La Fellation.
Forcément à la suite de ce terrible cunni, elle avait toujours ce regard qui pouvait laisser penser que si je ne la satisfaisais pas ce soir, jaurai à subir de terrible conséquence. A remarquer je pense que je dois avoir le même regard quand elle en a fini avec moi. Cest donc en relevant la tête de sa délicieuse chatte, que javais quitté à regret, que je découvris ce regard plein de sous-entendu mais qui laisse place en quelque seconde à un sourire sadique, voulant me dire : A ton tour. Elle se rapproche donc de moi pour venir membrasser et en profiter pour mallonger par terre. Elle se retrouvai donc sur moi, complètement nue, et frotter sa sensible chatte sur la bosse de mon jean. Il faut dire que ma bite était à ce stade une vraie barre de fer qui peinait à rester en place, enfermée dans tout ce tissu. Heureusement ma Cécilia comprend rapidement ma gène et sempresse de môter mon sweet, puis mon jean en me léchant le torse de façon très subjective. Je suis donc en boxer devant mon amante qui sourit à la vue de de la forme de mon vêtement intime. En effet étant passablement exciter par cette jeune fille devant moi, avec ses deux seins qui épouse parfaitement mes paumes de mains, ce ventre plat et sa fente que je devine poser sur mon sexe, ma bite et tendu au maximum et relève le haut de mon boxer. Elle se penche donc et rapproche son visage de mon entrejambe. Je sens son souffle chaud sur ma queue et cest pourquoi je la supplie: – Jen peux plus, si tu ne me lenlève pas je vais jouir dedans!
Ne voulant pas me faire succomber tout de suite, elle me le retire enfin et le diable peut sétirer hors de sa tanière. Elle était tellement proche quelle a faillie se la prendre dans la figure, mais au contraire de la gêner, elle sourit et me la lèche de sa base à son gland. Une décharge électrique me traverse alors et je crois défaillir. Tant de tension accumulé et une simple léchouille me ferai perdre toute raison? Non! Je me ressaisi et me concentre sur ma Cécilia qui bisouille ma queue comme un nourrisson. Elle népargne aucune partie et cela me permet de reprendre quelque peu mes esprits. Cest à ce moment quelle décide dengager le combat et gobe littéralement mon pénis comme pour essayer de le faire disparaître. Heureusement pour elle ( en tout cas pour cette partie ) jai un pénis de 17 cm, certes dun diamètre de 6 mais pas de quoi létouffer. Elle peut comme elle le dit, se remplir la bouche. La voila donc le menton cognant à mes testicules et le nez dans mes poils qui sont comme elle me l’a demandé, coupés très ras.
Cest ici que le ballet commence, je vois sa tête remonter doucement, ses lèvres enserrer avec force et douceur ma hampe, sa langue râper le dessous et son souffle ( via son nez ) me réchauffer la partie quelle délaisse. Heureusement pour moi, une fois le dessous du gland rencontré par ses lèvres, elle redescend rapidement, me crispant et me libérant en même temps. Tout mes muscles sont tendus dans lécoute de la seule partie de mon anatomie qui mimporte en ce moment. ma queue! Mon cerveau se libère de toute les tensions dun lycéen et sépanouie dans lendorphine. Cette pipe est miraculeuse, un cadeau du ciel. Cécilia se déchaîne, sa tête ne cesse de faire des allers retours et mon plaisir grimpe en conséquence. Elle ralentit et sarrête sur le gland. Je sens sa langue explorer mon trou de bite et ses lèvres forcer sur la base de mon gland pour pas que ma queue ne lui échappe. Je suis devant une scène qui mexcite, avec des sensation mémorable et je pense ne plus pouvoir tenir longtemps. Mais Elle me connaît, arête quelque seconde sa fellation et glisse faisant toucher ses seins sur toutes la longueur de mon corps, pour venir membrasser. Un baiser violent et dur, où nos langues se battent et où nos salives se mélangent. Puis elle se recule, lentement, me regarde haletante et me susurre: Je taime. Et là elle redescend comme à son arriver, ma bite tressaute sous la caresse de tout ce corps qui glisse sur moi. Ses Seins sarrête sur mon pénis quelle fait ballotter tendrement, effleurant à chaque fois ma queue violette de plaisirs inachevés. Elle me reprend en bouche, je pose mes mains sur sa tête et ondule mon bassin. Je lui baise la bouche et rien que le fait dy penser pourrait me faire jouir. Mon pouls saccélère et je maintiens sa tête sur ma bite, jai tellement envie déjaculer dedans que jen oublie que cest une personne qui me respecte et non un jouet. Jaccélère et alors que jallais tout lâcher, elle force et se dégage laissant ma bite raide et moi même sur le plancher. Elle se relève, un regard noir sur son visage. Je contemple cette furie nue, debout, au-dessus de moi et nai quune envie, la baiser.
La suite prochainement. Dites moi ce que vous en penser, ce sont mes premiers textes.