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Mes deux soeurs, femmes modernes – Chapitre 2

Mes deux soeurs, femmes modernes - Chapitre 2



Depuis ce fameux après-midi, je recevais des pipes par-ci, par-là, de temps à autre par mes surs. Il suffisait que nous fussions seuls et que lun de nous ait envie pour lancer lidée. Il arrivait même souvent de le faire avec une seule de mes surs tandis que lautre vaquait à dautres occupations. Jétais à chaque fois surpris comme cétait facile pour elles, comme cela ne signifiait rien, Kayla me la même dit un jour, alors que la culpabilité me rongeait : « On est en 2013, une pipe, cest rien ! Et puis si les deux, ou trois, sont satisfaits, je vois pas où est le problème. » Mes surs sont des femmes très modernes. Oui mais voilà, au fil du temps, moi, cela ne me suffisait plus. Javais leurs superbes corps sous les yeux, parfois entièrement nus mais je navais à chaque fois droit quà leurs bouches tendres, leurs langues chaudes et leurs lèvres pulpeuses. Vu comme ça, jai lair de me plaindre, mais il faut me comprendre : voir le corps dénudé de ma sur se déhancher devant moi, ses longs cheveux blonds tombant sur ses épaules ou voir les fesses bombées de Natalie rebondir à chacun de ses pas : ça me rendait fou !

Bizarrement, si elles navaient aucun problème à sucer leur propre frère, par effet de groupes et de morale sociale, elles me disaient toujours non quand il sagissait de passer à la pénétration, elles me disaient que cétait de linceste (selon elles la fellation ne létait donc pas), que ça ferait vraiment trop bizarre de coucher avec son frère, etc. Décidément, je ne comprends rien aux femmes.

Alors, un soir, jai décidé de mettre un plan en action : je savais que je nallais pas les convaincre quand elles étaient ensemble, le poids des murs était trop lourd ; il fallait que je séduise lune dentre elles dabord, à lécart. Natalie, si ce fut elle qui avait initié la chose, aurait été trop difficile à convaincre : cétait un bout de femme un peu trop timide et trop soucieuse de son image, il lui fallut dailleurs laide de sa sur pour passer à lacte. Javais déjà senti plusieurs fois quelle voulait, quelle hésitait à venir sur moi pendant lun de nos petits jeux, il y avait dans ses yeux quelque chose que Kayla navait pas, un désir plus enfoui ou quelque chose de la sorte. Ma cible était donc ma plus petite sur. Plus impulsive, plus à lécoute de ses envies, javais plus de chances avec elle.

Il me fallut attendre presque 2 mois pour trouver le bon moment où mes parents nétaient pas là mais aussi le moment où Natalie était occupée ailleurs (si je me rappelle bien, elle avait rendez-vous à son université). Jétais donc avec ma petite blonde de sur et évidemment, il fallut peu de temps pour que nous nous retrouvions dans sa chambre. Jétais assis sur son lit en jogging et en t-shirt, je ne métais quasiment plus que ça, cétait bien plus facile à enlever, on ne sait jamais quand on va recevoir une pipe de lune de ses surs entre deux couloirs, pendant que les parents regardent la télévision en bas. Elle était dans un petit top pourpre qui laissait voir son beau décolleté et une leggings grise. Elle mit sa tête sur le côté et fit valser ses cheveux et commença déjà à me sucer. Je décidai alors dentamer les manuvres :

« – Elle te plait, ma queue ? lui demandai-je. »

Elle me fit signe de la tête que oui, tout en continuant à me gober.

« – Jai limpression dêtre le seul à vraiment en jouir. Tu te masturbes quelquefois en pensant à ce que tu mas fait la veille ?

— Hum (elle avale sa salive et me répond tout en me branlant) souvent tu veux dire. On en jouit autant que toi et on en a envie autant que toi, cest juste que ça nous ferait bizarre de nous masturber devant toi.

— Pourquoi ça ? (elle passa sa langue sur mon gland)

— Je pense quon a peur quon en devienne accro et quon tombe dans quelque chose dont on ne peut sortir. Alors que là, on décide quand et où on te suce : on garde le dessus.

— Et ça te tente pas, parfois, de craquer, de dévier légèrement ? (elle sarrêta net et me sourit)

— Quest-ce que tu as en tête ? Où est-ce que tu essayes de mamener ? »

Je dois lavouer, mon plan nétait pas des plus subtils Je repris :

« – Hé bien, disons, que je peux te faire du bien oralement moi aussi. Et je continuai, ne lui laissant pas le temps de répliquer : ce serait comme une fellation inversée, tu ne perdrais pas le dessus. On est quà deux, tas pas envie que je moccupe un peu de toi ? Tu tallonges et tu profites. »

Elle ne résista pas longtemps non plus. Elle accepta et enleva son pantalon, laissant son haut et sinstalla dans son lit, elle qui était des plus extravertie dhabitude était devenue toute silencieuse. Elle avait les genoux pliés, les pieds posés à plat, elle ne savait pas où mettre ses mains et hésitait à mouvrir ses jambes. Une seule caresse eut leffet dun Sésame, ouvre-toi. Elle regardait le plafond, tiraillée entre son désir et sa culpabilité. Elle céda à son désir par un long gémissement lorsque ma bouche vint embrasser son bouton dor. Pour la première fois, je goûtais à lune de mes surs, javais le Saint Graal entre le bout des lèvres. Je me suis alors rappelé la première pipe quelles mavaient offerte, Kayla sétait alors dénudée devant moi et cétait seulement maintenant quelle soffrait à moi, mais jespérais que ce nétait que la première partie de notre après-midi. Je lai léchée, je lai sucée. Plus elle gémissait, plus je devenais excité et accélérer mes assauts : je lui bouffais la chatte, je raclais ma langue contre son clitoris, je le gobais et laspirais. Jadorais la voir froncer des sourcils et la voir soulever son bassin pour accroître leffet de ma bouche sur son sexe. Soudain, elle lâcha un râle, plissa son petit nez et sagrippa aux draps, je compris quelle jouissait. Son corps de femme était parcouru par lorgasme et se contractait par vagues de plaisir. Elle reprenait sa respiration quand je montai sur elle, me posant entre ses cuisses encore ouvertes. Mon sexe, qui était retourné dans mon pantalon depuis, mais toujours en érection, se mit à se frotter contre elle, au travers du tissu et tandis que je commençai à lembrasser dans son cou et sur son épaule, je lui dis au creux de loreille :

« – Jai trop envie de te baiser.

