Après une période plus que difficile depuis mon dernier récit ("28 ans de patience avant expérience gay"), je suis de retour pour vous raconter (pour la partie sexe) ce précédent parcours (100% vrai). Après avoir perdu presque 20 kilos et avoir trois ans en plus, mon corps a légèrement changé (plus besoin de miroir pour voir mon pubis…)
En effet, mes couilles sont un peu plus pendantes (j’adore), ma queue aussi qui me semble un peu plus ample qu’avant. Je suis toujours aussi adepte de la masturbation et ça m’arrive de me faire jouir quatre à cinq fois dans la journée. Je m’insère mon plug anal pour finaliser la dernière éjaculation de la journée.
Je kiffe d’être à poils mais le seul endroit à part chez moi ou je peux être nu, est le sauna gay (je suis accroc) à quelques kilomètres de chez moi.
J’y retourne singulièrement et la routine est toujours à peu près pareille sauf samedi dernier). Quand je monte dans mon véhicule pour m’y rendre, je suis déjà excité et au fur et à mesure que je m’approche de ma destination, ma queue devient à l’étroit dans mon pantalon et mon caleçon s’humidifie de plus en plus. Je rentre dans le bâtiment, dis bonjour au "caissier" qui me reconnait.
Je prends la clé et la serviette et me rends aux vestiaires. Je prends mon temps pour me désaper car je veux voir la queue et le cul des autres mecs qui se déshabillent et avant qu’ils mettent la serviette autour de leur hanche.
C’est idiot mais je n’ai pas envie que les autres voient ma trace de mouille de mon caleçon alors je le retire avec mon pantalon. Il mest déjà arrivé qu’un filet de mouille sorte de mon pénis (redevenu flasque) en me dénudant provocant un léger sourire de mes voisins de vestiaire.
Je mets mes propres claquettes, m’essuie le gland brillant avec ma serviette qui restera la majeure partie du temps sur mon épaule. Je file sous la douche et avec la clarté ambiante, je mate comme un ouf, la bitte des mecs qui lavent leur cul et leur queue.
Certains sont déjà en érection ce qui me déclenche le début de la mienne. J’en profite alors pour me branler face à eux et du coup, ils font la même chose. Même si ma trique est au maxi, je m’arrête avant de tout lâcher. Je m’essuie un peu avant de quitter la douche puis la remets sur mon épaule (la serviette, bien sûr) et je me dirige vers le sauna puis y rentre. Je m’assois sur le banc, la quéquette à la vue de tous et parfois un résidu de mouille continue à sortir. Je me décalotte et essuie mon gland sur ma cuisse poilue. (Jadore faire ça voir même éjaculer sur ma cuisse. Des fois, je laisse mon sperme sur ma queue qui me sert de lubrifiant pour une nouvelle branlette immédiate). Les mecs me regardent et certains ouvrent leur serviette pour se toucher. Cinq a 10 minutes plus tard, je quitte le sauna pour me rendre au Hammam. Je rentre et reste dans la première partie.
Debout, nu et dans la vapeur, je me branle pour maintenir une bonne érection mais pas trop pour ne pas jouir trop tôt (même si j’ai de la réserve). Les mecs entrants (en érection en général) ne me voient pas et frôlent mon gland décalotté avec leur cuisse puis se rendent dans l’alcôve ou tout de passe. Une superbe bitte franchit la porte du hammam, bandée à fond, au moins 20 centimètres et courbée vers le haut (c’est ça que je regarde en premier et le cul en second). Son propriétaire a aussi un beau petit cul, un corps svelte fait la même taille que moi. Je me mets à bander de plus belle. Il se met à mes côtés et commence directement par me toucher la queue et remplace ma main par la sienne. Sans attendre, je mets ma main sur sa queue et mon excitation est à son comble… il me branle une dizaine de secondes puis se baisse pour avaler ma bitte en entier dans sa bouche.
Je quitte la terre pour rentrer dans un monde d’extase ou plus rien n’existe à part mon plaisir que me prodigue mon suceur. Il s’arrête et me dit :
Allons dans une cabine pour qu’on soit seulement tous les deux minutes.
Dommage, me suis-je dit, car c’est une situation qui m’excite au plus haut point.
