CHAPITRE VII – CHAUDIERE ET DOUCHE CHAUDE
Je touche le fond. Je me fais baiser par n’importe qui et je prends un pied formidable. Ces quatre vieux étaient écoeurant, jamais une jeune fille, ou même la pire des salopes ne seraient faîtes baiser par de tels personnages, mais moi si, et j’ai adoré ça. Je ne regrette absolument rien, c’était trop bon.
Je me lève enfin. Je file à la douche et me lave longuement pour faire partir les traces de souillures masculines de mon corps.
Je reviens dans le salon avec une serviette nouée tant bien que mal sur mes gros seins qui sont vraiment handicapants parfois. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi j’ai mis cette serviette puisque j’ai l’intention de remettre ma robe et rentrer chez moi.
Je prends donc la robe. Merde ! Elle est pleine de traces blanchâtres ! Les salauds se sont essuyés la queue avec ! Ca c’est pas très classe ! C’est même dégueulasse !
Je suis bonne pour rester là toute l’après midi pour laver et laisser sécher ma robe. A moins que Virginie ait laissé quelques fringues à elles. Si c’est le cas je pourrais rentrer avec ses fringues et laver ma robe chez moi.
Je vais donc dans sa penderie. Ah des fringues il y en a. Mais alors ce sont des trucs pas portables en ville. Que des trucs hyper sexys ? Et quand je dis sexy, c’est sexy. En fait aucune de ses fringues ne peut se porter sans que l’on devine un minimum de nos intimités, que ce soit les seins ou le minou. Quelle coquine cette Virginie ! Ca me fait sourire, mais en même temps je suis bien emmerdée car il va donc falloir que j’attende que ma robe sèche pour partir.
Je mets ma robe dans la machine à laver. Je m’allonge sur le lit avec ma serviette sur le corps et j’allume la télé. Je ne la regarde pas vraiment, c’est surtout pour avoir comme qui dirait une compagnie, car je suis aux anges en pensant à la matinée que je viens de passer en jouissant comme une folle, surtout sous les assauts phénoménaux de Gérard et ses acolytes.
Je repasse dans ma tête tout le film de ce qu’il s’est passé et je souris. Je souris, et je suis terriblement excitée.
Mon excitation retombe lorsque la sonnette retentit. Merde ! Qu’est ce que c’est encore ! Merde ! Cette fois je ne réponds pas !
Ca sonne encore plus fort et en plus ça frappe à la porte. Je me dis que c’est peut être un de mes hommes qui a oublié un truc ou qui vient m’en remettre un petit coup. Qui d’autre ça pourrait être ? Il n’est censé n’y avoir personne ici !
Ca tambourine encore, alors je me lève du lit en attachant bien la serviette sur mes seins, enfin, comme je peux, et je vais ouvrir.
Derrière la porte il y a un homme que je ne connais ni d’Eve ni d’Adam. Il tient une trousse à outil dans la main et me regarde comme si il voyait un extra terrestre. Evidemment, dans ma tenue et avec mon physique, il est difficile de ne pas s’ébahir. Pourtant il vaut mieux que je sois dans ma serviette plutôt que dans une tenue à Virginie. Là au moins on peut croire que je sors de mon bain, alors que si je portais une tenue à Virginie, l’homme penserait aussitôt que je ne veux qu’une chose : qu’il me baise !
Il reprend ses esprits et me dit:
— Nous avions rendez vous pour la révision de la chaudière !
Moi :
— Heu oui mais heu. je n’ai pas vraiment le temps ? Vous ne pourriez pas repasser ?
Lui, un peu énervé :
— Ecoutez Mlle, nous avions convenus d’un rendez vous aujourd’hui, car vous n’êtes jamais disponible. J’ai du travail moi et je ne peux pas me permettre de perdre de l’argent ! Alors laissez-moi entrer et faire mon boulot !
Putain quelle autorité ! Virginie est partie précipitamment et a dû complètement oublier le plombier. En plus ce con crois que c’est moi qui vis ici ! J’ai pas le choix ! Je lui dis :
— Bon d’accord ! Mais essayez de faire vite !
Je m’efface pour le laisser entrer.
Il entre dans le salon. Moi je tiens fermement ma serviette car le noud commence à lâcher. Si je ne la tiens pas, la serviette tombe et je suis à poil.
Heureusement, qu’il sait ou se trouve la chaudière car j’aurais bien été incapable de lui dire puisque je ne suis pas chez moi.
Je le laisse donc à ses occupations.
Moi je vais à nouveau dans la penderie à Virginie pour chercher un peu mieux une tenue décente. Je laisse tomber la serviette pour en essayer quelques unes. La seule qui est un peu portable, c’est une mini jupe, (beaucoup trop mini) taille très basse, qui se met carrément sur les hanches, fendue de chaque côté. Une sorte de pagne quoi !
Quand au haut, par bonheur je trouve un boléro noir et sans manche. Il n’y a vraiment que ça que je puisse mettre, bien qu’il soit très court et très ouvert sur ma poitrine puisqu’il m’eait impossible de fermer le premier bouton, seins opulents obligent.
Finalement, je retire cette tenue et la remet dans la penderie..
Je me retourne, me baisse pour reprendre la serviette.
C’est au moment ou je me relève que je vois dans un grand miroir en face de moi, le plombier en train de me regarder.
Bordel ! Pendant que j’étais à poil entrain d’essayer ma tenue plus que sexy, le salaud était en train de me mater dans le reflet de la glace. Ca me fait penser à Gérard qui matait ma chatte dans le rétroviseur de la voiture hier soir.
En me voyant le regarder, le plombier se remet au travail. L’enfoiré m’a vu entièrement nue. Je rougis de honte..
Il doit penser que je suis une putain pour m’habiller comme ça.
Je remets ma serviette autour de mon buste.
