Les 12 servitudes d’Hélène : êta et le Pirate –
Lorsqu’il grimpa le ponton branlant menant à son navire, menant derrière lui êta en laisse, le pirate fit taire tous les chants et les cris que son équipage de brigands lançait à tue-tête. Pas besoin d’ordre pour obtenir le silence, chacun de ses marins restant muet devant la beauté diaphane de la blonde esclave qui suivait docilement leur chef, totalement nue, seulement "vêtue" du collier de métal qui enserrait son cou gracile. Jamais ces hommes (qui pourtant pensaient avoir tout vu) n’avaient contemplé tant de beauté… Ils s’en trouvaient sans voix… êta suivait son nouveau Maître d’une démarche légère et élégante, que ni sa nudité, ni l’humiliation d’être tenue en laisse, ni l’état servile auquel elle était ainsi livrée aux regards de tous, ne parvenaient à altérer la noblesse de sa croupe si féline dans le déplacement. Les regards s’attardaient sur le moindre détail de ce corps splendide… sur cette abondante chevelure de fils d’or, sur ces seins lourds et fermes, sur ces hanches marquées, cette croupe comme déjà dit, ferme et ondulante, sur ce triangle ombré d’une fine toison dorée… Elle ne semblait pas ressentir la pesanteur de ces regards qui la scrutaient sans la moindre retenue et marchait dans une impudeur si naturelle qu’elle n’en apparaissait que plus belle et plus pure encore !
Sentant l’étrange atmosphère qui s’installait sur son navire, le Pirate tira d’un coup brusque sur la chaîne et êta ne put se retenir de trébucher, chutant lourdement sur le pont gras et sale de la galère. cela sembla réveiller un peu les marins dont certains éclatèrent même de rire. êta s’apprêtait à se relever…
— Demeure ainsi ! A quatre pattes, cela te convient si bien, ordonna le Pirate d’une voix dure.
êta obéit, se tenant à quatre pattes, reins creusés et le cul tendu, ainsi qu’elle y avait été habituée par ses divers dressages, au bordel et chez les Amazones… Le Pirate, d’un signe, faisait venir à lui tous les membres de son équipage de gredins dépenaillés.
— Je l’ai achetée, ce sera la nouvelle mascotte du bord, puisque nous avons du manger le chat lors de notre dernière traversée. Elle sera plus utile, car elle pourra aussi travailler à bord et j’accorderai tous ses orifices en récompense à ceux qui se comporteront le mieux au cours de nos prochaines expéditions.
Un murmure d’approbation se faisait entendre, tandis que tous les regards étaient maintenant fixés sur la croupe ferme et ronde d’êta qui avait légèrement ouvert ses cuisses, dans une position qui faisait gonfler toutes les braguettes du bord…
— Mais attention ! Elle est à moi ! Sans mon autorisation, nul ne pourra s’en servir. Que ce soit bien clair ! C’est ma chienne et je décide qui, quand et comment ! Est-ce bien clair ?
— Mmmhhh ! répondirent d’un ton plutôt déçu la poignée de marins rassemblés.
Ils étaient huit, à composer l’équipage de cette galère pirate. Sans compter la trentaine d’esclaves affectés aux rangs de rame qui ne constituaient pas un équipage, mais seulement une chiourme sans grande valeur, dont on remplaçait les plus usés par de nouvelles captures… ceux-là étaient enfermés pour le moment dans un hangar proche, d’où ils ne sortiraient que pour être enchaînés aux rames qu’ils ne quitteraient jamais avant le retour au port, contraints de ramer en permanence sous les coups de fouet, se nourrissant et se soulageant à leur place. Et les malades ou les plus faibles étant jetés sans pitié par-dessus bord.
En attendant le départ pour une nouvelle expédition, le Pirate mena êta jusqu’à sa minuscule cabine où il avait sa paillasse. Là, il lui ordonna de se coucher sur le dos et d’écarter les cuisses, ce qu’elle fit docilement, sans émettre un son. Il se pencha sur elle, l’écrasant de tout le poids de sa puissante carrure. Sa langue épaisse fouillait la bouche de l’esclave, se mêlait à la sienne, emplissant l’air alentour de son haleine chargée d’ail et de mauvais vin… Mais êta se montrait docile et empressée. Elle partageait ce baiser avec fougue et déjà, ses jambes enserraient la taille de l’homme telle une femelle en chaleur, ses cuisses ouvertes et prêtes à être pénétrées par la verge déjà dure et tendue qu’elle sentait battre contre son ventre… Il lui saisit les poignets et les serra jusqu’à en arrêter la circulation… il pesait de tout son poids sur le corps si sensuel de la blonde esclave. Et son visage mal rasé se collait au sien, s’enivrant du parfum naturel de la chevelure étalée sur le matelas souillé à même le sol…
