Je m’appelle Bastien. Cette histoire s’est déroulée il y a environ 3-4 ans. A cette époque j’avais 21 ans et je vivais avec ma chère et tendre dans un petit appartement du côté de La Rochelle.
Un jour, vers 14h00, que j’étais de repos et ma chérie au travail, quelqu’un vint frapper à ma porte. Il s’agissait de ma belle-sur, on l’appellera Solange, une belle petite femme âgée d’à peine 18 ans, mesurant 1m65, une taille de guêpe, un cul à en faire rompre le serment d’un curé, des petits seins tout mignons, un visage de poupée de porcelaine et des cheveux courts blonds platine coiffés en bataille. J’avoue qu’il m’est déjà arrivé plusieurs fois de fantasmer dessus.
Elle avait les yeux rouges comme si elle avait pleurée toutes les larmes de son corps, je la fis donc vite rentrer et ferma la porte derrière elle.
« – Est ce que ma sur est là ? J’aimerais parler avec elle.
— Non, désolé. Elle bosse jusqu’à 17h00-17h30. Mais tu sais que si tu as besoin de parler, je suis là !
— Je ne voudrais pas t’embêter avec mes problèmes, mais c’est vrai que tu pourrais certainement répondre à mes interrogations.
— allez viens on va s’installer dans le salon. Je te sers quelques choses à boire ?
— Oui volontiers, je prendrais bien du jus d’orange. »
Je la fis donc installer sur le canapé et partis dans la cuisine pour revenir une minute plus tard avec un verre de jus d’orange pour elle et un jus de raisin pour moi, puis je m’installai dans le fauteuil.
« – Tu ne veux pas plutôt d’installer près de moi sur le canapé, j’aurais plus l’impression que c’est une discussion entre filles.
— Si tu veux. »
Je suis donc allé m’installer sur le canapé plutôt étroit car seulement une 2 place (voir même un 1.5 place si vous voulez mon avis). Nos jambes étaient en étroit contact, ce qui n’était pas pour me déplaire je vous avouerais.
« – Donc vas-y, raconte moi ce qui t’arrive.
— Je viens de rompre avec Laurent
— Que s’est t’il passé ? Vous aviez l’air si bien ensemble !
— Je l’ai surpris au pieu avec une pétasse
— Pu***, l’enf**** ! Pourquoi il a fais ça ?
— Il m’a dit que c’était parce que je refusais de lui faire certaines choses au lit alors que je lui avais dis que je n’étais pas encore prête, mais que ce n’était pas un refus catégorique.
— Sans vouloir te brusquer, qu’elles étaient ces choses que tu ne voulais pas faire ?
— Bah Je suis un peu gênée, mais tu as quand même le droit de savoir, il s’agit en fait de fellation, sodomie et d’acte à 3. »
En me confessant cela elle devint rouge comme une tomate, ce qui sur le moment fût assez comique. Puis elle reprit la parole :
« – Tu tromperais ma sur si elle t’interdisais des choses au pieu ?
— Elle m’interdit déjà des choses au pieu, notamment la sodomie et des parties à 3, que ce soit 2 homme et elle ou moi, elle et une autre femme, mais ce n’est pas pour ça que j’ai été voir ailleurs ! »
Subitement, elle prit son verre et le vida d’une traite.
« – Pourrais-tu me servir quelque chose de plus fort, je crois que j’en est besoin.
— Bien-sur. Tu voudrais quoi ?
— Whisky pur, si tu en as. »
Je me levai donc du canapé, but mon verre également d’un coup, allai chercher la bouteille de whisky, nous servis tout les deux et laissa la bouteille sur la table-basse de salon. Elle prit son verre et le vida pour ensuite s’en resservir un.
« – Et bin ! Tu as une bonne descente !
— Comme je te l’ai dis, j’en avais besoin. Dis-moi c’est comment au pieu entre toi et ma sur ?
— Je dois dire que cela dépend des moments, cela peu être aussi bien doux et sensuel que bestiale à en devoir racheter des draps.
— Quel sont les endroits les plus insolite que vous ayez fais ?
— Il y en a plein qui sont je te l’avoue plus ou moins insolite. On a fais dans l’ascenseur, dans la cage d’escalier, dans des toilettes publique, dans la forêt ou même encore sur le canapé où l’on est actuellement installer.