Je suis en colère après moi. Je m’en veux. D’accord j’aime le sexe, j’aime les hommes, trop sans doute, mais je ne suis pas une pute. Quoique puisse en penser les hommes qui me baisent, moi je sais que je n’en suis pas une.
Les minutes s’écoulent après cet incident. Je me suis calmé en me disant qu’après tout ce mec je ne le reverrais pas et si il a pu prendre du plaisir en me matant nue, ou dans mes tenues de salopes, tant mieux pour lui. Je redeviens donc sereine.
J’attends patiemment assise sur le canapé en regardant la télé. Au bout d’une ½ heure, le plombier entre enfin dans le salon avec sa caisse à outil.
Je deviens toute rouge à l’idée que ce coquin m’a vu nue.
Je me lève, et vais vers lui.
Il ne fait pas de commentaire et n’a aucun regard vicieux ou moqueur.
Il s’installe sur la table et commence à écrire sur bloc. C’est là que je panique. Le bloc n’est autre qu’un facturier, et le plombier est en train de préparer la douloureuse pour la révision de la chaudière. Je n’avais pas du tout pensé à ça. J’avais complètement oublié qu’il faudrait payer à la sortie.
Je panique, j’ai du mal à avaler. Je n’ai que 10? sur moi en espèces et c’est tout. Comment vais-je faire pour lui expliquer que je n’ai pas d’argent sur moi ? Va t-il me laisser le temps de réunir la somme avant de le payer ? Je pourrais aller chez moi, prendre l’argent de poche que Jacques me laisse car il y a quand même largement assez pour le payer.
Il dit au bout de 2 minutes :
— Voilà ! Ca vous fera 80 ? !
Je manque de faire une syncope. 80? ! Il se fait pas chier le plombier ! Il est resté ? d’heure et il m’aligne de 80?.
Comme je ne suis pas dans une position confortable je ne fais pas de commentaire. Je suis tellement gênée que je me mords les lèvres et n’ose pas le regarder, mon visage doit être écarlate.
Calmement le plombier me dit :
— Vous n’avez pas assez d’argent c’est ça ?
Moi, intimidée et honteuse :
— Oui !
Lui :
— Combien avez-vous sur vous ?
Moi :
— 10?
Le plombier ne semble pas prendre la chose si mal que ça et ça me soulage un peu. Peut être a t-il pitié et ne va pas me faire payer !
Il se lève. Il fait le tour de la table pour se retrouver face à moi, un peu trop près de moi.
Il me regarde droit dans les yeux. Moi je n’ose pas bouger tellement je suis en position d’infériorité.
Il regarde alors mes seins cachés par ma serviette. Je sens alors que quelque chose va se passer. Et cette chose se passe.
Des 2 mains, il a ouvert la serviette, l’a laissé tombé au sol, et je me retrouve entièrement nue devant lui. Je n’ai pas fait un geste de refus, je n’ai pas tellement le choix. Je n’ai qu’une chose à faire, c’est la fermer et le laisser me mater.
Il regarde mes seins, relève la tête pour mettre ses yeux dans les miens, puis il dit :
— On devrait pouvoir s’arranger pour la facture !
Je comprends illico que je vais devoir payer de mon corps. Je vais devoir me donner à lui pour qu’il n’appelle pas les flics pour m’embarquer.
Je suis comme paralysée. Il effleure déjà mes seins avec le dos de sa main. Mes tétons se dressent. Puis il prend chacun d’eux entre le pouce et l’index de chacune de ses mains, et se met à les pincer doucement. Puis il les tord sans me faire souffrir. Il joue avec son index comme si il jouait avec les cordes d’une guitare.
Je sens une chaleur dans mon minou. Je me sens mouiller. Ses mains glissent maintenant sur mes flancs. Il effleure ma peau si délicatement, que je me mets à frissonner. J’ai la chair de poule. Je n’ai pas froid, mais je frissonne, pourquoi ? Tout simplement parce que j’ai envie de lui.
Je ne le repousse même pas lorsque sa main droite glisse sur mon pubis, lorsque son index se sépare des autres doigts pour glisser entre mes grandes lèvres.
Il dit :
— Mais tu mouilles coquine ! Je crois que notre marché va être régulier ! Se faire une bombe comme toi, c’est pas tous les jours que ça arrive !
Je pousse un gémissement, et laisse aller et venir son index sur ma chair rose, entre mes grandes lèvres. Je laisse aussi son pouce écraser mon clitoris et le faire tourner dans tous les sens. Je laisse aussi son autre main continuer à jouer avec mes tétons. Les pincer, les tordre, les tirer pour les allonger.
Je gémis en me mordant les lèvres. J’ai les yeux fermés et je me laisse toucher en y prenant un plaisir phénoménal. Il me touche bien, c’est tellement bon que j’en oublie pourquoi il va me faire l’amour. Que j’en oublie que c’est pour payer la note que je me donne à lui. J’oublie tout ça, car ce n’est pas par contrainte que je me laisse toucher comme ça, mais tout simplement par envie.
Alors, n’y tenant plus, je me love contre lui et me met à l’embrasser à pleine bouche. Il sait désormais qu’il me donne un plaisir phénoménal et que je vais me donner à lui de moi même.
Il me dit :
— Va vers la glace que je puisse de voir pendant que je te prends!
Le décor est planté. Il va me prendre, mais ça ce n’était pas difficile à deviner et bien sûr je n’attends que ça. Il veut me voir quand il me prend. Ca veut dire que je vais être de dos à lui quand il va me baiser, ce qui n’est pas pour me déplaire.
Je me retourne donc et vais vers la glace. Le cochon met sa main sur mes fesses, ou plutôt sous mes fesses, car je sens son index glisser sur ma fente en ouvrant mes grandes lèvres. Je ressens ce sentiment d’infériorité, de soumission que j’avais ressentie lorsque mon voisin avait sa main sur mes fesses pendant que je marchais. Mais là c’est encore pire, puisque au fur et à mesure de mes pas, le doigt va et vient sur ma chair rose et je mouille de plus belle. Qu’est ce qu’ils sont longs ses 10 mètres, qu’est ce que c’est bon d’avoir ce doigt sur ma chatte pendant que je marche.
