Elodie 9
Après la douche, ma fille et moi préférons rester nus pour le reste de la soirée.
Tout en la bécotant dans le canapé, je lui demande :
— Comment va-t-on faire quand ta sur et ta mère seront de retour ?
— Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer
— Tu me parais bien sûre de toi !
— N’y pense pas ! Profite des bons moments. Tu as pu découvrir un tas de choses sur l’amour, avec moi, mais aussi avec d’autres partenaires!
— À ce propos, as-tu des nouvelles de Sandrine ?
— Ah ! Elle te plaît ma copine à ce que je remarque !
— Je l’avoue, elle a du charme Mais c’est toi que j’aime !
— Merci mon chéri ! Comme je lui avais demandé, elle m’a envoyé des photos d’elle, mais je n’ose pas te les montrer
— Tu piques ma curiosité ! Allez, montre-les moi, sois gentille
— Ça va te faire bander, tu vas voir !
Elodie se lève et va chercher son téléphone qu’elle me tend après y avoir fait quelques manipulations. Elle s’assied près de moi et flatte mes testicules, en regardant les photos que je fais défiler lentement.
Sur la première image, Sandrine est allongée sur le ventre, dans le sable au bord de la mer. Accoudée, elle regarde l’objectif avec un sourire coquin. Ce qui me plait énormément de voir, c’est que son maillot de bain se limite à juste une ficelle insérée entre ses fesses galbées.
Quel super beau cul !
Sur une autre, c’est un selfie, elle porte un haut très décolleté et sirote un cocktail apparemment dans un bar de plage. Elle est en compagnie d’une femme dont on ne voit qu’une petite partie du visage.
Sur une autre, c’est un portrait où elle joue la femme fatale avec une main dans ses cheveux courts, le buste nu.
Quelle belle poitrine !
Je fais défiler les images où ne voit qu’elle dans différentes poses plus ou moins sexy. Elle est toujours magnifique !
.
J’admire les clichés de la belle Sandrine en me disant que j’aimerais bien refaire l’amour avec elle. Elodie, qui s’est agenouillée entre mes jambes pour me sucer divinement, doit bien se rendre compte que ces images me troublent, tant ma verge gonfle dans sa bouche.
Sur la dernière photo, Sandrine est au bord d’une piscine, debout, complètement nue, bras et jambes écartées. Elle me fait penser à « l’homme de Vitruve » de Léonard de Vinci.
Cette jolie blonde impudique a vraiment un corps magnifique et surtout, je contemple en rêvant sa touffe pubienne bien fournie. Elle arbore un sourire radieux et semble fière de s’exposer au photographe.
À LA photographe devrais-je dire !
Car, sur l’image, le reflet dans une fenêtre me montre que c’est une femme qui prend la photo. En zoomant sur le reflet, je suis pris d’un gros doute d’un seul coup !
Je fais défiler les images à rebours et reviens sur le selfie au bar de plage, zoome sur l’oreille de la femme qui se tient à coté de Sandrine.
J’en suis presque certain maintenant ! Je reconnais cette boucle d’oreille, c’est une de celles que j’avais offertes à Maria, mon épouse ! Mon subconscient l’avait sans doute remarqué, sans que j’y prête attention quand j’avais regardé l’image la première fois
Je dis à Elodie :
«Viens voir ce que je vois ! »
Ma fille se relève, mais c’est pour se mettre à califourchon sur mon sexe tendu, sans tenir compte de l’écran que je lui présente. Elle me fixe dans les yeux avec un regard très coquin puis se penche pour m’embrasser, avant de se redresser pour monter et descendre lentement sur ma queue raide qui lui perfore le ventre.
Je lui remontre l’image du selfie et lui dit :
— Regarde, on dirait la boucle d’oreille de ta mère
— Mais bien sûr ! C’est normal, c’est la sienne !
— Je Je ne comprends pas !
— C’est maman qui a pris les photos avec l’appareil de Sandrine. Elles sont actuellement en vacances ensemble
— Mais je croyais maman chez sa sur et que ta copine devait aller chez sa cousine
— Non, c’était un bobard ! En fait, Sandrine est allée dans la belle maison que ses parents ont dans le sud et maman l’y a rejointe.
— Mais qu’est-ce qu’il y a entre ta copine et ta mère ?
— Elles sont amantes depuis de nombreux mois ! Je te raconterai ça plus tard. Pour le moment baise moi bien, mon papou chéri.
— Mais ta sur, elle est au courant ???
— Plus tard les explications ! Baise-moi, je t’ai dis !
