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A trois, c'est mieux – Chapitre 7

A trois, c'est mieux - Chapitre 7



J’ai aujourd’hui 25 ans, mais j’habite toujours le foyer familial bien que salariée dans une grande entreprise. J’ai gardé ma petite chambre et mes habitudes de "jeune fille au père". Ce que j’aime vivre, au quotidien, avec mes parents, c’est cette liberté absolue en matière de perversions sexuelles. Avec eux, les fantasmes se vivent, telle Alice au pays des merveilles. C’est une réalité cérébrale où je suis pleinement moi-même, sans fausse pudeur. Papa s’est chargé de faire de moi une bonne chienne servile et ce projet de vie me va bien car je leur appartiens entièrement. Et, puisqu’il faut être quelque chose, j’ai choisi d’être leur chose. Pas de séparation, donc. Je suis à eux comme ils sont à moi pour le meilleur du pire.

  Je n’ai pas de petit ami, mais les amants que mes parents m’imposent. A domicile comme en extérieur. Je vous l’ai déjà dit, j’adore ne pas savoir dire "non". La vie privée, chacun la conçoit selon ses propres fantaisies. Personnellement, je prends mon pied à être abusée. On ne se refait pas et il faut savoir s’accepter. C’est un sacrifice dont je sais tirer les plus grands profits. C’est mon plus cher désir, en vérité. Maman, plus que toute autre personne, sait ce dont j’ai besoin et ses bonnes caresses me font toujours autant d’effet. On passe, le week-end, des après-midi entiers à se palucher, à se goder dans la chambre parentale. Lovées, bien au chaud, quand le temps est gris dehors. Papa ne peut bien sûr pas suivre le rythme, mais il sait intervenir pour se faire obéir. Comme il me parait loin le temps de mes 18 ans! Maintenant, il m’encule grassement en levrette, à quatre pattes sur son lit, et j’en redemande tant j’apprécie la sodomie. Surtout quand maman me broute amoureusement le minou, par en dessous. Mes orgasmes sont si forts que j’en éclate de rire, parfois.

  Vu mon impertinence et mon absence de limites, je ressens le besoin d’être sous emprise. Papa sait être sévère et brutal quand il le faut. Les punitions qu’il m’inflige sont toujours méritées. Il possède un réel ascendant psychologique sur moi et, avec lui, je me sens toujours comme une moins que rien. Voilà sans doute la raison pour laquelle je le vois comme ce "tout" idéal qui m’excite. Papa, c’est Dionysos. Une grosse voix. Un dieu vivant, magnifique et terrible, sur les genoux duquel je viens, cul nu, prendre la fessée, à main nue ou à la badine. C’est alors, un bandeau sur les yeux et les poignets ligotés dans le dos, des claques qui rougissent mon postérieur. J’encaisse toujours, parfois en pleurs et suppliante, car il ne fait pas semblant. Ces séances de dressage s’achèvent souvent par une longue pipe magistrale sous des bordées d’insultes pour me faire pardonner. Agenouillée entre ses cuisses, le cul endolori, il me saisit par les tempes pour me "baiser la gueule". Ce sont parfois de véritables et suffocantes gorges profondes qu’il me fait subir sans ménagement. J’aime sentir, dans ces moments où le temps est suspendu, que je ne suis plus rien d’autre pour lui qu’une "sale pute". Sa "saloperie de gosse", comme il dit. Je suis alors trempée comme jamais.

  Possessif et jaloux, il sait pourtant faire la part des choses entre le sexe et les sentiments. Il ne supporterait pas de me savoir amoureuse d’un autre que lui, mais il me livre volontiers à d’autres afin de pouvoir satisfaire son voyeurisme et ses pulsions animales. Il adore me voir prise et humiliée. J’aime lui servir de moyen humain pour satisfaire amplement ses vices. Des diners entre amis se terminent souvent en partouze à la maison où maman ne se gêne pas pour "tromper" son mari. Une fois, alors que je fus prise à table d’un besoin naturel pressant, j’ai surpris ma mère en train d’administrer une fellation à l’un de nos invités dans les W.C. La porte était grande ouverte et le type assis sur la cuvette, pantalon baissé jusqu’aux chevilles, m’a aussitôt souri, m’engageant à venir aider ma mère. Maman m’a fait une petite place et on s’est partagé le bel engin pendant 5 bonnes minutes avant que le monsieur ne se décide à prendre celle-ci à califourchon. Elle s’est empalée sur sa queue et j’en ai profité pour lécher le coït extraconjugal en lui branlant le clito. Maman a joui en quelques minutes et le type s’est répandu en elle. Le cochon s’est rhabillé prestement et maman a pris sa place. Assise, cuisses bien ouvertes, elle s’offrait à mes lèvres pour que j’ en aspire les coulées de semence. Quel régal !

  A suivre.

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