Mon nom est Pierre. Jai 30 ans, marié depuis deux ans à Ana, une pétillante et jolie brunette aux cheveux courts et aux formes généreuses où il faut.
Je suis chef de cabine sur des longs courriers et suis malheureusement souvent absent ce dont nous souffrons, en particulier sur le plan sexuel, car nous ne sommes jamais rassasiés.
C’est peut-être pour ça justement que ces absences répétées et forcées rendent nos retrouvailles si intenses.
Ma femme vient d’être promue assistante d’un directeur commercial dans une PME d’une centaine de personnes.
Cette petite entreprise travaille beaucoup avec le Japon. Plusieurs employés sont d’ailleurs Japonais et ce sont eux qui nous ont fait découvrir un endroit assez insolite et secret je dois dire – pourtant ouvert à tous à partir du moment où vous adhérez au Club – et qui est très dépaysant pour des occidentaux comme nous.
En fait, c’est à la suite d’un déjeuner d’affaire dans ce Club, que ces Japonais l’ont fait découvrir à ma femme qui m’y a emmené par la suite.
A la base, ce n’est pas un Club mais un bain "public" qu’on appelle Sentô au Japon.
Mais ce petit complexe s’est adapté à la modernité et s’est occidentalisé.
Outre le grand bassin en roches naturelles et ornementé de plantes exotiques, il y a deux saunas et deux hammams, un pour chaque sexe, et des bains à bulles, des salles de massages, un restaurant Japonais et des pièces annexes modulables où se déroulent divers événements liés à la culture Japonaise, comme des tournois de Sumo ou de Judo pour les plus sportifs et des rencontres culinaires ou vestimentaires dans la plus pure tradition nippone.
Mais le plus intéressant, c’est le grand bain qui, contrairement aux saunas et hammams qui sont reliés, est mixte.
Le jour où ma femme m’y a emmené, on s’est séparé dès l’entrée et après être passé dans nos vestiaires et douches respectives (enfin, ce ne sont pas des douches mais une salle de lavement où on se projette de l’eau à l’aide d’une cuvette avant de tremper dans un bain ), c’est enroulé d’une simple serviette qu’on s’est retrouvé dans le grand bain.
Enroulé… Cest un bien grand mot car la serviette est si petite qu’on ne peut pas la nouer autour de la taille. Elle sert juste de cache sexe en la tenant devant soi et pour les femmes, ça couvre à peine la distance toison/tétons…
Il faut dire que la nudité fait partie de la tradition japonaise en matière de bains publics à l’époque où les habitations n’étaient pas équipées de salle de bain privative.
Mais, je ne m’en suis pas plaint évidemment…
Ce jour-là, il n’y avait pas foule. Un autre couple et deux hommes d’affaires, apparemment, papotaient dans une autre partie du bassin de forme paysagé avec des recoins munis de bancs sous l’eau.
Avec ma femme, on s’est isolés dans l’un de ces recoins en arrondi et on a fait trempette dans ces eaux chaudes et limpides.
Rapidement, la tiédeur des eaux, la quasi nudité et l’intimité toute relative que nous procurait notre petite enclave rocheuse, a réveillé en nous quelques instincts primaires…
Je pensais qu’Ana était plus pudique et je m’attendais à ce qu’elle me repousse dans cet endroit public, mais, à ma bonne surprise, nous avons commencé à nous peloter et la chaleur nous a envahi à un point que nos serviettes se sont vite éclipsées dans le fond du bassin.
Puis, bientôt, on s’est masturbé mutuellement sous l’eau…
Le couple, au loin, ne remarquait rien et les deux hommes d’affaires étaient cachés par des rochers.
On a pas oser baiser ouvertement cependant. D’autres personnes pouvaient débouler des vestiaires à tout moment.
On s’est contenté de se masturber en se collant l’un à l’autre et en essayant de nous synchroniser.
Je jouais avec son bouton et introduisais en alternance un ou deux doigts dans sa chatte alors qu’elle astiquait mon manche.
Se retrouver dans un endroit public, nus et au bord de l’orgasme était une nouvelle expérience et bientôt, l’excitation était trop grande pour qu’on puisse se retenir.