Je devrais être vexé d’être cocu, mais bizarrement, en m’imaginant la copine de ma fille faisant des coquineries avec Maria, je suis tout enflammé ! Il faut dire qu’Elodie y met du sien pour se faire l’amour sur moi à un rythme infernal.
Quand sa jouissance éclate, je ne peux me retenir et mes jets qui tapissent le fond de sa grotte sont d’une puissance incroyable !
Ma fille ne se relève pas et reprend de lents va et vient qui me maintiennent tendu malgré mon éjaculation récente.
Après avoir recouvré son souffle, Elle me dit :
– Tu dois te poser un tas de questions, n’est-ce pas ?
— Bien sûr ! C’est quoi cette histoire ? Où sont ta mère et ta sur ?
— Elles sont allées chez tante Françoise pendant deux jours. Puis, Aurélie est restée sur place pour être avec les cousines, alors que maman rejoignait Sandrine. La maison de ses parents est seulement à quelques kilomètres de là !
— Mais qu’a dit maman à Aurélie ou à sa sur, avant de rejoindre Sandrine?
— Oh, elles savaient que ça allait se passer comme ça, c’était entendu d’avance !
— Tu veux dire que tout le monde est au courant de la relation entre ma femme et ta copine ?
— Pas tout le monde ! Seulement Aurélie, tante Françoise, moi et toi maintenant !
— Comment Comment c’est arrivé ?
— C’est une longue histoire !
— Raconte-moi, je veux savoir.
Sans cesser de monter et descendre en imprimant des contractions de son vagin absolument exquises et alors que mon sperme coule encore entre nos jambes, Elodie entame un récit qui me trouble énormément :
« Comme tu t’en rappelles certainement, Sandrine venait à la maison, mais aussi souvent en ton absence.
Nous faisions des câlins’ dans ma chambre, même quand maman était là.
Comme nos gémissements étaient loin d’être discrets, nul doute qu’elle nous entendait, voire nous écoutait derrière la porte !
Comme tu l’as sans doute remarqué, Sandrine est une charmeuse hors pair et maman est devenue sa proie. Elle m’avait confié plusieurs fois que maman lui plaisait beaucoup, tout comme toi d’ailleurs, mais ça tu le sais déjà
Elle s’est mise en chasse pour séduire maman. Au fil des jours, elle multipliait les contacts fugaces, les gestes tendres, les caresses ou les regards profonds qui faisaient rougir maman jusqu’aux oreilles.
Une fois, alors que Sandrine et moi étions dans ma chambre à nous câliner, Sandrine s’est levée et a vivement ouvert la porte. Maman nous espionnait derrière, avec une main entre les jambes et, prise en flagrant délit est restée complètement tétanisée de honte.
Elle était toujours figée quand Sandrine s’est approchée et lui a caressé la joue, l’épaule, le bras et a fini par lui prendre le poignet pour déposer une bise dans la paume de sa main.
Sandrine avait son regard ensorceleur et maman était comme hypnotisée.
Elle n’a pas plus réagi quand Sandrine l’a enlacée et lui a déposé une bise sur les lèvres, puis une autre, puis encore une autre ! Puis, vaincue ou convaincue, la passion l’a gagnée et leurs baisers sont devenus enflammés. Maman s’est complètement lâchée, elle s’est jetée sur les seins de Sandrine pour les dévorer, elle était comme folle et redemandait des baisers en étreignant ma copine.
Je ne l’avais jamais vu déchaînée comme ça auparavant !
J’ai bien compris que j’étais de trop, j’ai ramassé mes affaires et me suis éclipsée alors qu’elles s’étaient allongées sur mon lit et que maman serrait très fort Sandrine qui était couchée sur elle.
Quand elles m’ont rejointes au salon, complètement échevelées et encore essoufflées, c’était près de deux heures plus tard ! Maman était gênée de se présenter devant moi, mais je l’ai vite rassurée en m’agenouillant devant elle pour glisser ma tête sous sa robe. Elle a voulu me repousser, mais Sandrine lui a demandé de se laisser faire tout en l’installant au bord du canapé. J’ai gougnoutté la chatte de ma mère alors que ma copine l’embrassait et la caressait partout
Maman a pris un pied terrible !
Les jours suivants, nous avons beaucoup parlé maman et moi, en toute confiance !
Je lui ai proposé de lui expliquer des trucs que l’on peut se faire entre femmes.
Non seulement elle a accepté, mais en plus elle s’est révélée une bonne élève.
Pour parfaire son apprentissage, nous avons fait l’amour toutes les deux, c’était complètement dingue ! Du coup, on a souvent recommencé.