— Cela veut dire que tu as déjà pris sauvagement ma sur à l’endroit exact où je suis ! »
En disant cela, elle eu subitement un regard denvie et d’hésitation, elle prit donc son verre, le but puis s’en resservie un qu’elle but également. Il me semblait qu’après ses trois verres elle était déjà bien amochée. Elle me demanda les toilettes, je me suis dis qu’elle avait surement bût trop vite et qu’elle ne l’avait pas supportée. Mais elle revint deux minutes plus tard comme si de rien n’étais sans même tituber un peu. Le seul signe de son état était ses joues qui avaient rosi légèrement et qui la rendais encore plus craquante.
« – Après ces trois verres, je commence à avoir chaud ! Cela ne te dérange pas si je me mets à l’aise ?
— Non je t’en pris fais comme chez toi.
— Je pense que si j’étais chez moi, je serais déjà en sous-vêtement, voir nue ! »
Voulant la taquiner un peu, je lui répondis que ce serais un spectacle fort agréable à regarder. Et quel ne fût pas ma surprise quand elle commença à ce lever et enlever son haut, dévoilant ainsi sa magnifique paire de seins (85B), même pas emprisonnés dans un soutien-gorge. Déjà des vibrations se sont fît sentir au niveau de mon entre-jambe.
« – J’ai retiré mes sous-vêtement en allant au toilette. Alors le spectacle est à ton goût ?
— Oh que oui ! Si tu savais depuis combien de temps je voulais les voir ! Mais pourquoi fais tu ça ?
— J’ai envie de te remercié de m’avoir écouté et j’ai envie de me venger de Laurent ! »
Aussitôt après avoir fini sa phrase, elle me sauta dessus et commença à déboutonner mon pantalon. Voyant un de mes fantasme se réaliser, je ne l’arrêtai pas, j’étais même pressé de voir jusquoù elle irait pour se venger de ce co***** de Laurent.
Ce fût avec une rapidité déconcertante qu’elle réussit à sortir ma bite qui se réveillait petit à petit, de mon boxer et de mon pantalon qui avaient l’air pourtant si étroit l’instant d’avant. Elle commença à faire de lent va et vient sur mon sexe en érection tout en me regardant. Un grand sourire illuminait son si beau visage. Ce fût le coup de grâce pour moi, c’est comme si une bête sauvage s’était réveillée dans mon fort intérieur. Je la repoussai, déboutonnai son slim et tirai d’un coup sec pour pouvoir enfin contempler cet ange dans son plus simple appareil. Elle était encore plus parfaite que dans mes rêves : Une petite chatte qui ne présentait qu’un petit triangle de poil, tondu avec soin, en son sommet et un cul à en faire gicler un homme ou à rendre une femme lesbienne rien qu’en le voyant.
Je commençai à toucher ce corps qui me faisait tant envie. Je posai ma main dans sa nuque et la tirai vers moi pour lui donner un baiser endiablé. Puis ma main commença à descendre tout doucement jusqu’à ses seins pour titiller un peu ses tétons qui pointaient furieusement en l’air. Puis la descente continua jusqu’à son fruit défendu. Au moment où l’un de mes doigts arriva en contact avec son petit bouton rose, un soupir sortit de sa bouche et elle pénétra ma bouche avec sa langue. Je sentais qu’elle appréciait les petits cercles que faisait mon index sur son clitoris.
Mais je voulais aller encore plus loin alors je fis descendre ma main de quelques centimètres pour aller à la rencontre de son petit trou déjà tout humide des caresses précédentes. Un premier doigt rentra sans problème dans cette grotte chaude et accueillante. Un autre soupir sortit de sa bouche et nous obligea à arrêter nos baisers. Je la voyais fermer les yeux pour profiter pleinement du plaisir qui commençait à l’envahir.
Je profitai donc de ce moment pour aller m’attaquer à ses seins avec ma bouche. Je léchai avec douceur et fermeté ces deux beaux tétons flingueurs présent devant moi. J’en faisais le tour avec ma langue, les mordillais délicatement, les aspirais,
A partir de ce moment, je me mis à genoux à côté du canapé et commença à faire descendre mon visage le long de son corps tout en embrassant son ventre à la peau si douce. Elle tendit aussitôt le bras pour reprendre ma bite en main et recommencer de lents va et vient.
