Bonjour, je m’appelle Olivier et j’ai 47ans, je suis désolé pour mon français, mais ce n’est pas ma langue maternelle, l’histoire que je vais vous écrire commence en 1984.
J’étais partie seul en vacance chez des amis de longue date de mes parents, je ne les connaissait pas ou très peu à vrai dire…
En arrivant chez eux, j’ai découvert une petite famille, le père, Pierre, son épouse, Lydie et leur fille, Nelly, qui avait le même âge que moi.
Nous avons fait plus ample connaissance, Lydie m’a montré ma chambre, qui était dans un bâtiment annexe de la propriété et je me suis installé tranquillement.
Les deux premiers jours ce sont passés sans faits notable, juste des activités personnel sans intérêts et Nelly, avait déjà un petit copain, je sentais que mes vacances allaient être monastique, puisque j’étais à 4 kilomètres du village le plus proche et en pleine cambrousse, je ne vous dit pas le truc.
De plus, Pierre n’était pas là, car il était en déplacement à l’étranger pour une semaine et sa fille, était partie en trek.
Bref ! Le soir, après le repas, il faisait très chaud, voir lourd et orageux…
Je me suis couché nu et les fenêtres ouvertes pour avoir plus d’air dans ma chambre en regardant une émission débile à la télévision en guise de sédatif.
Je commençais à m’endormir, j’ouvris les yeux et je vis Lydie, au bout du lit.
Elle me dit:
-Excuse-moi Olivier, mais je venais voir si tu n’avais besoin de rien ?
J’ai caché mon sexe avec ma main et de l’autre, j’essayais vainement d’entrer sous les draps.
-Euh ! Non, non, tout va bien madame X.
-Tu as une belle queue mon garçon, les filles doivent être comblées avec elle, non ?
-Oui madame.
-Tu veux que je te dise un secret ?
-Faite !
-J’aime les queues comme la tienne et je l’a trouve très belle !
Je ne savais plus ou me mettre et elle prit les devants, cette nuit là, fut splendide, nous avons fait l’amour trois fois et au petit matin, elle c’est éclipsée pour rentrer dans ses pénates.
Et tous les soirs, ce fut le même manège jusqu’à l’arrivé de son mari, Pierre…
Au diner, Pierre m’a demandé ce que j’avais fait de mes journées.
Je lui ai répondu que j’avais profité de ce temps libre pour faire du sport, lire et de pécher à l’étang.
Après m’être retiré dans ma chambre j’ai eu un gros coup de cafard et pour me remonter le moral, je décide d’aller me chercher un film chez eux.
En entrant dans la maison, j’entendis des gémissements et des râles qui provenaient de l’étage au-dessus…
Je suis monté, il y avait une lumière tamisée dans la chambre et j’ai vu Lydie, dans une position très dominatrice, elle enfilait son mari comme une femme.
Cette vue m’excitait grandement et je commençais à bander sous mon caleçon.
Et Lydie, devenait complètement hystérique et finalement, elle jouie, ils sont restés comme ça un tout petit peu et son mari c’est retiré, c’est retourné et me voit sur le pas de la porte, la queue à la main…
Je détalais en toute vitesse dans ma chambre, j’avais honte et je ne savais plus ou me mettre…
Même pas dix minutes plus tard Pierre est entré dans ma chambre et me dit:
-Je suis vraiment désolé pour tout à l’heure !
-Non, il n’y a pas de soucis monsieur.
-Arrête de m’appeler monsieur, je peux m’assoir ?
-Oui, oui, faite donc !
-Tu veux me la sucer ?
-Euh ! Pardon ?
-J’ai dis, que tu mourais d’envie de sucer ma grosse queue, je me trompes ?
-Je ne suis pas homo !
Il descendit son short et je vis son membre, il était monté comme un âne, une bête énorme.
Je ne savais pas quoi répondre et je commençait à bander il le remarqua.
-Allez, ne fait pas durer le plaisir, suce moi !
Je m’approchais de lui, tête baissée et pris sa queue chaude et lourde dans ma main droite et je commençais un léger va et vient.
-Je t’ai dit de me sucer, pas de me branler, ça je sais le faire.
Je me penche sur son sexe et je commence à lui lécher du bout de ma langue son gland, ensuite j’ouvris ma bouche et avala son gland, j’augmentais mes vas et vient.
-Tu l’avales bien, petite salope !
-Tu l’aimes ma queue hein ?
-Oui, je l’aime.
-Tu en veux de la queue ?
-Oh ! oui j’en veux…
-Putain, mais tu suce mieux que ma femme toi !
Ma bouche s’habituait à son membre, je me mis à lui caresser les testicules, il me tenait la tête en imposant sa cadence, son gland tapait au fond de ma gorge, je sentais qu’il allait pas tarder à jouir, il éjacula et me maintenait la tête, j’avais le sperme chaud ma bouche, c’était étrange, abondant…
-Avale moi ce nectar petite pute !
Je m’exécutais et commençais à lui nettoyer la queue, comme il me l’avait demandé.
Quand ce fut terminé, je bandais comme un cerf, j’avais mal à ma queue et il me dit de ne rien faire, qu’il m’interdisait de me masturber, son épouse entra, elle avait tout vu…