Histoires de sexe français Histoires érotiques Histoires porno

Sans honte et sans gêne – Chapitre 1

Sans honte et sans gêne - Chapitre 1



Je te vois, assise-là à me regarder avec ce regard qui me donne toujours la chair de poule.

À cette instant et comme la plupart du temps, je cherche « La chose » à te dire. Celle avec laquelle je réussirais à tremper ton string sans être obligé d’y toucher. C’est rarement une réussite mais cette fois c’est la bonne, je le sens. Une voix suave et assurée suffirait pour te faire perdre la tête, je veux que tu vois au travers mon regard toutes les choses interdites et défendues que j’ai envie de te faire subir. Je prends donc une posture remplie d’assurance, je rehausse les épaules, je me racle la gorge, méclaircis la voix et je dis :

— Reprendriez-vous du vin?

Coupé en plein élan par le serveur, décidément il n’aura pas bien choisi le moment pour faire son entrée lui!

Tu répliques.

— Volontiers

Après avoir terminé de remplir nos verres, le serveur s’éloigne enfin. Je retourne chercher l’assurance de tout à l’heure qui s’était cachée derrière mon ego et dis :

— Tu sais, tu es franchement magnifique ce soir, tes cheveux et tes yeux, sans parler de cette robe noire qui te vas à ravir.

— Merci. Tu souris l’air gêné ou flatté.

— Je t’en prie, tout le plaisir est.. pour moi.

Non décidément ça ne va pas! Je veux te faire mouiller, je veux te voir te déchaîner. Je veux, je veux, je te veux! Je ne dois pas rester sur la défensive comme ça, je dois passer à l’attaque.

— En fait chérie, je dois te dire un truc.

— Oui?

— Le souper est délicieux, le restaurant est sympathique et j’apprécie énormément ce moment avec toi mais..

— Mais?

— Mais si je ne sors pas d’ici immédiatement

Je m’incline vers le devant de la table, ma voix devient plus grave et je chuchote à voix basse.

— Je te prends, t’arrache tes vêtements, te couche sur la table, t’écarte les jambes et te fourre devant tous ces gens qui nous regarderons et verrons de quelle manière j’aime te baiser, comme une chienne qui en redemande toujours un peu plus.

Je l’avoue, j’appréhende un peu ta réaction mais je ne trahis pas mon air sérieux. Tu ne réponds pas mais je vois clairement une lueur s’illuminer dans tes yeux, je la connais bien cette dernière. Tu serres les jambes et tu bouges sur ta chaise comme si tout d’un coup tu étais assise sur un vieux banc en bois inconfortable.

Tu rougis et j’ai l’impression que tu as une bouffée de chaleur.

— Je.. euh.. mais..

D’un geste élégant je te fais signe de te taire. Au même moment, j’intercepte le serveur qui passe par là.

— L’addition je vous prie.

— Oui monsieur, je vous apporte cela immédiatement!

Toujours dans le silence, je paye et nous nous dirigeons vers la sortie. Je t’aide à enfiler une veste tout aussi élégante que ta robe. Dehors, il fait froid, c’est le mois de décembre et nous avons environ vingt minutes de marche avant d’arriver à l’arrêt de tramway. Ma main est sur ta hanche et nous marchons côte à côte. L’ambiance est glaciale et chaude à la fois, c’est un véritable ballet des éléments qui réunit le froid de nos caractères et le feu de nos envies. Je n’en peux plus, je cède. Ma main qui était posée sur ta hanche depuis un moment, descend dangereusement au niveau de tes fesses, je veux te faire réagir, te provoquer. Mais même si ma main est sur ta fesse et qu’elle te tâte, tu ne réagis pas et tu continues de marcher au même rythme que moi. Ça me frustre et je sens monter en moi une colère mêlée à du désire. Ma main s’enfonce plus profondément et vient se loger au-dessous de tes fesses, entre tes jambes dénudées puisque que tu portes une robe courte. Tu arrêtes tout d’un coup de marcher, ce que j’imite immédiatement sans retirer ma main.

— Tu ne portes rien?

