Alors ça y est, c’est fait, ma première fois avec un homme !
Je vais vous raconter mon expérience, sous trois aspect:
D’abord érotique (parce que c’était terriblement excitant et que j’ai envie de vous raconter en détail comment ça c’est passé).
Ensuite pratique: ça vous donnera un aperçu sur ce qu’est un sauna gay, et ce qu’il faut savoir.
Enfin psychologique: Ce que je ressens après cette expérience.
Mon récit est très sexuel, mais j’aborde d’autres points à la fin.
Attention, c’est long.
Je tiens à dire que cette histoire est une histoire *vécue*, je n’ai pas inventé la moindre parcelle de ce récit. (Et si ça vous excite, j’en serai heureux 🙂
J’ai la quarantaine, bi, marié, et je n’avais jamais rien fait avec un homme. Je suis comblé côté féminin, mais j’ai toujours l’impression qu’il me manque un pan de ma sexualité. Il m’en manque la moitié: la moitié masculine. Je me suis récemment décidé à franchir le pas (d’autant que ma femme m’a dit que ça ne la dérangeait pas que j’aille voir ailleurs, tant que c’est des rapports protégés).
Mon type de mec ? Pas trop corpulent, très poilu, et je me moque de l’âge (Oui je sais, c’est un peu spécial). Mais je sais qu’on peut avoir du plaisir avec des personnes qui ne sont pas – a priori – votre idéal. Je pars donc sans idée préconçue.
Plutôt qu’un site de rencontre, j’ai choisi un sauna gay.
Pourquoi un sauna gay ? Déjà, c’est agréable: douches chaudes, sauna, hammam… on est là pour se détendre. Ensuite, on peut voir sur pied avant de "consommer", et trouver plus facilement des affinités sexuelles. En prime, c’est un environnement sécurisé (Les propriétaires veillent sur les lieux).
Ma seule crainte: Croiser quelqu’un que je connais. (Mais ma crainte ne s’est pas concrétisée.)
C’est donc parti…
J’ai pris mon après-midi et suis arrivé au sauna (dont je tairai le nom) à 14h, heure d’ouverture. C’est entre 14h et 18h qu’il y a le plus de monde. Il est censé fermer à 21h, mais il n’y a généralement déjà plus personne à 18h30. (d’ailleurs le patron ferme souvent vers 19h). Il vaut mieux donc venir à l’ouverture.
Une fois l’entrée payée, je reçois une serviette propre et une clé attachée à une petite pochette contenant lubrifiant et préservatif: Le ton est donné. Cette petite pochette possède un scratch, et on l’attache généralement à la cheville. Une fois au vestiaire, hop !… à poil, la serviette autour de la taille et direction les douches (obligatoires avant toute autre activité). C’est rassurant: au moins vous savez que ceux que vous allez rencontrer sont propres.
Je dois dire que c’est loin d’être désagréable de se doucher avec d’autres hommes. Je ne me gêne pas pour jeter des coups d’oeil, avec le sourire, et les autres en font autant. A voir tous ces corps, je bande déjà à moitié, mais curieusement ça ne me gêne pas. Je ne me savais pas exhibitionniste, mais j’avoue que j’aime sentir le regard des hommes sur moi.
Ce qui est bien avec le fait d’être nus, c’est que tout le monde est au même niveau: Vous ne jugez pas les gens sur leur apparence vestimentaire. Bien sûr, vous rencontrerez tous les âges et toutes les morphologies.
Mais contrairement à ce que j’ai pu lire ailleurs, il y a beaucoup de respect. Vous n’entendrez personne faire de remarques sur le physique d’un autre homme, ni même faire la grimace en le croisant. On est tous là pour se détendre et passer de bons moments. Alors c’est sans la moindre honte qu’on peut déambuler avec (ou sans) sa serviette. Aucun problème, n’ayez pas peur de votre physique: Personne ne vous jugera. C’est agréable d’avoir ce poids en moins.