Je suis enfin face à la glace. Je me vois nue dans la glace. Je le vois lui avec un air pervers, l’air d’un homme qui va prendre son pied en baisant la salope que je suis devenue.
Ses mains passent sous mes bras et se posent sur mes seins. Le salaud se met à les pétrir. Il est collé contre moi et j’ai envie qu’il me prenne. Je mouille comme une chienne. Il enlève ses mains de mes seins. Je ferme les yeux car je sais que c’est maintenant qu’il va mettre son sexe dans ma chatte. Effectivement, je sens son membre glisser entre mes cuisses. Je me cambre, ouvre les jambes, et je sens le gland s’insinuer entre mes grandes lèvres se coller à ma vulve, et pénétrer en moi. J’ai un sursaut et un soupir de plaisir. J’ouvre les yeux et le voit, les yeux fixés dans la glace, regardant mon buste nu.
Puis des frissons parcourent mon corps. Je vois mes seins dans la glace, secoués par les allées et venues du plombier. Le salaud ne s’est pas laver les mains après avoir nettoyer la chaudière, si bien qu’en pétrissant mes seins, il a laissé l’empreinte de ses mains pleines de suie sur mes seins. J’ai 2 mains noires dessinées sur la poitrine et ce petit truc en plus me donne un envie de jouir pas possible. Je n’arrive pas à ôter mes yeux de mes seins qui se balancent dans le vide. Je suis soumise et ça me rend dingue. Le plombier est resté habillé et moi je suis nue, livrée à ces fantasmes. J’adore me faire prendre par un homme habillé alors que je suis nue. Je me sens plus animale, plus objet. Le salaud va et vient de plus en plus loin en moi. Mes seins maculés de suie et cet homme habillé qui me prend, c’est merveilleux, tellement merveilleux que je ne peux pas résister. Je remue mes fesses dans tous les sens, des spasmes secouent mon corps, je ressens des jets brulants de spermes en même que je jouie en criant mon plaisir à qui voudra bien l’entendre :
— Hummmmmmm ! Oh c’est boooooooon ! Oh je jouiiiis !
L’homme sort de mon ventre. Je me retourne vers lui, la chatte dégoulinante de sperme chaud. Je me love contre lui et l’embrasse à pleine bouche. Il me roule une pelle merveilleuse, puis me dit :
— C’est un plaisir de venir travailler chez toi !
Je lui souris. Il regarde sa montre et rajoute :
— je t’aurais bien sodomisée un petit coup mais je n’ai pas le temps !
Sodomiser ! Me prendre par le petit trou ! Mais ça va pas non ! Jamais je ne me ferais prendre comme ça ! C’est vraiment trop dégueulasse ! Ca me dégoûte et je n’y avais jamais pensé !
Puis à avant de partir il dit :
— Tu ne te promènerais pas sur la place Belfort le soir toi ?
Je le regarde étonnée et demande :
— Pourquoi cela ?
Lui, avec un sourire machiavélique :
— Oh comme ça ! Mais tu n’as qu’à y aller faire un tour et tu comprendras.
Je ne réponds pas et le laisse prendre sa caisse à outil et partir.
Place Belfort ! Mais c’est quoi cette putain de place !
Il est déjà midi. Je suis vannée. Tous ces actes sexuels m’épuisent. Toutes ces jouissances, tous ces assauts, me vident de mon énergie.
Je ne fais que 2 choses depuis quelques jours, c’est baiser et dormir. Comment ai je pu devenir comme ça en un si court laps de temps.
Ca fait peur. mais c’est tellement bon, je me sens tellement bien, tellement heureuse, libérée. Libérée du poids de Jacques qui me dicte la conduite à suivre comme si il était mon père.
Bien sûr je l’aime encore, toujours aussi fort, mais je viens de découvrir la vie extérieure et ça ne sera plus jamais pareil. Je suis enfin libre.
Je m’endors avec un sourire angélique de bonheur sur mon visage.
Je me réveille vers 16h00. Je prends une douche rapide. Je sors de la salle de bain nue, je ne m’essuie pas, laissant mon corps ruisselant d’eau.
J’ai faim. Je vais dans la cuisine à Virginie et fouille dans les placards.
Je trouve une boîte de raviolis qui fera très bien l’affaire.
J’allume la télé et mange les raviolis assis sur le canapé, l’assiette posée sur la table du salon. Il n’y a que des émissions à la con, mais je les regarde tout de même sans ennui. C’est bizarre comme j’ai changé. Jamais je n’aurais cru que je puisse être aussi bien. Je ne supportais pas toutes ces émissions de merde il y a seulement quelques jours de ça.
J’aime être nue, je me sens bien ainsi. Mon corps est éternellement frémissant quand je suis nue. Aussi je décide qu’à partir de cet instant, je vivrais nue chez moi quand il n’y aura personne. Et là mon corps se met à frémir de plus belle. Je viens de m’imaginer vivre nue chez moi même quand je ne suis pas seule. Je m’imagine ouvrir la porte de l’appartement, entièrement nue, sans savoir qui sonne de l’autre côté. J’imagine le regard ébahi de l’homme, car ce ne peut être qu’un homme, qui me découvre lorsque j’ouvre.
Bouh, il faut vite que je pense à autre chose car ma chatte se met à mouiller abondamment.
Il est temps que je rentre à la maison. Je vais vers le petit local ou il y a la machine à laver, juste à côté de la chaudière
J’ouvre la machine à laver pour prendre la robe et la mettre dans le sèche linge. Je la sors et là, catastrophe.
Ma robe est complètement déchiquetée. Un pan de la robe est resté coincé dans la porte de la machine à laver et en tournant le tambour à complètement déchirée le tissus.
