jai un côté féminin qui attire les messieurs.
Je porte les cheveux assez longs, châtain clair, avec de grands yeux bleus et des cils allongés.
Mince et imberbe, jai un aspect très androgyne et javoue que je joue largement de mon aspect.
Ma verge a des proportions très intéressantes et dès que commencent les jeux de mains, ma trique na rien à envier à celle dun mâle viril
Au lycée, jai déjà donné de ma personne comme on dit, offrant sans complexe, dans les vestiaires ma bouche et mon petit trou à mes camarades de jeux
Malgré tout ce nétait guère satisfaisant et même si je prenais un certain plaisir à boire le sperme de mes lycéens préférés, ou encore leur laissant le loisir de me perforer lanus, les laissant décharger dans mon ventre, je naspirais quà connaître un vrai mâle qui me traiterait comme une bonne petite femelle
Jeudi dernier je me suis rendu au cinéma, car un de mes camarades mavait indiqué sans y prendre garde une salle où selon ses dires, on pouvait trouver son bonheur, à condition dapprécier les grosses queues de préférence appartenant à des immigrés qui venaient là, décharger leur trop plein damour
Arrivé en avance dans la salle, jassistais à la diffusion dextraits de bande annonces, assez croquignoles, dont un qui mettait en scène un jeune éphèbe, qui pompait avec gourmandise un grand black puissamment doté par la nature, pendant quun autre lemmanchait de toute la longueur de sa puissante verge, venant coller ses grosses testicules noires entre ses fesses imberbes. Le jeune homme appréciait visiblement la saillie et tortillant son joli cul blanc allait au devant des coups de reins de son amant noir.
Les extraits de films me plaisaient beaucoup, dautant que je midentifiais à cette petite pute remplie à ras bord de deux belles verges Le final fut grandiose, et le jeune homme savourait avec délices, le jus de bite abondant que lui prodiguait son amant dans la bouche, le noir déchargeait de puissants éjaculations sur la langue du jeune, rempli en même temps de larges giclées de foutre, par lénorme pine qui lui élargissait lanus
Jétais dans un état dexcitation extrême, quand les lumières séteignirent laissant place au film
A peine quelques secondes plus tard, un homme, vint sasseoir sur le fauteuil à côté du mien
Mon voisin, un arabe dune soixantaine dannées, me salua dun hochement de tête, avant de poser tout doucement une main sur ma cuisse gauche.
Je fis comme si de rien nétait continuant de mater le film, où une blondasse se faisait mettre par tous les trous.
Sous mon pantalon de jogging, ma quiquette était bien raide et jétais troublé par les caresses de mon voisin, qui avait trouvé louverture vers ma verge, sintroduisant sous mon vêtement, puis sous ma culotte, palpant maintenant avec tendresse mon engin, raide somme un piquet
Je le laissais faire apprécient sa caresse et soulevant mes fesses pour lui faciliter laccès à mes organes génitaux.
Me masturbant désormais sans complexe, mon compagnon, dégagea mon membre, continuant de le secouer, avant que de prendre ma menotte et de la poser sur sa braguette. Curieux, je ne me fis pas prier et tirant le zip de la fermeture éclair de son pantalon, je dégageai son gros zob de son sous vêtement, prenant en main une énorme quique tendue comme un arc; javais du mal à en faire le tour et mes deux mains ne suffirent pas à le recouvrir Je me régalais de masturber cet engin fabuleux, chatouillant le méat et le gland gros comme une prune pelotant les grosses testicules, les pressant, les cajolant
Nen pouvant plus je cédais à une impulsion et magenouillant dans la travée, jembouchais le désirable engin, léchant le trou de pine, le mat colossal, et pompais enfin lobjet de mon désir, qui tressaillait de bonheur à chaque coup de langue.
Je mappliquais tant et plus sur cette trique puissante, avide de boire la semence de mon amant A force de coups de langue sur toute la longueur de lénorme bite noire, de pompage de gland, jobtins enfin ma récompense; larabe, grognant, me prévint très gentiment quil allait éjaculer, mais je voulus lui faire plaisir et à moi aussi en le laissant se vider sur ma langue. Ainsi je le retins par les hanches, sentant sa verge frémir et grossir encore Une première goutte fluide, salée vint sécraser sur mes papilles, puis un flot impétueux memplit la bouche. Je déglutis de longues éjaculations. Javalais avec gourmandise ses décharges, me régalant de ses jets gluants et odorants. Je nen laissais pas perdre une seule goutte, son jus de testicules sortant en abondance de son méat. De longues secondes durant il jouit entre mes lèvres avides de boire son sperme. Je pompais goulûment son éjaculation grasse et savoureuse, nettoyant sa belle verge de toute trace de jute.
Javais avalé toute sa semence