C’est une histoire folle.
Il y a dix ans, nous avions invité dans notre chalet en Suisse, un ami de mon époux, Serge, devenu prêtre.
Je me souvenais de lui comme un bel homme, avec beaucoup de succès.
J’avais 30 ans, mon mari 38 et Serge, 37 ans.
On était bien ensemble, nous avions beaucoup de discussions et nous nous dévoilions sans complexe.
Je trouvais que c’était du gâchis, ce bel homme devenu serviteur de Dieu.
Pour une raison professionnelle, mon mari avait du regagner pour deux jours son entreprise.
Ayant skié toute la journée, nous étions heureux d’avoir regagné le confort du chalet, où après une douche bien chaude, je préparais une raclette maison.
Nous avions mangé comme jamais et surtout bien bu.
Nous parlions de nos expériences mutuelles et de nos regrets profonds.
Je lui avais avoué un amour de jeunesse que je n’avais pu mener à son terme, cet amour étant marié et doté d’une famille nombreuse.
Lui de son côté fantasmait sur l’idée de connaître une fois la sensation d’une relation sexuelle.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, le trouvant touchant, bel homme, de lui proposer mes services pour un soir, je lui ferais découvrir l’amour charnel.
Ce qu’il refusa, étant l’épouse de son ami d’enfance.
De mon côté, j’étais déçue, imaginant peut être que je n’étais pas à son goût.
C’est tout gentiment que nous regardâmes un film lui, dans un fauteuil, moi sur le divan, couchée.
Fatiguée de la journée, recroquevillée dans le divan, je m’endormis et me retournant une fois dans un sens, une fois dans l’autre, je ne me rendis pas compte que mon peignoir remonté dévoilait mes charmes plus qu’il ne fallait.
Me réveillant, je surpris son regard sur mes trésors.
J’en profitai.
Je lui dis, c’est ton rêve, il n’y aura pas de lendemain, cela restera notre secret, j’ai envie de te faire vivre ton fantasme.
Je me suis levée, je suis venue à ses pieds, le regardant dans les yeux.
Je lui ai dit, j’ai envie ce soir de toi, mes mains sur ses cuisses, remontant doucement, gagnant lentement son entre-jambe.
Il se laissait faire, je palpais sa virilité déjà très aux abois, je me hissais sur son torse, je me frottais à lui, déboutonnais sa chemise et couvrais son torse de pleins de petits bisous.
Puis à sa hauteur, je l’ai embrassé sur la bouche, doucement, puis avec force.
On se taisait, chacun savourant chaque moment de cette progression vers l’acte interdit.
J’étais maintenant couchée sur lui, mes fesses écrasant sa virilité, ma tête dans son cou, lui faisant des suçons, ses mains sur ma poitrine, découvrant au travers de la robe de nuit satinée les pointes de mes seins tendues par le jeu de ses doigts.
J’étais bien, j’étais sa chose, j’allais être la première femme que cet homme mature allait déshabiller,découvrir, allait honorer de sa mâle vigueur.
Je mouillais abondamment.
Je me mis debout, et me débarrassant de mon peignoir, faisant voler ma robe de nuit, je m’exposais vêtue seulement de mon slip blanc soyeux.
Je le fis mettre debout, et à mon tour, je le déshabillais à mon aise, ouverture de la braguette, insinuation d’une main indiscrète sur sa verge tendue, que je frotte lentement, pour en éprouver le dureté.
Je sens qu’il aime, nous sommes bien.
Puis c’est couchés sur le tapis que nous nous découvrons, on a le temps, toute la nuit, je veux que pour lui ce soit exceptionnel, qu’il sente en me possédant un plaisir unique.
Lui sur le dos, ma bouche et mes doigts jouent avec sa tige.
Des dents je descends le slip, et le diable apparaît, une magnifique verge, plus longue, plus large que celle de mon époux, un morceau de choix.
Lui me tripote les seins, il les stimule, les palpe, les suce, je mouille.
Il descend, il m’écarte les cuisses, il me sent, son nez sur mon intimité.
Il me dit que je sens bon, son nez frotte mon fond de culotte, j’attends, je le laisse découvrir mon intimité, la première intimité de femme de sa vie.
J’enlève ma culotte, je lui dévoile tout, j lui dit que c’est à lui pour un soir, qu’il peut boire mon jus, examiner tout.
Il est aux anges, je le sens fébrile, inexpérimenté, je lui explique, le clitoris, qui chez moi est très proéminent quand il est excité, les grandes et petites lèvres aussi bien développées chez moi, mon jus de femme qui prouve que je suis excitée comme une folle.
Tenant sa verge dure en main, je l’invite à me pénétrer, je le mène à l’entrée de mon sexe et lui demande pousser, il entre, il trouve l’endroit humide, chaud,très accueillant, une sensation jamais ressentie, il est au fond, je lui demande de se mettre en mouvement et s’il sent que ça vient de se retenir pour que ça dure longtemps, une femme aimant être limée intensément pour jouir.
Il s’arrête, il a retenu la leçon, puis il reprend, je sens qu’il est gros, il me remplit bien, il va bien à fond, je vais jouir.
Je lui dis qu’il me rend folle, que je ne vais plus tenir longtemps, qu’il me lime à fond, j’éclate, je jouis, je le snes se vider en moi, il me donne son jus d’homme profondément en moi, je jouis cérébralement.
Que ce fut bon.