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Un amour de grand'mère – Chapitre 3

Un amour de grand'mère - Chapitre 3



Un amour de grand’mère ! (3)

L’après-midi se traînait en longueur. Le moindre geste était une torture. Aurélien, avachi dans un fauteuil sous les pales du ventilateur qui brassaient l’air chaud, papotait avec Monique, sa grand-mère, étendue sur le canapé.

— Dis donc Mamie, comment as-tu rencontré Papy Bernard?

— En voilà une question ! Pourquoi ?

— Pour savoir, allez ! , raconte-moi s’il te plait !

— Tu sais c’est loin tout ça, j’avais seize ans ! Alors tu vois !

— Raconte, ça m’intéresse !

Ben voilà : mon frère Paul qui avait quatre ans de plus que moi était aux beaux-arts où il étudiait pour devenir architecte. Bernard était son meilleur copain. C’est là que j’ai fais la connaissance de celui qui allait devenir ton grand-père. Il était sacrément beau mais il m’intimidait. Il avait 22 ans. Pour lui j’étais encore une gamine.

C’est au cours d’une boom que mon frère avait organisé que tout a commencé. Nos parents étaient absents pour la semaine et il en avait profité. Il y avait leurs copains et copines des beaux-arts. Ma copine Jacqueline et moi étions les plus jeunes de la bande. Nous étions un peu pompettes toutes les deux, nous avions pas mal bu !

Mon frère m’avait fait danser. Il me pelotait et j’étais collée à lui. Il faut que je t’avoue que nous avions déjà fait l’amour ensemble. En fait c’est lui qui m’avait dépucelée, deux ans auparavant ! Pour être honnête c’est moi qui l’avais aguiché !

A cette époque, il n’y avait pas la pilule, alors on faisait ça pendant mes règles au début. Puis un jour je lui ai demandé de me prendre dans le cul. C’était Jacqueline qui m’avait donné l’idée ! Au début j’avais mal, ça me brûlait quand il s’enfonçait en moi, et puis j’ai fini par m’y faire et à y prendre goût ! Enfin bref, je faisais l’amour avec mon frère et ça ne me gênait pas ! Ça me faisait du bien et j’aimais ça  !

— Vous avez continué par la suite ?

Oui et même encore aujourd’hui ça nous arrive ! Ce qui nous plait, c’est le caractère incestueux de cette relation, nous en avons besoin !

Bon je reviens à cette boom ! Je dansais donc avec Paul et il me pelotait les fesses sans vergogne. Il faut dire que les autres couples ne se gênaient pas ! C’est alors que Bernard lui a demandé s’il pouvait danser avec moi. Il m’a prit dans ses bras et m’a tout de suite serrée contre lui. C’était une série de slows et je me laissais entraîner. Quand il m’a embrassé sur la bouche et forcé mes lèvres, je le lui ai donné ma langue sans résister. Je sentais bien qu’il était dur, son ventre collé au mien. . Il me tripotait partout et je tenais à peine sur mes jambes  ! Nous venions juste de terminer la série qu’il m’a entraînée à l’écart. Sur le canapé. Il y avait un couple qui ne s’embêtait pas.. La fille était troussée, la tête de son cavalier s’activant entre ses jambes.

Je ne sais pas si c’est l’alcool ou bien de ne pas vouloir passer pour une cruche, mais lorsqu’il m’a renversée et a ôté ma culotte j’étais déjà toute mouillée !

Et là ce fut l’extase ! Jamais je n’avais été léchée et branlée comme ça ! Sa langue semblait infatigable. J’avais le clitoris en feu ! J’ai eu un premier orgasme si fort que j’ai crié, puis un deuxième presque en suivant. Paul et Jacqueline s’étaient approchés et lorsqu’il m’a vue, jambes écartées, la tête de Bernard enfouie dans ma chatte, mon frère a éclaté de rires.

— Alors, on fait des infidélités à sa petite sour ! Ce n’est pas très gentil !

— Ne me dis pas que tu couches avec ta sour !

— Et si, Bernard je baise régulièrement ma sour depuis des années et elle aime ça, crois-moi !

Bernard ne savait que dire ; le frère et la sour c’était pas banal !

