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Odile ou le plan A – Chapitre 1

Odile ou le plan A - Chapitre 1



Depuis que jai vu une tache de rouge à lèvres sur sa chemise, je me doute que Pierre à une liaison. Sil men avait parlé, je lui aurais pardonné un écart. Alors je fais mon enquête policière à moi seule. Je suis assez grande et résistante : je vais réussir. Je connais ses horaires de travail : je vais près de son bureau, jattends cinq minutes avant quil sorte. Il va en se promenant vers un hôtel que je trouve miteux. Jattends une petite heure. Il est rapide, plus quavec moi. Il sort avec une jolie nana de mon âge en gros, bien munie en poitrine. Je la suis elle, je veux tout savoir. Elle prend un métro, juste à coté. Facile de savoir où elle va. Je connais son adresse, son nom marqué sur une vielle boite à la lettre. (Odile.)

Le lendemain je me pointe assez tôt vers chez elle. Je la détaille. Mon mec a bon goût. Elle fait des courses. Jarrive à bavarder avec elle. Je linvite même dans le bistro du coin. Nous buvons un plus deux cafés. Elle me dit quelle a un amant quelle aime bien. Il lui a dit que sa femme ne baisait plus, quil était bien obligé de coucher avec une autre.

Quand je lui dis que je suis la femme, que jaime baiser, quelle na quà messayer, Odile en tombe des nues.

Quand je lui disais de messayer, jétais sérieuse. Je linvite pour le repas. Je sors mon grand jeu de la séduction. Je caresse une main puis lautre. Elle se laisse embobiner. Je ne pensais jamais lever une fille si vite, moi qui ignore le BA ba du saphisme. Ou elle est une idiote ou elle aime aussi les femmes. Tant pis je mets mon plan A en action. Je vais essayer dabord comment les femmes fonctionnent à deux, ensuite lui faire lamour, puisque cest ainsi quelles appellent leur relation particulière, ensuite, ensuite..Si ça ne marche pas se sera le tour du plan B que je ne connais pas encore.

Début du plan A !!

Après le repas je linvite à venir avec moi ou chez elle ou ailleurs pour nous amuser à des jeux inédits. Elle nest pas totalement idiote, jeux inédits quand on est deux femmes = lit. Odile choisit le lit, mais contrairement à ce que je pensais chez elle. Je jubile mais ne sais toujours pas comment lemmener au paradis sans bite. Je sais que la langue sert beaucoup. Je verrais bien comment faire : elle sait peut-être bien lécher une fille.

Chez elle, aucun meuble de qualité, sauf la chambre où elle me conduit directement. Chez elle une seule chose compte, le plaisir, le sexuel. Le plus fort est que jai fait les premier pas et cest elle qui veut membrasser sur la bouche. Jallais rejeter un baiser hors norme. Mais le plan A Je moblige à me laisser embrasser Sa langue entre dans ma bouche. Je ne crie pas au loup. Cest aussi agréable quavec mon oiseau de mari. Je décide de prendre ce qui est agréable, de rejeter le reste. Jenlève ma robe à sa demande. Odile est rapidement nue, prête au sacrifice à lautel de Lesbos. Elle est bien fichue, je comprends Pierre en un sens. Contrairement à moi elle a le pubis rasé. Elle enlève elle-même mon soutien gorge, mon slip à fleurs. Je me trouve en tenue dEve vite fait.

Ca y est elle soccupe sérieusement de moi, elle veut mon plaisir cest certain. Ce nest pas de lexploration quand elle passe sa main sur ma chatte. Elle me donne des envies pas nettes. Elle se met en adoration devant mon ventre. Sa langue me rend un hommage agréable. Elle caresse les lèvres : je suis trempée. Je me couche surle lit, je ne tiens pas debout quand je suis par trop excitée. Elle passe sa tête entre mes cuisses. Je la laisse lécher les lèvres. Elle enroule la langue autour de mon bouton. Elle menvoie des décharges pas possibles. Je sursaute en ayant un orgasme. Je ne pensais jamais quune fille me donne ces frissons. Je pense quelle va arrêter. Elle étend sa main sur le périnée, vers mon cul. Seul Pierre y a accès. Et là, pourtant je désire quelle aille plus moins quelle me fasse des machins que mon Pierre ne me fait pas. Elle le fait en posant un doigt sur lanus, elle ne le rentre pas dun centimètre. Quand Pierre mencule, il me met sa queue en entier, il me fait toujours jouir.. Elle arrive aux mêmes résultats quen caressant le bord.

