Je m’appelle Stéphane, j’ai 27 ans. Cheveux châtains, yeux marron verts, 1m90 et 90 kg bien musclé, mais ce n’est pas le plus important. Après quelques aventures, quelques amours de queues et de cul, voici plus de 4 ans j’ai rencontré une âme, une vie, un corps, une cur, l’amour.
Retour en arrière. Nous sommes en octobre 2009, je suis seul depuis toujours, solitaire, amoureux de l’amour. Je suis gay, ouvertement, assumé. Je vis, je pense, j’écris sur des blogs. Sur un site communautaire, chat, profils et blogs se mêlent. Un jeune homme, 21 ans, m’envoie un message me parlant de mes textes. Il reste pantois devant ma verbe et moi devant sa photo, il a le physique d’un apollon. L’échange démarre, il me dit que ce n’est pas lui sur la photo, merde ! A l’époque MSN existait encore, on s’y retrouve pour discuter et échanger de vraies photos. Nous passons chaque nuit ensemble, virtuellement, il est étudiant à 150 km de chez moi, mais vient de la même ville.
Le 16 octobre 2009, je rentre d’un concert où j’étais avec une amie. Je le retrouve sur MSN, Ced ! Nous parlons un moment et me dit qu’il va mettre sa cam, j’ai hâte ! Il me fait attendre. Elle se connecte, il est allongé sur son lit torse nu éclairé par quelques bougies. Il est magnifique. Le niveau d’échange est intense, on se comprend, on s’apprécie, on s’adore. On veut se voir, pour du cul, de la queue, de l’amour, nul ne le sait !
Le 24 octobre 2009, 17h15. Je suis dans ma voiture devant la gare, j’ai peur, je tremble, je sors et j’attends. Un éclair, un instant, je le vois, il arrive. De grosses chaussures Cat, un jean moulant ses cuisses musclées, un pull épais et une veste noire. 1m85 et 80 kg de beauté, un sourire ravageur et des cheveux pas trop courts, un peu relevés. Il s’approche, je vois ses yeux foncés, il me tend la main qui n’est pas occupé par l’un de ses sacs. Cédrick est face à moi. Nous montons en voiture dans un silence de mort et allons chez moi.
Assis sur le canapé, il me parle, je le regarde, je suis tétanisé. Sa main glisse vers la mienne, il me caresse. Nos yeux ne se quittent pas, sa main effleure ma joue pour m’attirer vers ses lèvres. Nous nous embrassons légèrement, timidement mais si longtemps. Il se met à me caresser le torse tout doucement en jouant avec mes tétons tout en glissant sa langue dans ma bouche. Alors que nos langues se frôlent, se mêlent, il me bascule avec force sur le côté, m’allonge et se met au dessus de moi. Nos bouches se retrouvent et ne quittent plus. Je le prends par la main et l’emmène dans ma chambre.
Je monte l’escalier en le suivant de très près. Mes yeux sont posés sur son cul, magnifique, rebondi, moulé dans son jean. Je le pousse sur le lit, et commence à lui enlever son pull et son tee-shirt dévoilant son torse fin, très peu poilu, je le caresse. Il ôte mon polo et m’observe. Il descend mon jean et me caresse son mon boxer. Je bande déjà comme un fou. 15 cm, bien droits dans ce tissus noir. Une fois le boxer retiré, il m’embrasse le gland, et commence à me sucer. J’ai chaud, très chaud, il suce divinement. Je lui enlève son jean, et découvre son boxer tendu à l’extrême. Je n’ai jamais mesuré, mais au moins 20 cm plaqués contre sa cuisse. Je caresse son membre, lui lèche à travers le tissus. L’odeur est exquise, un mélange de pisse, de transpiration, d’homme. Il est propre hein, mais un boxer du matin bah voilà quoi. Je passe ma main sous le tissus et lui effleure les fesses, un frisson nous parcoure. Je fais glisser son boxer et pointe le bout de ma langue sur son gland, que je décalotte. Ma main lui caressant sa queue, ses couilles, j’embrasse son gland, je me régale. Je commence à le sucer. Son énorme queue glisse entre mes lèvres, et ma langue déguste la mouille produite.
Nous sommes tous deux nus, allongés sur le lit, en 69. Il est au dessus de moi et joue des reins pour que sa queue entre au fond de ma bouche. Il me baise la bouche, mon nez collé à sa toison pubienne et ses couilles frappant mon menton. Alors que je commence à me faire à cette force, il descend jusqu’au fond de ma gorge, tout doucement et maintient la position le temps que ma langue parcoure tout ce qu’elle peut parcourir. C’est à cet instant qu’il se glisse jusqu’à mon oreille et me susurre :
— Au fait je suis actif …
— Je sais, lui répondis-je avec un très large sourire !
Il n’en fallait pas plus pour qu’il glisse un doigt bien humide le long de ma raie. Pendant que je le suce, il me doigte, me prépare. Je suis tellement excité que mon cul s’ouvre facilement, il y glisse 3 doigts, pendant que sa queue, plus grosse encore, se fraie un chemin entre mes lèvres. Il se retourne, prend une capote et du gel. Il enfile la capote et verse une pointe de lubrifiant sur sa queue raide. Il s’allonge sur le dos, offert. Je l’enjambe pour présenter mon cul au dessus de ce membre chaud et descend doucement jusqu’au bonheur. Sa queue écarte mes chairs en entre doucement en moi, c’est si bon. Je fais de légers va et viens en regardant le fond de ses yeux, heureux. Une flamme explose, il me prend par les hanches et tape contre mes fesses avec ses hanches. Il me relève et se place derrière moi. Il me prend, il me baise avec une force, sa queue est si dure. Quand je me trouve au plus chaud, je le sens m’embrasser le dos, et reprendre des mouvements très lents, très doux. Je suis au paradis. Il alternera ces rythmes durant une bonne demie-heure, jusqu’au moment il se mit à coté de moi. Nous nous branlons mutuellement, nos mains si humides de sueur glissent sur nos queues raides. Et dans un râle explosif, un bonheur immense, nous jouissons en même temps des flots de sperme impressionnants. Nous sommes épuisés.
Nous allons sous la douche, il me prépare à manger, du riz et nous nous racontons nos histoires. Après cette soirée merveilleuse, nous nous endormons l’un dans les bras de l’autre, dans notre petit paradis, amoureux.