— Tu me la prêtes quand même pour ce soir ?

— Si elle est d’accord, je n’y vois pas d’inconvénient, mais sois prudent. Si tu la sautes, retire-toi assez tôt, je ne voudrais pas être tonton trop vite !

J’étais vexée qu’il me traitât comme une marchandise. Mais l’envie de me faire mettre était si forte que je ravalais mon dépit. Et Bernard m’a fait l’amour sur le tapis devant les autres. Mais tout le monde s’en fichait apparemment.

Il m’a labouré le ventre tant et tant que j’ai joui plusieurs fois avant qu’il ne se retire pour se vider sur mon ventre et mes seins. J’en avais partout !

Rêveuse, Monique s’était tu.

— Et après que s’est-il passé ? Vous vous êtes mariés quand ?

— Sept ans plus tard, lorsque j’ai eu terminé mes études. Mais attends, je n’ai pas fini de te raconter cette fameuse soirée !

Je t’ai dit qu’il y avait Jacqueline, ma meilleure copine. Elle était encore plus dévergondée que moi ! Elle m’avait avoué qu’elle couchait avec son beau-père, le deuxième mari de sa mère ! C’est pour te dire ! Mais sa mère était consentante et participait. La mère et la fille se gouinaient pendant que le père les enfilait à tour de rôle !

Bref, plus tard dans la soirée, j’étais toujours avec Bernard. Je l’aidais à récupérer quelque vigueur en le suçant quand mon frère et Jacqueline se sont joints à nous. Il faut dire que les autres faisaient plus que flirter et l’atmosphère était plutôt chaude ! Paul a embroché Jacqueline par derrière pendant qu’elle me léchait et que je suçais Bernard ! Tu imagines le tableau ! Il n’y avait plus que le cul qui comptait !

Puis, je me suis empalée sur Bernard, Elle léchait ma chatte et les couilles de Bernard pendant que Paul lui défonçait le cul.

— Papy te baisait ou bien t’enculait ?

— Toujours par crainte de tomber enceinte, il me sodomisait !

A un moment Ils ont voulu changer et c’est Jacqueline qui était emmanchée sur Bernard. Mon frère m’a un peu limée puis il a voulu prendre Jacqueline en même temps que Bernard. J’avais leurs bites sous les yeux quand ils lui ont défoncé l’anus ! Elle gueulait tant ils lui distendaient le fion ! Fascinée par cette double pénétration, je tripotais leurs couilles Paul de temps à autre, sortait sa queue gluante et me la faisait sucer. C’était réellement dégueulasse, ça poissait mais je léchais avec délectation la mouille qui venait des entrailles de ma copine !

Puis Bernard voulut que ce soit moi qui me fasse prendre en sandwich. Les salauds ne m’ont pas fait de cadeau, ils m’ont littéralement cassé le cul. Ça me brûlait si fort que les larmes me montaient aux yeux. Je serrais les dents puis peu à peu la douleur s’est estompée. Ils m’ont tringlée et limée encore et encore. Leurs bites coulissaient dans mon cul détrempé. Jacqueline, je ne sais comment, avait réussi à me lécher la chatte. Elle la fourrait avec ses doigts cette salope ! Je sentais plus mon ventre ni mon cul !

Ils ont éjaculé quasiment ensemble. Je croyais perdre connaissance tellement c’était bon tout ce sperme dans mon rectum. Un vrai lavement ! Quand ils se sont retirés, Jacqueline leur a épongé la bite avec sa langue puis elle a avalé tout ce qui s’écoulait de mon cul, le sperme mélangé à mes secrétions. Pas dégoûtée, la Jacqueline  !

Paul et Bernard nous ont ensuite fait allonger tête-bêche sur le tapis. Ils voulaient que nous fassions encore l’amour devant tout le monde ! Les autres regardaient ces deux gamines qui se branlaient mutuellement. Ce n’est qu’au petit matin que brisés de fatigue, nous nous sommes tous endormis !

Voilà, ma première fois avec Bernard, ton grand-père !

— T’as toujours aimé le sexe, si je comprends bien !

— Tu peux le dire et je n’en ai pas honte. Toute notre vie avec ton grand-père nous avons tout expérimenté. Aucun tabou entre nous ! Mais attends la suite !

