Décidément, cette dernière semaine de stage sannonçait idéale. Moi, qui navais jamais su séduire une femme, je me retrouvais avec trois superbes créatures qui nattendaient que de me donner du plaisir. Je regardais Claire et passais finalement mon bras autour de ses hanches :
-Claire, cest quand tu veux !
-Tout de suite, ça maurait bien plu, mon chéri, malheureusement, je ne pense pas que tu sois en état de bien me défoncer ! Daprès ce que viens de dire Emilie, vous vous êtes bien amusés !
Jétais abasourdi par ses propos, cétait la première fois que je lentendais parler de façon aussi vulgaire en même temps le fait quelle mait appelé « chéri » nétait pas pour me déplaire.
A ce moment, Sylvaine réalisa que la bibliothèque aurait dû ouvrir.
-Bon, cest pas tout, mais si on ouvrait ?
Je lâchais Claire (à regrets !) et nous retournâmes au travail. Laprès-midi passa vite, il y avait foule ce jour-là et donc beaucoup de boulot. Lorsqu’à 17h30, Sylvaine vînt me dire que Claire voulait me parler dans la salle de repos. Je my précipitais, très excité et la trouvais prête à partir :
-Je suis vraiment désolé, manu, je sais que tu tattendais à me baiser, mais je dois y aller. Mon mari et moi avons un dîner ce soir et avec les derniers événements, javais complètement oublié.
Ma déception dût se voir, car elle sapprocha et me caressa le visage tendrement :
-Je sais que tu est déçu, moi aussi, je pensais bien que tu me prendrais dès ce soir, et jen ais très envie, mais je te jure que ce nest que partie remise, je te promets que demain, on se trouvera un moment en privé et que je saurais me faire pardonner, daccord ?
-Bien sûr, ne tinquiètes pas, jattendrais demain !
Claire me regardais en souriant et approcha soudain son visage et me prenant dans ses bras, membrassa tendrement. Je la prît à mon tour dans mes bras et lui rendît ses baisers. Incroyable, on sembrassait en douceur et avec tendresse, alors que quelques minutes plus tôt elle mavait dit vouloir que je la « baise », décidément elle me surprenait et mexcitait. Finalement, elle cessa de membrasser, puis sen alla, non sen mavoir dit « Demain, je te promets ! » Je mapprêtais à retourner au travail, lorsque la porte souvrît sur Sylvaine :
-Alors, pas trop déçu ?
-Un peu, oui !
-Je peux peut-être taider à « décharger » un peu de ta frustration, quen dis-tu ?
-Je Oui, tu as une idée ?
-En fait, oui ! Tu as bien sur remarqué que cest moi qui ais les plus gros seins !
-Oui, et ils sont vraiment magnifiques !
-Merci, et justement que dirais-tu de te branler entre eux ?
-Sérieux, tu veux me faire une branlette espagnole !
-Oui, cest lidée. Alors, tenté ?
Sans répondre, je déboutonnais mon pantalon fébrilement tellement jétais excité. Sylvaine me sourit, sapprocha et vînt sagenouiller devant moi, puis elle ôta son débardeur et dégrafa son soutien-gorge. Bon sang, quelle poitrine ! Je ne pouvais mempêcher de caresser ses seins lourds qui métaient offerts :
-Ils te plaisent mes seins, hein ?
-Tu peux le dire, de vraies splendeurs !
Ils étaient dune douceur incroyable, surmonté de jolis tétons, eux-mêmes entourés de larges aréoles, une poitrine magnifique !
Alors que jadmirais et caressais sa poitrine sans vergogne, Sylvaine décida de reprendre les choses en main (si on peut dire !). Elle prît ma bite entre ses seins, et commença un lent mouvement de haut en bas, et à chaque fois que mon sexe émergeait dentre ses seins, elle y donnait un petit coup de langue. Je sentais bien quavec un tel traitement de faveur, jallais bientôt décharger, pour reprendre son mot ! Elle dût le sentir, car elle me dit :
-Si tu veux jouir, nhésites pas, lâches tout, jen serais ravie !
Je la laissais me branler doucement, quand brusquement, jéjaculais. Des giclées de sperme qui lui atterrirent dans la bouche et je vis que du sperme lui dégoulinait du menton jusquentre ses seins.
-Eh bien, manu, ça ta plu, on dirait ?
-Cétait génial, oui ! Mais, désolé, pour le sperme dans la bouche.
-Pourquoi ? Il a très bon goût ton foutre. Et puis honnêtement, jai toujours voulu y goûter, loccasion était trop belle, jen ais profité.
-Et ton mari, il y aura droit, maintenant que ta goûté ?
-Il adorerait, mais non, il ny a que toi qui pourras me jouir dans la bouche. Et pour être honnête, Emmanuel, si on a accepté de baiser avec toi et de te laisser nous faire ce que tu veux, cest bien parce que lon ne le fait pas à nos hommes. Tu sais, une fois que ton stage sera terminé, jespère que tu es conscient quon ne continuera pas ces séances de cul, cest juste pour la durée de stage.