Elle s’est figée….je lui ai enfoncé deux doigts profondément tout en l’embrassant pour étouffer son cri de jouissance alors que j’éjaculais longuement sous l’eau de beaux nuages de foutre qui sont venus se coller dans mes poils pubien et mes cuisses…
On a récupéré nos serviettes et encore à peine remis de nos orgasmes respectifs, on s’en est allés….repus et plus amoureux que jamais.
Voilà. Tout était bien, on menait une vie tranquille et épanouie. On discutait rarement de sexualité. On le "faisait", c’est tout.
Mais un jour, Ana est retourné dans ce Club avec ses collègues Japonais et Français et après le repas, ils sont allés se relaxer dans le grand bain.
Évidemment, sans aucune gêne ni secret pour notre couple, Ana m’a raconté qu’elle avait éprouvé une grande excitation d’être restée dans le bain à discuter au milieu de ces collègues presque nus alors qu’elle n’avait elle-même que cette ridicule petite serviette en guise de tout vêtement.
Je lui demandais de s’expliquer et elle m’a avoué qu’une expérience avec plusieurs hommes la rendait folle d’excitation.
Je suis resté sans voie car immédiatement, un sentiment de jalousie m’a traversé l’esprit. Elle m’a rassuré avec empressement en me disant que ça n’avait rien à voir avec l’amour indéfectible qu’elle me portait.
Mais comme elle insistait pour avoir mon avis, je lui ai répondu qu’à partir du moment où notre couple n’en souffrirait pas, tout ce qui pouvait contribuer à améliorer son plaisir, améliorerait le mien également.
Et comment… après ce stupide réflexe de jalousie, je constatais quà l’idée de voir ma femme avec un autre homme, mon sexe se tendait dans mon caleçon.
Et puis, on en a plus parlé pendant des semaines.
Je continuais de partir pour plusieurs jours et j’avais pris l’habitude de ramener à chacun de mes voyages, une rose de différente couleur que je posais sur son oreiller avant le coucher. Elle y était très sensible et me taquinait avec mon romantisme suranné mais tellement adorable. Alors, pour que ce ne soit pas aussi naïf de romantisme, j’ai ensuite pris une autre habitude.
A chacun de nos ébats, dans notre lit généralement, on s’essayait à de nombreuses positions mais celle qui revenait toujours au moment du climax, était la levrette. Cette position "bestiale" avait le don de décupler ses sens. Je l’a prenais comme une chienne en l’agrippant par les hanches et les seins et moi, de voir son mon gourdin luisant entrer dans son cul ouvert qui gesticulait sous mes yeux et entre mes mains me rendait fou.
Au moment de l’orgasme, je lui demandais de fermer les yeux, et invariablement, je saisissais d’une main la rose que je lui collais sous le nez et de l’autre, j’englobais un sein que je triturais jusqu’à ce qu’elle explose.
Elle s’enivrait de l’essence de la rose et partait dans une jouissance indescriptible.
C’était une sorte de petit rituel et au fur et à mesure, je l’ai amélioré. Un jour, au lieu de lui demander de fermer les yeux au moment de l’orgasme, je lui ai proposé de porter un… bandeau depuis le début.
Elle avait trouvé l’idée de ne pas me voir mais de me sentir très excitante et m’avait même avoué qu’elle pouvait imaginait que c’était… quelqu’un d’autre !
Je ne m’attendais pas à cet effet "secondaire" mais cela nous a permis de remettre sur la table le fait d’introduire un autre homme pour une expérience purement sexuelle.
Cependant, encore une fois, le sujet est resté de côté, par ma faute j’avoue, car l’idée tout aussi excitante qu’elle était, m’angoissait au fond de moi-même. Introduire un homme, une sorte de « concurrent » dans son couple nest pas anodin.
Et les mois ont passé sans qu’on en reparle.
C’est vers cette époque qu’à chacun de mes retours de voyage, si nos ébats étaient toujours aussi torrides, je percevais une certaine insatisfaction de ma femme et je pensais – à tort – que c’était dû à mes absences répétées.
De temps en temps, elle me parlait qu’elle allait encore déjeuner aux Bains Japonais mais sans trop de détails.