Je suis restée à son pouvoir, il faut que je fasse quelque chose. Ah oui, la langue. Jallais passer ma langue aussi là où il faut quand elle me retourne vient sur moi, passe sa tête encore une fois entre mes jambes. Elle lèche toute la fente. Jai sous le nez sa fente à elle. Elle est sans doute plus mouillée que la mienne. Je nose pas lécher, passer ma langue sur le con dune autremon plan A..

Je goute avec appréhension de sexe. Cest différent que la bite et le sperme, cest finalement excitant, agréable. Je passe ma langue dans des endroits inconnus que pourtant je possède aussi, que connais Pierre quand il me suce, quand il la suce, elle la maîtresse, Odile. Jessaie de rendre coup de langue pour coup de langue. Il faut croire que je me débrouille pas mal, nous jouissons ensemble. Ainsi je jouis du même corps que mon mari. Impensable.

Elle ne moblige pas par la force à continuer nos jeux. Elle est forte pour ça. Nous partons souvent aux paradis soit à deux soit seule quand nous ne faisons que lécher lautre. Jai tenue à ce que nous nous fassions jouir comme font dit-on les vraies lesbiennes. Après de multiples combines dessais nous arrivons à faire coller nos chattes lune contre lautre. Cest délicieusement pervers dêtre ainsi. Je ne voudrais pas arrêter. Pourtant je dois renter, Pierre doit mattendre aujourdhui. Et mon plan A

Cette nuit Pierre fait la gueule : jai refusé de baiser. Jen avais eu ma dose. Le lendemain soir joffre un récital de baise. Je marrête toujours juste avant quil jouisse. Je lui demande de coucher à trois avec une autre fille. Il me regarde un peu de travers. Jinsiste à chaque fois quil est entre mes jambes, sa queue dans le con ou le cul selon notre humeur.

Ce nest plus mon plan A, cest une nécessité ; jai besoin de sa langue en plus. Jai besoin de sentir sa chatte contre la mienne. Je lui dis que je sais qui est sa maîtresse, que nous avons même baiser. Il commence à comprendre que je sais, que je connais, que jai baisé la même femme que lui. Il en met du temps à se décider, je passe moi du temps avec Odile ? Jai besoin delle de ses caresses particulières. Et lui baguenaude, ne pense quà ses petits besoins de sa petite bite. Je prends le taureau par les cornes. Ce soir Odile vient chez moi, pas chez lui, il a une réunion dehors, il rentrera tard. Nous dinons pressées de nous retrouver couchées. Je ne pensais jamais recevoir chez moi, en pleine nuit lamante, maîtresse de mon mari, en plus pour baiser. Mon plan A est mort sans regret.

Odile profite des lieux pour demander mes jouets.

Elle me demande de lui mettre luf dans le con, je le fais et le mets en route, comme me fit Pierre. Elle se laisse aller au plaisir naissant. Elle est en levrette, je lui entre la vingtaine de billes du chapelet. Jen connais les effets orgasmiques relevés. En attendant de sortir ce que jai entré, je lui lèche le cul, jy ai pris gout. Elle commence une longue série dorgasmes qui commencent quand je sors lentement les billes de son cul.

Je sors luf pour lui fourrer gros gode celui que Pierre me mets avant le final, et lui me le met dans le cul.

Quand Pierre arrive elle me lèche le clitoris en 69. Il ne fait aucune différence entre les deux femmes, il les baisent, elles sont à lui. Il commence par Odile en lui mettant la queue dans la bouche : elle le suce bien mieux que moi. Il sort de la bouche pour venir sur moi, il ouvre mes fesses. Sa langue commence à me lécher, il continue quand il est très excité à venir poser le gland sur lanus. Cest moi qui ouvre mon cul qui lui donne accès pour quil mencule.

Mon plan A a foiré.

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