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Séraphin – Chapitre 3

Séraphin - Chapitre 3



Protagonistes :

    Séraphin, étudiant à l’École polytechnique Fédérale de Lausanne, année du Master.

    Viviane, compagne de Séraphin.

    Jérôme, son oncle, footballeur au FC Sion, deux ans plus âgé de Séraphin.

    Balou, collègue de Jérôme, footballeur originaire de Côte d’Ivoire.

    Bastien, moniteur de ski.

    Liliane, compagne de Jérôme, diplômée MBA, gérante dans un office immobilier, de l’âge de Séraphin, provisoirement séparée de Jérôme.

Troisième partie

La lecture de cet enregistrement m’apportait un éclairage nouveau sur les intentions de ces deux garces. Mais j’aime bien Liliane et je suis très curieux de voir le développement. C’est toujours très agréable de se laisser séduire devant sa promise qui a les lèvres closes.

Effectivement, la vengeance doit se déguster à froid. Le soir arrivant, Liliane propose qu’on sorte les trois pour continuer la fête :

« Cela vous va ?

Du moment que les 3 clowns ne sont pas là, moi cela me va ! Je réponds.

Moi, je suis un peu fatiguée, répond Viviane, mais pourquoi pas un moment ? »

On va casser la croûte à l’auberge du Chalet, chez Bonvin, puis on se dirige vers un bar pour s’amuser un peu. Là, je danse tour à tour avec mes deux amazones, mais davantage avec Liliane, Viviane étant un peu fatiguée par ses excès, ce qu’elle ne dit pas, évidemment. Pendant la danse avec Viviane, elle met au point son plan et elle me chauffe comme pas possible et je ne suis vraiment pas insensible. Parfois, elle me roule des pelles qui sont bien agréables et je vois Viviane rougir pour mon plus grand plaisir.

« En rentrant, on met Viviane au lit et on attend un moment qu’elle s’endorme, après tu viens me rejoindre dans mon lit !

.. Cela te plairait ? Me demande Liliane.

Au-delà de tous mes rêves, j’ai toujours flashé sur toi !

Alors, tu suivras bien mes instructions, j’aimerais que l’on commence à flirter et, ensuite, que tu me fasses minette, cela fait un bail que l’on ne me l’a pas fait et j’aime beaucoup cela !

Moi aussi, j’adore sucer, lécher, plus que planter !

.. Enfin, j’aime aussi faire dégorger le poireau !

Parfait, selon ce que j’ai compris, on va refaire à l’envers ce qui s’est passé ! »

Je comprends mieux maintenant son fameux plan, me faire passer pour coupable de liaisons extraconjugales pour égaliser les torts, mais cela ne me gêne pas et je demande à voir.

On rentre à la maison et Viviane va se mettre au lit, disant qu’elle est crevée. Avec Liliane, on reste un peu éveillé pour flirter un peu en attendant que son souffle se tranquillise.

Je lui caresse un peu les seins sur sa chemise.

« Tu as des seins très agréables, j’aime bien les sentir dans ma main !

J’aime bien quand tu les caresses, continue et moi, comment me trouves-tu ?

Je suis excité comme un pou sur le pubis d’une pouffiasse !

Chéri, je crois qu’on peut y aller maintenant, me dit Liliane, en me collant une pelle délicieuse, je me réjouis des réjouissances promises ! »

Doucement, sans faire de bruit, les deux se dirigent vers le lit prévu pour Liliane, discrètement, ils se glissent sous les draps et continuent à se faire des papouilles. Finalement Séraphin s’approche du sexe de Liliane et commence à lécher d’abord son pistil qu’elle a assez développé, puis il l’aspire en le développant, ce qui entraîne des soupirs de plaisir chez Liliane.

« Oui, c’est très bon, continue comme cela ! Va aussi un peu plus bas pour visiter ma grotte d’amour !

Elle est délicieuse ta tirelire, j’aime goûter ton parfum ! Heureusement que tu ne suis pas la mode et que tu as un vrai sexe de femme, bien poilu !

Mets aussi ton sexe vers moi que je puisse te goûter ! C’est bon comme tu me lèches bien ! Oh ! Je pars, appuie bien ta langue sur mon bouton, encore, encore ! »

Là, un flot de cyprine m’envahit les lèvres et la bouche, je bande comme un cerf en avalant ce délicieux breuvage. Je sens aussi la crème qui commence à prendre, mais j’aimerais bien la mettre plutôt dans sa grotte d’amour.

« Je vais venir, j’aimerais bien venir en toi !

Oui, tu as raison, je change de sens et viens en moi ! »

Liliane change de sens et me met sur le dos en m’enjambant :

« Laisse-moi prendre mon plaisir de cette façon, c’est ainsi que j’aime le mieux !

Moi aussi, j’aime bien cette position, elle permet à ma partenaire de mieux conduire son plaisir à sa convenance !

C’est ainsi que la queue tendue comme un arc de Mongol pointant vers le ciel je reçois l’offrande du corps de Liliane qui vient s’empaler sur ma verge.

