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Histoire imaginaire dans une ville perdue. – Chapitre 2

Histoire imaginaire dans une ville perdue. - Chapitre 2



Je m’appelle Jessica et je crois être complètement malade.

Je ne sais pas ce qui me prend mais je crois que j’éprouve un gros, mais genre un gros, gros CRUSH sur mon père.

J’avais pris la décision de ne pas tenter quoique ce soit , de ne pas céder à mes pulsions. Cette décision a été motivée par le fait qu’il m’avais repoussé. Gentiment? Je ne sais pas. Toujours est il que je ressens une grande honte et beaucoup de réserve quand je le croise. C’est vraiment compliqué.

Mon père, en homme formidable qu’il est, avait bien pris soin de me rassurer.

«Je t’aime ma puce. Ne faisons pas quelque chose que nous regretterions d’accord.»

C’était ses paroles et elles résonnent en moi. Je tente depuis de prendre sur moi et de tasser tout ça au fond de moi.

Cependant un soir, je ne pouvais pas trop faire autrement. J’avais besoin de me détendre. Aussi je me suis cachée sous la couette pour me donner du plaisir.

J’ai atteint l’orgasme assez vite et j’allais me rendormir, lorsque j’ai entendu du bruit . Du bruit venant de la salle de bain. Il était 3 heures du matin.

Dans la salle de bain, tu étais là. Seul, nu, assis sur le rebord de la baignoire. Si beau. Ton sexe rigide est immense, si viril. Je n’en crois pas mes yeux. ni mes oreilles. Tu t’es masturbé. Secouant ton sexe, murmurant doucement un prénom mon prénom.

Ni une , ni deux, je rentre dans la pièce et verrouille la porte derrière moi. Surpris, tu as à peine le  temps de cacher avec maladresse ton pénis à l’aide de tes mains. Tu peux prendre ton air autoritaire, mais je ne suis plus dupe. Toi aussi, tout autant que moi, tu as envie. Je ne reculerais plus.

«Jessica, qu’est ce que tu fais là?»

Mon père comprend assez vite pourquoi je suis aussi près de lui à cette heure tardive. Ou alors c’est mon sourire qui trahit mes intentions. Cette fois ci papa, tu ne pourras pas m’arrêter.

«Jessica, non, retourne dans ta chambre…No.nnnnn »

Trop tard, je ne me retiens plus . Regarde moi, admire moi. Mate  mes seins, ils ont grandi pas vrai ? Allez donne moi quelque chose.

«Oh c’est pas possible !! Non… »

Oui, ça y est, je l’ai eu. Il est à moi. Papa est moi ! J’avais bien fait de ne porter qu’un tee shirt cette nuit. Bon pour la culotte, c’est pas trop grave si elle n’est pas très sexy. Je vais pouvoir la retirer assez vite. Et ça marche. Sinon mon père m’aurait déjà empêché de prendre dans mes mains son sexe devenu bien rigide.

Je prend place à genoux devant son entre jambe, plus de places pour les paroles, je vais le sucer. Je veux connaître la sensation que ça fait, quand on  prend un sexe d’homme dans la bouche.

« Jessi… »

Je prend un air ingénu, j’adore lui faire ça. Ça m’a évité bien des problèmes depuis ma plus tendre jeunesse.

«Ça ne va pas? » Je termine ma phrase en embrassant bruyamment son gland. Il est chaud, mouillé, et je sens bien les puissantes pulsations qui provoque des pulsations tout le long de sa verge impressionnante..

J’ai le temps d’engloutir sa verge avant qu’il ne tente de me retirer de là avec ses mains.

« On ne doit pas faire ça… »

Mince…

Je le perds, je pensais que je l’avais conquis ?? Je dois enfoncer le clou. Je cherches quelques chose à dire, que puis je rajouter pour qu’il me laisse lui donner ce plaisir qu’il recherche désespérément.

Je ne sais pas quoi dire. Je dois faire peine à voir.

« Je t’aime moi. »

« Moi aussi, ma chérie. »

Sans rien dire de plus, je ravale le pénis de mon père . Je m’applique plus que jamais pour lui pomper avec autant de grâce et de vigueur que possible. Et il ne fait rien pour m’en empêcher.

Au contraire ses mains bienveillante me caressent la tête, les cheveux, mon visage

 Est ce que tu aimes ça ? Est ce que tu aimes quand ta petite princesse te taille une pipe ?

Oui, je sais que tu aimes. Ne ment pas. Je le vois sur ton visage. Oh la joie de pouvoir te donner toute ce plaisir. Tu savoure pas vrai ? Attend un peu, je vais passer la langue par là. Mmmmh , alors ? Ah oui, c’est exquis n’est ce pas ? Et lorsque je tourne ma langue autour ? Ah oui, tu ne t’es jamais aussi bien fait sucé  de ta vie, pas vrai ?

 Je ne peux pas parler, mes rires étouffés te font passer le message. C’est aussi excitant pour toi que délicieux pour moi.

Ah mais que fais tu ? Pourquoi tu met cette main ici ? Hiiiiiii ! Putain merde, c’est de la triche de pincer mes tétons comme ça ! Ha ! Non attend, pas ma chatte ! Je mouille déjà, c’est pas juste.

Vengeance !

Je vais te sucer, tu va voir. Je vais te faire mmmnnnng

Putain merde, oh merde, mon vagin, je ne tiens plus… comment peut on contrôler à ce point un être humain juste avec deux doigts ?

J’abandonne, tu as gagné. Je n’en peux plus. Regarde moi, si je ne peux pas te le dire, tu peux le voir sur mon visage ? Termines moi, achève moi, mais ne me laisse pas sans avoir atteint la jouissance. Voilà, ça vient . Je vais jouir. J’y suis presque. Désolé, je peux plus sucer Encore Là , ça vient ça vient ! Je vais jouir !

Je ne sais plus ce qui s’est passé par la suite. J’ai du jouir avec la bite de mon père dans la bouche (avec ses doigts dans  ?).

Il m’a raccompagné dans ma chambre. Je me souviens de ses caresses, de ses mots doux, il me raconte comment je suis la plus belle chose qui lui soit arrivé. Il me dit qu’il sera toujours là pour moi.

Quand je reprend des forces, je réalise qu’il n’a jamais joui, lui. Je réalise pourquoi il est resté dans ma chambre jusque là. Je suis prête.

« Je suis à toi pour toujours » lui ai -je dit.

Cette nuit, je ne me souviens plus de l’heure, ni du jour de la semaine, mais j’ai fait l’amour avec mon père.

Il a été doux, bienveillant, étourdissant. Je me souviens de son odeur, du parfum de ses cheveux, de sa force. Aujourd’hui encore, y repenser me rempli d’une certaine nostalgie.

Je t’aime papa. Mais pas de la meilleure façon possible.

Car je suis une vilaine fille.

A suivre…

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