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Je suis une MILF soumise, même très soumise – Chapitre 2

Je suis une MILF soumise, même très soumise - Chapitre 2



Dans sa voiture qui m’amenait à mon travail, mes pensées partaient à la dérive, j’avais dû remettre ma culotte de la veille car je n’avais pas pensé que j’allais passer cette première nuit avec Jay.

J’étais encore toute mouillée, je n’arrêtais pas d’être excitée, j’en avais même un peu honte. Lorsque je descendis de la voiture son chauffeur me remit une enveloppe épaisse de la part de Monsieur.

En arrivant au bureau, je détonnais un peu dans mon tailleur noir avec mes bas foncés et bottée. Lorsque je fus seule j’ai ouvert l’enveloppe, il y avait une lettre et une liasse de billets conséquente, plus tard lorsque je les ai comptés cela représentait 6 mois de mon salaire, je n’en revenais pas

Il me disait qu’il avait été très heureux de nos retrouvailles, il voulait continuer à me voir. L’argent était pour mettre mes comptes à jour car il supposait que j’avais sans doute des factures de carte de crédit ou autres à régler en retard et il avait raison. Il voulait que je m’achète des vêtements comme ceux qu’ils aimaient que je porte en me disant qu’il avait confiance en mon gout. Que cela était juste une aide ponctuelle, qu’il voulait me proposer quelque chose à plus long terme, mais que je ne me fasse pas d’illusion sur un mariage.

Si j’acceptai cela, il changera ma vie complètement mais je devrais faire beaucoup d’efforts dont aujourd’hui, je suis incapable de m’imaginer. Si je n’accepte pas il s’engageait à me garder comme l’une de ses maitresses et il m’aiderait financièrement. Cependant si j’acceptais toutes ses conditions, je n’aurais plus aucun souci financier.

J’étais tellement retournée après avoir lu sa lettre, j’étais incapable de travailler. J’ai dû aller aux toilettes pour me caresser et apaiser le feu dans mon ventre.

Avant de rentrer chez moi, je passais m’acheter quelques vêtements, jupes, robes, deux paires de chaussures à talon haut, je me fis plaisir. Je rentrais à la maison. Prenait un bain, je me suis encore une fois caressée en jouissant énormément. Il me téléphona pour me dire qu’il voulait passer le week-end avec moi pour parler tranquillement et en détail de sa proposition pour notre future relation. Nous étions vendredi en fin d’après-midi. Il avait un diner ce soir mais m’invitait quand même chez lui, sa gouvernante préparerait un diner pour moi seule, pendant que je l’attendrai. Il me demandait d’apporter le nécessaire pour passer le weekend et que Carole sa gouvernante allait bien me recevoir. J’acceptais avec joie et impatience, il m’envoyait son chauffeur me chercher dans l’heure qui suivait. Je me maquillais, me préparais, mettait mes achats dans une petite valise ainsi que ma trousse de maquillage et mes affaires de toilettes.

La voiture arriva, le chauffeur me déposa devant l’entrée de l’immeuble, Carole la gouvernante m’ouvrit la porte. Je l’avais déjà connue ce matin au petit déjeuner mais je ne l’avais pas vraiment regardée. Une jolie femme d’une quarantaine d’années, blonde cheveux mi-longs, une jolie tenue de soubrette avec une robe étrangement au-dessus des genoux les jambes gainées de collants beiges un peu brillants des chaussures presque plates. Son uniforme était celui des femmes de ménage que l’on peut voir dans les grands hôtels, bleue foncée avec le tablier et le bandeau de tête en très belle dentelle. Elle était aussi gantée avec des gants courts blancs en coton. Elle prit ma petite valise, m’emmena dans une chambre d’ami où elle m’aida à m’installer, défit ma valise et rangea mes affaires. Sur le lit il y avait plusieurs jolies boites fermées d’une grande maison de lingerie, elle me dit que Monsieur lui avait demandé que je me mette à l’aise en arrivant et m’habille avec ce qu’il y avait dans ces boites, lorsque je serai prête je la sonne et elle viendra me chercher pour m’emmener à la salle à manger ou elle me servira mon diner.