Je suis trop excité pour être étonné. Sans hésitation je laisse mon majeur s’aventurer entre tes lèvres que je trouve étrangement mouillées. J’ai donc la confirmation que ma prestation au restaurant aura servis à quelque chose. Tu gémis et me regardes dans les yeux, je suis toujours positionné à tes côtés. Pour l’instant je ne fais que faire des va et vient entre tes lèvres mais je décide pendant un « vient » de faire un « va » en profondeur. Je t’enfonce mon majeur en longueur. Tu tremblottes et je te sens perdre pied. Je sens tes cuisses s’écartées, ce qui me permet d’avoir plus de place et d’enfoncer un deuxième doigt. La bouche entre-ouverte, tu pousses un gémissement saccadé qui me rendrait presque dur. Jentends un bruit au loin, je tourne la tête et aperçois deux hommes se diriger vers nous sur le même trottoir. Le moment est trop bien choisi pour que j’hésite. Je te chuchote dans l’oreille de continuer d’avancer. Je glisse mes doigts vers l’extérieur et viens les positionner entre tes lèvres tout en continuant de se diriger vers les hommes. Je te sens tellement chaude, et même si je sais que tu as envie d’exciter ces deux hommes, tu nen as pas le courage. Avant de croiser les hommes, je te tire vers moi et te colle contre mon torse et t’embrasse. Toujours la main sur ta chatte, je lève ta robe vers le haut dévoilant tes fesses et laisse mon majeur trempé de mouille glisser entre tes fesses. Tu m’embrasses mais tu as les yeux grands ouverts et me fixes. Tu réalises que les hommes sont juste à côté de nous et de leur point de vue, il ne voit que ton cul bien rond et ma main en train de les caresser. C’est la première fois que nous faisons une exhibition. Nos victimes d’une vingtaines d’années ralentissent à notre niveau et continuent d’avancer en laissant couler un regard derrière eux de temps en temps jusqu’à ce qu’on ne les voit plus.

Je te dis à l’oreille :

— J’aime ton joli petit cul et ça serait égoïste de ne pas le partager.

Ta réponse me surprend car sans rien dire, tu viens loger ta main sur mon jean au niveau de mon entre-jambes, qui forme déjà une jolie bosse. Tu adoptes la forme de mon membre dans ta main et frottes de haut en bas, ce qui a pour effet de provoquer une légère chaleur et de me rendre encore plus dure que je ne l’étais.

Nous sommes là, tous les deux en plein milieu de la rue sur le trottoir adossés à un mur de boutique sans importance, moi la main qui retourne se loger entre tes jambes et toi la main sur ma queue. Nous nous caressons ainsi pendant quelques secondes qui semblent durer plusieurs minutes. Puis résistant malgré moi au désir de ne pas aller plus loin. Tu me dis avec une voix mielleuse :

— Je veux que tu me baises comme une salope.

Pour la deuxième fois de la soirée je craque, mais cette fois avec beaucoup plus de conviction. Je te retourne assez violemment et te colle contre le mur, relève ta robe jusqu’à ton bassin et dévoile à nouveau ton cul. Je défais d’une main ma ceinture pendant que l’autre est entre tes omoplates pour te maintenir fermement contre la surface froide de la brique. Ma ceinture défait, je sors ma queue tendue que je positionne au même niveau que ton bassin que j’ai déjà tiré vers moi. Je glisse ma queue entre tes lèvres sans pénétrer et à ce moment-là j’ai envie de te traiter comme une salope, puisque tu me le demande. Je te dis :

— Tu as envie que je te baise ici et maintenant alors qu’on peut se faire voir par n’importe qui?

— Oui!

— Dis-moi que tu aimes te faire traiter comme une chienne, une vulgaire petite allumeuse, Dis-le moi!

— Oui j’aime ça!

Je frotte mon gland entre tes lèvres chaudes et mouillées, c’est un véritable délice.

— Je veux t’entendre me supplier de te baiser.

— Baise-moi.. Baise-moi fort!

Avant même que tu finisses ta phrase, je te pénètre d’un seul trait. Je sens tes lèvres s’écarter sous le passage de mon membre, mes cuisses taper contre tes fesses rougies par le froid de décembre.