Je décide de commencer par le sauna. Ne confondez pas sauna et hammam: Tous les deux sont chauds, mais le sauna est sec et le hammam est humide. Pour le sauna, il vaut mieux garder sa serviette: vous pourrez vous assoir dessus. Je vous conseille de ne garder aucun objet métallique sur vous (chaîne, alliance…), ça chauffe vite.
J’entre dans le sauna. L’éclairage est très faible, je ne vois rien. Je m’installe sur la banquette du haut. Après quelques temps, je commence à mieux voir. Plusieurs hommes sont là, sans bouger. Je sue à grosses gouttes, mais c’est agréable. (Il paraît qu’il faut mieux respirer par le nez, et lentement. Ce que j’ai fait.)
Un homme sur la banquette en dessous de la mienne me caresse doucement la cuisse du bout de ses doigts. Il a à peu près mon âge, il n’est pas corpulent, et juste un peu poilu de la poitrine et du ventre. J’aime les hommes très poilus, et il n’est pas vraiment mon type, mais je me laisser aller au jeu et je lui rends sa caresse en remontant le long de son bras.
Les caresses se font plus insistantes, et je descend à son niveau. Nous nous retrouvons l’un en face de l’autre à nous caresser mutuellement. Il me caresse partout, torse, épaule, dos, bite, fesses, jambes… c’est un vrai plaisir. Il titille mon anus avec son doigt. Mon amant serait-il plutôt actif ? ça tombe bien j’avais envie d’essayer. En plus sa bite n’est pas trop grosse, ça m’irait bien. J’en profite pour caresser son torse poilu. J’aime ça.
Je me suis toujours demandé si j’aimerais embrasser un homme: Et bien j’aime beaucoup. Je ne ressens pas la moindre gêne. Pendant que nous nous embrassons et caressons de partout, les autres hommes présents n’en ratent pas une miette. Et je suis surpris de voir que j’aime beaucoup qu’on nous regarde.
Mon amant m’invite à sortir du sauna. Nous reprenons nos serviettes et nous avançons. Près des douches, nous croisons un homme svelte, la cinquantaine, très bien entretenu, et merveilleusement poilu. Vous savez, de ce torse touffu, avec des poils blancs (en prime). Oui les hommes poilus ça m’excite à mort, je ne sais pas pourquoi. Je tombe complètement en arrêt devant ce corps. C’est lui que je veux ! Je rêve d’un homme poilu comme ça. Et je me dis que je ne pourrai jamais l’avoir. Mon amant semble également très troublé.
Mais nous laissons le poilu à ses ablutions et reprenons notre chemin vers le hammam. Là, nous accrochons nos serviettes à l’extérieur (sinon votre serviette va se gonfler d’humidité).
Une fois entré, il fait également très sombre: Pas d’éclairage, juste la lumière qui filtre par la porte en verre. Un épais brouillard m’empêche de voir. Nous nous asseyons et continuons nos caresses.
Au bout d’un moment, je finis par voir les autres hommes présents dans la pièce. Ils nous regardent nous caresser. Mon amant décide de me sucer. Je me laisse faire un moment, et je fini par faire de même: Je prend d’abord sa bite à la base, passant ma langue le long de sa bite de bas en haut. Je la prend par moments dans ma bouche. Je ne m’attendais pas à ce que ça soit aussi doux. C’est doux et chaud. Et c’est tellement agréable de l’entendre soupirer de plaisir.
Je me relève, et deux autres hommes se sont approchés et participent à nos caresses. Des mains se tendent. C’est un vrai balai de mains qui passent partout: bites, couille, fesses, jambes, torses… on s’embrasse aussi à droite et à gauche. J’attrape les bites de mon amant et de l’homme qui se trouve à ma gauche. Fantastique sensation d’avoir une bite dans chaque main pendant qu’ils me caressent. Je passe de temps en temps ma main entre leurs jambes, caressant leurs couilles et leurs fesses que j’attrape à pleine main.
Je les branle, et quand ils se rapprochent, je frotte leurs bites l’une contre l’autre. Ils ont l’air d’apprécier.