Après cette soirée mémorable, je voyais Bernard presque tous les jours. Nous habitions à Toulouse à cette époque, lui dans une chambre d’étudiant située dans une petite rue près du Capitole et nous un grand appartement sur les boulevards.

J’étais en première au Lycée de filles ! Il n’y avait pas la mixité comme aujourd’hui ! .Le soir je m’arrêtais chez lui avant de rentrer à la maison. Nous faisions l’amour, et le cul rempli je rentrais ! J’aimais garder sa semence en moi, ça me collait un peu aux fesses, mais une fois dans ma chambre je me touchais encore en pensant à lui tout en suçant mes doigts ! J’étais réellement amoureuse et heureuse. C’était devenu une drogue !

Je poursuivais mes études alors qu’il avait obtenu son diplôme d’architecte. Nous voulions nous marier mais mes parents s’y sont opposés. Ils voulaient que je termine mes études.. Ils craignaient que je ne fusse enceinte et que cela perturbât mon cursus Il nous fallut donc attendre encore trois ans ! Un vrai calvaire ! Mais nous avons été persévérants et nous nous sommes enfin mariés ! Voilà ! Tu sais tout !

— Tu l’as beaucoup aimé ?

— Oui, et lui aussi m’a aimée jusqu’à sa fin tragique ! Tu ne peux pas savoir comme il me manque. Nous étions complices pour tout !

— Et après votre mariage, que s’est-il passé ?

— Il y a eu la naissance de ta mère, sinon une vie ordinaire ; lui a monté son cabinet d’architecte et moi j’ai enseigné.

— Non, je voulais parler sur le plan sexuel, qu’avez-vous fait ?

— Tu ne penses qu’à ça, petit cochon !

— Raconte Mamie, dis-moi tout !

Bon puisque tu insistes, je vais te raconter comment de ton grand-père m’a fait partager ses fantasmes ! Nous étions mariés depuis six mois environ. Il était fou des dessous féminins. C’était la mode, à l’époque ! Les femmes portaient des bas et des porte-jarretelles. Il n’y avait pas de collants. Il passait une partie de ses économies à m’acheter la lingerie la plus affriolante qui soit. Un jour qu’il était allé à Paris, il avait dégoté dans une boutique spécialisée un soutien-gorge seins-nus, une culotte fendue et des bas résilles ! Il avait fallu que je me harnache toute affaire cessante. J’étais donc vêtue ou plutôt déshabillée comme il le désirait. Le soutien-gorge mettait en valeur mes seins et par la fente de la culotte on pouvait voir ma chatte. J’ai enfilé par-dessus mon imper et nous sommes allés au cinéma. C’était l’après-midi et pendant la séance, il a entre-ouvert l’imper et a commencé à me masturber. Nous étions au dernier rang et il n’y avait pas grand monde. De mon côté je le branlais.

C’est alors qu’un type est venu s’asseoir à côté de nous. Il devait observer notre manège depuis un moment, le fait est qu’il a posé sa main sur ma cuisse. J’allai le gifler quand Bernard a retenu ma main et m’a fait ouvrir davantage les jambes. Le type alors n’a plus hésité et j’ai senti leurs doigts qui me fouillaient la chatte. Tu ne me croiras pas mais je n’avais pas honte et ça me plaisait d’exciter cet inconnu.

Bernard m’a alors demandé à l’oreille si je n’aimerais pas faire l’amour à trois.

J’étais un peu déconcertée par sa proposition mais je voyais que ça lui faisait envie.

Mais avec un inconnu ! Le tout est que nous nous sommes retrouvés dans notre petit appartement au bord du canal. Nous sommes allés directement dans la chambre.

Le type, j’ai su plus tard qu’il s’appelait Florent, était beaucoup plus âgé que nous. Il devait avoir la cinquantaine. Nous étions à peine entrés que Bernard a commencé à diriger les opérations. D’une voix dure et autoritaire. Il m’intima l’ordre d’ôter mon imper et de les déshabiller.

