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31 ANS DE DIFERENCE. – Chapitre 1

31 ANS DE DIFERENCE. - Chapitre 1



31 ANS DE DIFFÉRENCE.

j’avais alors 42 ans et je faisais des menus travaux chez mes beaux-parents qui habitaient pas très loin de chez moi, cela consistait à faire de la tapisserie dans une chambre. Pour faire cela ma belle-re que j’appellerai Roza avait décidé de m’aider, étant donné que mon beau-père passait son temps au bistrot, on se retrouvait seuls les après-midi. C’était une femme de 73 ans pas très belle de visage mais avec un très joli corps et des seins extraordinaires, 95c un peu lourds à cause des 5 accouchements qu’elle a eus. Ce jour là il faisait très chaud et elle n’avait mis sur elle qu’un tablier fermé devant par des boutons et descendant aux genoux. Elle encollait les lais et me les emmenait pour être posés, cela dura un certain temps quand je m’aperçus qu’elle transpirait et que son tablier collait dévoilant allègrement ses formes, aussi bien ses seins que son sexe que je devinais à travers une culotte blanche. Je me mis à avoir une érection qui était difficile à cacher, et là dans une semi inconscience je me mis derrière elle pendant qu’elle encollait et je lui plaquais les deux mains sur les seins. Sa réaction ne se fit pas attendre et elle fit tout pour se débarrasser de moi, qui restais collé derrière elle, il faut dire qu’elle mesure 1.70 et moi 1.85, sentant que ses efforts n’aboutiraient pas elle se mit à me faire des menaces, en disant qu’elle allait tout raconter à ses fils, ainsi qu’à sa fille et que mon temps dans la famille était révolu, mais je ne pouvais me détacher de cette femme, que ses mouvements du bassin pour se débarrasser de moi me faisaient encore plus bander. Je la poussais alors face au mur, et toujours derrière elle je me mis à lui caresser ses seins outrageusement, la tenant ainsi plaquée avec un genou contre ses fesses. Après ça je ne pouvais plus revenir en arrière, et je me mis à dégrafer son tablier en commençant par le bas et je collais directement une main sur son sexe, et là elle ne se défendit plus, et j’en profitais pour insérer deux doigts dans sa grotte brûlante, les faisant aller et venir et en les tournant chaque fois que je les rentrais. Cette femme qui paraissait très froide de caractère se mit à onduler du bassin, et à pousser des soupirs de plaisirs qui me firent penser que je pouvais aller plus loin dans mes caresses. Je la fis tourner en face de moi, lui quittait alors son tablier défis son soutien-gorge, et d’une main je lui pinçais ses bouts qui étaient très gros, et de l’autre je lui caressais son petit bouton la faisant toujours gémir. Je l’ai emmenée au milieu de la pièce et la fis se courber sur la table à tapisser et d’un seul coup je la pénétrais. Et cette femme autoritaire, froide même envers son entourage devint une vraie furie bougeant dans tout les sens se caressant les seins, plaquée sur la table et disant des mots que je n’aurais jamais crus entendre d’elle, se traitant de salope de vieille truie. Elle se mit à jouir très fort et s’écroula sur la table, moi je continuais à la baiser et la suivis dans son plaisir en déchargeant violemment dans son sexe, ce qui lui procura encore un orgasme. On resta un moment dans cette situation, et je ressortis d’elle toujours en bandant ce qui fit un bruit de succion et ressortir un filet de sperme. Il faut dire que je suis pas mal monté, vingt deux par 6, et que je lui emplissais complètement son sexe. Je laidais à se redresser et lui dis d’un ton ferme de ne rien dire aux autres qu’elle était aussi coupable que moi et que maintenant elle était ma chose, qu’elle devait être prête quand je le voudrais et comme je la désirerais, dans les endroits, et les vêtements que je lui imposerais. Elle ne dit rien et alla dans la douche, moi je continuais les tapisseries en pensant à la prochaine fois.

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