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Ma fille : la plus sexy des valentines – Chapitre 2

Lilly joue avec son Père - Chapitre 1



Après l’appel de ma fille, je me levai difficilement, encore éprouvé par toutes les visions qui me trituraient le cerveau et défilaient malgré moi tel un voile indélébile devant mes yeux. Je tendis la main en arrivant contre le rideau et demandai à ma fille :

— C’est bon, je suis là, je peux voir ?

Je n’obtins pas de réponse, mais eus la délicieuse surprise de voir apparaître un corps angélique, gorgé d’élégance, d’excitation, de sensualité, et de perversité. Du moins, c’est l’image que me renvoyait le corps de ma fille.

De dos, Lucile était parfaitement mise en valeur dans cette petite robe très serrée. D’un vert foncé à effet velours, elle contrastait parfaitement avec sa chevelure blonde qui s’étalait dans son dos. Me tenant derrière elle, je ne pus qu’admirer le reflet de sa merveilleuse poitrine dans le reflet de la glace face à nous, son décolleté était plongeant et bombait légèrement sa poitrine pour en faire déborder le contour de ses seins, dont je vis les tétons pointer sous le tissu.

Lucile se retourna tout à coup, et me fixa avec un grand sourire.

— Alors qu’est-ce que t’en penses ? me demanda-t-elle d’un ton enjoué.

— Euh tu es vraiment jolie ma belle, vraiment.

Je balbutiai ces quelques mots, la gorge serrée et la voix chevrotante, tant j’étais subjugué par sa beauté.

Ma fille s’aperçut de mon trouble et n’insista pas tout de suite, me laissant observer son corps dans ce nouvel objet de luxure.

De face, la petite partie de nylon qui courait le long de sa poitrine vers le bas de la robe était diablement excitante. Je pouvais voir sa peau fine et brillante sur toute la longueur de cette partie transparente et j’étais électrisé. En relevant les yeux, je vis que ma fille me fixait intensément.

— Elle te plaît on dirait.

Elle me dit cela avec un léger sourire, innocent, ne semblant pas comprendre toute l’ampleur de ce que provoquait chez moi la vision de son corps dans cette lingerie.

— Oui tu es sublime ! Elle te va parfaitement. On la prend c’est certain !

J’avais prononcé ces mots avec assurance cette fois, comme si c’était moi qui décidais qu’elle porterait bien cela pour son copain. Je me sentis d’ailleurs gêné d’avoir osé imposer ma volonté, mais Lucile ne s’en formalisa pas, bien au contraire.

— OK tu commandes Daddy, me répondit-elle en me fixant d’un il rieur. Par contre, est-ce que tu peux juste me prendre une photo pour que j’envoie à maman s’il te plaît ?

Elle se retourna et se pencha légèrement en avant pour saisir son téléphone posé sur le petit banc, mais glissa un petit « oups » en se baissant, car sa robe venait de remonter soudainement et dévoilait à présent la partie basse de ses petites fesses bien moulées.

— Oulà, elle est un peu courte par contre, rigola-t-elle. Je devrai pas me pencher si je la prends. Peut-être qu’ils ont une taille au-dessus ? lança-t-elle à mon adresse.

Justement petite pute, quand tu te pencheras en levrette sur ton lit, j’aurai pas besoin de remonter ta robe pour t’embrocher la moule et te … MERDE !!!! Ça recommençait encore ! J’avais des visions lubriques qui me galvanisaient autant la tête que la queue. Ma bite se tendait de plus en plus dans mon pantalon, prête à sortir, tel un dard qui tenterait de se planter dans n’importe quel orifice de ma fille chérie.

— Euh attends, je vais demander à la vendeuse, répondis-je à moitié en panique.

J’aurai tout fait pour sortir au plus vite de là. Encore quelques secondes de plus et je serai capable d’attraper Lucile par les hanches et de la pénétrer sans ménagement pour la culbuter et la faire jouir conne une chienne.

