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Epouse infidèle pour mon plus grand plaisir – Chapitre 1

Epouse infidèle pour mon plus grand plaisir - Chapitre 1



Epouse infidèle pour mon plus grand plaisir

Cette histoire est somme toute assez banale mais elle a le mérite d’être la stricte vérité. Elle est très récente puisqu’elle ne date que de quarante huit heures à peine. Ma femme devait sortir avec des copines pour une soirée que je qualifierais d’habituelle. Elles sont quatre à se retrouver une fois par mois pour aller au restaurant puis en boîte, histoire de se vider la tête.

Je n’y vois personnellement aucun inconvénient même si, parfois, je sens à son retour qu’elle n’est pas passée loin d’une aventure. Au fil du temps, je me suis même surpris à espérer que cela arrive et qu’elle rentre un soir, la mine défaite, la culotte tachée de sperme en m’avouant dans le détail ce qui vient de se passer.

Une de ses trois amies est une vraie baiseuse, une cougar comme on les appelle maintenant. Je l’aime bien. Il ne s’est jamais rien passé entre nous même si, parfois, c’est un peu chaud quand elle se permet de m’attraper la queue à travers mon short ou que, pour lui rendre la pareille, je lui mets la main aux fesses et qu’elle ne porte qu’un minuscule string sous sa jupe.

C’est au cours d’une conversation très sexe que je lui ai avoué mon fantasme en lui faisant comprendre à mots couverts qu’elle pourrait pousser ma femme à se lâcher, enfin, à franchir le pas.

La conversation en était restée là jusqu’à cette fameuse soirée où je suis réveillé par l’eau dans la salle de bains et des sanglots étouffés de mon épouse sous la douche. Je me lève pour aller voir ce qui se passe, encore dans les « vaps ». Je vois sur le sol sa culotte. Machinalement, je la ramasse et la porte à mon nez pour renifler son odeur, cette odeur qui me fait toujours tant d’effet mais je me rends compte que l’entrejambe est couvert d’un liquide épais dont l’odeur ne laisse planer aucun doute sur sa nature. C’est du sperme, beaucoup de sperme. En deux secondes, je suis complètement réveillé, une poussée d’adrénaline envahit mes sens. Je rejoins ma femme sous la douche. Elle se retourne, essaie de se contenir mais en me voyant son slip à la main, elle éclate en sanglots. Je jette le sous-vêtement non sans l’avoir une dernière fois reniflé, puis la prends dans mes bras pour tenter de la consoler. Elle me demande pardon, pleure encore, me promet que ça n’arrivera plus, qu’elle regrette ce qui s’est passé, qu’elle ne voulait pas.

Que c’était la faute d’Annick qui l’avait fait boire, et qu’après elle s’était laissée embarquer dans un truc de ouf mais qu’elle regrettait.

Elle est inconsolable. Je la sors de la douche, l’essuie. Elle est belle, ma femme, des petits seins en forme de poire avec des tétons énormes depuis la naissance de notre fille ; elle m’excite avec son petit cul de minette et cette chute de reins vertigineuse.

Tu es belle, ma chérie. Je t’aime.

Pardon mon amour, pardon.

Raconte-moi, ma chérie, je ne suis pas fâché, raconte-moi.

Elle me regarde un peu étonnée, tellement étonnée qu’elle en oublie de pleurer. Je l’embrasse à pleine bouche en lui faisant sentir contre sa cuisse l’excitation qui m’anime. Elle s’étonne encore :

Mais tu bandes ? Ça t’excite ce que j’ai fait ?

Je ne réponds pas tout de suite. Je ne voudrais pas la choquer mais mon chibre parle pour moi. Je ne veux pas la brusquer, aussi je me contente de la caresser tendrement.

C’est çà. Ça t’excite vraiment ?