— On ne peut pas, me répondit-elle encore un peu haletante.

— Pourquoi pas ? On est quà deux, ce sera notre secret, personne ne le saura. Et je sais que ten as envie. »

Jappuyais avec mon sexe sur sa petite chatte tout en disant cela.

« – Ok lâcha-t-elle dans un soupir.

— Quoi ?

— On baise »

Je lui ai alors demandé si elle prenait la pilule ou si je devais mettre un préservatif, mais elle me dit quelle se protégeait de son côté, ce qui me ravit. Pour être franc, il est vrai que cela faisait super bizarre, javais le cur qui battait rapidement, pris par lexcitation et le doute. Mais dans ces moments-là, le corps est souvent plus fort que lesprit. Jai enlevé mon t-shirt et ai aidé ma sur à relever le sien juste assez pour pouvoir saisir facilement sa paire de seins. Je me suis remis sur elle et jai alors abaissé mon pantalon, dévoilant mon sexe qui bandait comme jamais et toujours en me frottant contre elle, je suis un peu descendu pour être à la parfaite hauteur. Cétait la première fois que mon sexe était en contact avec le sien, ses légers poils pubiens blonds contre ma touffe brune. Jai pris mon sexe dune main et je lai lentement enfoncé en elle. Nous lâchâmes un gémissement en même temps. Elle eut peur que jaille trop vite, trop loin, et posa donc sa main sur mon flanc, pour me guider alors que je commençai de lents mouvements, de plus en plus profonds. Cétait à mon tour de ne pas oser la regarder, de ne pas savoir ou mettre mes mains, jétais blotti contre son cou et fermais les yeux. Je pouvais enfin sentir le con serré de ma sur se contracter autour de mon sexe. Mes vas et viens étaient de plus en plus profond, nos pubis sentrechoquaient. Cela restait toutefois étrange et nous nosâmes faire du bruit et nous laisser gémir que lorsque nous fûmes au bord de lorgasme. Nos corps commençaient à transpirer, ma sur avait les joues légèrement rouges, je ne sais si cétait de timidité ou de chaleur. Sa main avait glissait de mon flanc à mes fesses, elle qui avait voulu me prévenir de ne pas aller trop loin, me solliciter maintenant à aller profondément en elle. Ses geignements se sont ensuite transformés en petits cris, plus aigus, lorsque mes mouvements du bassin se firent plus intenses. Plus elle criait, plus jétais excité, plus je lui ramonais son antre humide, plus elle criait.

« – Je vais jouir me dit-elle dun ton bas. »

Je nallais pas tarder à venir non plus, mais cette fois, jétais heureux de me pouvoir me déverser à lintérieur de ma sur. Je lui donnais de rapides coups de queue et une de mes mains est venue lui empoigner le sein gauche, lautre sétant enroulé autour de son épaule. Quant aux siennes, elles étaient venues saccrocher à mon dos, qui perlait de sueur ; ses jambes senroulèrent autour de mon bassin. Javais encore mon pantalon sur les chevilles. Je lui prodiguai un dernier assaut de coups de reins et nous jouîmes pratiquement en même temps.

Après avoir éjaculé en elle, après avoir bien senti son vagin se contracter, nous sommes restés là un moment, lun sur lautre, à reprendre nos respirations. Nous nosions pas nous relever, car nous ne voulions pas faire face à la réalité, au tabou que nous avions franchi. Je déglutis comme pour avaler ma honte et je me relevai. À ma grande surprise, Kayla eut un rire bruyant qui eut pour effet de détendre latmosphère :

« – Regarde-nous, on a lair bête maintenant ! (je lui souris)

— Tu regrettes ? lui demandai-je.

— Non et toi ?

— Non plus, cest juste que ça fait bizarre.

— Je te lavais dit !

— On sy habituera »

Jappréhendais sa réponse, ayant peur quelle refuse de le refaire, quelle ne meût donné quune seule chance. Elle prit quelques secondes avant de répondre :

« – On verra bien (elle me sourit, je compris que cétait un oui) en tout cas, Nat ne doit pas le savoir. Sinon elle pensera quon a été trop loin. Donc ça reste entre nous. »

Jacceptai ; au moins, je pouvais coucher avec lune des deux, cétait déjà ça.

Une seule position, le missionnaire qui plus est, peut sembler peu et banal, mais cétait pour moi un grand pas en avant. Dailleurs, Natalie ne tarda pas à rentrer ce jour-là, nous naurions pas pu faire grand-chose en plus. Celle-ci a même demandé à Kayla si elle mavait sucé aujourdhui parce quelle sentait une odeur de sexe dans leur chambre. Je me suis toujours demandé si elle sétait doutée de quelque chose ce jour-là. En tout cas, jétais content dêtre passé à lacte avec ma plus jeune sur, cela promettait de nombreux après-midi plus amusants les uns que les autres.

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