Je n’ai plus rien à me mettre, mise à part . la mini-jupe (que j’appellerai : le pagne) et le boléro court et trop petit pour mes seins.
Je suis effondrée. Je ne peux quand même pas sortir comme ça.. Comment vais-je faire ! Mes seules fringues sont chez moi, et c’est très loin. La seule solution est de rentrer chez moi en pleine nuit quand il n’y a personne ! Mais comment ! A pied c’est impossible ! Appeler un taxi, impossible je n’ai pas d’argent ! Le métro ? Je n’y pense même pas, je subirais à coup sûr un viol collectif.
Du stop ! La seule solution c’est de faire du stop. Bien sûr je serais obligée de faire une pipe si c’est un homme qui s’arrête, mais si c’est le prix à payer, tant pis.
J’attends donc la nuit avec une grande angoisse.
Lorsqu’il est 2 heures du mat. Je mets le pagne te le boléro, et je sors. Il pleut comme vache qui pisse. Heureusement, comme çà il n y’aura personne dans la rue, mais pas de voiture non plus. J’ai la sensation que ça va être dur de faire du stop.
Je marche donc dans l’espoir qu’une voiture passe. Je suis trempée en 3 minutes. Mon corps ruisselle de pluie, et c’est très désagréable. Toujours pas de passants, toujours pas de voiture. Je suis de plus en plus trempée. Mes cheveux sont complètement mouillés.
Je n’ai pas envie non plus de me perdre, alors je regarde bien les rues dans lesquelles je passe.
Je reconnais tout à coup la rue dans laquelle je me suis fait embarquée hier soir, et j’ai un petit sourire de nostalgie, malgré la mésaventure que je suis en train de vivre.
C’est alors que je vois un panneau indicateur de direction. Il y a inscrit : « Place Belfort ».
Place Belfort ! C’est la place dont m’a parlé le plombier tout à l’heure. Pourquoi m’a t-il : « Tu te promènerais pas sur la Place Belfort toi ! »
La curiosité l’emporte sur la météo. Je me dirige d’un pas décidé dans la direction indiquée.
J’arrive sur une place sombre avec juste quelques lampadaires de ci de là. Il y a des arbres au milieu de cette place et des petits immeubles anciens tout au tour. C’est très vieillot, et légèrement sordide. Mais que se passe t-il donc sur cette place. A priori rien ! Certainement que le plombier a t-il cru me reconnaître et m’a confondu avec une autre personne, c’est pour cela qu’il m’a dit ça.
Tout à coup un bruit de moteur, et une voiture qui surgit dans sur la place.
De loin je vois une femme descendre de la voiture. De loin je ne distingue pas trop. C’est peut être ma chance. Peut être que le chauffeur va redémarrer et je pourrais alors l’intercepter.
J’entends la femme dire :
— Merci chéri ! Reviens quand tu veux !
Lui en colère :
— Mon cul ! 30 euros une pipe qui m’a même pas fait gicler ! Tu peux toujours m’attendre ! Change de métier, t’es pas faîtes pour être pute ! Tu gagneras jamais un rond !
La femme vulgairement claque la porte et dit :
— Va te faire enculer connard avec ta petite bite ! C’est pas ma faute si t’es impuissant Pédé !
Là je comprends mieux. C’est une place ou exerce les prostituées, et le plombier a cru que j’en étais une.
Etrangement, je suis légèrement excitée, malgré la pluie et les mots du plombier. La voiture démarre en trombe. Elle a démarré si vite que je n’ai même pas eu le temps d’appeler le chauffeur.
Merde et re-merde !
Je suis à nouveau toute seule sur la place. Je repense à la prostituée. Je l’imagine en train de faire les 100 pas sur la place avec ses copines. J’imagine un cortège d’hommes en manque de sexe, qui viennent se vider les couilles. Pauvres filles ! Elles n’en retirent aucun plaisir et sont souvent sous le joug d’un maquereau.
Quand je pense que je suis moi aussi en train de marcher sur la place. Il est sûr que si une voiture déboule et que le chauffeur me voit marcher, il va me proposer de l’argent pour une pipe ou pour baiser. Je suis trempée. L’eau qui ruisselle sur mon corps, au lieu de me rendre morose et de me faire chier, et bien cette pluie m’excite.
Elle m’excite, parce mes seins son trempée, ma mini quasiment transparente une fois mouillée, laisse désormais apparaître ma chatte et mes fesses.
Oui, on me prendrait pour une pute. La pluie m’excite de plus en plus. J’ai envie qu’elle coule sur tout mon corps. J’ai envie d’être nue. Je suis folle d’avoir des idées comme ça, surtout sur cette place réputée pour les perversités qui s’y déroulent. Mais je pense que c’est justement ça qui m’excite, l’idée que l’on me prendra pour une pute, qu’on s’arrêtera et qu’on me demandera combien je prends. Et j’aurais beaucoup de mal à dire que je ne suis pas une pute dans ma tenue, et si j’étais nue, n’en parlons même pas. Même les putes ne font pas le tapin, nues.
Et pourtant, je me surprends à dégrafer le seul bouton de mon boléro qui puisse être fermé et les pans se séparent et en un rien de temps, je me retrouve la poitrine à l’air, et les tétons hyper dressés, à cause de la pluie, mais aussi de l’excitation. Je mouille comme une dingue, jamais je n’ai été excitée comme ça. Le risque m’excite, la pluie m’excite, cette place m’excite. Tout est réuni pour que j’ai une envie de baiser pas possible. Je ferais n’importe quoi pour une queue.