Je l’embrasse à nouveau. Je lui souffle :

Je ne sais pas. Peut-être l’envie de reprendre vite possession de ce corps qui, semble-t-il, vient d’être possédé par un autre ! Tu me racontes ou non ? Qu’est-ce que c’est tout ce sperme au fonds de ta culotte ?

Joignant le geste à la parole, je glisse mes doigts entre ses jambes jusqu’à l’entrée de sa vulve.

Et puis, pas que dans ta culotte, on dirait !

Tu ne vas pas te fâcher ? Je ne veux pas te perdre.

Et si je te dis que je t’aime ; quoi que tu fasses, je t’aimerais toujours.

Elle réfléchit de longues secondes, sèche ses larmes, appuie sur son ventre comme pour effacer de sa mémoire cet autre sexe qui l’a possédée. Elle se racle la gorge puis commence son histoire.

Comme d’habitude, les filles sont allées au restaurant puis, au lieu d’aller en boîte comme à chaque fois, Annick leur a proposé une boîte spéciale réservée aux filles où les garçons servent avec pour tout vêtement un minuscule cache-sexe. Mon épouse n’a pas l’habitude de boire de l’alcool. En général, après le deuxième verre, elle n’a plus toute sa tête et, surtout, l’alcool a des propriétés aphrodisiaques sur elle. Elle le sait aussi, elle évite d’en boire lorsqu’elle sort sans moi mais, bizarrement, ce soir-là, Annick arrive à lui en faire boire bien plus que de raison. Les inhibitions tombent rapidement, les mains des filles se font baladeuses. Annick n’hésite pas à saisir entre ses doigts les attributs des jeunes serveurs qui, habitués, se laissent faire sans protester. Elle réussit à convaincre l’un d’eux de leur tenir compagnie quelques instants. Elle en profite pour prendre la main de mon épouse et enrouler ses doigts autour des testicules du jeune homme. Elle guide ensuite sa main sur la hampe qui ne tarde pas à réagir en prenant rapidement du volume. Le jeune homme bande ferme. Il se laisse faire, les yeux fermés, jambes écartées, à demi allongé dans la loge de ses hôtesses.

Ma femme est de plus en plus excitée. La verge de ce jeune étalon qui se cabre entre ses doigts et dont le méat laisse échapper un filet de sève des plus attirants, lui fait envie. Elle mouille comme jamais. Elle a envie. Annick, à qui j’ai confié sa faiblesse, lui caresse la main qui branle le jeune homme puis lui souffle dans le creux de l’oreille :

Tu peux le sucer si tu veux ? Les jeunes adorent çà ici. Personne ne peut nous voir dans cette loge, t’en meurs d’envie. Vas-y fais-le, j’ai envie de voir çà !

Les deux autres copines s’approchent d’elle en l’encourageant. Les filles sont excitées, elles ont envie de se lâcher.

Le jeune se risque à glisser une main sous la jupe de mon épouse qui le laisse faire. Rapidement, il écarte le slip pour atteindre sa fente, glisse entre les lèvres pour trouver son clitoris déjà bien gonflé qui se cabre de plaisir. Les doigts sont habiles, ma femme pousse un gémissement incontrôlé tandis que le jeune commence à la masturber. Il se rapproche d’elle pour pouvoir la toucher de son autre main. Ils sont presque allongés sur la banquette, leur visage à hauteur de leurs hanches. Elle sent l’autre main sur sa fente. Tous ces doigts sur sa moule l’affolent. Des doigts glissent dans sa fente, d’autres s’occupent toujours de son bouton complètement sorti de sa gaine. Elle ne se contrôle plus. Un orgasme la submerge. Elle écarte les cuisses. Un doigt cherche l’entrée de son ventre, la trouve, s’enfonce dans sa vulve tandis qu’elle récupère rapidement. L’excitation ne l’a pas quittée, bien au contraire.

— Aaaaaaaaaaaahhhhhhh.

