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Le petit bois – Chapitre 2

Le petit bois - Chapitre 2



Après ses injonctions, Marie se frotte contre moi, ses énormes seins sont sortis de soutien-gorge, elle entreprend mon déshabillage en ondulant comme une salope. Je sens le désir monter et ma queue émerge vite de mon slip. Une fois nu, Marie me caresse, prend ma bite à pleine main et se caresse la chatte poilue.

« Caresse-moi aussi pour me faire mouiller, je vais m’empaler sur la queue d’André pendant que tu prépareras mon cul pour me baiser par-derrière. »

À califourchon sur la bite d’André, Marie me présente sa rondelle.

Sans ménagement, car la salope doit avoir l’habitude de se faire prendre à sec, j’introduis puissamment mon engin dans ce cul offert et entreprends de la ramoner. La chienne, elle mouille aussi du cul.

En essayant de coordonner nos mouvements, nous lui labourons les entrailles.

« Allez-y les gars, je sens vos queues qui s’entrechoquent à travers ma paroi. Pilonnez-moi jusqu’à me faire jouir une première fois. »

Ça ne tarde pas. Prise de soubresauts, elle se déchaîne dans un bruyant orgasme mais éjecte prématurément les deux bites.

« Deux queues à la fois, c’est sublime, il m’en aurait fallu une de plus dans la bouche. Il faudra y penser pour la prochaine fois. Je vais me contenter de sucer un gode avec mon odeur de chatte. Allez-y, à vous maintenant, je vais me branler devant le spectacle. »

N’ayant pas joui, nos deux bites sont en pleine érection, j’ai hâte de sucer celle d’André pleine du jus de Marie.

« Viens debout André, ça me rappellera le petit bois »

Je lui caresse les jambes et le frottement avec ses bas m’excite énormément. Je remonte jusqu’à son entrejambe et prends sa bite à pleine main.

« Caresse-moi bien les couilles j’adore ça » me dit-il.

Je m’exécute avec plaisir en faisant des allers et retours entre sa queue, ses couilles et son trou arrière. Je bande à fond et à son tour, il me prend la bite la frotte contre la sienne.

« La dernière fois, André c’est toi qui m’as baisé, aujourd’hui j’ai envie de te pénétrer ».

Marie qui s’est assise en face de nous s’est introduit un énorme gode dans la chatte. Le clapotis qui s’échappe des va-et-vient est des plus excitant. Elle semble se délecter en nous observant. Elle se caresse ses grosses mamelles et se branle énergiquement.

« Oui baise-lui sa chatte de salope Jean, défonce-le. Il a l’habitude de mon gode mais ta queue est si belle que tu vas le faire jouir par le cul. »

« Viens me sucer Marie pendant qu’il me baise »

La main toujours active avec le gode dans son con, Marie s’approche en faisant dandiner ses gros seins, s’agenouille et englouti la queue d’André.

Je suis déjà entré dans le cul d’André et agrippé à ses hanches, le laboure littéralement.

« Ne décharge pas dans son cul Jean, quand tu seras au bord, viens dans ma chatte te finir ».

Cela dit, la pression monte tellement vite que je me retire, Marie lâche la queue d’André, s’allonge par terre les cuisses bien écartées et j’enfourne ma bite dans son trou béant. Deux allers et retours suffisent tellement je suis excité et j’inonde le con de Marie.

« Retire-toi jean » me dit André

« Marie lève-toi et fait couler le jus de Jean le long de tes cuisses, j’ai envie de te lécher. »

Avec un petit effort, Marie expulse le sperme hors de sa chatte qui coule le long de ses cuisses.

« Si tu pouvais pisser en même temps, ce serait sublime » lui demande André.

Qu’à cela ne tienne. Marie s’exécute en envoyant de puissants jets d’urine qui inondent la figure d’André. Le spectacle est impressionnant et ultra bandant. Voir ces jets partir d’entre ces grosses cuisses et le sperme couler est une vue inoubliable.

André s’affaire à lécher tout le bas du corps de Marie et j’observe le tout en continuant à me branler. Malheureusement je n’ai qu’un petit orgasme, fatigué des assauts précédents.

