Je suis bien décidé de laver l’affront que m’a fait subir cette salope de Charlotte et sa pute allemande, mais je n’en laisse rien paraître. Le repas est un peu carbonisé vu le retard dû aux outrages que m’ont infligés les deux salopes. Nous mangeons toutes trois nues sur la terrasse et j’observe la poitrine fièrement bombée de la germaine. C’est au moins du 95.
Cette chienne ne perd rien pour attendre. Je leur sers un délicieux cocktail fortement additionnée de vodka en guise de dessert. Cet alcool est traître car d’un goût très neutre, ce qui fait qu’on le sent mais sans pouvoir en apprécier la quantité. La forte rasade fait son effet, les deux gouines commencent à pouffer pour un rien.
Ma nièce drague outrageusement la pouffiasse blonde. Elle se rapproche d’elle et les commence à échanger des baisers langoureux. Je les laisse faire un instant puis leur fait une proposition: Quoi de mieux qu’ une séance d’hypnose pour se décontracter? Charlotte traduit en anglais et la germaine accepte. Ma nièce suit également.
Je maîtrise très bien cette technique que j’ai apprise d’une maie qui travaillait dans un bloc opératoire. On y utilise l’hypnose pour traiter des cas légers, ce qui évite d’avoir recours à une anesthésie lourde. Je la pratique parfois sur ma nièce quand elle est énervée par son travail ou autre chose.
Je commence par elle. Charlotte sombre immédiatement sous le regard incrédule de la pute germanique. Je la laisse allongée sur un transat et passe à ma deuxième victime. C’est un peu plus difficile car je la sens réticente. Je lui donne mon portable et choisis une musique relaxante dans ma playlist. La teutonne passe les écouteurs.
Je la regarde fixement, pose ma main sur son front. Elle ferme les yeux et lâche prise. J’ai tout loisir d’observer les deux corps dénudés à mes pieds. Leur respiration est parfaitement calme.
Je retourne dans la maison me munir de certains accessoires. Je prends ensuite l’allemande par le poignet et la tire doucement vers moi. Elle suit le mouvement sans aucune résistance. Je la guide vers la clôture qui nous sépare du voisin et l’attache, pieds en mains en croix, contre le grillage. Je la bâillonne et vais chercher Charlotte que j’installe dans la même position à côté d’elle.
Je réveille les deux filles et constate leur surprise. Ma nièce roule des yeux écarquillées tandis que la salope platinée essaye d’engager avec moi un dialogue impossible. D’abord je ne parle pas allemand et puis je ne vois comment elle pourrait articuler quelque chose vu que je lui ai enfoncé un gant de toilette dans la bouche.
Je me verse un petit verre de Baileys et les laisse mariner.
Il me reste de la cordelette. Je saisis le sein gauche de ma captive tudesque. C’est bien ferme. Je lui tords le mamelon tandis qu’elle grogne dans son patois germanique. J’enroule plusieurs fois la mince corde à la base de la poitrine en prenant grand soin de bien serrer. Le nichon devient rapidement couleur pourpre, près du violet.
Je la regarde droit dans les yeux et lui balance une claque sur la joue. La fille gémit en agitant la tête de droite à gauche. Je reprends le bout de mon fil et enserre à l’identique le camarade jumeau de ma partenaire de jeu. Même punition, même couleur.
Ma nièce a une poitrine beaucoup plus modeste. Au bout de sept à huit tours de ficelle, seuls les tétons émergent du ligotage en règle. L’afflux de sang lié au garrot leur donne une belle couleur marron foncé. Charlotte a les yeux embués de larme. "Qui aime bien, châtie bien". Je vais lui donner l’occasion de vérifier l’adage.
Mais en attendant revenons aux tétons de notre chère teutonne, si fière de ses attributs féminins. Je dois sérieusement m’assurer de leur texture. Mes deux mains posées sur le haut de sa poitrine, j’enfonce mes ongles dans sa chair et lui laboure le buste. Elle gigote dans tous les sens mais les liens sont bien solides. Des traces de griffures se font jour sur la peau tendre.
J’insiste quelque peu en souvenir du viol manuel qu’elle a imposé à mon intimité.
Je remarque tout à coup que la scène manque un peu de lumière. J’opte pour le bougeoir à sept branches qu’un ami juif m’a donné. Une fois le candélabre allumé, cela va beaucoup mieux. Les flammes dessinent de jolis reflets colorés sur les corps bronzés des deux salopes.
Je saisis une chandelle et la présente à la teutonne. Regard effaré, les pupilles partent chercher un improbable secours. Mais il n’y a que moi. Je promène la flammèche sous le téton de la fille, pas suffisamment longtemps pour le brûler mais assez pour le faire durcir.
Je mords délibérément la pointe turgescente. La blonde part dans un rodéo impossible.
Ma nièce attend patiemment son tour. Je me contente pour l’instant de lui vriller conjointement les tétins. J’ai, l’espace d’un instant, l’impression qu’elle va tourner de l’il tellement la douleur est vive.
A la manière d’une première communiante, je reprends mon cierge. Ingrid ferme les paupières quand la cire brûlante se répand sur sa poitrine puis son ventre. Elle se trémousse dans tous les sens, ce qui ne la protège pas vraiment.
La flamme vient maintenant lécher le triangle de poils pubiens. La salope gémit et se tortille de plus belle. Ça sent le roussi. J’ y vais là aussi par petites touches. Je pose ma main sur les poils pour les éteindre quand ils commencent à prendre feu. Ça y est j’ai fini de la débarrasser de cette toison encombrante. À l’aide du tuyau d’arrosage du jardin j’arrose copieusement sa chatte.