C’en est trop. Elle n’en peut plus. Elle se penche, ouvre la bouche, lèche le gland, aspire le liquide pré-séminal qui coule en abondance, descend le long de la hampe, lèche les bourses, les prend dans sa bouche, se met à les sucer sans arrêter de branler la queue du jeune homme. Il râle, gémit :

Oh ouiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiii.

Elle a envie de sperme, perd toute lucidité, oublie les règles élémentaires de prudence. Elle enfourne la queue aussi loin qu’elle le peut dans sa gorge et se met à le pomper en lui malaxant les couilles comme elle sait si bien le faire. A ce régime, le garçon ne tient plus. Il gémit en permanence, se tord dans tous les sens, la supplie d’arrêter, dit qu’il allait jouir mais rien n’y fait, elle veut son sperme, elle veut son sperme mais elle veut jouir à nouveau.

Suce-moi, suce-moi, toi aussi.

Aussitôt une bouche se pose sur sa fente, une langue titille son bouton puis, enfin, des lèvres l’entourent pour se mettre à le sucer. Mon dieu que c’est bon. Le plaisir la grise, cette queue dans sa bouche qui n’en peut plus de se cabrer tel un cheval fou, cette liqueur qui se déverse en continue sur sa langue et maintenant cette bouche qui la suce et ses doigts qui la pénètre, c’est trop, elle va jouir. Elle sent les vagues qui se rapprochent, se resserrent, grossissent. Elle veut le sentir gicler dans sa bouche, jouir en même temps qu’elle, suprême plaisir. Elle s’applique sur le gland, malaxe les couilles pleines, de plus en plus dures. La bite grossit encore, elle se cabre, il explose.

Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Il me fait jouir encore. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.

L’homme pousse en même temps un interminable gémissement. Il décharge dans la bouche de sa conquête tout son plaisir. Un, deux, trois puis quatre épais jets de sperme que ma femme avale malgré l’orgasme qui parcourt tout son corps. Le trop plein de semence coule au coin de ses lèvres mais elle n’en a cure, elle ne s’en rend même pas compte. Le filet descend sur son cou. Elle jouit, la tête lui tourne, elle perd pied, sa vue se brouille, elle sombre, abandonnant le sexe de son amant qui termine de se vider sur ses joues.

Un deuxième serveur est arrivé. Un grand métis généreusement doté par la nature. Il a juste eu le temps de voir ma femme commencer à jouir en avalant la semence de son copain. Son sexe s’est dressé instantanément forçant l’admiration des trois autres femmes qui lui ont littéralement sauté dessus, mais sans réussir à détourner son attention toute acquise au cul de ma femme.

Comprenant son envie, les filles font mettre Marie à quatre pattes sur le canapé. Elle est dans le cirage, ne réagit pas, laisse les mains la positionner comme elles l’entendent. Elle se retrouve les fesses offertes, le visage enfoncé dans les coussins.

J’imagine son cul cambré, ses fesses offertes qu’Annick vient de découvrir en relevant sa robe sur ses reins, la culotte baissée à mi-cuisses dans une position des plus suggestives.

Le nouvel arrivant s’installe sans perdre de temps derrière elle, il bande comme un âne avec sa queue tellement grosse qu’elle a du mal à se tenir droite contre son ventre. Il la tient à la main pour mieux cibler l’entrée de la vulve bien ouverte par les doigts de son compère. Ma femme ne se doute pas de la taille du mandrin qui, dans quelques secondes, va lui ouvrir le ventre, portée par l’euphorie de l’alcool et les endorphines de l’orgasme. Ses copines lui caressent les fesses, l’une d’elles lui lèche la raie, insistant sur son illet qui, aussitôt, réagit en s’ouvrant sous la poussée d’une langue indiscrète.

