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Déviation incontrôlable – Chapitre 10

Déviation incontrôlable - Chapitre 10



Maryse a mis bien trente minutes avant de revenir des toilettes, et reçoit un regard interrogateur de la part de Sophie. Bien entendu, cette dernière explique à son amie ce qui s’est passé dans les toilettes du bar.

Sophie lui dit que c’est bien, qu’il faut s’amuser et qu’il ne faut pas laisser le temps filer. Cette dernière doit certainement penser qu’en ayant eu cette aventure, Maryse s’éloignera de Marcel, le cousin de la famille et qu’il pourra se consacrer totalement à elle.

Il est désormais deux heures du matin, les femmes rentrent chez elles, Maryse prend une douche puis se couche. Le dimanche se déroule sans encombre, Antoine ne lui pose même pas de question sur la soirée ou autre. Elle prend donc la décision de jouer sur internet, de traîner sur les réseaux sociaux.

La soirée est identique, rien de bien passionnant, puis place à la semaine de travail qui se déroule à une vitesse incroyable. Bien entendu, elle maintient ses relations extra-conjugales avec monsieur Bouteille et monsieur Dubois. Elle reçoit le mercredi une invitation de la part de Marc, son aventurier d’un soir pour le vendredi suivant.

Elle hésite un peu, puis finit par accepter en ce jeudi midi pendant sa pause déjeuné. Elle apprend par la même occasion qu’Antoine son époux sera absent du week-end afin de participer à une foire campagnarde. Il devra loger sur place, car, cet évènement a lieu à quatre cents kilomètres de leur domicile.

Maryse propose même à Sophie de l’accompagner à cette soirée, mais cette dernière décline la proposition. C’est donc seule que la femme d’Antoine se rendra au domicile de Marc.

En ce vendredi d’automne, les vendanges sont quasiment terminées, le vin commence à être mis en bouteilles et les brumes envahissent les plaines. Il est quasiment dix-huit heures, Maryse prend sa voiture afin de se rendre au domaine viticole.

Elle est habillée de façon assez classique, un jean, un débardeur recouvert d’un pull en laine et d’un manteau en cuir. Au bout de trente minutes, elle arrive à l’adresse indiquée sur son GPS, puis sonne au portail. Elle reconnaît la voix de Marc qui lui ouvre, elle stationne sa voiture devant la porte de la maison, son amant l’attend sur le perron de la porte, lui fait un bisou furtif sur la bouche puis la fait entrer.

Il lui présente son fils qui a dix-neuf ans, Romain, puis lui propose de boire un café. Elle accepte volontiers, elle est tout de même troublée par la présence de ce jeune garçon. Elle essaye de discuter avec lui, mais il semble assez ignorant. Marc qui s’était absenté quelques instants, invite Maryse à le rejoindre.

Sur le chemin, il lui explique que lors de la première récolte il y a une sorte de tradition. Cette dernière consiste à écraser les raisins dans des gros bacs en cuivre ou en métal et qu’ensuite, il y a une grande bouffe avec des produits locaux. Maryse sourit en entendant cette explication.

Après quelques minutes de marche, les amants entrent dans le local. Des jeunes saisonniers sont déjà en train d’écraser le raisin.

Marc propose à Maryse de faire la même chose, de les rejoindre, mais cette dernière est bien habillée, elle ne veut pas plonger dans la bassine. L’homme lui propose alors de se changer dans le vestiaire. Il l’accompagne, lui donne une vieille chemise et un pantalon en lin d’un autre âge.

Ils retournent dans la salle, puis la femme entre dans un bac afin d’écraser le raisin. Romain le fils de Marc la rejoint. Ils écrasent tout ce qu’ils peuvent. Le fond de la bassine commence à ressembler à une mare boueuse. Maryse glisse une ou deux fois, mais est rattrapé aussitôt par le jeune homme qui l’accompagne.

Marc de son côté prépare la grande table avec deux trois saisonniers. Cette ambiance de fête plaît énormément à la femme d’Antoine. Elle semble même revivre.

Quand soudain, elle glisse une troisième fois dans le bac, Romain n’a pas eu le temps de la rattraper, et il est à présent au-dessus d’elle. Il essaye de se relever, mais ne fait que tomber, il fait de même en essayant d’attraper le bord de la bassine, mais ayant les mains pleines de jus, rien n’y fait, il reste bloquer au-dessus de Maryse.

La position est un peu délicate, la seule solution est de tirer la femme par le tissu de sa chemise afin de la relever et de sortir de la cuve. Il s’appuie sur les épaules de cette dernière, la relève énergiquement, mais un détail va mettre mal à l’aise les deux protagonistes puisque le vêtement se déchire au niveau des boutons. Ils sont à présents debout, mais la femme se retrouve avec une partie de la poitrine dénudée.

Le jeune homme reste dans un premier temps bouche bée, puis se morfond dans des excuses. Maryse le rassure en lui disant que ce n’est pas de sa faute, qu’il n’est pas responsable de la fragilité du tissu. Il semble reprendre confiance en lui quand tout à coup, Marc son père arrive. Il gronde son fils, lui demande ce qu’il se passe. Romain lui explique la situation tant bien que mal. Le père se calme, et signale tout de même qu’il n’a rien d’autre à offrir à Maryse comme vêtement.

Cette dernière lui indique qu’elle a toujours sa tenue d’origine, et qu’elle peut aller se changer. Le père de famille réplique aussitôt en expliquant que tout le monde reste en tenue d’écraseur, et que pendant ces repas, il y a aussi quelques fois des batailles de raisins. Maryse accepte, elle tient sa chemise comme elle le peut, demande tout de même à Romain si sa poitrine est visible ou pas. Ce dernier lui explique que cela fait un décolleté très plongeant, mais rien d’extraordinaire.

Les odeurs de grillades envahissent la salle, Marc apporte des côtes de buf sur la table ainsi que des bouteilles de vin. L’ambiance est plutôt conviviale, on pourrait se croire dans un autre monde. Tout le monde discute de vives voix. Le bruit serait presque aussi saoulant que l’alcool. Un garçon gratte quelques notes de musique avec sa guitare. Quelques personnes dansent.

Puis soudain, un groupe de jeune saisit des raisins puis les lancent sur un autre groupe. C’est alors une bataille immense qui se fait. Maryse reste en retrait avec

Marc et Romain. Elle regarde cette activité avec amusement. Puis soudain cette dernière est saisit par Pedro un travailleur espagnol afin de participer.

Elle essaye de tenir sa chemise le mieux qu’elle peut afin de ne pas paraître dénuder devant ses adversaires, reçoit un nombre incalculable de jets, même si elle-même en envoie aussi. D’ailleurs, cette action laisse apparaître par moment la naissance de ses tétons. Ce qui ne manque pas d’affoler la gente masculine. Au bout d’une demi-heure, Marc demande à ce que cette activité s’arrête, tout le monde rejoint la table.

Le silence tranche complètement avec l’ambiance précédente. La lumière de la salle s’éteint et un homme entre dans la pièce avec un gâteau immense remplit de bougies. Personne ne sait à qui s’adresse ce cadeau, jusqu’au moment où ce dernier est posé devant Romain. Le garçon souffle ses bougies, tout le monde applaudit.

Le dessert est distribué aux saisonniers et à Maryse, puis Marc se lève de table. Il se lance dans un discours à la fois humoristique et pathétique. Il félicite son fils pour les études, le permis de conduire, mais le rend rouge de honte lorsque celui-ci parle de son pucelage.

Les applaudissements sont mélangés aux rires moqueurs, mais visiblement Romain n’est pas dérangé par cette situation. Puisqu’il réplique aussitôt en parlant du célibat de son père.

L’ambiance devient un peu plus pesante, les saisonniers quittent petit à petit la salle. Maryse se retrouve quant à elle seule avec le père et le fils. Marc vient la voir, lui demande si la soirée lui a plu, elle répond par l’affirmative, puis ce dernier débarrasse la grande table.

Romain sort quelques instants pour fumer une cigarette. La femme prend alors la décision de se changer de tenue.

Elle part en direction du vestiaire, elle est seule dans la pièce, elle prend alors ses aises, se déshabille, puis entre dans la douche. Pedro qui n’a pas lâché du regard la femme d’Antoine prend la décision de la rejoindre. Il ôte ses vêtements, puis entre dans la même pièce que Maryse.

Il est derrière elle, la contemple avec envie. Il se rapproche petit à petit, puis pose une main sur l’épaule de cette dernière. Elle sursaute et crie en même temps. Elle se retourne et reconnaît le saisonnier qui l’a entraîné dans la bataille de raisin. Elle lui demande ce qu’il fait là. Il lui répond le plus simplement qu’il a envie d’elle, ici tout de suite. Que la vision de cette poitrine libérée l’a rendu complètement hystérique.

Ce garçon qui doit avoir vingt ans, n’est pas du tout timide puisque sa main droite est déjà en train de palper les seins de Maryse. Elle est, bouche bée face à tant d’audace, mais se laisse tout de même envoûter par Pedro. Il approche sa bouche en direction des tétons qui sont à présent remplis d’excitation, les lèchent, les mordillent et les malaxent dans le même temps. Petit à petit, les doigts du jeune homme partent en direction de la vulve.

Il en fait entrer deux d’un coup, puis commence à masturber Maryse. Celle-ci apprécie ce traitement de faveur, à son tour, elle commence à caresser le membre du garçon.

Ce dernier grossit dans la main de la femme, elle se met à présent à genoux et offre à Pedro une fellation. Elle lèche la tige de chair de haut en bas, puis aspire le gland de ce dernier. Le garçon semble sensible à cet acte, et relève l’épouse d’Antoine. Il la plaque contre le mur en carrelage de la douche, cambre légèrement les fesses de cette dernière puis présente sa verge à l’entrée du puits d’amour.

Dans un premier temps, il se frotte. Les lèvres de la vulve suintent de désir. Au bout de cinq minutes, le jeune homme pénètre le fondement de sa partenaire et effectue des mouvements assez rapides.

Il claque les fesses de Maryse afin d’augmenter son excitation. Cette dernière semble apprécier cette situation. Rapidement, les deux amants se retrouvent dans le vestiaire sur un banc en bois. Après le premier échange corporel, le garçon s’assoit, et la femme se positionne à califourchon au-dessus de lui. Elle s’empale sur le membre de ce dernier, et commence à monter descendre à un rythme plutôt normal.

Pedro est légèrement insatisfait, il prend à pleines mains les fesses de sa partenaire afin d’augmenter la cadence des mouvements. Il la positionne maintenant à quatre pattes, puis la prend en levrette. Cette position envoie Maryse dans les stratosphères du plaisir et éjecte de la cyprine sur le membre du travailleur espagnol.

Ce dernier sort du vagin de la femme, la retourne face à lui afin de s’offrir une cravate de notaire. Il se masturbe dans le même temps dans ce magnifique quatre-vingt-dix C. Au bout de quelques secondes, il éjacule entre les seins de sa partenaire.

Les amants se câlinent un instant, se réajustent, puis l’un après l’autre, ils sortent des vestiaires.

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