Je me met à genoux, et je suce alternativement les deux. Qu’est-ce que ça peut être excitant ! Deux bites près de mon visage. L’homme à ma gauche m’attrape la tête et essaie d’enfoncer un peu trop sa bite: Cela me provoque un réflexe d’écoeurement: Je sors immédiatement sa bite de ma bouche. Faire de la gorge profonde, ce n’est pas encore pour moi. Ce n’est qu’un petit contretemps: il a compris que ça n’était pas mon truc et les caresses reprennent.
C’est vraiment fantastique de caresser et être caressé ainsi par plusieurs hommes, et peu importe qu’ils ne soient pas taillés comme des Apollons. Nous prenons beaucoup de plaisir.
Une note à propos des saunas: Si quelqu’un ne vous plaît pas, il vous suffit de repousser sa main. C’est tout. Tout les habitués comprennent ce geste: Il veut dire "non". Pas besoin d’être agressif: Repoussez juste les mains de ceux que vous ne voulez pas. Ils insisteront peut-être, mais repoussez gentiment les mains. Ils comprendront.
Nous avons repoussé quelques mains, et ces messieurs sont restés à distance, à nous observer. Mais même si ces quelques messieurs ne m’attirent pas et que je n’ai rien envie de faire avec eux, je m’aperçois que ça m’excite beaucoup qu’ils nous regardent.
Je suis debout. Mon amant vient se mettre en face de moi et vient glisser sa bite en dessous de mes couilles, entre mes cuisse, et vient se plaquer contre moi. La sensation est fabuleuse: Je ne savais pas que c’était aussi agréable se sentir une bite glisser entre ses cuisses. J’attrape ses fesses à pleines mains pour le plaquer encore plus contre moi. Il en fait de même, et commence des mouvements de va-et-vient. J’adore ça.
Il vient ensuite se mettre derrière moi pour faire la même chose. Quelle incroyable sensation de sentir sa bite glisser entre mes fesses et mes cuisses, pendant que l’autre homme et moi nous nous branlons mutuellement.
Au bout de quelques minutes de ces frottis-frottas, mon amant m’invite à sortir du hammam, et nous poursuivons notre visite dans l’établissement. Une suite de couloirs étroits, donnant sur de petites cabines simples avec un lit, certaines avec des lits doubles. Il y a aussi une salle avec des canapés et un éclairage doux. Et une salle vidéo, pour le moment vide, avec de grands matelas arrangés en estrades pour s’allonger.
Les couloirs étant étroits, on croise de près les autres hommes. Mon amant s’arrête dans le couloir, et un autre homme s’approche de nous. Nous recommençons les caresses, à trois, en plein milieu du couloir. D’autres hommes passent à côté de nous, non sans jeter un coup d’oeil. Je n’ai pas la moindre honte d’être là, à nous caresser en plein couloir. Je me sens détendu et les autres le semblent également. Il n’y a pas de gêne.
Tout à coup, le fabuleux poilu vu aux douches s’approche, l’air de rien. Il ne nous touche pas et reste à distance. Je tends la main et touche son magnifique torse poilu: Il sourit alors et vient rejoindre nos caresses en plein milieu du couloir. Ouah… quelle aubaine. Je passe mes mains sur ce corps svelte et velu, caressant la toison de sa poitrine. Il sourit. Il attrape ma tête et celle de mon amant et rapproche nos visages pour qu’on s’embrasse. Je plonge ensuite mon visage dans la fourrure de son torse. Ma main passe sous sa serviette, remontant le long de ses cuisses pour atteindre ses magnifiques petites fesses velues que je malaxe avec plaisir, glissant à moitié mon doigt dans la raie. Je continuerais bien ainsi un bon moment, mais mon amant m’entraîne alors loin de ces caresses. Je crois qu’il a vu à quel point le corps du poilu m’allumait et il veut me garder pour lui.
Je le suis quand même. De toute manière le poilu avait l’air un peu brusque dans ses gestes, et je veux de la douceur pour une première fois.