— Attends ! Tu peux me prendre des talons aussi s’il te plaît ? J’ai pas pensé à prendre d’autres chaussures et c’est pas terrible d’essayer tout ça avec mes bottines.

J’acquiesçai rapidement à sa demande, priant pour ne pas revenir trop vite et me calmer comme je le pouvais dans les allées du magasin.

Je déambulais au hasard, déboussolé, cherchant un peu d’air loin de cette cabine d’essayage afin de reprendre mes esprits. Je ne pouvais pas continuer ainsi. Lucile allait me rendre totalement fou. Il n’y avait pas que moi qui étais en danger dans cette histoire, mais aussi elle. Je n’imagine même pas les répercussions si je venais à craquer et à quasi violer ma petite fille, dans une boutique comme celle-ci qui plus est.

Imaginer toutes les conséquences et le caractère interdit de cet acte me ramena comme par électrochocs à la réalité.

Je pris alors une profonde inspiration et claquai d’un coup sec sur une des boîtes de chaussures posées sur un présentoir, comme pour me signifier que j’avais repris le dessus sur mes instincts primaires.

Je m’aventurai alors à la recherche d’une vendeuse et en interceptai une lorsqu’elle passa devant moi. Après lui avoir expliqué, elle me répondit que la boutique ne vendait que des tailles uniques pour la lingerie. Elle me donna néanmoins une paire de talons hauts vernis en noir pour aller avec la robe de ma Lucile. Je la remerciai et marchai d’un pas conquérant et déterminé vers la cabine d’essayage.

Je tirai le rideau doucement et vis ma fille légèrement penchée en avant, ramassant quelque chose dans sa main. Elle se tourna légèrement et j’aperçus le petit string vert qui allait avec sa robe.

Ne semblant toujours pas percevoir mon trouble, ma fille soupira.

— J’ai dû le retirer, il n’est vraiment pas agréable à porter celui-là. Je pense que j’en trouverai un autre pour l’assortir à la robe, sinon tant pis.

Je me fixai dans la glace pour ne pas la voir. J’avais le teint blême et maladif tout à coup, comme si des nausées m’avaient assailli subitement.

— Euh oui, parvins-je à articuler en déglutissant bruyamment. Tiens au fait, ajoutai-je en lui tendant la paire de talons. Ils n’ont que des tailles uniques par contre.

— Merci oui. C’est pas grave, elle est serrée, mais ça se porte sûrement comme ça.

Elle me saisit les chaussures des mains puis finalement me les tendit à nouveau en s’asseyant sur le petit banc.

— Tu veux bien me les mettre s’il te plaît ? Les talons sont tellement hauts que je me sens pas trop de les enfiler debout.

— Oui oui, comme tu veux, répondis-je bêtement.

Je me laissai encore piégé, bien que ne ce soit probablement pas volontaire de sa part, Lucile n’aurait pas fait mieux si elle avait voulu faire remonter les plus bas instincts animaux de son paternel.

Je tentai de garder mon calme et mon self-control malgré tout, concentré sur la tâche qu’elle me confiait.

Je saisis un de ses petits pieds à la peau incroyablement douce, et levai tendrement sa jambe pour enfiler et ajuster la chaussure à la forme de son pied. Elle reposa la jambe gauche doucement et son corps se cambra vers l’avant quand elle essaya de poser le pied à plat malgré les 12 centimètres de talon.

— Purée, ça a l’air vraiment haut quand même ! Je vais te dépasser avec ça daddy, s’amusa-t-elle en me fixant d’un regard que je perçus sensuel.

— T’inquiète pas, tu seras encore plus belle ma beauté, répondis-je cette fois d’une voix plus langoureuse que je ne l’aurai voulu.

— C’est gentil.

Elle me dit cela avec une petite voix, presque intimidée, et me tendit son autre jambe.