-Cest ce que je pensais et ça me va très bien, soyez tranquille !
-Bien, bon, on se rhabille, parce quEmilie est toute seule.
Je me rhabillais et filais, laissant Sylvaine se nettoyer de mon sperme, rien que de limaginer ça me faisait rebander ! Je trouvais Emilie, seule, et constatais quil ny avait plus personne et je maperçus quil était déjà 18h15, on fermait dans un quart dheure. Je massît à côté dEmilie :
-Alors, manu, cétait bien ?
-Tu es courant ?
-Oui, Sylvaine men a parlé et tu avoueras quavec mes seins, jaurais eu du mal à te branler, non ?
-Cest vrai, mais je les adore moi, tes seins !
-Oui, jai limpression que les seins ça te plaît beaucoup et cest tant mieux, moi, jadore me les faire caresser, lécher et même me faire sucer les tétons ! Dailleurs, dès demain, une fois que tu auras démonté Claire, je viendrais pour que tu toccupes un peu de moi, daccord ?
-Avec plaisir ! Jai hâte dy être !
A ce moment, Sylvaine sortit du petit bureau :
-Bon, on va fermer et on se revoit demain, ok ?
Ainsi fût-il fait, et je rentrais chez moi, particulièrement heureux de cette superbe journée de « travail » !
Le lendemain, jarrivais très en avance et pourtant, je trouvais Claire assise derrière son bureau. Aussitôt, elle se leva et vînt carrément me rouler une pelle, je ne pus résister, la prît à mon tour dans mes bras et lui rendît son baiser. Une fois rassasiés, nous nous séparâmes :
-Quel accueil ! Wow ! Mais je croyais que tu voulais être discrète concernant nos « relations ».
-Bien sûr, mais à cette heure là, il ny a encore personne. Dailleurs, comment ça se fait que tu soit là dès 8h, tu commences à 9h, non ?
Jallais lui demander si elle navait pas oublié sa promesse, lorsque je remarquais son sourire en coin.
-Joli, tu as failli mavoir, mais tu sais bien pourquoi !
Elle me prît par la main et memmena dans le petit bureau :
-Viens, je vais enfin pouvoir moccuper de toi !
Ravi, je la suivis, sentant que la journée allait être drôlement sympathique !
Nous entrâmes dans le bureau, Claire me lâcha la main et sans attendre, commença à se déshabiller. Une fois nue, elle sapprocha de moi et menlaça, avant de membrasser à nouveau. Puis, elle sécarta :
-Alors, je te fais bander ?
Elle était vraiment magnifique, ses longs cheveux bruns en cascade sur ses épaules, ses jolis petits seins aux tétons bien rouges, son ventre plat, son sexe recouvert dune épaisse toison brune et ses longues jambes.
-Oh oui, tu es magnifique ! Je peux voir tes fesses ?
-Bien sûr, noublie pas que je dois me faire pardonner pour tavoir laisser en plan, hier soir. Alors, jaccepte de faire tout ce que tu voudras.
-Parfait, alors tournes-toi.
Claire mobéit aussitôt, exhibant à ma vue, ses fesses magnifiques, bien rondes. Je ne pus y résister et y posais mes mains. Son cul était bien ferme et je commençais à lui écarter les fesses pour voir son joli petit trou. Puis, je léchais mes doigts et commençais à lui caresser, en y introduisant doucement mon index.
-Ouh oui, cest bon ! Vas-y continues ! Je toffre mon cul, utilise le comme bon te semble, oh oui, mmmh !
Jintroduisais maintenant tout mon doigt dans son cul bien serré.
-Tu tes déjà fais prendre par derrière ?
-Non, mais mmmh oui, continues Jaimerais beaucoup ! Tu veux ?
-Avec plaisir ! Moi aussi, jen ais très envie.
-Mmmmh, alors, vas-y, défonces-moi le cul !
Je me déshabillais en 4e vitesse et posais ma queue tout contre son petit trou, et appuyais pour tenter de mintroduire en elle, lorsquelle marrêta :
-Doucement, ne me la rentres pas tout de suite, dabord il faut que tu lubrifies ta queue, sinon, tu risques de me casser le cul.
— Désolé, je nai jamais enfin, tu vois ?
-Ne tinquiètes pas, doigtes-moi la chatte et avec mon jus tu en mets sur ta queue et sur mon anus.
Jintroduisis deux doigts en levrette et commençais à la masturber de plus en plus vite. Quand je sentis son jus, je lappliquais selon ses indications. Puis, elle minterrompit :
-Cest bon, manu, maintenant, tu peux y aller, mais en douceur, le temps que je mhabitue.