Mon amant m’invite dans une cabine avec un lit double. Nous tombons nos serviettes et recommençons nos caresses. Il a laissé la porte ouverte, ce qui me plaît bien. Nous n’arrêtons pas de nous caresser, partout, que ce soit avec les mains ou avec la bouche, très tendrement. Je frotte ma bite contre la sienne. A un moment, il s’allonge sur le dos, moi sur lui, face à lui, frottant ma bite sur son ventre et son torse. Il la prend en main, et pendant qu’il me branle doucement, je met la main derrière moi pour plaquer sa bite contre mes fesses. Ma main descend vers ses couille et son cul. Nous nous caressons comme cela encore longtemps.
Des hommes passent et nous regardent nous caresser. Visiblement, ça les excite beaucoup. Quelques main approchent, mais mon amant les repousse. Nous continuons nos caresses. Tout est toujours fait avec respect, personne n’insiste.
Au bout d’un moment, il décide de fermer la porte. Nous discutons un peu, pendant que les caresses continuent. Je lui avoue que c’est la première fois que je le fais avec un homme. Il souris et a l’air tout ému. Je pense que c’est un peu le fantasme de la virginité des hétéros, version homo ? Bref… Nous nous embrassons et il me met sur le ventre, une jambe relevée. J’ai bien compris ce qu’il veut faire, et je lui fais signe que oui, j’ai envie qu’il me prenne.
Il met le préservatif, le lubrifiant et viens se mettre derrière moi. Il commence à me pénétrer, mais ça fait un peu mal: Il ne m’a pas assez préparé avec son doigt. C’est dommage, ça aurait pu être totalement sans douleur. Il insiste, et pendant une minute, ça fait mal, j’ai même envie d’arrêter. Mais j’avais aussi envie d’aller jusqu’au bout.
Et puis au bout de cette minute, pouf ! Plus de douleur. Disparue. Juste du plaisir. Je le sens glisser en moi. J’aime sentir sa bite en moi. Il s’arrête de temps en temps, et j’adore ça: Cela me permet de sentir encore mieux sa bite en moi. Il me demande si ça va, je fais un oui de la tête.
Je me suis un peu tourné, pour qu’on puisse s’embrasser plus facilement. Je tends le bras pour attraper sa fesse et venir le plaquer contre moi. En attrapant sa fesse, mes doigts sont presque sur son anus. De temps en temps, je viens le plaquer à fond contre moi. C’est fantastique de le sentir plaqué contre mes fesses, sa bite tout au fond de moi.
Voyant que je veux aussi toucher sa bite pendant qu’il est en moi, il s’écarte un peu pour me laisser faire.
Et pour ne rien gâcher de cette sodomie, il est très tendre et continue ses baisers et ses caresses.
Il est sur le point de partir, et je lui dit qu’il peut jouir en moi. Il jouis en plusieurs soubresauts, pendant que je le regarde dans les yeux et lui tiens sa fesse à pleine main. J’aime voir jouir un homme, et le sentir jouir en moi est encore meilleur.
Même si du point de vue sensations c’était super, du point de vue purement plaisir ce n’était pas encore ça. Je pense que c’est parce qu’il ne m’a pas assez préparé. Dommage pour la douleur au début. Un jour, je ré-essaierai.
Il se retire, nous nous embrassons et allons prendre une douche. Je n’ai pas joui, mais c’est aussi bien comme ça: J’ai envie d’essayer d’autres choses. Il part de son côté et je continue seul mon exploration des lieux. Je vais faire un tour au bar, prendre un grand verre d’eau (ouf c’est gratuit).
Je trouve le labyrinthe, des couloirs totalement noirs, mais il n’y a personne. Tant mieux, c’est pas mon trip de me faire tripoter dans le noir.
A ce propos, à part les douches, tout l’éclairage est très faible partout. Et je n’aime pas ça: Moi j’aime bien voir les corps. Cette pénombre quasi-constante me gâche un peu le plaisir.
Je retourne alterner entre douches, sauna et hammam. Ça me détend, ça fait du bien. Je ne pense à rien: Je m’installe, je profite, et si quelqu’un avance sa main, tant mieux. Je laisse venir.