Même ce satané boléro me gêne. Je le retire. J’ai des frissons partout, je n’ai plus que ma jupe trempée et transparente. Mon corps ruisselle de pluie et je me sens bien. Je tiens le boléro d’une main, jeté par dessus mon épaule. J’ai fait le tour de la place, j’arrive au coin de la rue par laquelle je suis arrivée. J’hésite quelques secondes, mais je continue. Je continue à marcher autour de la place, je me sens trop bien. Je me rends compte alors que même sur mon épaule, le boléro me gêne. Il me gêne pour la bonne raison que j’ai envie d’être encore plus folle. J’ai envie d’être seins nus sans avoir la possibilité de remettre le boléro. Je m’arrête. J’hésite. Si je le laisse là, que je continue sans avoir la possibilité de le remettre, c’est sûr, la première voiture qui va arriver va s’arrêter et le chauffeur me prendra pour une pute. Il me demandera combien je prends pour une pipe ou plus. Je serais obligée de répondre « 30 euros pour une pipe » par contre je serais bien embêtée si il voulait me baiser car je ne connais pas le tarif. L’humiliation totale, oserais je vraiment faire quelque chose comme ça. Pourtant qu’est ce que c’est bon de marcher nue sous la pluie. Et puis de toute façon il est tard, les putes sont couchées et les hommes doivent le savoir. J’ai trop envie de tenter le coup. Je jette le boléro par terre en retenant ma respiration. J’hésite. Si je me mets à marcher, au bout de quelques mètres je ne pourrais plus aller le chercher si une voiture surgit, et je serais seulement avec mon pagne.
Je fais un pas, 2 pas, puis je me mets à marcher avec hésitation en regardant derrière de temps en temps pour voir à quelle distance est le boléro.
Je marche et marche encore. Cette fois c’est mort. Si une voiture arrive, je ne pourrais pas le récupérer. Il est carrément à l’autre bout de la place. Alors je n’y pense plus. Je marche excitée comme jamais. Je me caresse les seins mouillés. Je pousse des gémissements.
J’ai bientôt fait le tour de la place, le boléro est là à quelques mètres seulement. Malgré mon excitation, j’hésite. Je m’arrête, jette un coup d’oil sur le vêtement.
Il pleut à torrent. C’est sûr avec ce temps là, pas un homme ne courra les putes. Donc je continue, rassurée, seins nus sous la pluie. Je suis dans un état second et ça me fait peur. Ca me fait peur car dans cet état je suis sure que je monterais dans la voiture du premier venu. Bien sûr, j’hésiterais, mais à la fin je sais que je monterais, comme j’ai hésité à enlever mon boléro mais que finalement je l’ai fait.
Mais j’ai envie de plus de sensation. C’est plus fort que moi. Je pense alors à mon pagne. J’arrive à nouveau devant mon boléro négligemment jeté à terre. Je m’arrête à nouveau, et à nouveau j’hésite. Mais je n’hésite pas à cause du boléro, non, j’hésite à cause de ce satané pagne qui me gêne dans mon excitation. Oui, j’ai envie d’être nue, complètement nue, j’ai envie de marcher nue autour de cette place. Alors, les mains tremblantes, je défais le noud qui tient le pagne, et le laisse glisser le long de mes jambes. Je me remets en marche abandonnant pagne et boléro. Je suis nue, entièrement nue sous la pluie. Mon corps est plein de frissons, j’ai peur qu’une voiture surgisse et que le chauffeur me découvre nue et trempée par la pluie qui redouble, nue et terriblement excitante, terriblement salope.
Je marche avec beaucoup d’hésitation. Lorsque j’arrive au coin de la rue qui donne sur la place Belfort, je m’arrête. Il faut que je traverse. Et si au moment ou je fais ces quelques pas donnant sur le trottoir d’en face, une voiture surgissait, m’éclairait avec ses phares, et découvrait la plus belle des salopes nue sur la place des prostituées. C’est sûr que j’y aurais droit. Je n’aurais pas le temps de récupérer mes fringues qui sont à l’autre bout de la place et puis même. Je respire profondément, retiens mon souffle, ferme les yeux et traverse la rue d’un pas rapide.
Ouf ! Aucune voiture à l’horizon. Je suis de plus en plus excitée, je me sens de mieux en mieux, je passe devant mes vêtements sans aucune hésitation. Je suis trop heureuse nue sous la pluie, je n’ai plus envie de me couvrir. Je frémis de plaisir chaque fois que je passe sous un lampadaire, car c’est l’un des seuls moments ou l’on peut me voir. Mais non, il n’y a décidemment personne sur cette place et finalement ça commence à me décevoir.
Des phares, une voiture surgit sur la place. Mes habits sont de l’autre côté de la place. Je prends peur. Ce que je souhaitais il y a quelques secondes me fait paniquer. Il faut que je récupère mes fringues. La voiture roule à allure normale. Moi je marche d’un pas preste, en me cachant derrière les rares voitures garées. Je fais des sprints pour aller de l’une à l’autre. Le plus terrible est lorsque je passe sous un lampadaire. Je m’accroupis et marche en canard jusqu’à la voiture suivante.
Je suis tout près de mes habits. La voiture a déjà fait 2 fois le tour de la place. Ca y est je suis à côté de mes habits. Je n’ai qu’une chose à faire, c’est de les passer et de faire mine de la jeune fille qui rentre chez elle. Mais avec des habits comme ceux de Virginie, il va être difficile de ne pas passer pour une pute.
La voiture quitte la place, je soupire de soulagement.
Finis le cirque, je vais aller dans des rues plus orthodoxes et tenter de me faire prendre en stop.
Je marche tranquillement vers la rue qui m’amènera dans la civilisation. Au moment où je prends cette rue, 2 phares apparaissent à l’autre bout.
Je traverse en courant. Je panique, c’est pas maintenant que je vais pouvoir partir, il va falloir que j’attende que la voiture sorte de la place.
Je m’accroupis derrière une voiture avec la trouille au ventre.
La voiture entre sur la place, à faible allure. Le chauffeur m’a t-il vu quand je traversais, attend-il que je sorte de ma cachette pour m’embarquer ? Me cherche t-il ?