Plus nue que nue, je commençais à leur délacer les chaussures et à dégrafer leurs pantalons. J’avais bientôt deux bites sous le nez. Le vieux était monté comme un âne ! J’en n’avais jamais vu d’autres que celles de Bernard et de mon frère. Rien de comparable ! La sienne était vraiment énorme. Ils triquaient comme des chiens. Je surmontais une première réaction de dégoût à l’odeur d’urine et je les suçais à tour de rôle tout en les branlant. J’avais réussi à prendre les deux glands dans ma bouche distendue.

— C’est bien, tu es une bonne suceuse, maintenant on va te prendre. Tu commences avec notre invité ! Allez ! à quatre pattes !

— Doucement s’il vous plait, votre bite est si grosse !

— Allez -y ! ne vous gênez pas elle adore se faire bourrer ! Je vais regarder !

Le type s’enfonça dans ma chatte et penché sur mon dos il me triturait les seins qui pendaient. Il pinçait les bouts pour les faire bander. Sa bite me secouait le ventre. Je le voyais dans la glace de l’armoire. Bernard au début m’embrassait tandis que le type me labourait. A l(oreille, il me disait des cochonneries – « hein tu aimes te faire mettre salope ! », -« regarde comme il te défonce jusqu’aux couilles ! » -« allez ! gueule, je veux t’entendre ! » – « Dis-lui que tu veux qu’il t’encule, que tu veux sa trique dans tes boyaux ! »

J’étais trempée, je coulais de partout, excitée, autant d’entendre ton grand-père que par les coups de queue du type !

Et là je ne te dis pas ma surprise lorsque j’ai vu ton grand-père se placer derrière le mec pour lui lécher le cul et les couilles. J’étais empalée par un inconnu que mon mari tripotait comme il l’eût fait d’une femme ! Quand il l’a enculé, le type a grogné de plaisir et s’est encore plus déchaîné dans mon vagin ! C’était comme si Bernard me baisait par procuration ! Le spectacle dans la glace était gratiné ! Ils ont éjaculé et se sont écroulés sur moi. J’ai cru que je ne pourrais pas me dégager ! J’ai nettoyé avec la langue la bite de Bernard. Elle sentait fort, enfin l’odeur de cul. C’est Bernard qui lécha consciencieusement le type.

— Votre femme est parfaite ! Un vrai bonheur !

— C’est vrai ! Elle comble tous mes désirs, Je l’adore !

— Je crois qu’elle est prête pour passer à des choses plus sérieuses !

— Nous en reparlerons !

Ce n’est qu’en entendant leur conversation que j’ai compris qu’ils étaient de mèche et que c’était un coup monté ! J’étais vexée et sur le moment déçue. Bernard m’avait utilisée comme un morceau de viande ! Quelque temps plus tard j’ai appris que le type était un ancien professeur de Bernard, qu’il était homosexuel et qu’il organisait des partouzes dans une splendide propriété à l’extérieur de Toulouse.

— Mais Mamie, si je comprends bien, Papy, lui aussi, il était pédé ! Il avait enculé son prof !

— Bisexuel est plus juste.

— Ah, ça je ne l’aurais pas cru !

— Je te raconterai une autre fois comment je me suis « vengée» si l’on peut dire ! Quelle heure est-il ?

— Six heures.

— Va dire à Martine que nous allons à la plage et que nous dînerons sur la terrasse à huit heures.

— Oui un bon bain nous fera du bien. Tu m’as excité tout l’après-midi avec tes souvenirs ! Commence à descendre à la plage, je te rejoins !

— Dis donc, petit vicieux, qui a insisté pour que je raconte mes souvenirs ?

Aurélien alla à la cuisine pour donner les ordres à Martine.. La veille, avec sa grand-mère, ils l’avaient fait participer à leurs ébats Il s’approcha silencieusement par derrière elle et lui souleva la robe, écarta ses fesses et introduisit un doigt dans son anus. Elle tortilla du cul en riant et se pencha en avant pour lui faciliter le passage.

— Aurélien, arrête, tu vois bien que je travaille !

— On va se baigner avec Mamie ! On mangera à huit heures et n’oublie pas que je t’attends cette nuit ! Prépare-toi à l’idée !

— Aurélien, tu es un petit monstre ! Allez ! fiche-moi le camp, et vite !

— Tiens, suce mon doigt !

Chris. A suivre .

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