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GAY – Tu suces, J'encules – Chapitre 1

GAY - Tu suces, J'encules - Chapitre 1



Salut à tous,

Pour préserver de l’anonymat des personnes, les prénoms ont été changés. J’ai 20 ans, je m’appelle Baptiste et l’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée durant une bonne partie de ma post-adolescence. Mon cousin s’appelle quant à lui Louis, il a un an de moins que moi donc nous sommes très proches.

A 19 ans, son sexe est un plus plus long que le mien et un peu plus gros. Le mien fait environ 16 cm en érection pour un diamètre de 4. Le sien approche les 20 cm pour un diamètre d’au moins 6.

L’histoire a commencé lorsque j’avais environ 17 ans donc lui 16. On dort beaucoup chez l’un et l’autre pendant les week ends, les vacances… et là il était venu chez moi. A notre âge, on se lavait toujours à deux jusqu’au jour où, je pense les pulsions sexuelles qui peuvent apparaître à notre âge, nous sommes passés à l’action…

Louis dormait chez moi, la journée se déroula comme toutes les autres, on jouait à la console, on allait se promener dans le quartier, rien dinhabituel allez vous me dire. Au soir, vers 18h, l’heure du couvre-feu, il était l’heure de se laver donc nous allâmes dans la salle de bain ensemble pour prendre le bain. Il se déshabille et monte dans la baignoire, je fis de même. Il se met côté robinet et moi de l’autre côté. J’avais une vue imprenable sur ses petites fesses qui mexcitaient déjà. A force de les fixer, mon sexe se mit à durcir, je commençais à devenir tout rouge, le problème c’est qu’il m’était impossible de cacher mon incroyable érection donc je pris mon courage à deux mains et pris le risque en ne la cachant pas. Je me leva, pris le gant de toilette, le gel douche en mit dessus. Mon cousin venait de remarquer mon érection, némit aucune réaction, me laissa me laver, je me savonna les bras, les aisselles, quand tout à coup je sentis une chaleur m’envahir le corps, mais pas la chaleur comme si j’avais chaud mais une chaleur que je n’avais encore jamais ressentis, sans doute celle de lexcitation. Louis était en train de me faire une fellation, maladroite, mais qui procurait un bien fou, j’avais le sexe qui gonflait, gonflait, je croyais qu’il allait exploser, il prit de la vitesse, je n’arrivais plus à respirer, je disais:

— " Stop stop, je n’en peux plus"

— "Pourquoi tu n’aimes pas ?"

— "Si mais on dirait que je vais exploser "

Il fit le sourd et accéléra de plus belle, quelque chose montait dans ma bite quelque chose qui m’était inconnu. Ne sachant pas ce que c’était, je ne dis rien. Mon cousin alla tellement vite que du liquide sortait de mon sexe. Il ouvra la bouche et je lui dit:

— " Ah mais qu’est ce que c’est ?"

— " Je ne sais pas mais c’est incroyablement bon"

Je n’en pouvais plus, la chaleur était à son apogée, j’avais chaud partout.

— " Baptiste, c’est à toi de me faire quelque chose, mais je ne veux pas que tu me fasses la même chose, je veux que tu mettes ton sexe dans mes fesses"

— " Non mais tu es dégueulasse !"

— " Si j’ai déjà vu ça, mon père a des films cochons et j’ai déjà vu l’homme faire ça à la femme"

— " D’accord comme tu veux"

Je venais peut être de découvrir ma première éjaculation mais j’avais encore le sexe bien dur. Mon cousin se leva, se retourna,, prit appuis contre le robinet et mis les fesses en arrière. Je m’avança, posa mon gland contre son cul et essaya de pousser mais je n’arrivais pas à faire rentrer mon sexe, il me dit alors de prendre le gant de toilette et de mouiller son cul, ce que je fis. Je me repositionna et remit ma bite devant son trou, ni une ni deux mon gland pénétra son trou du cul, c’était une autre chaleur que je pouvais ressentir, la chaleur d’un autre corps.

" Fais des va et vient, Baptiste"

Je fis des va et vient et des petits bruits sortaient de la bouche de Louis, comme s’il aimait ça. Il me dit de continuer et d’aller plus vite, je m’accélérais et une autre éjaculation se préparait, je pouvais la sentir qui arrivait, j’accélérais encore plus vite, toujours plus vite et là une giclée rentra dans son cul.

— "Heen que c’est chaud, si tu savais Baptiste, si tu veux, je te le ferais quand tu viendras à la maison"

TOC TOC

— " Dépêchez vous les garçons, ça fait 10 minutes"

Il était déjà temps de sortir…

A SUIVRE !

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