Une fois pourtant, elle m’a demandé si je connaissais le Shibari ? Devant mon visage ébahit, elle m’expliqua que les Japonais subliment le corps de la femme en le ligotant dans des poses invraisemblables… C’était les deux Japonais qui lui avaient fait tout un cours.
"Et vous avez fait une épreuve pratique ?" Je dis en rigolant.
"Non..non..’ ce contentât-elle de répondre d’un air songeur.
"Tu… tu aimerais ça ?? " je demande interloqué par sa réaction suspecte.
"Non, bien sûr que non, mais… ligotée… je me demande ce qu’on ressent…"
"Ben on peut plus bouger" je réponds moqueur.
Puis, la vie a continué et un jour, Ana m’a annoncé que sa boite avait loué le Club Japonais pour toute une soirée pour célébrer le bilan de fin d’année qui clôture le 30 Juin.
J’étais invité mais manque de bol, je partais sur un long courrier pour l’Asie ce soir-là.
Le soir venu, elle se prépare un jolie petite robe pas très longue et épaules nues alors que je prends mes affaires pour me rendre à l’aéroport.
Je lui dit combien je regrette de ne pouvoir être à ses côtés. On s’embrasse passionnément et je pars pour l’aéroport alors qu’un collègue vient la chercher pour lemmener à sa soirée d’affaires.
Mais arrivé à proximité de l’aéroport, une grève des taxis nous bloque. L’aéroport est paralysé et de nombreux vols annulés. Je dois me résoudre à faire demi-tour car renseignements pris, je suis affecté sur le vol du lendemain.
Je compose le téléphone d’Ana pour lui annoncer la "bonne" nouvelle et que finalement je vais pouvoir la rejoindre pour sa soirée, mais je me ravise en me disant que je vais plutôt lui faire la surprise.
Je déroute le taxi, et en route pour le Club Japonais.
Arrivé là, je leur montre l’invitation qu’Ana m’avait laissée et je découvre une bonne centaine de personnes en train de discuter autour d’un verre dans la pièce principale.
Je me faufile entre les groupes de bavards en cherchant ma femme des yeux. Je vois des bouquets sur les tables et "emprunte" une belle rose que j’imagine déjà lui mettre sous le nez par derrière pour lui faire la surprise. Je suis tout excité à l’idée de sa réaction.
Mais, j’ai bientôt fait le tour de cette grande salle de réception et aucune trace de ma femme.
J’inspecte les autres pièces. Je constate qu’ils ont prévu des animations. Un prof de Judo donne des conseils à quelques personnes qui ont revêtus le kimono, tandis que dans la salle suivante, des gens s’amuse à se télescoper façon " sumo" dans un style des plus grotesques.
Il ne reste que les saunas-hammams et le grand bassin mais je ne pense pas qu’ils soient utilisés en ce soir de réception.
Finalement, je me résous à demander à quelqu’un. Ne connaissant personne, à part le nom de son directeur commercial, Philippe, je mapprête à interrompre la discussion d’un groupe de personnes quand je remarque deux femmes qui sortent du vestiaire des saunas et hammams des femmes en se recoiffant.
Je suis intrigué et leur demande si elles connaissent Ana.
"Ah Ana ? Oui, elle participe à une "sorte" de réunion dans le grand bassin avec tout le staff des commerciaux"
"Vous êtes qui ?" demande l’autre.
"Son mari"
Elle manque de s’étouffer avec sa flûte de Champagne qu’elle avait portée à ses lèvres.
"Tu savais qu’elle était mariée ?" "Heu oui, plus ou moins…"
Sur ce, elles partent vers le buffet en me laissant perplexe.
On peut pas dire qu’elle parle souvent de moi à ses collègues je me dis.
Je me dirige alors vers le vestiaire homme et pendant que je me désape, j’entends deux types de lautre côté dune cloison qui font de même. Ils discutent entre eux.
"Je me demande si ça va être aussi chaud que l’autre jour"
"Comment ça ?"
"Ben, l’autre jour, on était quatre avec la nouvelle secrétaire de Philippe…"
Je me fige en comprenant qu’ils parlent de ma femme.