Dans la douche, un homme de soixante ans s’approche de moi et touche mon sexe. Il dit qu’il trouve que je suis bien équipé (c’est vrai que de ce côté là je n’ai pas à me plaindre). Il me demande si je voudrais bien le prendre. Pourquoi pas !
Nous allons dans une petite cabine, et il se met directe à quatre pattes. Comme introduction, je trouve ça un peu raide. Mais bon, essayons. Je met un préservatif et du gel, je le doigte un peu, et m’introduit. Facilement. Pendant que je suis en lui à faire des va-et-vient, il me raconte ce qu’il a l’habitude de faire, jusqu’à ses exploits: se mettre un gode de 7 centimètres de diamètre dans le cul. C’est pas trop mon trip. Il finit par jouir, pas moi. Une fois retiré, il me parle un long moment de sa vie excitante et compliquée entre ses amants et ses maitresses (il est bi aussi). Quelques anecdotes amusantes, mais il est dans un trip qui n’est pas le miens. Lui c’est jongler entre les conquêtes et utiliser des godes énormes. Moi c’est caresser et être caressé et faire de nouvelles expériences en douceur.
Je repars prendre une douche, et je continue ma visite.
J’arrive dans une grande pièce sans éclairage, une grande surface où on peut s’allonger sur des matelas. Dans la pénombre, je distingue à peine les corps. Des hommes sont allongés là, tranquilles. Et voilà que le poilu de tout à l’heure arrive et s’allonge juste en face de moi. Je ne peux pas m’empêcher et je tend le bras pour caresser son torse. Il se laisse faire. Mon autre main descend sur ses jambes. Qu’est-ce qu’elles sont poilues ! Je le caresse de partout: torse, ventre, jambe. J’aime ses avants-bras poilus. Je viens frotter mon visage contre sa barbe coupé court. Il sourit encore. Dommage qu’on y voit pas grand chose, j’aimerai aussi profiter et voir ce corps magnifique. Je commence à l’embrasser de partout, commençant par ses jambes, remontant lentement pour sentir les poils de ses jambes contre mon visage et contre mes lèvres. Je remonte et fais quelques baisers sur sa bite maintenant bien tendue, et je remonte sur son ventre et vers son torse. Quel plaisir de sentir ses poils de torse touffus entre mes doigts. J’enfourne mon visage dans son torse bien fourni pendant que je le branle de ma main.
Il me pince les tétons un peu trop fort, et je lui fais comprendre que ça me fait mal. Il arrête. Il me doigte un peu, mais ça ne me fait pas grand chose. Il attrape alors ma bite à pleine main, et me branle pendant que j’embrasse son corps et le caresse de partout. J’attrape sa bite et la redresse: Elle n’est pas très large, mais assez longue et assez impressionnante.
Je prend plusieurs fois la bite de mon poilu dans ma bouche, mais je préfère la laisser reposer sur son ventre, la léchant de haut en bas.
Au bout d’un moment, sur le point de jouir, il écarte ma tête: Je vois qu’il ne veut pas jouir maintenant. Pendant ce temps, une autre main a attrapé sa bite et le branle. Je poursuis mes caresses. Tout à coup, je vois qu’il est sur le point d’éjaculer: Je reviens alors immédiatement faire des va-et-vient avec ma bouche plaquée contre sa bite. L’autre homme retire sa main pour me laisser faire.
De la main gauche, jattrape ses fesses velues à pleine main pendant que ma main droite caresse son torse et que je lèche sa bite de haut en bas.
Mon poilu jouit sur son ventre. Je continue un peu à passer ma langue de haut en bas sur sa belle bite. Je caresse son ventre poilu, oubliant le sperme qui y est étalé. Je vais alors chercher un peu dessuie-tout pour essuyer délicatement tout ça. J’en profite pour le caresser encore.
Quand je fais mine de m’éloigner, il me prend la main pour me retenir et me décoche un large sourire.