L’homme, entre temps, a trouvé sa cible, il avance doucement son bassin, s’enfonçant difficilement dans l’entrée pourtant bien dilatée, il recule, couvre de salive la pointe de son dard, recommence, s’enfonce un peu plus, lentement mais sûrement, il s’engouffre forçant l’admiration des spectatrices qui n’en reviennent pas de voir leur copine avaler ce chibre hors norme. Ma femme cherche l’air, ouvre les yeux, se retourne, le souffle coupé par l’imposante masse de chair qui progresse en elle. Elle essaie de se dégager, mais l’homme la tient maintenant fermement par les hanches. Il imprime déjà un mouvement d’aller et retour qui la laisse sans voix. Elle a envie de crier, mais aucun son ne sort de sa bouche. Elle n’a pas d’autre choix que de se laisser perforer d’autant qu’à la douleur fait place une étrange sensation de plénitude. Bientôt même, le plaisir revient. Fort, plus fort. Puissant. Elle s’agite mais de plaisir maintenant, allant au-devant du pieu qui lui ouvre le ventre. Elle s’offre autant qu’il est possible, écarte ses fesses à deux mains en lui demandant de la baiser plus fort. Les filles sont déchaînées. Elles se ruent sur deux autres garçons attirés par les cris de ma belle. En quelques secondes, les voici toutes à genoux à même la moquette, enfilées en levrette par les étalons de service. Tout nest plus n’est que cris et gémissements. Ma femme jouit plusieurs fois de suite avant de s’affaisser complètement épuisée. Son étalon accélère et, au moment de jouir, se retire pour éjaculer une grosse quantité de sperme sur les fesses de sa belle avant de replonger sa bite dans sa chatte et terminer sa jouissance dans un douillet nid de chair. Elle sent la queue se raidir encore plusieurs fois dans son ventre, il décharge encore, le salaud. C’est un étalon.

Quand il se retire, un autre prend sa place mais s’attaque directement à sa petite porte. Il la prépare avec ses doigts. Mon épouse, épuisée, se laisse faire bien qu’elle n’apprécie pas trop qu’un inconnu investisse cette partie la plus intime de sa personne. Il cible la corolle de chair, y pose son gland et profite du manque de réaction de celle-ci pour s’enfoncer entre ses fesses. En deux coups de reins il la sodomise complètement, lui arrachant de maigres protestations bien inutiles. Elle n’a plus aucune réaction tandis que le jeune homme accroché à ses hanches commence à la posséder d’abord lentement, profondément puis, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il est tellement excité que, très rapidement, trop rapidement, il se met à jouir entre les fesses de sa partenaire avant de se retirer tout penaud de la brièveté de sa prestation.

Le silence s’installe progressivement, tout le monde a joui, se repose, récupère. La tension est retombée, on reprend ses esprits, en particulier ma femme qui, malgré les brumes de l’alcool, est en train de réaliser à quel point la soirée a dérapé. Elle a joui comme une folle, mais le remord commence à poindre. Yannick, qui ne l’a jamais quittée, sent qu’il se passe quelque chose, elle lui murmure à l’oreille :

Tu es magnifique, ma chérie, quand tu jouis. J’ai adoré.

Qu’est-ce qu’on a fait ? Mon dieu, j’pourrai jamais lui avouer çà.

Les garçons comprennent qu’il est temps de s’éclipser. Ils font une bise aux filles en les invitant à revenir quand elles voudront, puis disparaissent. Les deux femmes s’étreignent, se font des bisous, se cajolent, se rassurent aussi. Les deux autres copines, reprennent leurs esprits en silence. Yannick lui fait comprendre à demi-mot que c’est moi qui suis à l’origine de tout çà et que, bien sûr, je ne serai pas fâché et qu’au contraire, elle doit tout me raconter.

Elle n’y croyait pas jusqu’à ce qu’elle me voit bander comme un âne en réalisant qu’elle m’avait trompé, et c’est pour çà qu’elle m’a tout raconté en insistant sur le moindre détail.