Je commençai à répéter la même opération avec son autre pied, mais au moment où elle leva un peu trop la jambe, sa robe remonta délicatement sur ses cuisses, s’arrêtant quasiment au niveau de son bassin. J’eus alors une vue dégagée sur son intimité qui se présentait devant moi. Je ne vis pas tout en détail, car la lumière était haute et le dessus de la robe maintenait tout de même une ombre sur sa petite chatte, mais je discernai tout de même la petite fente qui barrait à la verticale son sexe.

Une montée de sève monta dans ma queue instantanément et j’aurais pu éjaculer directement dans mon pantalon sans même me branler si Lucile n’avait pas réajusté sa robe aussitôt.

— Oups désolé, fit-elle rapidement en descendant sa robe sur le haut de ses cuisses. Tu peux m’aider à me lever ?

Je me redressai à moitié sur mes jambes et la saisit par les hanches pour l’aider à se hisser sur ses jambes. Je la fis s’élever tellement rapidement qu’elle bascula en avant, effleurant mon visage avec sa poitrine. Une gaule monstrueuse me tordait déjà le pantalon, mais rien de ce qu’elle faisait n’arrangeait la situation.

Lucile se tourna vers la glace et s’observa de toute part en prenant différentes poses.

— Ah oui ! C’est vraiment beaucoup mieux avec en fait. Ça fait vraiment ressortir les formes, conclut-elle en se mettant de profil et penchant légèrement la poitrine pour faire ressortir son petit cul bombé.

— J’adore l’effet que ça donne, reprit-elle. Tu me prends en photo cette fois ?

Elle ne me laissa rien répondre et me jeta presque le téléphone dans les mains.

— Tu veux que je te prenne comment ? (ma question me troubla tout seul, et je chassai d’emblée toutes les visions bien salaces qu’un père ne devrait jamais avoir pour sa fille).

— Comme tu veux (elle en rajoutait bordel !), tant qu’on voit bien la robe, ça me va. Prends en plusieurs au fur et à mesure que je tourne sur moi-même.

Je mitraillai donc son corps de déesse parfaitement emprisonné dans cette lingerie de tous les dangers, qui pourtant n’était pas la plus osée des 4 tenues qu’elle allait essayer aujourd’hui.

Après avoir pris une vingtaine de photos, elle me reprit le portable des mains et consulta mon travail avec joie.

— Ah oui, tu en as pris des tonnes ! dit-elle en exultant. Tu es parfait dis donc mon Papa.

Elle posa le téléphone et reprit à mon intention en me prenant les mains.

— Encore merci. Vraiment, j’étais très gênée au début de devoir te demander de m’accompagner, sans doute par peur d’un refus, mais je suis en confiance maintenant, et je suis tellement heureuse que tu m’aides à me sentir belle pour ma vie de femme. Tu es vraiment un père en or.

Elle avait fini sa phrase avec des larmes dans les yeux, sûrement émue de me voir les yeux brillants d’émotion. Elle me fixa d’un regard intense, à la même hauteur que moi, perchée sur ses talons hauts, s’avança et me serra fort dans ses bras, comme une fille pouvait remercier son père d’un cadeau, mis à part qu’une matraque de chair se collait contre son entrejambe.

J’étais dans un trouble monumental, luttant pour ne pas donner de coup de reins en voyant le reflet dans la glace du petit cul penché et des jambes longilignes et bandantes à souhait de ma fille.

— Bon, allez Daddy, reprit Lucile en interrompant ce câlin. Je vais peut-être essayer la troisième tenue, histoire qu’on s’éternise pas non plus toute la soirée ici, rigola-t-elle.

— OK ma belle, je sors alors.

Je lui lançai un grand sourire, et ne pus m’empêcher d’ajouter :

— tu es vraiment délicieuse ma chérie.

Je sortis de la cabine et retournai m’asseoir sur le fauteuil en face. J’avais osé, pensais-je en me frottant les tempes. J’avais appelé ma fille « ma chérie », comme le petit nom que je donnais à ma femme auparavant, et j’avais qualifié sa personne de délicieuse.

Que me réservait encore cette soirée…

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