La partie se termine quand Marie sonne la fin en nous faisant promettre de recommencer avec un troisième partenaire qu’elle nous laisse le soin de trouver. Pour ma part, j’aimerais bien trouver une deuxième femme pour l’équilibre du jeu. Si Marie veut une troisième bite, elle pourrait se faire enculer par un gode ceinture et nous pourrions tour à tour, bourrer ces deux chattes.

Je sais que dans mon immeuble, il y a depuis peu une femme seule que je pense être très salope de réputation. Elle s’occupe de personnes âgées à domicile. Elle s’habille toujours très sexy. Décolleté sur une poitrine imposante, minijupe sur des bas ou collants noirs, cuissardes montant presque au ras de la jupe. Je suis sûr qu’elle le fait exprès pour exciter ses clients et peut-être monnayer des « extras » Il va falloir que j’essaie d’en savoir plus en lui demandant si elle pourrait venir faire le ménage chez moi-même si je ne considère pas faire partie des « personnes âgées »

Rentré chez moi, je ne cesse de penser à la façon de l’aborder et chaque fois que j’imagine notre entrevue, je me surprends à bander très fort.

C’est décidé, je vais frapper à sa porte après l’avoir vu rentrer de son travail.

Je gravis lestement les deux étages qui nous séparent et je sonne chez Madame « Josy Marchal ».

La porte s’entrebâille retenue par une chaîne de sécurité.

« Bonjour Madame, je suis votre voisin du dessous, j’ai appris que vous effectuiez des services à domicile et j’aurais besoin de quelques heures de ménage ».

« Bonjour Monsieur, je vous ai croisé quelques fois dans l’entrée de l’immeuble. Excusez ma prudence pour ne pas vous avoir ouvert plus ma porte mais vous savez, il y a tellement de démarcheurs plus ou moins escrocs qu’une femme seule se doit d’être prudente. »

« Vous avez raison. Revenons à ma demande, croyez-vous que vous pourriez venir faire quelques heures de rangement chez moi ? »

« Entrez, nous allons en discuter mais excusez ma tenue, après le travail j’aime bien me mettre à l’aise en fin de journée. »

Déjà excité par sa tenue de ville, je découvre une belle plante assez grande juste vêtue d’un déshabillé noir transparent à peine fermé par une légère ceinture, le décolleté presque ouvert laissant deviner une superbe poitrine. En me laissant entrer, elle saisit une robe de chambre qu’elle passe négligemment et pudiquement sur ses épaules.

« Passons au salon. Asseyez-vous. En tant que voisin, puis-je vous offrir un petit apéritif ? Un petit whisky vous ferait-il plaisir ? »

« Ce n’est pas de refus, vous êtes bien aimable Madame Marchal ai-je vu sur votre porte ».

« Vous pouvez m’appeler Josy, c’est comme cela que m’appellent la plupart de mes clients, c’est plus convivial ».

Après s’être absentée pour préparer l’apéritif, un Chivas 12 ans d’âge, elle a du goût la dame ! Josy s’assoit en face de moi en laissant tomber accidentellement sa robe de chambre mais ne la remet pas en place. J’ai tout loisir d’admirer ses formes et le galbe de ses cuisses légèrement découvertes par les pans écartés de son déshabillé.

« Alors Monsieur… »

« Jean Rebier »

« Alors Monsieur Rebier, vous auriez besoin de mes services ? Je travaille avec des chèques emploi service. C’est pratique tant pour moi que mes clients. Si nous sommes d’accord, après avoir estimé le travail, je vous proposerai un prix qui se situera entre 15 et 20 Eros de l’heure. Est-ce que cela pourrait vous convenir ? »

Scotché par la vue de ce corps presque dénudé, je ne réponds pas

« Vous ne me répondez pas. Est-ce ma tenue qui vous interpelle ? Je vois votre regard insistant sur mon corps »

« A vrai dire, je suis surpris pas autant de beauté dévoilée ou à peine voilée et votre remarque me libère ».

« Ne me dites pas que je vous excite »

« J’avoue que si, ce soir particulièrement mais chaque fois que je vous rencontre dans l’immeuble avec vos tenues très sexy, je fantasme en rentrant chez moi ».

« Allons Monsieur Rebier. Jean, approchez que je vérifie votre état. »

N’osant pas me lever, c’est elle qui se déplace en se plantant debout devant moi.