"Ana ? Et alors ? Raconte"
"Ben, Philippe lui a demandé son avis sur un dossier compliqué et elle a fait une démonstration de son point de vue qui était excellent du reste, mais…"
"Mais quoi ?"
"Ben tu sais, elle parle beaucoup avec les mains et la serviette n’arrêtait pas de glisser…"
"Mmmmm" fait l’autre. « Continue ! »
"Elle l’a rattrapée miraculeusement toujours avant qu’un téton ne se découvre ; c’était presque agaçant ha ha"
"A un moment, on écoutait plus ce qu’elle disait tellement on avait les yeux rivés sur cette satané serviette ! "
"Je vois la frustration !"
Tout en finissant de retirer mes vêtements, j’imaginais la scène.
"Soudain, Philippe l’a contredit volontairement pour la pousser dans ses retranchements ; c’était trop drôle. Elle a foncé dans le piège comme un seul homme et s’est énervée tellement que la serviette lui a échappée…On a pu voir sa poitrine entière l’espace d’une seconde !"
"Sans blague…"
"On a tous rigolé et Philippe s’est excusé…"
"Elle a alors compris que tout ce qu’ils voulaient, c’était voir ses tétons !"
"Ha ha les pervers"
"Oui, mais attends… Marc qui était assis à côté d’elle a discrètement saisit le bas de sa serviette sous l’eau et quand elle s’est levée, la serviette est restée coincée !"
"Non ??"
" Si, elle s’est retrouvée à poil, debout au milieu de nous"
"Elle devait être furieuse"
" Mais, non, justement, c’est là qu’on est resté bouche bée"
J’écoute avec stupeur ce récit improbable.
"Qu’est-ce qu’elle a fait ?"
"Ben, elle est restée debout, nue et toute trempée devant nous en demandant sa serviette… mais Marc a répondu… viens la chercher !"
"Et il s’est assis dessus…"
"Non ?? Et alors ? Elle est partie à poil au vestiaire ?"
"Non. Elle a été la chercher"
Je n’arrive pas à croire ce que j’entends et je me surprends à bander !
"Elle a poussé Marc et ils se sont débattu… Du coup, elle est tombée dans l’eau à la renverse et les autres se sont empressés de l’aider à se remettre debout. Mais au lieu de la lâcher, ils ont continué de la tenir…"
"Arrête, tu me fais bander ! "
Et moi donc, je me dis de l’autre côté du paravent que me sépare de ces deux hommes.
"Elle a continué à s’entêter de récupérer sa serviette qu’elle tenait d’un bout mais elle vacillait et Marc qui rigolait ne lâchait pas. »
Pour lui venir en aide, on l’a enlacé pour tirer avec elle mais sous prétexte de la tenir, des mains se sont mise à la peloter et à englober ses seins qui gigotaient lourdement sous nos yeux…"
"La vache !"
"Elle gigotait entre nos mains tu vois, c’était trop bandant ! D’autant qu’elle ne protestait pas vraiment, elle pouffait de rire comme si elle était un peu saoule"
"NOon?? "
"Finalement, Marc s’est levé et a lâché la serviette dun coup.
Comme elle tirait dessus comme une folle, elle est tombée en arrière sur nous. Alors là, c’était trop tentant mon frère, j’te le dis. On la pelotée à mort alors qu’elle essayait de se relever mais, tu vois, elle essayait seulement…
Quand on s’est aperçu qu’elle aimait ça, nos mains ont commencé à la fouiller et Marc qui se tenait debout à regarder, bandait comme un taureau. Quand, elle l’a vu, elle a poussé un gloussement ; pas un cri… un gloussement !"
"J’aurais voulu voir ça, merde !"
"J’te jure, elle était toute chose et elle se débattait de moins en moins au fur et à mesure que toutes les mains la tripotaient…"
"Et après ?"
"Ben… Philippe a vu que ça dégénérait et a mis un stop. On l’a laissé se relever à contre cur et sans un mot, mais toute rouge de honte, elle est partie en courant vers les vestiaires avec sa serviette même pas enroulée…
Elle avait le cul à lair et les seins qui se dandinaient, quel spectacle !
Quand on s’est levé, on bandait tous comme des taureaux !!"
