À mon réveil, je me retrouve seul dans le grand lit de Christophe. Je perçois du mouvement dans la cuisine alors je suppose qu’il est allé se prendre un petit-déjeuner. Encore trop fatigué par les événements de la veille, j’en profite pour rester au lit et souffler un peu. Au bout d’une dizaine de minutes, je le vois revenir dans la chambre avec un grand sourire qui me réchauffe le cur et portant un plateau sur lequel il avait confectionné un copieux petit-déjeuner.
— Bonjour petit ange !
Je lui réponds avec mon plus beau sourire ce qui semble le ravir au plus haut point. Je suis au paradis lorsque je déguste le repas préparé par Christophe tandis qu’il me caresse les cheveux en me regardant amoureusement. Une fois terminé, il repousse doucement le plateau sur le bord du lit et vient m’embrasser langoureusement. Je me laisse faire, profitant de ce moment de tendresse. Il me caresse le bas du dos d’une main tout en maintenant ma tête collée à la sienne de l’autre. Je le sens durcir peu à peu contre ma cuisse. Il descend ses caresses vers mes fesses et commence à les malaxer avec douceur. Je suis terriblement excité par la situation et tout comme Christophe je bande comme un taureau. Il arrête de m’embrasser et me chuchote à l’oreille :
— Tu es tellement doux.
Je lui réponds par un faible gémissement. Il me prend le pénis et commence à me masturber. Je le regarde dans les yeux avec mon air le plus salope, ce qui semble l’exciter de plus belle. Il me prend par la tête d’une main et me guide doucement vers son entrejambe. Je me retrouve à quatre pattes devant lui, mes lèvres toutes proches de son magnifique pénis. Il n’est pas allé se doucher ce matin si bien qu’il a une forte odeur de transpiration, une odeur d’homme que j’apprécie. Il me fait pression des deux mains sur l’arrière de mon crâne afin que je le prenne dans ma bouche. Je m’exécute avec plaisir. Il prend possession de ma bouche, je sens le goût de son liquide pré séminal sur le bout de ma langue ce qui me ravit. Il commence à m’imposer son rythme en faisant pression sur ma tête. J’ai l’impression de lui appartenir totalement. Je sens son gland taper dans le fond de ma gorge, je suis complètement comblé par son pieu de chair. Christophe semble lui aussi apprécier puisque je l’entends soupirer de plaisir.
Puis soudainement il me retourne sur le dos et se place sur moi. Il colle ses lèvres aux miennes et envahit ma bouche de sa langue. Il me prend les jambes et les replie de chaque côté de mon torse. Je sens son torse doux et musculeux tout contre le mien, et son pénis commencer à se frotter à l’entrée de mon petit trou. Pris d’une folie fiévreuse, il m’embrasse le visage avec fougue. Je sens son souffle chaud et bruyant tout contre mon oreille. Il se met en place à l’entrée de mon rectum et se met à pousser. Je gémis de plaisir alors que je sens son bâton simmiscer en moi. Une fois le gland passé, il enfourne le reste d’un seul coup m’arrachant un hoquet de surprise et de plaisir mélangé. Sans attendre, il commence à donner de puissants coups de reins et je sens son gland taper dans le fond de mon anus. Je ne peux pas m’empêcher de pousser un petit cri à chacun de ses assauts, ce qui le pousse à accélérer la cadence. Sans me laisser un instant de répit il se retire brusquement, me retourne et me met à quatre pattes.
Il me pénètre a nouveau d’un coup et reprend ses coups de reins incontrôlés. Malgré la fougue de ses assauts il me caresse le bas des reins de ses mains ce qui décuple mon plaisir. Il continue à me sodomiser ainsi, alternant avec des phases plus lentes. Je l’entends grogner et gémir de plaisir derrière moi. Moi-même je suis terriblement excité et me masturbe d’une main. Je sens mon cul en feu, Christophe me transporte vers des plaisirs insoupçonnés. Il se colle brusquement à mon dos, je tombe à plat ventre sous son poids. Il ne s’arrête pas pour autant et continuer à me bourrer l’anus avec la même vigueur. Son corps si brûlant collé au mien, qui doit l’être également, me procure autant de plaisir que son pieu de chair qui ne cesse de faire ses rapides va-et-vient en moi. Finalement je l’entends pousser un long gémissement alors qu’il déverse toute sa semence au fond de mon cul. Me voyant également proche de la jouissance, il me retourne sur le dos et enfourne mon pénis dans sa bouche. Il débuta alors une fellation passionnée qui ne dura malheureusement pas très longtemps puisque je ne pus me retenir de jouir.
Je me décharge dans sa bouche et je comprends par un bruit de déglutition qu’il avait tout avalé. Il se couche sur mon corps brûlant et m’embrasse avec passion. Il entreprend de me caresser partout tout en me murmurant des mots doux le temps que je reprenne mes esprits. Nous restons un peu au lit, dans les bras l’un de l’autre, avant qu’il ne me raccompagne finalement chez moi.
Je n’avais pas envie de le quitter mais nous nous sommes promis de nous revoir le plus vite possible. Sur le pas de ma porte il réussit à me voler un dernier baiser, léger, furtif mais qui me laissa le goût de sa bouche sur le bout de mes lèvres. Il me dit deux mots à l’oreille avant de partir qui me procurèrent un effet tout aussi comparable qu’à nos batifolages passionnés:
— Je t’aime.