Mon visage arrivé au niveau de son entre-jambe, je me permis de faire rentrer deux doigts supplémentaires dans sa petite chatte, cette fois-ci, ce ne fût pas un petit soupir qui sortit de sa bouche dans un gémissement sonore. Je tirai ma langue pour venir lécher son joli clitoris gonflé dirigé dans ma direction. Maintenant ce n’était plus un petit ruisseau de cyprine qui sortait de sa chatte, mais un véritable torrent.
Je mis suis dit alors que c’était le moment que la langue vienne goûter directement à ce sexe trempé présent devant moi. Il n’y a aucun mot qui décrire le goût délicieux de cette cyprine. Pendant plus de cinq minutes, je dégustai l’une des meilleures boissons qui peut exister en ce bas monde, enfonçant le plus possible ma langue dans cette fontaine de jouvence.
D’un coup, je relevai la tête, remis trois doigts dans sa grotte miraculeuse pour ne pas qu’elle « refroidisse » et lui demandai :
« – Alors il te faisait ça Laurent ?
— Non jamais, il me disait que tant que je ne l’avais pas sucé, il ne me sucerait pas, et même s’il l’avait fait je suis sur que cela n’aurait pas été aussi bien, vu comment il est maladroit ! Tu te souviens de ce que je t’ai dit ?
— Quoi ?
— Que je voulais me venger de Laurent ! Tu sais ce que cela implique ?
— Non quoi ? »
Sans crier garde, elle tira ma bite vers elle et commença à la lécher comme si c’était un esquimau à son parfum préféré. Mon premier réflexe fût de pousser un long gémissement de bonheur. Voir sa belle-sur commencer à lui lécher le sexe alors qu’elle ne voulait pas le faire à son petit ami est un véritable délice.
Sans plus attendre je repris moi aussi mes jeux buccaux sur son sexe tellement lubrifié que sa cyprine coulait dans ses fesses. Me rappelant qu’elle voulait se venger de Laurent, j’ai espéré, à ce moment là, pouvoir m’occuper de ses jolies petites fesses un peu plus tard. Pour le moment il fallait que j’aille reboire un peu de cet élixir de jouvence, tout en continuant les va-et-vient de mes doigt trempés. Au moment où ma langue rentra en contact avec sa chatte, elle essaya de prendre entièrement mon sexe en bouche, ma réaction de surprise fût si violente que mes doigts sortir de sa chatte et un des trois doigts bien lubrifiés rentra directement par inadvertance dans son petit trou étoilé. Elle poussa un énorme gémissement et arrêta sa fellation.
« – Ca ta fais autant d’effet que sa que je te prenne en bouche ?
— Désolé, et oui cela ma fait énormément d’effet !
— Faut dire aussi que ta bite est un délice en bouche, mais mon cul c’est pas maintenant, t’y auras peu être droit plus tard mais pour le moment c’est de ma chatte dont tu dois t’occuper et je sens que je ne suis pas loin de venir alors dépêche toi ! »
Puis elle reprit ma bite en bouche. Ne voulant pas gâcher ce moment je retirai mon doigt de son cul et repris mes coups de langue dans sa grotte sous marine. Plus le temps passait, plus se sentais qu’elle avait du mal à ce concentrer sur le sexe qu’elle avait en bouche, jusqu’au moment où elle n’en puisse plus, retira ma bite de sa bouche et poussa un gros râle de jouissance.
« – Pu***, tu as réussi à me faire jouir rien qu’avec ta langue alors que Laurent n’y arrivait même pas avec l’acte en lui-même. Maintenant on passe aux choses sérieuses ! Je veux sentir ta bite au fond de ma chatte, que tu me ramones comme jamais tu l’as fait à ma sur.
— Miam, par contre tu as des préservatifs car avec ta sur on en utilise plus.
— Non je n’en ai pas, mais ce n’est pas grave car je veux sentir ton sperme gicler dans ma chatte et me remplir complètement. Si je tombe enceinte je serais heureuse de porter ton enfant ! »
Sur ces paroles, elle se leva sur le canapé, se retourna et se mit à genoux sur le canapé en s’appuyant sur le dossier et en tendant les fesses dans ma direction. L’idée que ma belle-sur porte mon enfant illégitime ajouté à la vision de ce cul tendu dans ma direction, m’excita encore plus que je ne l’étais. Je vins donc me placer derrière Solange et commença à m’amuser à titiller son clito avec ma bite ou à placer ma bite juste à l’entrée de sa grotte pour qu’elle sente le contact sur ses lèvres pour la faire languir encore un peu.