D’une brusque poussée, il entra en elle… Il poussa son sexe épais et tendu dans les chairs humides et fraîches de la femelle qui se donnait à lui totalement et semblait plus l’absorber qu’il ne la pénétrait. Il poussa bien à fond, entrant en elle et sauvagement, allait et venait par de furieux coups de reins vigoureux… Il voulait la posséder pleinement, quitte à lui faire mal, la sentir céder, supplier, la voir pleurer… C’est ainsi qu’il voulait cette esclave, avilie, souillée, salie… il la voulait totalement, il la voulait à Lui et à lui seul, même s’il l’avait promise à ses marins les plus méritants. Il la leur livrerait parfois, mais seulement pour qu’elle apprenne qu’elle Lui appartenait totalement, qu’il pouvait faire d’elle tout ce qu’il voulait. La posséder, l’offrir, lui faire sentir Son Pouvoir… Le Pirate labourait ses chairs par les plus violents coups de reins qu’il pouvait donner. Il la besognait à grands coups de boutoir, ahanait comme s’il frappait un tronc de sa hache, avec force ! Il serrait toujours les poignets de cette femelle qui exerçait sur lui une incroyable attraction, qu’il désirait posséder, sans comprendre cette volonté absolue, totale, profonde de la souiller ! Et l’esclave se livrait à Lui totalement et visiblement dans le plaisir charnel. En effet, elle gémissait de plus en plus sous ses coups de reins si puissants, harmonisait le mouvement de ses hanches aux coups de bite virils qui allaient et venait en elle si profondément, êta se sentait tellement remplie, si virilement possédée, si puissamment défoncée… elle en mouillait comme rarement elle avait mouillée et pourtant, après tout ce quelle avait vécu depuis le début de ses aventures où elle avait été maintes fois très très excitée, cette fois-ci, elle atteignait un degré dexcitation comme rarement égalé Elle nen connaissait pas la raison de cette excitation hors norme, ne chercha dailleurs pas à la connaître savourant tant son plaisir, ses pensées nétant que jouissance (Pour les lecteurs que nous sommes, on peut penser que la réponse, de ce puissant plaisir jouissif, est tout simplement du à la Volonté Divine des Dieux de lOlympe)
êta lui offrait sa bouche et partageait avec passion ses baisers, avalait la salive qu’il laissait couler entre ses lèvres… certes il la manipulait totalement, mais sans savoir pourquoi, il avait pourtant en tête ce paradoxe sentiment qu’elle le possédait autant (peut-être plus encore). Oui, une sensation bizarre lui traversait lesprit qu’il ne prenait pas possession d’elle, peut-être parce quil pressentait quelle trouvait trop de plaisir à se faire baiser ainsi si sauvagement… Il en eut assez, il devait l’avilir encore plus… Alors il la lâcha et la força à se retourner, à se mettre à genoux, le visage enfoui dans la couche sale, lui saisit les poignets de nouveau qu’il serra aussi fort qu’il le put pour les maintenir dans son dos et lui écarta les cuisses, puis, il força son gland contre l’étroit orifice de l’anus et poussa… glissant du plaisir qu’elle y avait déjà déversé, le sexe lubrifié du Pirate entra, sans coup férir, et s’enfonça jusqu’à la garde dans le cul par une puissante et unique poussée de reins dune rare violence… Puis il resta ainsi un long moment planté en elle en coït anal et profond afin quelle sente cette pénétration de son fondement comme une prise de guerre, de conquête sans préambule. Mais êta, au lieu dhurler, se mit à gémir, à râler son plaisir ainsi enculée. Le Pirate s’efforçait alors de se montrer aussi brutal qu’il pouvait l’être en activant de puissants vas set viens jusquà la garde
Il espérait ainsi qu’il lui ferait mal, mais elle gémissait autant de plaisir que de douleur et même ainsi se livrait à son désir aussi totalement que le pouvait une femelle en chaleur… Il allait et venait dans son cul dont la rosette dilatée était maintenant béante et pleinement remplie par sa grosse queue épaisse aussi dure qu’un pic… jusqu’au moment où ne tenant plus et dans un long râle de plaisir de mâle, il se répandit en elle, poussant encore bien à fond pour la remplir de sa semence épaisse… il se vida totalement les couilles longuement, finissant en coït profond, puis se retirant sans douceur et dans un mouvement brusque, la força à se retourner et à s’agenouiller et se redressa pour que son sexe qui se ramollissait un peu vienne se frotter contre le visage rougi du plaisir et des efforts qu’il venait d’exiger d’elle…
— Ouvre la bouche, chienne lubrique ! ordonna-t-il et êta docilement lui offrit sa bouche. Il poussa son sexe entre ses lèvres et se fit sucer longuement, exigeant d’elle qu’elle nettoie cette verge dégoulinante et en avale tout ce qui coulait, jusqu’à la dernière goutte. Ce n’est qu’alors, enfin satisfait, qu’il la saisit par les cheveux pour la contraindre à se relever et l’entraîna hors de la cabine. Ils gagnèrent le pont où, menés à coups de fouet, les esclaves-rameurs gagnaient leurs rangs de nage…
— Vois, dit-il. Ils ne sont rien, des esclaves destinés à ramer… Mais tu es bien moins qu’eux.. Tu n’es rien, juste des trous que je remplirai à ma guise… ou que j’offrirai à mes hommes… jusqu’à ce que tu me supplies de te jeter à l’eau… Et alors, je te garderai auprès de moi et je te baiserai encore et encore…, lui dit-il
— Je Vous appartiens, prononça simplement, calmement êta…
Surpris autant par ce calme affiché de la belle que pour les plaisirs charnels quelle a eu tantôt dans la cabine, il ne put sempêcher de lui répliquer, la regardant droit dans les yeux, tandis quêta ne pouvant tenir ce regard, baissait la tête :
— Mais quelle diablesse es-tu pour trouver tant de plaisir de ta condition ?
(A suivre)