Dimanche. Dix heures du matin. Mon père sort de la douche, seulement vêtu de son peignoir et d’une paire de mules aux pieds. Il s’installe confortablement dans le fauteuil face au grand écran du salon où est programmé l’un de ses films amateurs préférés. Il me siffle et je lui apporte, sur un plateau, son cigare cubain accompagné d’un verre de scotch que je dépose sur la table basse, à proximité. Je demeure debout, à ses côtés, quelques minutes, jusqu’à ce qu’il me fasse signe. Je me place alors, à genoux, entre ses cuisses, me faisant le plus discret possible afin de ne pas obturer sa vue et, la tête plongée entre les pans ouverts du peignoir de bain, j’entreprends une lente, suave et amoureuse fellation. Je m’applique et salive abondamment. Je sens sa longue verge gonfler, réceptive aux caresses expertes de mes muqueuses humides, de ma langue agile. Il déplie maintenant ses cuisses. J’ai donc plus d’espace pour lui tripoter sa belle grosse paire de couilles pendantes que j’aime gober, en alternance. Mon père se laisse pomper très agréablement, les yeux rivés sur l’écran. Je devine combien pourtant il préfère ma bouche et mes caresses filiales aux ennuyeuses séances de masturbation en solitaire devant un film x. Je suçote et tète son engin avec un bonheur sans limite, uniquement soucieux de lui donner un formidable plaisir dont l’égoïsme pervers suffit à contenter le mien.
Dix heures et demie du matin de ce dimanche où je continue à savourer avec une gourmandise non feinte le cadeau que mon paternel me réserve, certains week-ends. Je ne me lasse pas de sucer mon père qui sait, également, faire durer ces moments de folle détente incestueuse. De temps à autre, il relève ses cuisses pour me rendre l’accès à son anus, bien dégagé et glabre, plus aisé. Je lui branle le cul avec ma langue nerveuse. Je vais le plus profondément possible pour qu’il me sente bien en lui. Je renifle toujours avec un plaisir insensé ses odeurs intimes:
_Bouffe-moi bien à fond, enculé de ta mère! (…) Voilà! Comme ça…Oui! Oh, que oui ! Torche-moi bien…Je veux voir toute ta langue dedans!
Papa tire sur ses fesses pour s’ouvrir à moi au maximum et, ainsi, bien voir ce que lui fait. Il en oublie un moment le film, déjà très avancé. C’est dans cette position très obscène que ma mère nous surprend, au retour de ses courses:
_On ne s’ennuie pas, ici !
_Regarde plutôt comment il me fait le cul, ton rejeton, chérie. (…) T’as vu ça!?
_ça finit par donner envie….
Sur l’invitation pressante de mon père, maman se laisse tenter par un anulingus que je me dépêche de lui procurer une fois dévêtue et positionnée sur l’autre fauteuil, de la même façon que son mari. Je dois, désormais, aller d’un trou parental à l’autre pour servir leurs gros besoins salaces. Papa se masturbe en me regardant m’occuper de sa femme et maman se caresse, curieuse de me voir sucer le cul paternel avec autant d’ardeur…
Onze heures, en ce merveilleux dimanche familial. Papa se décide à me prendre en levrette pendant l’anulingus maternel. Il déchargera dans le fion béant de ma mère afin d’accorder à mon travail de succion une saveur plus authentiquement déplacée…
A suivre.