La pluie tombe de plus en plus fort. Cette maudite pluie qui continue de me faire du bien. La voiture fait tour de la place. C’est interminable. La voiture est à l’embranchement de la rue. Je retiens ma respiration, espérant de tout mon cour qu’elle prenne la rue et s’en aille. La voiture ralentit à proximité de la rue. Ouf ! Il va partir !
Malheureusement la voiture continue et entame un nouveau tour. J’en suis sûre maintenant. Le chauffeur m’a vu. Il sait que je suis là. Il m’a vu traverser la rue.
Je suis foutu. Il me trouvera à force et m’emmènera pour me sauter, voire plus.
La voiture tourne de plus en plus doucement, s’arrête de temps en temps. J’en suis sûre maintenant, le salaud me cherche. Il y a quelques minutes encore, de cette situation j’en rêvais. J ’étais folle, maintenant je suis lucide. Tout à l’heure j’étais prête à monter dans une voiture et à me donner au chauffeur. Que m’aurait il fait ? M’aurait il sauter au beau milieu de la place sans aucun respect pour ma beauté. M’aurait il traitée comme la dernière des putes ? M’aurait il fait jouir, hurler de plaisir ?
Oui ! Je crois que oui ! Peut être aussi m’aurait il embarqué dans sa voiture pour m’amener dans un petit coin dans la campagne pour me tringler comme un sauvage ! Pour m’obliger à lui faire des trucs pas possibles ! Huummm ! Quel pied ça aurait été !
Je m’aperçois alors que je mouille. Pas a cause de la pluie ! Je mouille parce la situation est en train de m’exciter ! J’ai à quelques mètres de moi un homme qui me cherche pour me tringler et il y a quelques minutes de ça c’est ce que je souhaitais.
Alors je me lève et recommence à marcher autour de la place. La voiture est à l’autre bout. Je ne risque pour le moment rien. Mon angoisse et mon excitation se font plus forte lorsque je passe sous un lampadaire. La voiture est à quelques mètres seulement de moi, je me baisse derrière une voiture. La voiture s’arrête presque, puis repars. Alors la même envie que tout à l’heure me prend, j’ai envie d’être nue. Mon excitation est terrible. Je retire alors mon boléro profitant de ce que la voiture soit de l’autre côté de la place. Je marche seins nus, le boléro jeté sur mon épaule. Je me cambre, je suis terriblement excitée. J’ai une envie folle d’être embarquée par le chauffeur, mais j’ai toujours cette foutu peur au ventre. La voiture approche. Je remets mon boléro vite fait. La voiture passe devant moi. Des frissons parcourent mon corps car la voiture s’est arrêtée puis redémarre.
Cette fois, c’est mort. L’homme sait que je suis là. Il m’a vu. Et s’il m’a vu aussi auparavant il doit se douter que ce n’est pas innocemment que je suis là. Il doit se douter que je ne rentre pas chez moi car, si c’était le cas je ne serais plus sur la place. Le pire, c’est plutôt que de me faire peur, la situation m’excite terriblement. Je retire à nouveau mon boléro, et cette fois je le laisse tomber au sol sans aucune hésitation. Je suis à nouveau seins nus comme tout à l’heure, à la seule différence, que cette fois, je le fais devant un homme.
La voiture est de l’autre côté de la place. Dans quelques secondes, je vais être embarquée. Malheureusement, la voiture s’engage dans la rue et disparaît.
C’est raté. Quelle conne je suis ! Pourquoi ne me suis je pas montrée avant !
Je suis terriblement excitée et j’ai une folle envie de sensation forte, alors lorsque j’arrive à l’embranchement de la rue, tout espoir perdu, je vois la gouttière déversant son eau à grands flots. Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas quelle folie me prend, mais je me mets sous la gouttière avec juste mon pagne sur moi, je ferme les yeux et laisse l’eau couler sur mon corps nu. C’est bon ! C’est merveilleux. J’ouvre les yeux en restant sous ma merveilleuse douche. J’ai alors un sursaut. La voiture qui tournait tout à l’heure est de l’autre côté de la place. J’ai un frémissement mais pas à cause la pluie. J’ai un frémissement, car la voiture, pour être à cet endroit là, a forcément pris le sens de circulation autorisée. Et en prenant ce sens, la voiture est forcément passée.devant moi.
Le chauffeur n’a pu que me voir seins nus et le pagne trempé, sous ma douche merveilleuse, qui de surcroit est située juste sous un lampadaire. J’étais tellement excitée que je ne me suis pas rendu compte que j’étais bien en vu.
Je dois passer pour la pire des salopes aux yeux du chauffeur. Je dois passer pour la fille qui cherche absolument un coup de bite et qui est prête à faire n’importe quoi pour ça. Sans doute n’a t-il jamais vu une fille comme moi dans toute sa vie.
Une grande honte m’envahie. Je suis comme paralysée. Durant ma réflexion, la voiture a continué à faire le tour de la place. Je frémis car elle n’est plus qu’à quelques mètres de moi, et je ne bouge toujours pas tellement je suis tétanisée. Je ferme les yeux. Je sais que la voiture est arrêtée et que le chauffeur car celui ci donne 3 coups d’accélérateur pour bien me signaler sa présence.
Je suis morte de trouille et je l’ai bien cherchée. J’essaie de me convaincre que ce n’est qu’un mauvais moment à passer. J’attends que cet homme me demande de monter dans la voiture ou vienne me chercher pour m’embarquer. J’attends un signe de lui. J’ai peur. J’ai envie que cette voiture s’en aille, quitte la place définitivement, mais en même temps. j’ai envie que le chauffeur me baise comme une chienne. comme je le mérite. et comme j’aime. Mes pensées sont pleines de contradictions, l’envie et la peur se mélange, et plus j’ai peur plus ça m’excite. Un véritable cercle vicieux court dans ma tête.