Et le reste, et Charlotte à l’occasion.C’est un exercice très vivifiant, je suis sûre que la nordique doit apprécier. Il fait un peu frais en septembre et une légère chair de poule prend naissance sur leur épiderme.
Voyons voir. Il me semble me souvenir que j’ai acheté récemment un magnifique manche de pioche chez Monsieur Bricolage, pour remplacer l’ancien. Je n’ai pas eu le temps de le changer mais il doit se trouver dans l’abri de jardin.
Pour faire bonne mesure je prends le nouveau manche en question mais aussi l’ancien, toujours en service sur la pioche. J’ai décidé d’être clémente avec Charlotte, après tout c’est ma nièce et ma compagne. Elle hérite donc de l’objet tout neuf, certainement un peu difficile à introduire. J’ai bien pensé à ma salive mais j’ai mieux en magasin.
Mon voisin m’a prêté de la graisse mécanique pour huiler une vieille perceuse qui d’ailleurs ne me sert plus. Par chance j’ai oublié de lui rendre le pot. C’est onctueux au delà du raisonnable, à côté une motte de beurre fraîche passerait pour du papier verre. Je ne prends pas de risque sur la quantité et j’étale à pleines poignées la graisse sur puis dans le sexe de ma coquine de nièce.
On essaye d’être sympa et l’on n’est jamais récompensée. Charlotte roule des mirettes d’un noir absolu, tant pis. Le manche est un peu plus long que le bassin de ma salope de nièce. Je l’introduis donc en biais. Les grandes lèvres souffrent un peu mais cèdent finalement. J’enfonce le machin d’une dizaine de centimètres. C’est impeccable! Encore un petit effort et voilà le manche d’aplomb.
Je laisse ma nièce empalée sur l’outil et retourne me préoccuper d’Ingrid qui attend sagement son tour. Je trouve que le temps fraîchit. Un léger vent du nord s’est levé. Si je n’était pas occupée à mes travaux manuels j’enfilerai bien une petite laine. Non que je sois frileuse mais je pense que la température a dû descendre vers les quinze degrés, pas plus.
Je vais chercher un seau que je remplis presque à ras bord. Mon congélateur regorge de glaçons dont je n’ai plus l’utilité puisque l’été est fini. A quoi bon les garder? Je finis de remplir mon seau à l’aide des cubes de glace. Le temps de fumer une cigarette, l’eau à la température d’un Mojito quand il est suffisamment frappé.
Qui veut être la première? Personne ne répond! Je vide mon premier seau sur Ingrid.
Je remplis à nouveau le récipient.
Comme j’ai un peu de temps devant moi je chatouille le bas ventre de ma germaine favorite avec un glaçon esseulé qui avait fini sa course dans l’herbe. Elle se met à trembler. Je ne sais pas si c’est le fait de la douche glacée ou de ma caresse. C’est sans importance.
Je verse les derniers dix litres d’eau bien froide sur la tête de Charlotte qui ferme les yeux sous ma générosité.
Je suis trop occupée.
Heureusement le manche toujours fiché entre les cuisses de ma nièce me rappelle à mes devoirs. J’allais oublier la teutonne. Avec la pioche au bout du levier c’est un peu lourd à manipuler, surtout la consistance du bois est fort rugueuse. C’est bien pour cela que je voulais remplacer ce manche d’ailleurs.
Il reste quelque pue de corps gras au fond du pot, donc je suis assez confiante. Comme l’allemande ne m’a pas fait de cadeau, je ne lui en fais pas non plus. Je la fiste sans plus tarder, manière de préparer le passage. il pour il, poing pour poing! Elle a beau agiter ses reins dans tous les sens, elle ne va pas s’en tirer.
Même procédure que pour Charlotte, je place le pieu légèrement en biais contre la vulve d’Ingrid. Zut, il est un peu plus long. Oh, pas beaucoup même pas une dizaine de centimètres. Je vais pouvoir vérifier la profondeur de mon interlocutrice. Procédons. La salope est revêche. Elle fait vraiment tout pour m’ennuyer en se débattant dans tous les sens.
Quelques claques bien ajustées sur ses cuisses et sa vulve la ramènent à plus de raison. Le bout du manche est assez abîmé ce qui ne m’aide pas non plus. Je décide de le graisser également. Centimètre par centimètre le vagin cède sous la pression du bois. J’observe de petites pauses pour permettre à Ingrid de se repositionner. Elle est sur la pointe des pieds, quelle drôle d’idée. Du coup elle tremble encore plus.
Son orifice vaginal est tendu à souhait. Elle grimace sans arrêt. j’en ai assez de cette lesbienne incapable d’accepter la moindre intromission. Un dernier effort et voilà le manche aussi vertical que celui que j’ai fourré dans ma nièce. La teutonne reste sur la pointe des pieds, ça la regarde.
J’ai terminé. Je mate tour à tour les deux filles frigorifiées, perchées si bizarrement sur leur branche. Comme je suis une bonne fille je libère un de leurs poignets et les laisse se débrouiller avec le reste des liens. Avec une bite en pin plantée dans la chatte c’est un peu complexe mais ça vous apprendra à pousser Mamie dans ses retranchements.
Je vais me coucher, les laissant à leurs errements. Je suis la première debout le lendemain. La clôture est déserte, c’est donc que les deux filles ont eu assez d’imagination pour se dépêtrer, par contre elles n’ont pas jugé utile de ranger les outils qui traînent toujours là.
Ah, la jeunesse! Toujours aussi nonchalante…