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Un weekend bien chargé à décharger… – Chapitre 6

Un weekend bien chargé à décharger... - Chapitre 6



Belinda venait de se planter son double gode dans sa chatte et son arrière-cour et me tendait une petite bouteille de gel lubrifiant "Tiens, même si tu as l’habitude, c’est plus sympa avec ça !". Je l’ai remerciée et m’apprêtais à en mettre sur mon trou de balle quand elle m’a arrêté "holà, tu dois nous faire un petit show avant. On est au spectacle, non ? Je pensais que…" "Oui, je sais ai-je coupé, j’aime ça et je le faisais souvent pour ta sur…!". C’était devenu une sorte de petite récompense pour elle, le soir avant de se coucher, quand on était un peu trop fatigués que pour se lancer dans de grandes prouesses érotiques. Je lui offrais un petit show, ce qui allait devenir un pète-stacle. Je me déshabillais devant elle, lentement, descendant mes jeans en faisant apparaître ma raie fessière, puis en jouant avec mon string (je ne porte que des strings comme sous-vêtements), et finalement, une fois à poil, en jouant avec mes fesses et ma rondelle. Parfois, j’ajoutais un peu de sel avec y fourrant un plug ou deux doigts.

Parfois aussi, je faisais cela en sous-vêtements féminins, spécialement les culottes fendues de mon ex. Cela me permettait de jouer avec mon service trois-pièces ou de mettre mon trou de balle bien en évidence. Bien entendu, il arrivait qu’elle "participe" en se masturbant dans le lit en me regardant, ou qu’elle me donne la réplique en faisant un peu de gymnastique érotique avec un gode… ou deux. Parfois aussi, elle profitait de mon show pour se préparer à d’autres activités, il servait alors d’apéritif à d’autres jeux érotiques. Ainsi, elle mettait une petite nuisette, un porte-jarretelles et des bas, tout en m’observant, avant d’attacher autour de son bassin un gode-ceinture destiné à ma bouche et mon fion.

C’est avec tout ça en tête, en plus du vin blanc et du champagne, que j’ai entamé un show très porno, avec un gode ventouse et une chaise. J’ai commencé par me caresser à travers le fragile tissu du string. Il montrait une belle grosseur mais là, ma bite est venue montrer sa tête en sortant vers le haut. J’ai ensuite rabattu le tissu sous mes couilles, poussant le tout vers le haut. Je me suis approché des deux nanas qui se branlaient avec une belle vigueur pour leur mettre ma queue sous le nez et sous la bouche. Je me suis retourné pour leur montrer la mince ficelle qui traversait mon cul de haut en bas, et j’ai tiré sur mes fesses pour leur faire apprécier mon illet que j’animais de quelques contractions. Aanja s’est esclaffée "Regarde bé, il me fait de l’il !". "Non, fais gaffe, il va siffler !"…

Je suis retourné vers ma chaise, où m’attendait mon gode ventouse. J’ai enlevé mon string pour ne garder que le porte-jarretelles et les bas. J’ai pris le tube avec le lubrifiant et ai fait couler un peu de gel sur mes doigts. Les deux vicieuses jouissaient du spectacle, enlacées, se branlant mutuellement avec les doigts ou avec leurs joujoux, tous leurs orifices affichant "occupé" ! Je leur ai présenté mon oignon que j’ai généreusement pommadé de gel, n’hésitant pas à enfoncer deux doigts pour m’assurer que l’engin entrerait avec douceur dans mon rectum, et pour exciter les demoiselles en rut. J’ai encore mis du gel sur le gode qui était ventousé quasi au bord de la chaise. Je me suis positionné à califourchon et j’ai commencé à descendre mon cul vers l’engin. J’ai ajusté la descente et fait quelques allers-retours de plus en plus profonds. À chaque fois, je frémissais un peu plus de plaisir et l’envie était grande de l’enfoncer d’un seul coup mais je voulais garder les deux garces en haleine.