"Mince… en plus, elle est super bien roulé Ana. T’imagine si Philippe avait laissé faire ?? La vache…"
"Eh bien, suis-moi… il parait qu’Ana fait trempette en ce moment… on sait jamais !"
"Y’aura qui ?"
"J’sais pas, je connais pas tout le monde"
Je suis tétanisé. Je regarde la rose que javais préparée pour lui faire une bonne surprise et la laisse tomber.
J’écoute sans un mot, le sexe bandé à mort… Je n’aurais jamais cru ça d’elle, mais la scène m’a émoustillée à un point que la moralité réprouverait.
J’attrape une serviette à la volée mais ne sais comment cacher mon sexe démesuré. Je vais me laver à l’eau froide et attends quelques minutes qu’il reprenne des proportions décentes tandis que les deux hommes se dirigent vers le grand bassin.
Je ne peux plus tenir. Je veux aller voir ce qui se passe dans le bassin. Ma curiosité est à son comble. Je peste et m’impatiente pour que mon sexe dégonfle mais la conversation tourne en boucle dans ma tête et je n’arrive pas à débander !
Finalement, j’y vais, plié en deux avec la serviette en torchon devant mon sexe.
Le bassin est grand et je scanne de gauche à droite sans voir personne. Pourtant, j’entends des gens parler au loin… Je me glisse dans l’eau et m’enfonce le plus possible tout en me dirigeant discrètement vers le groupe d’individus qui discute. J’avance de recoin en recoin.
Je dois être à dix mètres. Je reste caché derrière un rocher et quelques plantes pour espionner.
Je ne vois pas tout le monde mais j’entends des femmes parler, ainsi que des Japonais avec leur accent. Ils discutent boulot on dirait. Il y a une dizaine de personnes dont deux autres femmes et…Ana.
Je ne comprends pas bien ce qu’il dise mais la conversation n’a pas l’air très fun…
Je suis à la fois rassuré et… déçu ! Une sorte de mélange de sentiments qui me taraudent l’esprit.
Soudain, les deux femmes se lèvent et partent. Elles sont d’un certain âge et l’une est un peu boudinée. Elles cachent le principal de leur anatomie avec cette petite serviette trempée. Je tourne la tête et fait semblant de profiter d’un bain solitaire dans un recoin.
Elles me regardent sans me prêter attention.
C’est alors que je vois ma femme se lever à son tour.
Elle semble vouloir saluer tout le monde lorsqu’un gars lui demande si elle peut refaire une démonstration de ses arguments dans le dossier en question de l’autre jour…
Elle rit d’un air gêné et veut s’en aller quand un autre type lui agrippe la serviette pour la retenir. Elle tire dessus mais le gars ne lâche pas et la serviette se tend et glisse à la limite des auréoles.
"Tu t’en iras quand tu nous auras rappelé tes arguments ; on a pas tout saisit la dernière fois."
"Mais lesquels ? » demande-t-elle naïvement.
Ils éclatent tous de rire. " A ça, c’est sûr, c’est une bonne question !"
" De quels autres arguments disposes-tu ?" demande l’un d’eux avec un sourire vicieux.
Ma femme rougit et ne sait plus quoi répondre.
"Et tu resteras debout comme en salle de réunion…"
"Bon, d’accord" fait-elle.
« Alors reprenons donc le dossier depuis son début… » et sur ce, elle part dans une tirade technique sans nom qui méduse son auditoire.
Ils semblent être pris à leur propre jeu car, très concentrée et l’esprit très clair, elle semble parfaitement maîtriser son sujet.
Je la vois de côté. Elle tient sa serviette devant sa poitrine d’une main et parle en agitant l’autre.
La serviette descend à peine jusqu’au bas de son sexe et j’imagine que vu sous différents angles, comme c’est le cas pour la dizaine de type assis en demi-cercle autour d’elle, son intimité doit jouer à cache-cache, surtout en position debout avec son sexe au niveau de leurs figures
Et puis, ce qui est sûr, c’est que les types assis derrière elle, ont un vue imprenable sur ses fesses nues qu’elle serre à mort…
Mon sexe se dresse doucement sous l’eau sans que je puisse y faire grand-chose.