Elle commence à me chevaucher dans un cavalcade fabuleuse, son odeur de femelle en chaleur commence à envahir la pièce, si Viviane n’est pas endormie, elle doit déguster du point de vue olfactif, auditif. Liliane est un véritable volcan, ponctuant chaque pénétration de soupirs ou d’injonctions sexuelles plus ordurières les unes que les autres.

Finalement, elle explose dans un orgasme dantesque, un vrai tsunami sexuel. Je n’ai jamais connu ceci, je ne pensais pas pouvoir faire jouir si bien une femme et chose miraculeuse, je ne suis pas parti dans un orgasme et reste dur dans sa vulve.

« Je n’en peux plus, m’avoue Liliane, tu es vraiment un très bon coup, cela faisait longtemps que je n’avais pas connu un tel plaisir ! »

Elle se penche sur ma gaule bien dure et commence à me sucer avec application, sa langue chatouillant mon frein et ses amygdales caressant le bout de mon gland. On ne tient pas très longtemps à ce régime, surtout qu’elle ajoute une petite touche en me caressant le trou du cul. Un peu anxieux, je lui dis :

« Chérie, mes couilles vont exploser et si tu continues, tu vas avoir de quoi boire et manger pour un moment !

J’attends ceci depuis un moment, partager le plaisir, c’est ce que j’aime.

Je viens ! » Je lui réponds en inondant la bouche de mon sperme.

Après avoir bien vidé ma citerne, elle remonte, amoureuse, pour me coller une pelle langoureuse et nous endormons dans les bras l’un de l’autre.

En me réveillant le matin, j’entends dans la cuisine une discussion animée.

« Salope, je n’ai pas pu dormir pendant que vous forniquiez, je comprends mieux ton plan, tu veux me voler mon chéri, tu es une vraie salope !

Toi-même, qu’est ce que tu as fait avec mon mec ? Tu collais des timbres ? Je pense qu’à ce niveau, j’avais aussi un compte à régler ! »

À ce moment là, je rentre dans la cuisine et les conversations se tarissent.

« Bonjour mes belles, comment cela va ce matin ?

Toi, mon salaud, tu as bien caché ton jeu ! <u id="err76_0" class="corrected" href="#" onclick="return false; »>Répond</u> Viviane.

Comment cela ? Je réponds en jouant l’étonné

Salaud, je t’ai entendu niquer toute la nuit avec Liliane, tu ne peux savoir ce que j’ai souffert !

As-tu pensé à ce que j’ai souffert quand tu as baisé avec Jérôme ? En ayant encore des propos injurieux, tu as choisi, il est libre maintenant, tu aimes les grosses bittes sans rien, tu vas être servie !

.. Maintenant, à choisir, Liliane fait mieux mon affaire, le car postal part dans une heure, tu peux faire ta valise !

Tu ne peux me faire ça ? Pleurniche-t-elle.

Pourquoi pas, quand tu m’as orné de belles cornes, dont vous avez bien rigolé, il faut assumer !

.. Si tu veux, tu n’es pas obligé de prendre le prochain bus, je ne suis pas sans cur, mais entre nous, c’est fini, N i, ni !

Ne sois pas si dur avec elle, elle a été dépassée par les événements !

Que veux-tu que je fasse, reprendre la vie commune, à la prochaine grosse bite qui passe dans les environs, elle ne va pas pouvoir se retenir d’agrandir ma collection de cornes et franchement si pour la faire jouir, je dois la fister, cela ne m’enchante pas à long terme !

.. Je pense que nous deux, Liliane, on s’apprécie bien et pourquoi pas se mettre ensemble et elle, elle sait où trouver son bonheur ! »

Le lendemain, j’ai reçu un coup de téléphone de Constantin, patron du FC Sion, m’interpellant avec son accent valaisan inimitable.

« Dis donc, vous avez fait quoi à Nouvel an, j’ai mes deux joueurs de pointe qui sont avec une pneumonie et me disent que c’est de votre faute !

Jérôme et Balou ?

Oui !

Je crois qu’il n’existe aucune loi de l’hospitalité qui oblige à prendre sous son toit, des personnes qui ne pensent qu’à baiser la femme de l’hôte qui les accueille !

.. Je pense que si c’est des joueurs de pointe, ils feraient mieux d’utiliser leurs pointes sur le terrain que chez moi !

.. Mais je leur envoie du réconfort, il y a mon ex femme qui va leur servir de garde-malade. Elle leur est très dévouée !

Les cons, merci, je vais les punir ! »

C’est ainsi que se termine cette histoire, juste pour montrer que les grosses queues ne sont pas toujours un argument marketing suffisant et qu’ils ont tendance à négliger les accotés pourtant indispensables, mais c’est comme dans les magasins, certain(e)s regardent plus l’emballage que ce qu’il y a dedans ou la carrosserie que le moteur.

Comme disait ma grand-mère :

« Mieux vaut une petite qui frétille qu’une grosse qui roupille ! »

Balista

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