Quoique, dans mon dos, à entendre leurs gémissements, elles semblaient garder un bon rythme. Finalement, je suis descendu jusqu’à la garde, avalant le gode sur toute sa longueur en un seul mouvement. Les deux nanas ont applaudi et ont lancé de grands "hourras". Moi, j’ai vibré avec ce gros chibre dans mon cul. J’ai continué en accélérant mes mouvements de bas en haut mais aussi en avançant ou reculant mon bassin afin d’accentuer la pression sur ma prostate. Ce genre de massage me fait toujours jouir très vite, et sans éjaculer. Cette fois-ci ne fut pas une exception car, une fois les fesses collées au siège et le corps arqué vers l’avant, j’ai senti une onde de plaisir traverser mon corps et j’ai poussé un long gémissement. Se méprenant un peu sur ce qui se passait, Aanja m’a lancé "va pas jouir tout seul hein, on a encore faim de ton sperme…!", quant à Belinda, plus ironique, "Et ne chie pas sur ma chaise non plus, hein, il y a des endroits pour ça !". Oui, de nombreux endroits très différents me dis-je…

Je me suis retourné pour leur offrir mon côté face, et pour jouir de leur spectacle. J’ai repris mes mouvements, cette fois-ci accompagné du balancement de ma bite. J’ai à nouveau joui de manière impressionnante, arrachant des murmures d’admiration aux deux nanas qui s’étaient branchées dans le divan. J’ai ensuite commandé à Aanja de venir prendre ma place, ce qu’elle fit sans trop se faire prier. Le gode étant déjà bien huilé, elle n’a eu aucun mal à engager l’engin dans son con, puis dans sa rondelle, alternant ainsi après deux ou trois va-et-vient. Assis sur l’accoudoir du divan en me branlant doucement, à côté de Belinda qui s’astiquait avec beaucoup plus de vigueur, j’ai vite senti que la jolie Batave allait rapidement mettre le feu aux poudres. Je me suis donc allongé face à elle, les jambes sous la chaise. Elle a vite compris ce que j’attendais car elle a remis le gode dans son cul et a mis trois doigts dans sa chatte. Belinda ne s’en est pas laissé compter et elle est venue s’accroupir au-dessus de mon visage, le sien tourné vers sa complice.

Il a fallu moins de 15 secondes pour que l’on entame un concert de pisse à trois becs. La mienne qui filait directement dans la bouche de Belinda, la sienne qui passait dans ma bouche directement du producteur au consommateur et celle d’Aanja qui nous arrosait tous les deux copieusement. Elle jouait avec les lèvres de son minou pour ajuster son jet. Quant à moi, j’essayais de relever la tête pour lécher le cul de Bélinda dont le visage s’était fort rapproché de ma queue pisseuse. Si quelqu’un était entré dans la pièce à ce moment, il aurait eu devant les yeux l’image d’une fontaine vivante.

J’étais bien décidé à ne pas en rester là. Suivant mes instructions, les deux garces se sont positionnées à quatre pattes, quasi cul contre cul. Ensuite, j’ai pris le double-dong que j’ai planté dans leur fion d’un bon décimètre de chaque côté. Elles ont ondulé de plaisir et j’ai saisi le gode par le milieu pour lui impulser des mouvements de gauche à droite et de haut en bas. Je dois dire que je les ai bien secouées mes deux dépravées. Elles hennissaient comme des juments en rut et je n’ai pas hésité à bien enfoncer le double chiffre une fois à gauche et une fois à droite. Elles ont joui quasi en même temps en s’affalant sur les coudes. Je leur ai donné quelques minutes pour reprendre leur souffle et ai été cherché trois cannettes de bière, le blanc étant épuisé. J’ai ensuite avisé les deux godes-ceintures qui semblaient piaffer d’impatience sur la table "Et si on terminait en beauté ?!". Elles semblaient crevées mais la lueur sauvage qui a brillé dans leurs yeux m’a convaincu qu’elles auraient encore de l’énergie pour cet ultime baroud.

J’ai donc tendu à Aanja le harnais avec la bitte blanche, et à Belinda celui avec, plus grosse, la bitte blanche. En effet, j’espérais intérieurement que la belle black allait vouloir m’enculer et qu’à deux, on allait pouvoir faire une double péritel avec Aanja !

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