Sois sûr d’une chose, c’est que maman est très douée pour me faire jouir !
Ensuite, Sandrine et elle se voyaient de plus en plus souvent, mais le risque que tu découvres cet adultère était trop grand ! Sandrine a donné un jeu de ses clés à maman et c’est chez elle qu’elles se retrouvaient pour faire l’amour. D’ailleurs, c’est le trousseau de clé de maman que j’ai utilisé l’autre jour pour aller chercher le gode chez Sandrine. »
Elodie s’interrompt quelques secondes pour réajuster sa position et reprendre son massage vaginal de ma queue devenue douloureuse, tant elle est tendue par mon excitation.
Je lui demande :
– Mais alors, si je comprends bien Sandrine te trompait avec ma femme !
— C’est vrai que l’on se voyait moins souvent, mais ce n’était pas important, je pouvais désormais m’amuser avec maman et on ne s’est pas privé de le faire, car elle est devenue une excellente amante.
— Pourquoi n’ai-je rien remarqué ? Comment ta sur peut-être au courant et pas moi !
— Les femmes savent être discrètes quand il le faut et les hommes sont souvent aveugles.
Quand Sandrine venait manger à la maison, elle n’hésitait pas à glisser sa main sous la table pour caresser la jambe de maman et cela devant ton nez. Maman n’hésitait pas à se laisser embrasser dans la cuisine ou se faire mettre un doigt dans le couloir, et cela à quelques mètres de toi. Leur impudeur était parfois gênante, presque trop provocatrice.
Quant à tante Françoise, elle ne le sait que depuis peu de temps, mais a admis rapidement la chose à ce que j’en sais. Elle a accepté d’être leur complice au moins le temps des vacances.
Pour Aurélie, c’est différent, elle a vite remarqué ce qui se passait et quand nous en avons parlé entre nous, elle a compris qu’il fallait te laisser dans l’ignorance. Elle, pour sa part, ne souhaitait pas que tu connaisses ses préférences, car désormais tu peux et dois le savoir :
Ma soeur préfère les hommes plutôt d’âge mûr !
— Et en plus, ta sur se tape des vieux ! Il ne manquait plus que ça !
— Ce ne sont pas des vieux, comme tu le dis. Ce sont plutôt des hommes de ton âge et qui te ressemblent de surcroît, à ce que j’ai remarqué !
— Tu sous-entends que
— Oui ! Ton charme opère également sur ma soeur ! J’ai cru le deviner, même si elle ne me l’a pas avoué.
— Je suis perdu ! Tout le monde couche avec tout le monde dans cette maison !
— Et alors ? . Ça te plaît également de baiser avec tout le monde, non ?
Il est vrai que j’ai fait l’amour à ma fille. Puis, Sandrine et elle m’ont quasiment violé, puis j’ai connu le plaisir anal avec le gode d’Elodie puis avec les bites d’Eric et de Linda.
J’ai découvert des facettes inconnues de moi-même avec ces jeux de rôle que m’imposait ma fille. Je pensais qu’elle souffrait d’un trouble dissociatif de la personnalité’, alors qu’elle m’enseignait, à haute dose, les jeux du sexe.
Je sors de mes pensées et lui demande :
— Et nous deux ? Que va-t-on faire ? Que va-t-on dire leur dire quand elles seront de retour ?
— La vérité ! Toute la vérité ! Que je t’aime, que tu m’aimes, qu’elles s’aiment et que ma soeur doive se décider à coucher avec toi !
— Mais ça va être la révolution ! Ta mère n’acceptera jamais !
— Sandrine lui a déjà tout raconté ce qu’il y a entre nous deux et elle a su la convaincre d’accepter la situation. Tu sais, j’ai remarqué que Maman est totalement subjuguée par sa maîtresse, elle accepte tout ce qui vient d’elle. Par moment, elle est presque trop soumise à Sandrine, ça se remarque dans leurs jeux amoureux
— Je comprends mieux pourquoi maman paraissait si distante quand je l’ai eue au téléphone l’autre jour ! Elle devait être informé de notre relation et m’en vouloir horriblement que j’aie pu oser te toucher
— Non ! Ce n’était pas pour ça ! Maman était en train de se faire doigter et brouter la chatte quand tu l’as appelée. C’est Sandrine qui m’en a parlé un peu après, ça l’amusait même beaucoup de redoubler ses coups de langue à ce moment là. Il paraît que maman n’en pouvait plus et a gueulé comme pas possible après avoir abrégé la conversation avec toi.