Je commençais à ouvrir les boites et je découvris une nuisette transparente , une parure complète , soutien-gorge comme je nen avais jamais vu , qui laissait la moities de la poitrine nue, un porte-jarretelles , un slip fendu , des bas très clairs presque blancs et une espèce de robes de chambre transparente , ainsi qu’une paire de mules à plateforme avec de très hauts talons sans doute 15 cm J’ai hésité un moment , le téléphone sur la table de nuit sonna et Carole me demandait si j’étais prête . Je m’excusais et lui demandais si j’avais bien compris et si je devais mettre cet accoutrement, elle fut sèche et autoritaire pour la première fois et me tutoya en me disant dépêche-toi, ne me fait pas perdre mon temps ! Je me déshabillais, et commençait par mettre le soutient gorge qui laissait mes tétons et le haut des seins nue, je mis le porte-jarretelles, enfilais les bas que j’accrochais a leurs jarretelles. Mis la nuisette genre baby doll, le slip fendu ou l’on voyait ma toison, la robe et pour finir me percher sur les fameuses mules.

J’ai dû mi reprendre a deux fois pour me lever car je perdais l’équilibre, je me regardais dans la grande glace, j’étais magnifique. On voyait tout mon corps dans les transparences, j’avais un mélange de honte et de plaisir. Honte de m’exhiber devant Carole, du plaisir que Jay ait pensé à m’acheter toute cette parure de Grande Salope qui devait couter sans doute un mois de mon salaire !

J’appelle Carole par le téléphone interne, elle ouvrit la porte me demanda de tourner sur moi-même pour me scruter. Elle me rappela à l’ordre en me disant de venir avec elle dans la salle de bain pour retoucher mon maquillage. Elle enleva ses gants, me fit asseoir sur un tabouret recouvert en velours qui me piqua un peu les fesses. M’appliqua un mascara noir sur les yeux, me dit que Monsieur voudra que je mette davantage de bleue sur mes paupières. Me passa un peu plus de fond de teint et m’appliqua un rouge à lèvres si rouge comme je n’en avais jamais mis auparavant. Maintenant tu es prête suis moi, j’eu du mal à la suivre sur mes échasses, je m’accrochais à ce que je pouvais pour ne pas tomber, tu devras réapprendre à marcher Liz, Monsieur exige que ses conquêtes soient toujours haute perchée Carole était dans l’intimité de Jay, cela me fit un peu peur, je n’étais pas la première je le savais mais quand même ! Je la tutoyais pour essayer d’entamer la conversation et lui être sympathique. Elle me reprit sèchement, tu me diras Vous et m’appellera Mademoiselle Carole ou Mademoiselle tout court. Je n’en revenais pas Elle remit ses gants et me servit dans la salle à manger mon diner accompagné de champagne, sans me demander si j’aimais ce qu’elle me servait. Je compris qu’en cuisine il y avait une autre femme qui devait être la cuisinière. Le diner fut délicieux, le champagne me rendait insouciante, j’étais habillée comme une courtisane servie par une soubrette sérieuse et belle que je devais traiter comme un supérieur. Je me sentais petite fille déguisée en Bourgeoise

Je regardais discrètement Carole ou Mademoiselle, elle avait un maquillage lourd et sensuel, elle était toujours gantée avec ses gants de service en coton, cela ne devait pas être très pratique pour elle, mais c’était une habitude des grandes maisons que toute la servitude soit gantée tout au moins au XIX siècle

Lorsque le service fut terminé elle appela la cuisinière qui s’appelait Mathilde pour me la présenter. Voilà Liz la nouvelle de Monsieur Elle s’est Mathilde, pour toi Mademoiselle Mathilde, Mathilde était habillée comme Carole, avec le même uniforme, même collants, même chaussure, seule différence elle n’avait ni bandeau de tète ni gants, je suppose que pour cuisiner elle en était dispensée. Elle était blonde un peu comme Carole et plus grande que moi, elle semblait très autoritaire. Montre-lui comment tu es faite lève-toi et tourne sur toi. Mathilde s’approcha, ouvrit ma robe de chambre transparente, regarda ma culotte, il faudra lui enlever sa touffe à celle-là ! Puis il faut lui remettre du maquillage avant que Monsieur n’arrive. Je repartis derrière Carole sur mes échasses dans ma suite, elle me retoucha. Me parfuma et me renvoya dans la salle de séjour ou une infusion et deux coupes de champagne attendait. Jay n’allait pas tarder

J’avais l’impression d’être devenu leur chose à ces deux-là Je ne savais pas à quoi m’attendre, mais la situation m’était très étrange. En 24 heures j’étais pratiquement devenu la Chose de Jay par personne interposée, contrôlée par ces deux matrones, exhibée et soumise à elles. Bizarre mais cela ne me déplaisait pas, j’étais curieuse, jusqu’où cela pouvait aller et je n’ai pas été déçue.

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