Je n’ai toujours pas jouis, mais je suis content. J’ai profité à fond du corps de ce magnifique poilu, et il a l’air d’avoir beaucoup apprécié. Les hommes autour aussi, visiblement (L’un d’eux m’avouera plus tard qu’ils n’en pouvaient plus de voir toutes ces caresses, ça les excitait à mort.)
Souriant, je vais reprendre une douche et continue de rôder dans les couloirs.
La plupart des cabines sont vides. La salle vidéo dispose de 3 grands lits côte-à-côte, surélevés, avec une sorte de marche où on peut s’asseoir. Le film qui passe est un navet porno quelconque. Sur le lit de droite, deux messieurs dans la cinquantaine se branlent doucement. A gauche, un grand type très baraqué et bronzé est allongé, se branlant sans conviction. Je m’allonge au milieu, pour me détendre.
Au bout d’un moment, je me dis, et merde autant en profiter. J’approche ma main du grand baraqué, qui n’est pourtant pas du tout mon style: trop musclé, super bronzé, pas un poil. Mais j’ai envie de faire jouir un homme. Je prend sa bite en main, et il se laisse faire. Elle est vraiment impressionnante, surtout par son diamètre. Je le branle, mais ça bande plutôt mou: Je dois mal m’y prendre. Je finis par comprendre qu’il aime surtout qu’on s’occupe de son gland.
Bien qu’elle soit assez grosse, je décide de la prendre en bouche. Et finalement ça rentre très bien. Il a vraiment une très belle bite. J’insiste avec ma langue sur son gland, et ça a l’air de nettement plus lui plaire. Son prépuce est tellement serré que je n’arrive pas à le décalotter. Dommage, j’aime voir la peau coulisser. Je continue à le sucer, cette fois en faisant des mouvements plus amples et en aidant de la main, toujours en insistant sur le gland avec ma langue. Il aime beaucoup. Il finit par jouir en se cabrant.
Je me suis toujours demandé ce que ça ferait de sentir un homme jouir dans ma bouche. Ayant déjà un peu goûté mon propre sperme (pour voir ce que ça faisait), j’avais été dégouté à la première goutte. Pouah.
Par contre là, avec mon grand baraqué, c’était totalement différent. Il a jouit dans ma bouche, et le goût du sperme ne m’a absolument pas gêné. Du tout. C’est curieux, mais agréable. J’ai juste dû recracher (3 fois) quand j’avais trop de sperme dans la bouche (et que du coup ça devenait trop écoeurant). Donc je retiens: recracher souvent pour une fellation plus agréable.
Je ne parviens pas à définir le goût du sperme, mais ce n’était pas écoeurant du tout. Je trouve que voir jouir un homme, c’est beau. Alors le sentir jouir dans ma bouche, c’est fantastique.
Une fois terminé, je voyais sa grosse bite reposer sur son ventre. Elle était luisante de sperme. Je continuais à la caresser doucement de haut en bas du bout des doigts. Sentir cette grosse bite recouverte de sperme glisser sous mes doigts avait quelque chose de très excitant.
Je suis allé cherche de quoi l’essuyer, et il m’a décoché un grand sourire, le pouce levé, et m’a dit "merci !". Je lui ai répondu "Mais de rien". J’avais vraiment l’impression d’avoir pris *mon* plaisir à le sucer.
Après une n-ième douche, je suis retourné me balader dans les couloirs, mais on s’approchait de 18 heures et ils étaient presque tous déserts. J’ai compris que je ne rencontrerais plus grand monde.
J’ai fini par aller me doucher, mais même si j’avais pris beaucoup de plaisir, j’étais un peu déçu que personne ne se soit occupé de moi. Mais c’est de ma faute: à force de ne pas vouloir jouir tout de suite pour en avoir encore plus, on arrive à la fin sans rien. Je me suis donc branlé tranquillement sous la douche.
Après une longue douche, je suis allé me rhabiller aux vestiaires.
Quelle après-midi !
J’ai finalement fait ce que je voulais faire:
— Je voulais me faire prendre: Mon premier amant, très tendre, s’en est occupé.
— Je voulais profiter du corps d’un homme très poilu: C’est fait !