Mes gémissements de plaisir ont dû attirer les spectateurs qui nous regardent en se masturbant. Nous sortons du hammam et je peux alors voir l’homme à qui est accroché ce super engin. Il a une quinzaine d’années de plus que moi, beau visage, un sourire adorable et vraiment sexy. Nous rentrons dans une cabine, verrouillons la porte et fermons les rideaux. Je commence à lui le caresser le corps et me demande de lui caresser les tétions délicatement. J’accède à sa requête et je vois son pénis reprendre de la vigueur perdue pendant le trajet. Je m’allonge sur le matelas et recommence à me sucer divinement bien. Je gémis aussi autant que dans le hammam.
Il arrête au bout de cinq minutes (pour reposer sa mâchoire). Ma bitte est gluante, mélange de ma mouille, un peu de sperme, je crois, et de sa salive. Je recommence mes caresses et le masturbe en même temps. Il gémit aussi à son tour, m’attrape ma hanche avec ses bras pour me plaquer contre lui. Nos deux sexes érigés sont l’un contre l’autre. Mon sexe gluant se frotte contre le sien et je m’aperçois que lui aussi mouille à fond. Et soudain, il me dit :
Arrête s’il te plaît, si je jouis maintenant, je ne pourrais plus rien faire après et il est encore trop tôt (début après-midi).
Nous restons debout l’un en face de l’autre, nos sexes se mettent au repos et nous discutons. Il me dit :
Tu n’es pas comme tous ces mecs qui baisent pour leur propre plaisir et qui veulent te défoncer l’anus sans délicatesse. Tu es quelqu’un de doux, je t’aime bien et je voudrais te voir avant de partir pour t’offrir mon sperme et profiter du tien.
Je réponds:
J’aime être avec toi, tu es délicat aussi et j’ai vraiment envie de te faire plaisir et te faire jouir. Alors pas de problème.
Nous sortons de la cabine et errons dans le bâtiment. Nous nous croisons parfois dans le couloir et je profite pour les titiller les tétons. Lui, il me fait une mini-branlette (un aller/retour). Il vient me chercher deux âpres et me dit :
On y va ?
Sans attendre ma réponse, il me prend par la bitte et m’emmène dans une cabine. Je lui dis que je n’avais rien pu faire car je n’attendais que ce moment-là. Il en était de même pour lui.
Je suis allongé, il recommence à me sucer, joue avec mes couilles et je lui offre l’accès a mon anus en écartant mes jambes et montant mon bassin.
Doigte-moi s’il te plaît, lui dis-je.
Il lâche ma queue, lubrifie ses doigts en les frottant sur mon sexe gluant et reprend sa besogne avec en plus, deux doigts insérés dans mon cul. Après moins de deux minutes, je l’arrête car ma jouissance est imminente. Je lui dis :
Je veux te faire jouir et sentir ton sperme sur moi.
Moi aussi et j’en ai envie depuis que je t’ai rencontré, me répond-il.
Nous nous levons et nous collons presque l’un à l’autre face à face. D’une main, je suis malaxe une fesse et me masturbe de l’autre. Il en fit de même avec moi. Je sens son corps chaud contre moi, sa bite raide et humide contre mon ventre, sa main sur mon cul avec un doigt jouant avec ma rondelle. Nous gémissons tous les deux de plaisirs. Ses gémissements m’excitent de plus en plus et les miens lui font le même effet.
Je lui dis :
Attends, je n’en peux plus là, je vais jouir.
Il me dit :
Moi aussi !
Avec ses deux mains, il plaque contre lui, son sexe contre le mien et là, je lâche tout le sperme de mon corps sous un grand râle incontrôlable ce qui déclenche son orgasme et un grand râle aussi, une paire de secondes après. Nous nous "décollons" et constatons que notre sexe et notre pubis sont inondés de mélange de notre foutre. Nous nous assis sur le matelas, complètement exténués mais encore sur notre petit nuage. Il était temps pour lui de partir alors nous quittons la cabine pour une bonne douche salvatrice. J’aurais aimé recommencer avec lui mais tout a une fin. Nous nous lavons ensemble et je lui titille un téton et une caresse sur sa queue en guise d’au revoir.