— Je n’en reviens toujours pas que ma femme soit amoureuse des femmes !
— Si, au lieu de te poser toutes ces questions, tu t’occupais un peu plus de moi en ce moment ?
— Tu as raison ma chérie Donne-moi un baiser
C’est avec une passion démesurée qu’Elodie et moi faisons l’amour. En repensant à ce que je viens d’apprendre, des tas d’images érotiques, voire pornographiques assaillent mon esprit et stimulent encore plus mon plaisir lors de cette union avec ma fille chérie.
Je suis transporté au Nirvana de manière fulgurante et ne peux me retenir d’éjaculer à nouveau dans son ventre, juste avant qu’elle n’atteigne l’orgasme à son tour.
Plus tard, quand nous nous sommes couchés, j’ai eu une forte envie de lui faire un cunnilingus et de sucer son clito, ce petit bouton que j’aime tant avoir en bouche.
Même après sa jouissance, j’ai poursuivi sa toilette intime à lents coups de langue et me suis même appliqué à laper le sperme séché sur ses cuisses alors qu’elle s’était endormie jambes ouvertes.
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Aujourd’hui, vendredi, nous avons conscience que c’est notre dernier jour de « liberté » à Elodie et moi. Je sens poindre la nostalgie des bons moments que nous avons passés ensemble ces derniers temps.
En effet, Aurélie mon autre fille, Maria mon épouse, et probablement Sandrine sa maîtresse, reviendront demain. Beaucoup de choses risquent alors de changer.
Elodie se dresse sur un coude, me fixe, puis dépose une délicate bise sur mes lèvres, ce qui m’émeut et me ramène dans l’instant présent.
Ce petit geste de tendresse qu’elle vient d’avoir à mon égard me fait germer une idée pour cette dernière journée, je veux que cela soit une journée exceptionnelle pour elle !
Dans la journée, au boulot, j’expédie mes dossiers à toute vitesse. Je suis pressé de sortir tôt ce soir. J’en profite aussi pour passer quelques appels : D’abord à Linda la belle transsexuelle, puis à Hélène la mère d’Eric. Je leur propose de venir dîner et leur expose ce que je souhaite pour la soirée.
Chacun sait désormais ce qui va se passer, sauf Elodie !
Dès mon retour à la maison et après quelques courses, je me lance dans la préparation du repas du soir. Une fois cela accompli, je file chercher Linda chez elle. Son oncle me jette un mauvais il, il se doute qu’il va devoir faire ceinture ce soir et que c’est avec moi qu’elle va faire l’amour.
Elle est superbe, le décolleté de sa robe met en valeur sa poitrine, ses hauts talons prolongent ses belles jambes. Elle remarque bien entendu mon intérêt à la voir si belle.
Je lui tiens la portière pour l’inviter à s’asseoir dans la voiture, et remarque au passage qu’elle porte des bas et non des collants.
Humm ! Comme elle est séduisante ainsi !
Elle me sourie alors que je flatte son genou en conduisant, puis après quelques minutes me dit qu’elle commence à bander et que je devrais attendre d’être arrivé, sinon elle ne répond plus de rien. Par taquinerie, je palpe furtivement son sexe pour me rendre compte qu’elle est effectivement bien raide sous mes doigts.
Le parcourt étant bref, nous arrivons rapidement à la maison.
A peine la porte refermée, Linda se jette à mon cou et je ne résiste pas pour l’embrasser en la serrant contre moi d’une main ferme sur sa fesse. Nos sexes roulent l’un contre l’autre au travers de nos habits.
C’en est trop pour moi !
Tout en continuant notre baiser, je glisse une main sous sa robe et me saisit de son membre à travers la culotte de soie. De toucher à nouveau sa bite dure me rend fou !
Je n’y tiens plus ! Je m’accroupis face à ses jambes, soulève sa robe frénétiquement, baisse la culotte et enfourne son beau sexe dans ma bouche.
En lui appliquant une main sur les fesses, l’autre pour caresser les bourses je lui pratique une gorge très profonde qui la fait gémir. Je suce Linda quelques minutes, mais je prends conscience que cela risque d’aller trop loin, trop vite pour l’instant.
Je la réajuste, me relève et lui susurre que j’ai très envie qu’elle me prenne le derrière, plus tard dans la soirée, si possible Ce à quoi elle me répond par un sourire énigmatique
Notre tension redescend et assis au salon, nous bavardons de choses et d’autres quand ma fille rentre du travail. Sans le moindre complexe, Elodie embrasse goulûment l’invitée avant de lui préciser qu’elle est heureuse de la revoir si vite.