— Je voulais faire jouir un homme: ça a été fait avec mon grand baraqué.
Faire jouir un homme, c’est juste fantastique.
Je ne regrette vraiment pas d’être venu, ni les 16 euros que j’ai dépensés à l’entrée. Même si à l’accueil le patron n’est pas des plus souriants, c’est un endroit que j’ai beaucoup apprécié:
— des installations pour se détendre : douche, sauna, hammam… ça fait un bien fou.
— vous côtoyez des corps nus (ou presque).
— personne ne juge votre physique. Il n’y a pas d’aprioris.
— c’est un environnement sécurisé (le patron y veille)
— ça reste discret.
— les gens sont propres (douche oblige)
— les lieux sont propres (et nettoyés régulièrement)
— les rapports sont protégés (préservatifs et lubrifiant… même si le patron est radin sur les lubrifiants).
— la grande majorité des hommes présents ne refuseront pas vos attouchements. Tout le monde est invité.
— vous pouvez refuser, à tout moment, un attouchement. Personne ne vous force à quoi que ce soit.
— il y a un grand respect dans les relations.
— De manière surprenante, il y a beaucoup de tendresse dans les rapports.
Notez que vous pouvez très bien apporter des sandalettes (pour ne pas glisser), ou même un peignoir. Je pense que la prochaine fois je ramènerai aussi du lubrifiant.
Les souvenirs de ce sauna vont alimenter mes fantasmes pendant des mois… Ou au contraire les calmer ?
Il faudra juste que j’évite d’y retourner trop souvent: C’est bien trop tentant.
Et du point de vue psychologique ?
Je n’ai pas de sentiment de culpabilité, ni par rapport à moi-même (sur ce que j’y ai sexuellement fait), ni vis-à-vis de ma femme.
Et pour ceux qui se poseraient la question: Oui, j’aime toujours ma femme. Et j’ai toujours autant envie d’elle et de ses formes. Les relations que j’ai eues n’ont réduit ni mon amour ni mon désir pour elle. C’est sûr, je ne suis pas homo. J’aime les deux sexes.
Et mon amour pour elle reste bien exclusif: Je ne me sens absolument pas émotionnellement engagés vers les hommes que j’ai côtoyés. Il y avait bien de la tendresse avec eux, mais pas d’amour.
Par contre, cette expérience (que je voulais juste sexuelle) a eu un impact positif sur ma psychologie auquel je ne m’attendais pas: Je me sens mieux dans ma peau de bi. Je sais où j’en suis, je sais où je me situe en tant que bi. Je ne me sens plus frustré de ne pas avoir connu ce que ça peut être avec un homme. Et ça me fait beaucoup plus de bien que je le pensais.
Chères et délicieuses femmes, il faut que vous compreniez que chez les hommes – et ça se caractérise surtout chez les jeunes hommes – le syndrome de la première fois peut tourner à l’obsession, et c’est un tourment psychologique. Stupide je l’admet, mais il existe bel et bien.
Aussi stupide que soit ce syndrome – et aussi sexuellement comblé que je puisse être avec ma femme – je pense que ressens un écho similaire vis-à-vis de ma sexualité avec les hommes: Le fait de n’avoir jamais pu essayer, de ne pas savoir, de se poser des questions, dans fantasmer à tort et à travers, d’avoir à gérer la frustration de ne pas avoir connu ça. Cela alourdit la vie.
Maintenant je sais ce que ça fait de faire l’amour avec un homme, et avec une femme. Je sais qui je suis, où je me situe du point de vue sexuel, tendresse et amour. J’ai été trop longtemps un bi frustré et incertain de ce qu’il est. Maintenant je suis un bi serein, qui sait ce qu’il aime et *qui* il aime. Je me sens plus léger.
C’est sûr que si j’avais été pur hétéro, ma vie aurait été plus simple. Pas de fantasmes sur les hommes, pas de frustration à apprendre à gérer pendant ces années, pas de conflits (au début) avec ma femme… mais voilà, je n’ai pas choisi, je suis bi. Mais un bi maintenant bien dans sa peau 🙂