Je la serre dans mes bras. Je l’embrasse amoureusement sur la bouche, glisse ma langue entre ses lèvres qu’elle desserre aussitôt. Un long baiser nous unit. Ma main glisse vers son ventre, atteint sa fente qu’elle parcourt dans toute sa longueur. Elle ouvre ses jambes pour permettre à mes doigts de la pénétrer. Elle gémit de plaisir, me dit qu’elle aime çà, qu’elle m’aime.

Je lui dis gentiment qu’elle est une petite salope d’avoir permis à deux hommes de lui remplir sa chatte et son cul de leur sperme. Elle me demande pardon, m’assure qu’elle ne recommencera plus. Je lui demande si elle a aimé, elle hésite. Je lui demande de me regarder dans les yeux et de me répondre. Nos regards se cherchent, s’accrochent, se fixent. Elle m’avoue finalement qu’elle a adoré sucer une autre queue que la mienne, qu’elle a adoré se faire ramoner comme une chienne et, pire encore, qu’elle aurait aimé que le mec à la grosse queue la sodomise.

Elle a honte mais se livre comme je le lui ai demandé. Je l’embrasse, la serre encore plus fort contre moi. Elle me dit qu’elle est une salope mais qu’elle n’y peut rien, c’est comme çà. Elle a peur de ne pas contrôler ses pulsions. Je la rassure en lui murmurant à l’oreille qu’elle m’excite. Qu’elle est une adorable salope, mon adorable salope. Je la retourne, la fait s’agenouiller au milieu du salon et lui annonce que je vais la sodomiser. Il n’y a pas de raison qu’un inconnu puisse le faire et pas moi, son mari. Elle ne dit rien mais me présente ses fesses docilement. Son anus est encore marqué par la récente sodomie. J’y glisse un doigt qui s’enfonce sans forcer, passe les sphincters encore tapissés de la semence d’un autre mâle. Mon doigt sent le sperme. Je le lui dis. Elle me demande pardon.

Ecarte tes fesses, montre-moi ta rosette de petite salope.

Elle écarte ses fesses à deux mains. L’anus s’ouvre. Je suis sûr de voir un filet de sperme s’en échapper. Je pose mon gland dans l’ouverture et, sans attendre, je la pénètre d’un puissant coup de reins. Elle pousse un cri de douleur mais je la réprimande en lui faisant remarquer qu’elle vient de se faire défoncer le cul, qu’elle arrête de faire la mijaurée. Elle s’arrête de geindre. Je la besogne en lui demandant si c’est bien comme çà qu’elle s’est fait défoncer le trou du cul. Elle acquiesce de la tête. Ça ne me suffit pas. Je veux l’entendre de sa bouche et je le lui dis.

Je repose ma question. Elle me souffle :

Oui mon amour, il m’a sodomisé avec sa grosse bite. Il me tenait par les hanches pour m’empêcher de m’enfuir.

Comme çà ?

Oui comme çà. Il m’a fait mal, mais c’était bon de sentir son gros morceau dans mon derrière.

Tu aimes te faire sodomiser ?

Ça fait mal mais j’aime çà. Je ne le savais pas jusqu’à présent, mais maintenant…

Maintenant je vais te la mettre aussi souvent que je voudrais.

Oui mon amour. Je suis toute à toi.

Tu vas encore te faire mettre par d’autres mecs ?

Non, mon amour. Non. Sauf si c’est ce que tu veux mais je préférerais que ça se passe chez nous. Je serais plus rassurée.

T’es vraiment une salope, tu sais ?

Je sais mon amour mais tu as l’air d’aimer çà, non ?

C’est vrai, ça m’excite.

Ça t’excite que ta femme rentre à la maison après s’être fait mettre par d’autres mecs.

Oui, ça m’excite.

Et après tu veux me prendre encore pleine de leur sperme.

Salope. Oui c’est ce que je veux.

Je t’aime.

Je t’aime aussi.

J’ai joui comme çà sans avoir le temps de lui donner un orgasme, mais elle avait déjà eu son compte.

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