Elle ajoute en détaillant l’élégance de la tenue de Linda :
« J’ai eu une journée fatigante et suis peu présentable, je vais me mettre en beauté et reviens tout de suite ! »
Je sais ce que « tout de suite » signifie chez une femme et avec l’aide de Linda, je prends le temps de dresser la table et préparer le plateau pour l’apéritif.
On sonne à la porte, je vais ouvrir à Hélène accompagnée de son fils Eric. Au même moment, Elodie apparaît dans une robe noire qui lui arrive à mi-cuisse. Je remarque, qu’elle aussi, a mis des bas, prenant modèle sur Linda.
Elle a une seconde de stupeur en voyant les arrivants, puis me fixe avec un regard suspicieux.
Je lui dis d’un air innocent :
— J’ai invité nos amis pour cette dernière soirée ensemble, ça ne te dérange pas ?
— Non, non pas du tout, au contraire !
— Après le dîner, je compte te proposer : de manger de la chatte, lécher des culs et te faire remplir par tous les trous. C’est bien ce que tu souhaitais, non ?
Je ne sais si c’est de lui parler crûment ou la perspective de cette soirée qui l’enchante mais elle me saute au cou et me bise partout en soufflant à l’oreille :
— Oh mon papou ! Oh comme je t’aime !
— Ce ne sera peut-être l’orgie que tu souhaitais, mais c’est un bon début !
— Je t’adore mon chéri, tu ne peux pas savoir comme ça me fait plaisir que tu aies organisé cette réunion !
Nous souhaitons enfin la bienvenue aux nouveaux venus. Eric fait la bise aux filles, puis s’approche de moi, me saisit fermement et virilement dans ses bras pour me rouler une pelle qui me trouble sacrément, il me claque la fesse en me relâchant.
Quand je m’approche de sa mère, son regard me pénètre, m’ensorcelle et je la laisse se coller à moi pour m’embrasser à son tour, elle aussi m’émoustille par ce baiser passionné.
Ce couple mère fils dispose d’un magnétisme sexuel incroyable. Elodie s’amuse de me voir aussi troublé d’abord par son ami, puis par cette mère pulpeuse à souhait.
Ça promet d’être chaud !
Elodie, coincée dans le canapé entre la mère et le fils se laisse caresser les jambes et la poitrine. Linda et moi nous éclipsons dans la cuisine pour aller prendre les plateaux de l’apéro.
A peine le seuil de la cuisine franchi, elle se colle dans mon dos et m’enlace par la taille. Son pubis appuie sur mon derrière de façon suggestive. Serait-elle un peu jalouse des baisers que j’ai échangés avec Eric et sa mère ?
La surprise passée, je me mets à rêver d’avoir sa bite en moi. Je meurs d’envie qu’elle me prenne là tout de suite !
Elle me mordille la nuque et susurre :
— Si je m’occupe de ta fille, puis de toi, pourrais-tu t’occuper de moi à ton tour ?
— J’espère en avoir encore la force !
— Gardes-en pour moi, tu veux bien ?
— La vue de ton cul joli devrait me stimuler. Dis-je en riant
Nous échangeons une petite bise sur les lèvres. Aux regards qu’elle me lance, je me rends compte que Linda en pince pour moi, plus sentimentalement que sexuellement.
Elle m’enlace à nouveau puis, après un baiser langoureux, nous retournons au salon les bras chargés.
Je constate que les occupants du canapé ne perdent pas de temps ! Hélène est penchée sur ma fille et l’embrasse avec ferveur, tout en la doigtant profondément. Elodie, les jambes largement écartées et posées sur celles de ses voisins, branle lentement la grosse bite d’Eric qui se laisse faire, le pantalon descendu jusqu’aux chevilles.
Quand je passe près de lui, il me glisse la main sur les fesses. Je m’arrête pour apprécier sa caresse, puis me penche en avant pour finir de poser le plateau sur la table de salon. Il profite de mes jambes légèrement écartées pour y glisser sa main par derrière et me saisir les couilles, puis la bite .qui grossit vite entre ses doigts.
Je le laisse me pétrir sans ménagement et apprécie beaucoup sa brusquerie dominatrice.
C’est curieux, mais je me complais à me soumettre à ce beau jeune homme. Il faut dire que quand il m’avait enculé sauvagement, je roucoulais de plaisir.
C’est Elodie qui propose d’interrompre-là ces préambules un peu trop chauds afin que nous nous restaurions. Avant que la situation ne dégénère trop, précise-t-elle.
Nous passons alors à table en nous réajustant.