« Ce sont mes seins qui vous excitent ? »

En disant ces quelques mots, elle me prend la main pour m’inviter à me lever et pose son autre main sur mon pantalon.

Dans un mouvement de va-et-vient elle caresse mon sexe hypertendu à travers le tissu.

La ceinture de son déshabillé se défait et laisse apparaître un entrejambe gainé d’un excitant string cachant mal une épaisse toison pubienne.

Josy prend l’initiative de défaire ma ceinture, baisser ma braguette ce qui laisse choir mon pantalon sur le sol.

Ma queue émerge de mon slip avec déjà quelques gouttes de liquide spermatique.

« Quel bel engin mon cher Jean, je vois que je vous fais bien de l’effet. Vous m’avez offert votre bite, je vous offre mes seins et vous pouvez jouer avec ma chatte ».

Cala dit, d’une main je pétris un sein que j’ai sorti de son soutien-gorge, je suce le mamelon comme pour le téter et de l’autre main, je plonge dans son string constatant que sa toison est déjà bien mouillée de cyprine.

« Vous aussi Josy vous êtes excitée à ce que je vois et ce que je sens ».

« C’est vrai et maintenant, j’ai envie de me faire baiser, venez dans la chambre nous serons plus à l’aise, je veux votre queue dans ma chatte ».

Après avoir quitté le bas de mes habits, je suis Josy en me délectant de la vue de sa croupe au galbe parfait et en imaginant déjà une pénétration endiablée.

Josy couchée sur le dos a gardé son soutien-gorge et sa nuisette, son string baissé à mi-cuisses la chatte ouverte dont elle écarte les lèvres pour mieux me recevoir.

« Viens et baise-moi »

Très excité, je commence à lui embrasser les chevilles et remonte lentement sur ses jambes et ses cuisses jusqu’à sa toison. En écartant bien ses lèvres, elle a découvert un impressionnant clitoris bandé comme une petite bite. Je m’amuse avec ma langue et entreprends d’aspirer ce morceau de chair.

« C’est bon ! Continu mais pas trop longtemps, je sens que je vais jouir et c’est ta queue que je veux dans mon con. »

Je ne tiens pas compte de sa recommandation. J’insiste en faisant rouler ma langue autour de son clito et en aspirant la chair de ses lèvres. Soudain Josy se raidit, se cabre et part dans un puissant orgasme accompagné d’un jet de cyprine.

« Viens vite, baise-moi, je veux ta queue, remplis-moi de ton sperme, ne crains rien, je prends la pilule ».

J’introduis mon engin dans sa grotte mais tellement excité, je ne tarde pas à jouir.

Après quelques instants de repos, je me retire.

« Donne-moi ta queue que je goûte ce qui continue à suinter »

L’opération terminée, Josy se relève en remontant son string.

« Je vais conserver ton jus en souvenir, il va tapisser mon string en descendant et quand tu me rencontreras tu penseras que j’ai ta semence entre les cuisses. »

Je me rhabille.

« Vous me semblez être une vraie salope Madame Josy »

« Oui, j’aime bien le sexe mais j’ai rarement l’occasion de tomber sur des hommes comme vous, je me masturbe souvent ».

« Et vos clients, ne vous font-ils pas des avances dans votre tenue sexy ? »

« Oh, ce sont principalement des personnes âgées voire très âgées et même si je surprends chez les hommes leurs regards lubriques, cela ne me donne pas envie. J’ai eu des propositions mais à part un vieux Monsieur que j’ai surpris en train de se masturber, qui m’a proposé de me payer c’est la seule fois que j’ai accepté. De temps en temps, mon travail terminé, il a droit à son petit plaisir. »

« Et les femmes ? »

« Non, elles ne sont pas aguichantes seulement chez une, qui a une fille très jolie et désirable mais je la vois rarement et me contente de la mater ».

« Si je vous proposais, une partie à quatre avec la femme d’un copain et lui-même, une femme plantureuse, pas grosse mais bien en chair avec des seins et un cul à donner envie seriez-vous partante ? »

« Je ne sais pas, ça demande réflexion. Ça ne m’est jamais arrivé mais en visionnant des vidéos pornos sur internet ça me tente d’essayer. Nous en reparlerons. »

Un peu déçus de sa non-adhésion spontanée, nous prenons congé après une caresse affectueuse sur chacune de nos entrejambes.

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