« – Vas-y ! Enfonce moi ta grosse bite dans ma chatte, j’en peux plus ! Je veux la sentir labourée mes entrailles.
— Non, non, non ! J’ai envie de te faire languir encore un peu comme ça ! »
Mais Solange ne l’entendait pas de cette oreille, dès que je replaçai ma queue à l’entrée de sa grotte, elle fit un petit mouvement arrière et ma bite rentrant directement dans sa chatte comme si elle avait été aspirée. Elle poussa un rugissement comme je n’en avais jamais entendu, même de la part des animaux que l’on voit quelques fois sur la 5. Étant donné que mon sexe avait enfin pénétré son intimité la plus secrète, je commençais des va et vient d’abord lent puis de plus en plus rapide au fur et à mesure que le temps s’écoulait. Les gémissements de Solange suivaient mes coups de queue qui frappaient le fond de son vagin. Vagin dont je pouvais parfaitement sentir chaque cm² sur son sexe en érection.
« – OH OUI PU***, PLUS FORT JE SENS QUE JE VIENS ! VAS-Y A FOND ! »
Puis à ce moment là, son vagin se resserra autour de ma bite, elle s’abandonna à un cri bestial indiquant le niveau de sa jouissance, tellement fort qu’elle dût s’en mordre les doigts. Le fait de savoir qu’elle à u un orgasme si fort m’excita de plus bel.
« – Oh oui, je vais venir !
— Vas-y, envoie-moi tout dans la chatte ! Je veux sentir tout sperme chaud au fond de mon vagin. »
Je sentis le sperme gicler de mon sexe, accompagné de mes cris de jouissance ainsi que ceux de Solange. Une fois que je croyais être vidé, je me retirai et vis le sperme couler en abondance de sa chatte. Je me suis assis à côté d’elle ne me doutant pas de la suite des évènements.
« La vache tu m’as remplie et tu m’as fait avoir deux orgasmes, tu es vraiment le meilleur coup que j’ai jamais eu, mais j’en veux encore ! »
Elle se jeta alors sur ma queue qui commençait à ramollir un peu et la prit en bouche pour la nettoyer du sperme et de la cyprine qui restait dessus, mais également la revigorer. C’est à ma grande surprise que ma queue eut comme une seconde jeunesse, comme si elle pensait indépendamment de ma volonté et qu’elle était partante pour la découverte de grotte inexplorée.
« – Maintenant je veux vraiment achever ce co***** de Laurent ! »
Elle alla prendre son portable et appela Laurent en appel Visio.
« – Oui qu’est ce que tu veux ?
— Je voulais te montrer ce que tu loupais gros co* ! »
Alors elle pointa la caméra vers ma bite et la prit en bouche, fit 2-3 va-et-vient, se leva, me tourna le dos, présenta ma queue à l’entrée de son petit trou étoilé et s’empala sur ma queue qui rentra d’une traite et lui fît poussé un cri mélangeant douleur et plaisir. Je venais de me rendre compte que j’avais enfin eu droit à la sodomie et que c’était avec ma belle-sur sur qui je fantasmais depuis si longtemps.
« – Salo** ! Tu voulais pas le faire avec moi, soi disant que tu n’étais pas prête et tout. Et il à suffit que je te trompe une fois pour que tu aille te faire péter le cul par n’importe qui !
— Ce n’est pas n’importe qui, c’est mon beau-frère avec qui j’avais envie de baiser depuis bien longtemps et il a réussi à me faire jouir plus de fois en une heure que toi en un an ! »
Sur ces dernières paroles, elle raccrocha et continua les va-et-vient de son cul sur ma bite. La sensation était différente par rapport à sa chatte. Ce trou était beaucoup plus serré et faisait pression sur la base de ma bite, mais l’intérieur était si doux. Je n’aurais jamais pensé que ça soit si bon.
« – Je peux savoir ce qui se passe ici ? »