C’est long trop long. J’ai envie de voir ce qu’il se passe. J’ai envie de regarder cette vitre noire par laquelle je ne vois pas qui est à l’intérieur, cette vitre noire par laquelle le chauffeur mate mon corps nu sous la douche, car je n’ai pas bougé d’un cm et l’eau continue de couler sur mon corps à grands flots. J’ose. J’ouvre les yeux. la voiture n’est plus là. Je regarde autour de la place. La voiture a complètement disparue.
Je suis une nouvelle fois toute seule. Je peste contre moi. Pourquoi ne suis je pas montée de moi même dans cette putain de voiture. Pourquoi ai je eu peur ! Merde quelle conne ! Chaque fois c’est pareil j’ai envie. puis j’ai peur quand le moment est arrivée. puis j’ai de nouveau envie et je râle contre moi. Car bien sûr, j’ai de nouveau une envie folle de faire l’amour, envie de me faire baiser, envie de sucer une queue, là tout de suite, j’en ai besoin.c’est vital.
Je sors de cette douche improvisée, pour me remettre en marche. A quoi bon conserver mon pagne maintenant. Je n’en ai plus besoin. Je vais l’enlever et ne plus la remettre, je veux montrer, si une voiture arrive, que je suis la pire des salopes et que j’ai envie de me faire baiser, que je suis prête, que je suis excitée comme jamais. Mais j ’hésite. Je ne sais pas pourquoi, mais le fait de franchir ce cap me fait peur. Jusque là l’homme n’a vu que mes seins nus, mais cette fois je vais lui offrir ma chatte.
Ma main droite tremble en se portant au noud qui tient mon pagne. Je n’ai pas arrêté de marcher, mais avec un pas plus hésitant. Il ne me reste plus qu’à tirer sur le bout de ficelle que j’ai entre mon pouce et mon index, et la mini tombera. Je serais nue, totalement nue pour lui, je me donnerais à lui définitivement. Si je suis nue, il s’arrêtera, m’embarquera, ce sera le dernier signe prouvant mon envie de lui..
C’est ça qui me fait peur. Cette offrande définitive de mon corps. C’est ça qui me fait hésité. En même temps la voiture n’est plus là et je peux enlever mon pagne tranquillement avec la possibilité de la remettre si la voiture réapparaît. Si elle revient.
Peut-être que le chauffeur m’aura trouvé trop longue à me décider et sera parti définitivement ? Mais non, je suis confiante, la voiture reviendra..
Je profite donc que la voiture ne soit pas là, pour tirer sur la ficelle que je tiens toujours entre les doigts. Ca y est, je n’ai plus rien sur moi. Mon excitation redouble. Le fait de ne plus avoir du tout de tissus sur moi me rend dingue d’excitation. Tellement dingue que je ne veux plus revenir en arrière et pour cela, il faut que je fasse une chose qui ne me permettra plus de récupérer mon pagne. En tenant toujours la ficelle avec mon pouce et mon index, je me mets à tourner sur moi même aussi vite que je peux en fermant les yeux, et quand je ne sais plus du tout ou je suis, je lance la mini avec beaucoup d’élan.
J’ouvre alors les yeux, je regarde autour de moi, je ne sais plus ou est mon pagne. Cette fois, c’est mort, je suis nue et je le resterai. Mon corps frémit de peur et mon excitation me rend folle. Foutu pour foutu, je me remets en marche. Je marche sur le trottoir, la peur au ventre. Je retiens ma respiration et panique. Je panique car 2 phares viennent de jaillir du coin de la rue. Je reconnais la voiture car elle est très longue et le moteur hyper silencieux.
Ce qui fait le plus peur, c’est ce moteur que l’on entend pas, l’allure très lente à laquelle avance la voiture, et les vitres opaques à travers lesquelles on ne peut rien distinguer, vraiment rien.
La voiture approche lentement. Mon corps frémis. A ce moment là, j’ai une envie folle de remettre mon pagne, et me hais de l’avoir lancé je ne sais ou. Je suis condamnée à être nue, entièrement nue.
La voiture avance lentement. Elle est juste à un angle de la place.
La peur m’a fait oubliée que je suis à découvert. Je suis à un endroit ou il n’y a aucune voiture garée, aucun endroit ou se cacher.
J’entends des bruits de pneus rouler sur la chaussée trempée. Les phares éclairer le trottoir devant moi. La voiture est là. Juste derrière moi. Le chauffeur est en train de me regarder marcher entièrement nue. Il sait que je suis nue pour lui, il sait que je m’offre à lui. Et cette situation, fait disparaître tout peur en moi. Je me dis que puisque je viens de dévoiler entièrement mes envies en ôtant mon pagne, je n’ai de toute façon plus le choix, je n’ai plus le droit d’avoir peur. Tout ce qu’il va m’arriver à partir de cet instant, je l’aurais cherché.
La voiture passe devant moi sans s’arrêter. Le salaud joue au chat et à la souris, et la souris à envie de se faire croquer.
Libérée de ma peur, mon excitation s’accroît. Mais que veux t-il de plus de moi ? Sans doute ne lui ai je pas montrer assez mes envies de lui.
Je sors alors du trottoir pour marcher carrément sur le côté de la route. Aucune voiture garée ne pourra plus me cacher. Peut-être est ce cela qu’il attend. Je lui prouverais un peu plus que je n’en peux plus, que j’ai envie qu’il s’arrête et m’embarque.
Je frémis à nouveau quand la voiture s’approche, l’homme va pouvoir mater encore mon dos et mes fesses nues. Mais ce qui est frustrant, est qu’il ne peut pas voir mes seins et mon minou imberbe.
Alors je n’hésite pas une seconde. Je fais demi-tour et marche dans l’autre sens après que la voiture soit passée sans encore s’arrêter.