Conformément à ses instructions, je posais ma queue tout contre son anus, pendant quavec ses mains, elle sécartait les fesses pour faciliter ma pénétration. Enfin, je mintroduisis en elle, jétais en train denculer une femme pour la première fois. Jagrippais ses hanches et commençais le va-et-vient.
-Ouiiii ! Continues, et accélère un peu, mmmh, oui !!! Aaaah !!!
Ses cris et gémissements me galvanisaient, et je la prenais de plus en plus fort. Jétais littéralement en train de lui pilonner le cul.
-Alors, Claire chérie, tu aimes ?
-Oui, cest trop bon !
Jétais totalement surexcité, je la baisais de plus en plus vite, de plus en plus fort, ma queue glissait avec facilité dans son cul quelle moffrait totalement. Je lâchais ses hanches pour poser une main sur ses seins que je me mis à triturer, à malaxer. Claire hurlait de plaisir, elle se donnait à fond, sans aucune limite. Elle posa une de ses mains sur mes fesses, mencourageant à la baiser de plus en plus profondément :
-Putain, oui !!! Aaaah !!! Rentres tout en moi, je veux sentir ta queue dans mon cul ! Fais-moi tienne, Ohhhhhh, ouiii !
-Je jouis aaaah !
Complètement libéré par les hurlements de claire, jéjaculais enfin dans son cul, la remplissant de sperme chaud. Je continuais de la bourrer de coups de rein sporadique en finissant de me vider, alors quelle se tenait à la table pour ne pas tomber. Puis, constatant que je ne jouissais plus, elle se laissa tomber sur une chaise. Je constatais quelle était, comme moi en sueur. Me rappelant quelle avait dit vouloir se faire pardonner et quelle accepterait tout ce que je lui demanderais, je mapprochais delle, tenant ma queue.
-Claire, suce-moi.
Elle leva les yeux vers moi :
-Quoi ?
-Suce-moi.
-Non, désolé, mais tu viens de la sortir de mon cul, alors, ça ne me donne pas trop envie.
-Tu mas bien dit tout à lheure que tu ferais tout ce que je voudrais pour te faire pardonner, non ?
-Euh, oui, mais
-Eh bien, jai envie que tu me suces.
Alors quelle me regardait, je me disais que javais sans doute été beaucoup trop loin, quand je vis un léger sourire sur son visage.
-Après tout pourquoi pas ? Chose promise, chose due, approche et donne-moi ta queue, manu.
Claire sagenouilla devant moi, saisît mon sexe et commença à lécher mon gland. Puis, elle ouvrît la bouche et introduisît tout mon sexe entre ses douces lèvres. Elle me suçait avec maestria, je sentais sa langue senrouler littéralement autour de ma verge qui reprenait peu à peu de la vigueur. Je posais mes mains sur ses cheveux, accompagnant claire de mes hanches, je rebandais maintenant totalement, lorsquelle cessa sa fellation :
-Prêt à me refaire hurler, mon grand ?
-Oh oui, chérie !
-Cette fois, prends-moi par devant, je veux voir ta queue pénétrer mon ventre.
-Daccord.
Elle se releva et sallongea sur le bureau, les cuisses ouvertes et commença à se doigter dune main, tandis que de lautre, elle se caressait les seins. Fou dexcitation, je rapprochais ma bite de son intimité qui était trempée, je posais mes mains sur ses cuisses écartées et commençais à mintroduire en elle. Mouillée comme elle létait, ce fût dune extraordinaire facilité.
-Manu, quand tu jouiras, jadorerais que tu te répandes sur mes seins. Je veux que tu me recouvres les nichons de ton foutre.
Rendu muet par lexcitation que me procurais la situation et surtout sa demande, je ne pus quhocher la tête pour lui montrer mon accord. Je me mît à la baiser de plus en plus vite, la faisant vibrer toute entière même ses petits seins ballottaient à mon rythme. Quand à claire, la tête penchée en arrière, elle sétait remise à hurler, les mains cramponnées à la table :
-Oui, oui, vas-y, mon salaud, bourre-moi la chatte comme tu mas bourré le fion ! Ah oui, aaaah ! Fais-moi sentir ta queue, je la veux plus profond ! Oui !!!
Soudain, ny tenant plus, je me retirais et braquais mon sexe vers ses seins, quand claire lempoignai et me branlai à fond, jusquà ce que je jouisse, de longs jets de foutre atterrirent sur son ventre, ses seins et même son visage. Elle avait du sperme sur quasiment tout le haut du corps en longues traînées blanchâtres. Mais apparemment, ce nétait pas assez, puisquelle se releva, pour mieux sagenouiller et littéralement se jeta sur ma queue pour me la lécher, décidément cette femme adorait le sperme. Une fois quelle eut tout nettoyé elle sécroula en sueur sur le sol, où je la rejoignît. Mon sperme coulait à présent sur son corps en sueur, elle me regarda souriante, malgré le fait que lon soient tout deux complètement éreinté par ce double assaut.