragement.
Puis elle se recroquevilla légèrement sous la puissance de lorgasme, ses jambes étaient flageolantes et son corps était parcouru de spasmes. Mais je continua vigoureusement mon repas. Et soudain, elle jouit sur mon visage. Il me fut impossible de ne pas avaler un peu de son liquide. Mon visage était recouvert de mouille et autre liquide séminal.
Elle descendit du lit une seconde, et sexcusa tout en rigolant :
— Oh excuse moi mon bébé, je voulais pas jouir sur ton beau visage.
Elle prit mon visage entre ses mains et membrassa. Elle déposa son front sur le mien, me regarda dans les yeux, et tout en membrassant elle me dit :
— Mais cétait si bon. Jai pas pu marrêter.
— Cest pas grave mman, au contraire jai adoré. Jadore te faire jouir. Tu es si magnifique.
Elle me sourit et reprit son souffle.
— Noublie pas quil y a un cheval qui attend dêtre monté, lui dis-je.
Elle me sourit et se remit en position. Elle fit entrer mon sexe en elle. On mit quelques temps à trouver la bonne position pour ses jambes, mais une fois trouver, on recommença notre ébat de plus bel.
A chaque montée et descente ma mère gémissait. Jadorais sa voix quand elle prenait du plaisir. Ses petits cris tendres et amoureux. Jadorais quand ses fesses claquaient sur mes cuisses. Ou quand son clitoris frottait un peu contre mes testicules.
— Continue bébé, cest trop bon ! Oh putain, oh oui ! Sexclamait-elle.
Parfois, elle réduisait la cadence pour que je néjacule pas. Elle sasseyait au plus loin quelle pouvait et faisait des mouvements circulaires avec son bassin. Et parfois, quand cest elle qui jouissait, elle allait au plus profond et caressait son clitoris très rapidement.
Quand elle ne criait pas, parfois, je comprenais quelle avait quand même atteint lorgasme lorsque sa respiration se faisait rapide et bruyante.
Tout en continuant dans cette position, elle se coucha sur moi. Jen profitai pour caresser un peu ses seins puisquils étaient à porté. Ma mère blottit sa tête contre mon épaule, elle membrassa encore. Jadorais ça, embrasser amoureusement sa propre mère sur la bouche, et quelques fois avec la langue.
Sur le coup, cela ma fait pensé au complexe ddipe de Freud.
Une autre chose que jaimais bien, cétait quand maman léchait sa main pour mouiller sa petite chatte. Cétait très sexy.
Puis, nous changions de position. Je sentais quon se rapprochait de la fin. Je commençai à ne plus tenir. Cela faisait deux bonnes heures que nous faisions lamour. Nous étions tout transpirant et le lit était trempé de sueur et de nos liquides corporels.
Nous nous sommes allongés sur le lit, comme cétait notre dernière position, je voulais finir en missionnaire. Japprécie beaucoup cette position. Elle permet de regarder son partenaire dans les yeux et on a une vue imprenable sur son corps.
Maman était sur le dos, moi jétais au creux de ses jambes, à genou. Mon gland était rouge. Jentrais dans son antre chaud. Et commença mes vas-et-viens.
Elle mit ses pieds sur mes épaules. Je ne pu mempêcher den prendre un et de lui faire des bisous. Elle rigola et me demanda darrêter parce que ça lui faisait des chatouilles. Je me rappelle quà ce moment précis, nous avions lair dun vrai petit couple. Nous nétions plus une mère et un fils, mais deux amoureux. Deux êtres qui se désirent éperdument. Je me suis demandé alors jusquoù irait cette relation. En pensant cela, je regardais ma mère dans ses yeux couleur noisettes. Elle avait lair heureuse, comblée, enfin satisfaite de ce que mon père na jamais pu lui donner.
— Je taime maman.
— Je taime aussi, mon chéri.
Puis je repris mes esprits et jaccélérais mes hanches. Elle, elle sagrippait au drap.
— Oui, cest bon ! Dit-elle.
— Maman, je vais jouir !!
— Pas à lintérieur mon bébé, je veux gouter ton sperme.
— Je tiens plus !
Je sortais mon sexe, et maman se redressa et sapprocha. Je neu même pas besoin de me branler que jéjaculais déjà.
Maman ouvrit la bouche au bon moment, et une bonne dose de sperme épais tomba sur sa langue. Une deuxième jet atterrît sur sa poitrine. Elle me masturbais en même temps, elle en voulait plus.
Cétait plus quune éjaculation, cétait une réelle jouissance. On a jamais ce genre dorgasme quand on se masturbe tout seul. Là, je pouvais sentir la vague de plaisir envahir mon corps.
Jaurais voulu que ce moment ne cesse jamais.
La bouche de maman fut remplie de ma semence. Elle avala et un « ah » sortit de ses lèvres comme pour dire que sa soif était étanchée.
Elle en avait encore un peu sur le menton et les seins. Elle mit dans sa bouche le liquide sur son menton avec ses doigts. Celui sur sa poitrine, elle le frotta comme une crème quon se met sur la peau.
Elle me nettoya ensuite le sexe, mais mon gland était devenu très sensible. Je ne tint pas longtemps avant que cela devienne désagréable.
— Alors, mon chéri, cétait bon ?
— Et comment ! Jai adoré, maman !
— Viens la.
On se coucha à deux dans le lit, dans les bras de chacun.
— Ton père ne doit évidemment rien savoir de tout ça. Personne ne doit savoir.
— Je sais bien. Ne tinquiète pas. Ce sera notre secret. Mais
— Oui ? Me demanda-t-elle, voyant mon hésitation.
— On recommencera ?
— Tu veux ?
— Oui Jai vraiment envie de toi, maman. Je taime.
— Je taime aussi mon chéri. Alors oui, on le refera sûrement.
Le reste de laprès-midi se passa normalement. Jaida ma mère a changer les draps et nous avons pris une douche ensemble.
Au soir mon père rentra et ne vit que du feu.
Nous avons continué notre relation intime, dès que mon père nétait pas là, nous faisions lamour.
Nous nous fichions davoir le même sang. Le désir pour lautre était au dessus de ça.
Et il y a quelques semaines, ma mère ma annoncé une superbe nouvelle :
— Je dois partir à Limoges pour mon travail.
— Et en quoi cest une bonne nouvelle ? Lui demandais-je, dubitatif.
— Tu nas quà venir avec moi pour maider
Elle me fit un clin dil et tapota son doigt contre mon nez, ce qui me rappela notre première fois où elle avait fait la même chose.
— Imagine, continua-t-elle, deux semaines entières, rien quà deux dans un hôtel.
Elle sapprocha de moi et me susurra dans loreille :
— Sans ton père dans les parages
Rien quà imaginer la scène, jeu une érection.
Mais ça, cest une autre histoire !
Si vous êtes sages, peut-être que je vous raconterai cette autre partie de ma relation avec ma mère.