Me voilà donc installé chez ma grand-mère depuis 21hrs,ma chambre est celle de maman jeune fille que je dois réaménager selon mes goûts et envies. Grand-mère m’aida à faire mon lit et m’invita à aller me doucher pendant qu’elle nous préparerais de quoi souper, ma douche prise j’avais revêtu mon pyjama d’été qui se composé d’un simple caleçon et d’un tee-shirt ample lorsque je fis mon apparition dans la cuisine mammie me demanda de surveiller la quiche qu’elle venait d’enfourner pendant qu’elle irait se doucher à son tour, tache que je m’efforçais d’accomplir de mon mieux et que je réussis à merveille selon ses dires quand elle revint. Elle avait revêtu une nuisette qui lui arrivait mi cuisses et qui laissait entrevoir ses charmes par transparence et je remarquais qu’elle était nue dessous hormis un petit string qui cachait sa toison. Nous étions à table lorsque la sonnerie du téléphone nous interpella c’était maman qui venait s’enquérir de notre arrivée et pendant que mammie lui racontait notre voyage mon regard ne quittait pas la poitrine offerte à ma vue, Grand mère ne manqua pas de le remarquer et m’envoya sa serviette de table au visage, lorsqu’elle eut raccrocher me dit.
— ’Sacré chenapan quand te décideras-tu de t’assagir ?’.
—’Mais grand-mère comment veux tu que je sois calme alors que tu me montres de bien belles choses ?’.
— ’Cela suffit maintenant au lit nous ferons la vaisselle demain après le petit déjeuner.’Et nous regagnames nos chambres respectives et contigues’.Je n’arrivais pas à trouver le sommeil car la vue des seins de mammie et de ses fesses m’avait émoustillé et je bandais dur comme le fer et je me mis en devoir de me caresser la colonne et dans le silence de la maison je perçu un bruit, je tendis l’oreille et ce bruit venait de la chambre de grand-mère, je me levais et sans bruit je me rendis devant sa porte et collait mon oeil au trou de la serrure la lampe de chevet était allumée et je vis mammie se masturbait les cuisses grandes ouvertes. Ma bitte en main je faisais la même chose de ce côté ci de la porte, le désir se faisant plus fort je me décidais à la rejoindre mais la porte refusa de s’ouvrir car le verrou était tirer et l’attention de mammie fut attiré par le bruit de la poignée qui grinça et je l’entendis me dire.
— ’Que veux-tu Jérôme ?’.
— ’Je n’arrive pas à m’endormir et je venais parler avec toi ’
— ’Bien je viens t’ouvrir ’Ce qu’elle fit après avoir remis sa nuisette, et elle regagna son lit et se couvrit du drap,et je m’assis à ses côtés et je croisais mes bras tout en regardant dans le vide.
—’Tu ne vas tout de mème pas passer la nuit dans cette position,alors coule toi sous les draps et essaie de dormir ’me dit-elle.Lui obeïssant je m’allongeais sous les draps.Elle était couchée en chien de fusil me tournant le dos,après un long moment je l’entendis ronfler alors je me tournais vers elle et me collais à son corps pour en épouser les formes,de telle façon que ma bitte se trouvait contre le sillon de ses fesses et ce qui me fit bander de plus belle.Doucement je remontais sa légère nuisette afin de dévoiler et dénuder son cul ce que je fis sans difficultés aucune,mammie toujours ronflant je me plaçais de telle sorte que mon gland parvienne à s’introduire dans son vagin,lentement je poussais ma colonne de chair entre ses lèvres charnues et bientôt elle fut introduite jusqu’à la garde et après une courte pause je me mis en action et mammie prenant conscience de ce qui lui arrivé alluma la lampe de chevet tout en grognant à mon encontre et m’intimant de cesser sur le champ car mon acte était en fait un viol, j’arettais donc et m’excusais puis me tournant sur le côté opposé je m’apprettais à quitter le lit,lorsqu’elle me demanda de rester près d’elle.Un long et pesant silence s’était installé dans la chambre à nouveau plongée dans le noir .Grand-mère prit alors la parole en disant.
—’Il est vrai que je t’ai fait venir ici,avec l’idée que nous pourions conjuguertes études et le plaisir mais cela ne se fera pas sans mon consentement’.Toujours couché sur le flan gauche je ne répondais pas et attendais la suite des énènements et ce fut mammie qui prit l’initiative de poursuivre.
—’Tu pourrais maintenant reprendre là où tu en étais vilain garçon’.Ce que je fis aussitôt en replongeant ma bitte dans sa chatte ’
Quelques mois plus tard nous apprenions que Virginie était enceinte et que maman dut subir une légère intervention qui n’était autre qu’un avortement,et grand-mère me laissa entendre que j’étais le responsable de ces évènements.La vie continua j’ai maintenant 25ans,un bon poste de conseiller financier, célibataire je vis toujours chez maman et Virginie aussi avec sa petite Carole qui va avoir 6ans.