Je t’entends gémir mais je veux plus, je veux te faire crier, alors je prends appui contre le mur et de l’autre main je viens prendre tes cheveux comme une tresse, comme si je montais un cheval en loccurrence, toi. Tu relèves la tête et tu as le cou bien droit, tu te maintiens au mur à deux mains pour rester en équilibre et encaisser mes coups de bassin, qui se font de plus en plus fort. Ça claque de plus en plus et tu as du mal à rester muette. Tu commences à laisser échapper de petits cris, Putain c’est bon, je te veux encore plus fort! Je te défonce littéralement la chatte, et je nhésite pas à te donner un bon coup sur les fesses quand je sens que tu ne cries pas assez. Tout d’un coup, le bruit d’une voiture se fait entendre. Sur le moment je n’y porte pas trop attention, trop occupé à baiser cette salope avec un ce si bon petit cul. Mais je me dis que ça serait sympa de faire partager ce moment à l’occupant de cette voiture. J’entoure mon bras autour de ton cou pour venir chercher ton épaule, te relève comme une poupée de chiffon, le sexe toujours planté en toi et sans marrêter de te limer la chatte; je nous retourne et descends ta robe jusqu’à ton bassin, tes seins nus et pointés se dressent devant les phares de la voiture qui nous aveugle. La voiture passe et ralentis à notre niveau de l’autre côté de la rue. Elle se stationne et arrête le moteur. Par la fenêtre nous apercevons un homme d’âge mûr, à vue dil il doit avoir environ cinquante ans. Il nous fixe tout en restant dans l’ombre de sa voiture, nous ne distinguons pratiquement pas ses traits. Ce qui ne m’empêche pas de continuer ce que je suis en train de faire mais le fait d’avoir un public me rend encore plus salaud et excité que je l’étais déjà. Je me retire et m’adosse contre le mur derrière nous. Toujours dos à moi, tu sens que je te tire sur moi et te soulève, tu te retrouves presque coucher sur moi les jambes écartées vers la voiture et ma main qui s’amuse avec ton clito. Tu es trop excitée pour ressentir de la honte, tu t’écartes encore plus et tu prends tes seins en mains et tu les caresses pour le mystérieux étranger. La portière s’ouvre et avec le lampadaire nous voyons que la moitié horizontale de l’intérieur de la voiture rouge. Le pantalon en toile beige (Ça doit sûrement être un bureaucrate qui a terminé de travailler tard avant de rentrer chez lui, du moins c’est ce qu’il croyait.) aux chevilles, une queue de bonne taille, bandée est dressée et une main est autour en train de se caresser la verge de haut en bas. Le visage toujours plongée dans le noir mais la queue à la lumière de la rue éclairée, voilà comment l’étranger nous apparaît de l’autre côté. Je finis par te déposer et te retourne vers notre auditoire, tu te penches sans que je sois obligé de le faire à ta place et écartes les jambes.

— Bonne fille! je m’exclame. Je m’enfonce une deuxième fois dans ta chatte, toujours aussi chaude et mouillée que tout à l’heure.

— Merci monsieur

Je suis tellement excité, mais je dois dire que ce qui me rend encore plus excité, c’est de te voir regarder l’homme pendant que je te baise. Ma queue gonflée de veines te pénètre à vitesse modérée et rythmée. L’homme toujours assis dans sa voiture continue de se caresser en nous regardant, sa queue doit être aussi tendue que la mienne, il se caresse au même rythme que mes coups de bassin. Pendant presque dix minutes sans sarrêter et je le vois en train daccélérer, je crois qu’il va bientôt se vider, et je sais que toi aussi te le remarques, tu gémis plus fort et tu fais exprès de te redresser pour lui donner une meilleure vue de tes seins. Jaccélère donc aussi et je sens monter en moi l’envie de jouir, ton souffle aussi à augmenter et je sens ta chatte se resserrer autour de mon membre. Je pousse un long râle de jouissance et je te remplis de ma semence, tu jouis en même temps que moi et en ouvrant les yeux, tu aperçois de l’autre côté de la rue l’homme tenant sa queue dans sa main et un long coulis de sperme chaud lui couler jusqu’aux cuisses Tu te lèches les lèvres et regardes en sa direction. Nous restons quelques secondes sans bouger puis je me retire et me rhabille, tu fais de même, l’homme quant à lui, à enfiler son pantalon, à fermer la portière, à rallumer la voiture et est partit. Laissant derrière lui un papier au sol. Je vais le chercher pendant que tu replaces ta robe et remets ta veste. Sur le bout de papier était écrit un numéro et en dessous « merci pour le spectacle, au plaisir de se revoir ». Je m’approche de toi et te dis que demain soir nous risquons d’être encore très occupés. Tu souris et nous retournons à l’arrêt de tram, toujours la main sur ta hanche, l’ambiance froide et chaude a disparue laissant derrière elle, un sentiment d’exaltation.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire