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Ma cabane au Canada… ou plutôt ma niche de chienne ! – Chapitre 1

Ma cabane au Canada... ou plutôt ma niche de chienne ! - Chapitre 1



Ça fait un moment que j’ai remarqué que mon patron a du mal à regarder plus haut que mon décolleté. Une promotion canapé ne serait pas pour me déplaire, surtout qu’il n’est pas repoussant, même plutôt à mon goût.

Il est marié, mais je n’ai jamais vu sa femme, les rumeurs de couloir la disent plutôt coincée, de bonne famille et dévouée à ses enfants. J’ai du mal à imaginer mon patron avec une telle femme, lui qui est plutôt du genre blagues salaces aux secrétaires, friqué et le montrant ostensiblement, aimant les sorties, les restaus et les soirées mondaines.

Aujourd’hui, je suis plutôt étonnée, il m’a demandé de le suivre dans son bureau, il a besoin d’être secondé pour des réunions auxquelles sa secrétaire attitrée est d’habitude appelée.

Une fois assise en face de lui, il m’annonce que nous partons en déplacement le lendemain, dans une bourgade perdue du Canada, où se trouve une société qu’il veut racheter. Il devance la question qui allait passer mes lèvres en me disant qu’il a transféré Hélène, sa secrétaire, dans un autre service, leurs relations étant trop tendues pour qu’elle puisse travailler pour lui dorénavant.

Ça ne m’étonne pas. S’il y a bien quelqu’un de tendu dans ce service, c’est Hélène. Coincée, prude, obtue et étroite d’esprit. Le genre à appeler un exorciste si vous avez le malheur de lâcher un juron. Je me demande même comment il a pu la supporter jusque là, plus personne ne voulait même déjeuner à côté d’elle à la cafétéria.

Il ajoute qu’étant célibataire, je serai, de toute façon, plus disponible pour les futurs déplacements prévus.

Heu… ce n’est pas parce que je n’ai pas de mec que je n’ai pas de vie, merci bien.

Macho. Connard macho.

Mais bref, je n’ai pas le choix, et apparemment cela va avec une belle augmentation de salaire, je ne vais pas cracher dessus.

Je me retrouve donc le lendemain à l’aéroport, embarquant après une attente interminable pour Montréal.

Le vol se passe sans encombre, mon boss dort tout du long, ça m’évite de lui faire la conversation, forcément bateau et inintéressante.

Les paysages sont magnifiques, les gens accueillants, mais je déchante vite lorsque notre contact nous embarque dans son pickup et qu’au bout d’un interminable trajet nous arrivons dans un coin paumé avec pour seule habitation une cahutte en bois. Une seule.

Le contact fait un clin d’oeil à mon patron, et s’en va, nous laissant en pleine nature (bon, ok, en contrebas, à quelques centaines de mètres, habite le contact, mais deux cahuttes dans ce desert de neige c’est pas très folichon).

Nous entrons dans la cahutte, et je souffle de soulagement: au moins elle est confortable. Nous en faisons le tour et j’ai comme l’impression que mon patron connait déja l’endroit. Il allume un feu comme s’il avait fait ça toute sa vie, et me dit de déposer mes affaires dans la chambre. Deux portes, deux possibilités.

La première s’ouvre sur une salle de bain, mauvaise pioche. Mais cela veut dire que… il n’y a qu’une chambre. Il va dormir sur le canapé, bien-sûr ?

Je me retourne, interloquée, et je vois un rictus se former sur les lèvres de mon boss.

"Pas de panique, nous sommes des adultes, partager un lit n’a rien de dramatique".

J’opte pour croire que cela signifie qu’en tant qu’adulte, il sait se comporter en gentleman, même si l’expression de son visage me dit plutôt que deux adultes ne devraient pas s’offusquer de partager le même lit, coucher avec son boss n’est pas un drame…

Ceci dit, cela commence à m’exciter un tout petit peu. Advienne que pourra !

Je range rapidement mes affaires et retourne dans le salon, enfin, la pièce principale qui sert de salon, salle à manger, cuisine…

Je m’assieds sur le large canapé recouvert de fourrures, et accepte le verre de cherry que me tend le boss. Il s’assied en face dans un fauteuil.

Je lui demande quand nous sommes censés voir nos homologues canadiens pour la transaction de rachat, espérant que nous allons bouger d’ici à un moment donné et se taper la cloche dans un bon restau, et je m’étouffe à moitié quand il m’annonce qu’en fait, le rachat a déja eu lieu, mais que comme ce voyage était déja organisé par la boite, autant en profiter.

Il m’annonce en gros que nous allons passer quatre jours dans cette cabane en pleine nature et se relaxer. J’hésite sur le sens à donner au mot "relaxer", son regard glissant sur mon décolleté avant de rejoindre mes yeux me collant des frissons.

Il fait déja nuit depuis longtemps ici, il est 22h heures locales, mais le décalage horaire me tient éveillée certainement pour toute la nuit, et j’accepte un autre verre.

Bizarrement, la conversation devient plus fluide, nous parlons de tout et de rien mais c’est assez sympa, je me sens moins anxieuse de cet isolement.

Evidemment, plus nous parlons, plus nous nous avançons dans des sujets plus intimes.

Il n’y va pas par quatre chemins, il me dit qu’il sera encore plus généreux avec moi, niveau salaire, si j’écarte les cuisses lorsqu’il le souhaite et si, en plus, je le laisse disposer de moi pour tous ses fantasmes lors de ce séjour, je serai promue cadre.

Il me promet qu’il n’est pas dans un trip sado maso, qu’il ne me fera aucun mal, qu’il n’est pas non plus scato ou autre, mais qu’il a juste quelques fantasmes qu’il aimerait réaliser avec moi. Mon esprit imagine des trucs un peu coquins, mais je ne vois pas le mal, pourquoi refuser ? Etre cadre… non vraiment, je ne peux pas refuser.

Je finis très vite à poil, il est sur moi, virant mes vêtements les uns après les autres, il a une force dont il profite et je suis comme une poupée entre ses mains.

Ni une ni deux, il me plaque sur le ventre sur le canapé, j’entends le zip de sa braguette, et il me pénètre violemment, sans prévenir. Ce mec est monté comme un cheval !

Il me défonce littéralement la chatte, je sens son gland taper au fond sans ménagement, et ses grognements de plaisir m’excitent. Il me prend comme une bête et même si je déteste me faire dominer en général, il y a quelque chose d’enivrant à l’être. Je gémis, mon souffle est rapide, je sens le poids de l’une de ses mains appuyant fortement sur le bas de mon dos pour me garder plaquée sur le canapé, et l’autre se glisse dans mes cheveux, et soudain me tire en arrière, me faisant me cambrer presque douloureusement. Pas de douleur hein ?

Je proteste même si cela m’excite encore plus, et il le sait, le cochon.

Ses coups de reins deviennent encore plus violents, il se penche au dessus de moi, se rapprochant de mon oreille, et me susurre "Tu te plains mais tu adores ça, chienne… je vais t’en donner encore plus…" en tirant encore plus mes cheveux, ponctuant sa phrase d’un large coup de langue dans mon cou.

Il continue à me donner des coups de boutoir, se redressant dans sa position initiale, et je sens sa main libérer le bas de mon dos et se glisser sous mon ventre pour me mettre à quatre pattes.

"Vas-y, montre moi ton beau petit cul de plus près…" sa voix rauque me fait mouiller comme une malade.

Toujours en me tirant les cheveux, m’immobilisant en toute soumission, il continue de me sauter en levrette aussi violemment, et soudain me plonge ses doigts dans l’anus. Je les sens lubrifiés, de la salive certainement.

Il pousse et force le barrage de mon sphincter, ça me fait mal mais pas assez pour couvrir le plaisir de son énorme bite écartelant ma chatte. Je sens qu’il rajoute encore un doigt, j’en imagine au moins trois, et il fait un mouvement de va-et-vient avec. Je prends peur, il ne va pas me sodomiser quand même ? Je n’ai jamais fait ça, et vu la taille de son engin, et la douleur que je ressens rien qu’avec ses doigts, je vais mourir !

On est pas censé demander avant d’enculer sa partenaire ? Enfin, partenaire… là je suis plutôt sa poupée gonflable.

Je le sens cracher sur mon anus, pour relubrifier le passage.

Au bout d’un moment la douleur passe, heureusement. Il continue de me limer la chatte tout en me doigtant le cul, et je le sens proche de l’extase, à entre sa respiration se saccader de plus en plus et ses grognements gutturaux devenir plus forts.

Je le gémis plus, je crie de plaisir et tout à coup il sort de moi, me retourne et me fourre sa bite dans la bouche pour y éjaculer.

"N’avale pas". J’obéis à son ordre et attend qu’il ait fini de se vider sur ma langue.

Il lâche sa bite et me fait recracher son sperme dans un de nos verres. Il me retourne de nouveau, et je le sens fourrager dans mon anus de nouveau. Je tourne la tête pour voir ce qu’il fait, et il me sourit pendant il verse son propre sperme mêlé de ma salive dans mon anus ouvert par ses doigts un peu plut tôt.

Il écarte de son index et majeur mon trou, et de l’autre main, penche le verre. Je sens son jus couler en moi, c’est bizarre, mais ça m’excite. Une fois le verre vide, il recommence à s’affairer sur mon anus, le sperme faisant un bon lubrifiant. Ca glisse tout seul, et c’est très agréable.

Je le vois utiliser son portable pendant qu’il me fourrage le trou du cul, et le petit bip me dit qu’il envoie un texto. Quelque part dans mon esprit, loin au delà de l’excitation, j’espère qu’il n’a pas pris une photo de mon cul pour l’envoyer à je ne sais qui…

Je n’ose pas lui demander.

Quelques instants plus tard on frappe à la porte. Je n’ai pas le temps de me couvrir, ni même de bouger, que le boss crie "entre" et m’immobilise.

"Pas bouger. La suite de la soirée arrive."

La porte s’ouvre et notre contact entre, pas le moins du monde perturbé par notre position, bien qu’il en profite pour se rincer l’oeil sur moi au passage.

Il a avec lui deux énormes chiens et je flippe un peu, j’ai peur des gros chiens…

J’identifie tout de suite la race grâce à mon film préféré étant enfant, Quatre bassets pour un danois.

Les chiens semblent nerveux mais mon boss se lève et les caresse, ils n’ont pas l’air agressifs, je me détends un peu.

Mais bon, même avec quelques verres de Cherry dans le sang, la situation n’est pas des plus normales pour mon esprit et je m’assieds sur le canapé en essayant de cacher ma nudité avec mes bras.

"Pas la peine de te cacher." le contact me dit, lâchant les chiens et m’attrapant, me tirant debout par la taille.

"C’est bon ? elle est prête ?" il demande à mon boss, qui acquièce de la tête.

Prête ? Bon ok, c’est une partouze avec deux mecs, c’est pas la mort, le contact est pas trop mal après tout.

L’un des chiens me renifle le derrière et ça me fait rire, j’essaie de le repousser. L’autre fait de même mais tourne en rond, indécis.

Quand je me retourne vers le contact pour lui demander si son chien est mal élevé ou quoi, je vois qu’il est à poil.

Mon boss aussi d’ailleurs.

Ils se regardent en souriant de façon vicieuse et je prends peur.

"T’inquiète pas, ça va bien se passer, pense à ta promotion, et à tout ce que tu vas jouir ce soir." me dit mon boss.

Oui, mais je ne sais pas ce qui va se passer !

"Bon, on commence à jouer quand tu veux." le contact dit.

"Ok, on y va" mon boss répond. Et là le ton change.

Apparemment c’est un jeu de soumission, ça a l’air d’être le trip de mon boss.

"Les chiennes ça ne marche pas sur deux pattes." mon boss me dit, me forçant à quatre pattes sur le sol.

Les chiens couinent mais le contact les chasse de moi et les attache au canapé. Mon boss me met un collier étrangleur en métal, et une laisse, et commence à me tirer avec pour que j’avance.

"C’est bien, bonne chienne."

"On va voir si ta chienne est obéissante." dit le contact. Il se met debout devant moi et m’ordonne: "Lèche !" en me tendant son pied. Bof, c’est pas mon truc. Je ne réagis pas, et mon boss donne un bon coup de sonnette avec la laisse, m’étranglant brièvement mais assez pour que j’obtempère et me mette à lécher le pied tendu devant moi.

"Bien, elle comprend vite." le contact s’agenouille et me chope la tête, approchant ses couilles de ma bouche, sa queue dans la main. "Continue de lécher."

Je lèche, suce, et il semble aimer ça, je vois sa queue se raidir sous mes coups de langue.

Il me donne sa bite à sucer un instant, puis passe derrière moi pendant que mon boss me redresse le buste d’un coup de laisse, et commence à me pincer et me tirer les tétons.

Je retombe les mains sur le sol quand le contact m’enfonce sa queue dans le cul d’un coup, sans prévenir. Je crie de douleur. Le sperme, la salive et les doigts du boss ayant bien préparé le passage, sa bite bien mouillée de ma salive est entrée d’un trait sans aucune résistance jusqu’aux couilles, que je sens taper contre mes fesses alors qu’il m’encule à un bon rythme, tenant mes hanches pour m’empaler sur son sexe dur comme du bois avec le plus de force possible. La douleur s’en va après quelques minutes et je trouve que se faire enculer c’est pas mal finalement.

Je me retrouve avec une bite me limant l’anus et l’autre me baisant par la bouche, la salive coule sur mon menton pendant que mon boss me tient la tête pour m’enfoncer son membre le plus loin possible. Je maîtrise mon réflexe de vomir pour la prendre toute entière, et je sens quelque chose de chaud gicler dans mon cul.

Mon boss me lâche et va derrière moi, et a juste le temps d’enfiler sa bite dans ma chatte avant d’y décharger.

"Voilà, elle en a partout et elle est bien élargie, ça ne devrait avoir aucun mal à passer quelque soit le trou où ça atterrit." le boss dit.

Le contact va chercher quelque chose dans son sac et je le vois monter un trépied, et y installer une caméra, qu’il règle sur moi.

Le boss reprend la laisse dans sa main, et attend, en me parlant comme à sa chose.

"Maintenant tu ne bouges plus, tu te laisses faire. Tu es ma chienne et tu as intérêt à obéir à ton maître."

Je relève un peu la tête pour le regarder, il donne un violent coup de laisse. "Pas bouger j’ai dit !"

Ok ok !

"Tu vas être une gentille chienne, l’ami de ton maître a amené des copains pour que tu joues avec, et si tu es une bonne fille, ils se contenteront de jouer avec toi aussi, ils ne te feront aucun mal."

Et là je commence à me dire que c’est complètement con comme trip, de vouloir me faire jouer à poil avec ses chiens comme si j’étais un chien aussi. Enfin bon, si ça le branche… j’espère qu’il ne va pas me demander de ronger un os…

Le contact commence à s’adresser au boss.

"Bon, le blanc tu le connais, il a l’habitude, le brun c’est encore un jeunot, j’ai commencé à le former mais il ne sait pas encore trop quoi faire, j’essaie de le former au top comme Eros mais il a besoin de pratique et de voir son père faire. Tu sais comment gérer Eros, je gère Lust, ok ?"

"Ok. J’ai hâte de vous voir tous les deux !" mon boss a une lueur d’excitation dans les yeux, et je ne vois rien venir.

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