J’ai 20 ans je fais 1m65, brune, fine et élancée. Je ne cache pas que je plais aux hommes, aux femmes aussi, mais ça c’est une autre histoire. Mais moi mon kif, c’est les hommes à partir de 50 ans… mmmm!!! que dire, ils m’excitent. Je les trouve sexys, un peu gauches des fois parce que certains n’osent pas aller vers les petites jeunes, mais dès que tu les attises, ils sont là prêts. Aujourd’hui je suis en manque, je décide de partir me balader seule dans Paris. Je me pose dans un café branché dans un quartier chic de la capitale. Ce jour là il pleuvait, pas très beau, comme d’habitude… Peu importe dans ce café je croise le regard d’un homme dans ma cible d’âge, élégant, cheveux grisonnants, assis avec une femme du même âge, sûrement sa femme, et deux jeunes hommes. D’abord je détourne le regard. Il faut savoir se faire comprendre du regard. Et les hommes aiment qu’on détourne le regard comme gênée, embarrassée, émoustillée. Je baisse le regard quelques secondes, approche la tasse de café à mes lèvres et retente un message du regard vers sa direction. Il discute, rigole… à un moment je pense qu’il n’a pas compris mais quelques secondes après il pose son regard sur moi. On reste comme ça à se regarder du coin de l’il. J’esquisse un petit sourire et tente de l’attirer encore plus. Par mégarde je fais tomber mon foulard, je me lève gracieusement, me retourne doucement tout en me baissant le ramasser pour lui permettre de voir mes belles fesses bombées et mon string rouge glissant de ma jupe. Effet immédiat, du coin de l’il je vois qu’il n’en a pas loupé une miette. Je décide d’aller aux toilettes, j’ai une envie pressante de me toucher. S’il comprend mon message il me suivra sinon j’ai de quoi me satisfaire dans mon sac. je me dirige vers les toilettes mais avant je fais un petit détour par sa table en le frôlant de mon foulard. Je me dirige vers les toilettes, je m’enferme dans une cabine assez spacieuse et commence à glisser mes doigts sur ma chatte. Toute poilue sur le pubis mais toute rasée sur les lèvres. C’est doux, et je sens déjà la chaleur m’envahir. J’ai un sextoy dans mon sac, je le sors et décide de l’allumer mais j’entends la porte des toilettes claquer. Quelqu’un est entré. Sûrement une femme mais je ne suis pas sûre. Je regarde par le trou de serrure et je vois un pantalon d’homme, c’est lui … J’ouvre. On se regarde, et là d’un coup il me pousse vers les fond, ferme la porte à clef et me dit: à nous deux ma petite chienne. Haaa moi je suis en transe, il doit faire la soixantaine mais une force dans les bras qui me satisfait. Il m’arrache les boutons de ma chemise décolletée, plonge sa tête entre mes seins, me lèche les tétons les mord, ça me fait mal mais j’aime et j’en redemande. Il se débarrasse de son blouson, me plaque au mur, glisse sa jambe entre mon entrejambe, c’est divin. D’une main il glisse ses doigts vers ma chatte et d’un coup deux doigts. Je me sens haletante mais j’en veux encore plus. Je déboutonne son pantalon et sors sa queue. Il bandait le vieux. J’ai une envie de le sucer. Je me baisse, il me tient la tête. Je l’entends murmurer, vas y ma pute, suce moi, fais moi venir. Tu suces bien salope. J’adore et j’y vais de plus belle. Je le suce bien et ça me plaît, sa bite est propre et je suis sûre que son jus est délicieux. Je continue de plus belle, je sens qu’il va venir, et que son orgasme est proche mais je veux ma part du gâteau. Je me lève et lui dis met la moi maintenant, il m’attrape les cheveux et me fait baisser de force, continue de me sucer je m’occupe de ton cul après. Jadore son assurance, je reprends sa queue dans ma bouche et là il me serre la tête pour qu’il contrôle lui même la vitesse, il s’éclate dans ma bouche, pousse encore plus loin dans ma gorge. Je sens son excitation et d’un coup son foutre se retrouve au fond de ma gorge, j’avale tout je suis bien obligée il me serre fort la tête, j’ai peur de m’étouffer parce que son jus est puissant. Il était plein, il a éjaculé longtemps dans ma bouche et j’ai tout avalé, goût amer mais quel délice, je n’en perds pas une miette. Il pousse un cri rauque et sort sa queue de ma bouche. Tu aimes ça ma petite salope me dit il, mais j’ai une bonne surprise pour toi, j’ai encore envie de baiser retourne toi. Il me retourne et là me plaque fait remonter mes fesses, il commence à me mettre sa langue dans mon ptit trou. Je lui dis non je suis encore vierge de ce côté. Il me dit, je vais t’apprendre ce que les hommes de mon âge peuvent te faire. Mais je nai pas trop envie qu’il me déchire. J’ai peur. Sa langue commence des allées et venues dans mon trou et je commence à me détendre. Je trouve ça agréable. Il se relève rapidement et je sens son sexe sur mon trou. Il est dur et mon ptit trou encore serré. Il pousse, et ça me fait mal. Dun coup il pousse et entre. Je crie et veux arrêter, il me bloque. Fallait pas m’aguicher si tu ne veux pas te faire défoncer. Maintenant tu vas voir. Il commence à me pistonner, on souffle saccadé, petit à petit la douleur se mêle au plaisir. Je me détends et commence moi même à pousser, sa queue et encore plus enfoncée. Jen redemande, mes cris se font de plus en plus entendre et j’ai peur que quelquun rentre et me voit là. Je prends mon pied, c’est bon, j’adore j’en redemande il continue de plus belle je me retrouve à quatre pattes la tête vers la cuvette. Mon orgasme monte et son râle ne se fait pas attendre, une giclée de sperme est lâchée dans mon ventre. Je suis dans l’extase, dans un orgasme divin. Il se retire. Me dit c’est bien ma pute, tu es bonne. Je te laisse reprendre tes esprits. Je vais voir ma femme. Il s’en va et moi je redescends sur terre, mes affaires éparpillées par terre et mon chemisier complètement perdu. Mais que c’était bon. Je commence à ranger mes affaires quand j’entends quelquun entrer dans les toilettes… Puis on frappe dans la cabine où je m’étais enfermée. Je dis c’est pris, et là c’est un homme qui me répond. Je sais, ouvre. J’ouvre et c’est l’un des serveurs qui entre d’un coup. Il parait que tu viens de sucer mon boss Tu ne sais pas c’est le patron du café. Il nous a autorisés à tour de rôle de venir de rendre visite petite coquine. On n’aura pas d’augmentation l’année prochaine alors c’est toi notre petit réconfort de la soirée. Je reste pétrifiée… (la suite bientôt)