Je vois la voiture avancer lentement autour de la place. Elle est encore loin. Je suis terriblement excitée car dans quelques secondes qui me paraîtront interminable, les phares vont se braquer sur mon corps nu, sur mes seins et mon minou, ce qui ne s’était pas encore produit. Là il va me voir sous tous les angles, je n’aurais plus de secret pour lui, sinon l’intérieur de mon minou.
La voiture approche phares éteints. Je peux la voir chaque fois qu’elle passe à proximité d’un lampadaire. C’est terriblement excitant.
La voiture n’est plus très loin, à seulement 20 mètres de moi. Mon corps est parcouru de frissons. Les phares s’allument. Mon corps est ébloui. L’homme maintenant m’a vu sous toutes les coutures. Ca me rend folle d’envie. La voiture va s’arrêter, je le sens, je le sais. Je m’arrête de marcher pour pouvoir entrer dans cette voiture sinistre une fois que la portière se sera ouverte pour moi. Je sais désormais que je n’hésiterais pas une seconde, je ne peux plus retenir ma folie sexuelle, je n’en peux plus de ce petit jeu qui me rend folle.
La voiture passe devant. sans s’arrêter. Mais que veut-il de plus ? N’as t-il pas assez joué ? Je me retourne et je vois la voiture tourner dans la rue et disparaître.
Salaud. Pourtant je sais que la voiture va revenir. Il est impensable que cet homme joue avec moi ainsi, sans vouloir gagner, sans vouloir toucher la prime du vainqueur. MOI !
Quand la voiture va revenir, je veux être encore plus excitante. Je veux lui en donner encore plus pour qu’enfin il s’arrête.
Alors je m’assois sur le capot avant d’une voiture garée en épi. L’avant de la voiture donne sur la chaussée, le chauffeur pourra ainsi me voir lorsqu’il reviendra sur la place.
Je m’assois donc, mes pieds sur le pare choc avant. J’’écarte les cuisses en grand. Mon minou s’ouvre, prêt à recevoir sa dose d’amour. Je me cambre, puis je prends appuie avec mes mains en arrière.
Au bout d’une minute, la voiture réapparaît. Je soupire de soulagement. Cette fois ça va être la bonne. J’écarte les cuisses au fur et à mesure que je vois les phares avancer. Je mouille comme une dingue. J’ai envie de cet homme, je veux m’offrir à lui. Puis la voiture avance, puis je mouille et plus j’ai envie de lui. Plus elle avance, plus ma chatte me brûle. Je ne peux plus tenir sur mes mains. Je m’allonge alors sur le capot de la voiture en écartant mes cuisses au maximum. La voiture ne doit plus être loin, je n’en peux plus.
Je porte presque instinctivement ma main droite à ma chatte, et je me commence à me caresser. Rien d’imaginer que cet homme va me voir me caresser, allongée sur le capot, me fait gémir. Je gémis en faisant aller et venir mes doigts dans ma chatte. Je suis terriblement excitée. Prête à tout avec n’importe qui.
La voiture est là. Je le sais. Elle est arrêtée devant moi. J’entends le moteur pourtant silencieux. J’entends une porte se fermer. L’homme est sorti et doit me regarder en train de me caresser. Il a gagné le jeu, il m’a battu, il vient chercher sa récompense.
Je sens une main attraper violement mon bras droit et me faire descendre du capot.
J’ouvre les yeux et là, je me débats comme une folle. L’homme à qui j’étais prête à me donner, est un arabe. Un arabe à l’air violent, des yeux de tueurs, comme mon violeur. Je ne veux me faire baiser par ce sale voyou, je m’en veux d’avoir fait tout ça. Je crie « NON, NON, NON ».
Je prends alors une grande baffe dans la gueule qui me fait la fermer.
Lui avec son accent de banlieue :
— Salope de française ! Tu vas voir si tu vas te débattre ! Tu voulais de la queue tu vas en avoir !
Puis il me tire par le bras violemment. Je me débats toujours, mais pas avec assez de force tellement je suis tétanisée par la peur et le dégoût.
Il m’a emmenée, sans vraiment forcer, vers sa voiture. Je veux pas monter là dedans. Je crie.
Une autre gifle encore plus violente me la fait fermer une nouvelle fois. Si je continue il va me massacrer.
Il me porte et me jette presque sur le capot de sa voiture. Je n’ai même plus la force de résister. J’ai trop peur. Il me fait allonger sur le capot, sur le dos, la tête vers l’avant de la voiture et les pieds vers le pare brise. L’enfoiré écarte mes cuisses violement. Il me semble qu’elles se déchirent tellement il les ouvre.
Je sens alors une corde sur ma cheville droite. L’enfoiré est en train d’attacher mon pied droit au rétroviseur. La peur me paralyse et je me soumets malgré moi. Il attache ma cheville gauche à l’autre rétro, et me voilà sur le capot la tête presque dans le vide, les cuisses écartées au maximum, et ma chatte ouverte presque contre le pare brise.
La portière se ferme, la voiture démarre. J’ai la trouille. Ca tourne mal cette histoire. Que va t-il me faire ? Quelle conne je suis ? Je suis tombé sur la pire des pourritures, sur un fou. Et là j’ai encore plus peur. Et si cet arabe me tuait après m’avoir baisé. J’ai peur, je pense à Jacques. S’i avait été là, jamais je ne serais venu jusqu’ici, je serais resté tranquillement à la maison.
J’ai plein de souvenir qui me revienne à la tête. Ca ne dure pas longtemps. En effet, je reçois une trombe d’eau sur le visage, puis sur le corps.
L’enfoiré est venu se garer sous la gouttière d’ou tombe la pluie du toit. Il s’amuse en bougeant la voiture à placer ma chatte juste en dessous du jet.
L’enfoiré, doit regarder ma chatte en gros plan et en détail à travers le pare brise. Il doit regarder l’eau s’écraser dessus. Il avance, recule doucement. Mon corps est encore plus trempé qu’avant.
Puis une marche arrière. Là c%