J’attends cette fois un peu plus longtemps le prochain passage des filles. J’attaque les friandises qui, finalement, ne se marient pas trop mal avec le rhum. Ou j’ai déjà trop bu et je ne sens plus rien. Bref, il me tarde qu’elles reviennent.
— Pour ce dernier passage, nous allons défiler ensemble. Nous espérons que nos tenues te plairont.
A leur arrivée, le premier détail marquant est que Véro a quitté sa cagoule. Elle et Christine sont habillées d’une jupe de tailleur bleue et d’un chemisier blanc très moulant. Les lèvres outrageusement rouges, elles ont les cheveux remontés en chignon et elles portent des lunettes cerclées de noir. Elles arrivent tout sourire vers moi et prennent la pose. Les jarretelles s’impriment à travers le tissu au niveau des cuisses, puis plus nettement encore sur les fesses lorsqu’elles se tournent. C’est à ce moment là que je reconnais la jupe, la "fameuse" jupe que portait Véronique lorsque nous étions en classe. Celle-là même qu’elle portait lorsque je l’avais baisée dans les toilettes de l’école. Le cul de ma femme dans cette jupe est un pur fantasme. Je bande très fort.
Les deux femmes repartent au fond de la pièce, reviennent et s’asseyent à mes côtés. Tandis que je roule une longue pelle à ma femme, celle-ci déboutonne mon pantalon, sort ma bite et commence à me masturber. Elle se penche ensuite dessus et se lance dans une bien agréable fellation. Je me tourne vers Véronique. Juste le temps de lui dire "Merci" et nous nous embrassons à pleine bouche. Nos langues roulent quelques instants puis Véro se baisse à son tour vers mon entrejambe. Christine lui laisse la place et la blonde me pompe à son tour. J’embrasse à nouveau ma femme et ouvre son chemisier : un soutien-gorge demi-sein rouge augmente encore mon excitation.
Les deux femmes alternent un moment entre ma queue et ma bouche, puis Véro relève sa jupe et s’installe à califourchon sur moi. Ma femme guide mon sexe dans celui de Véro, entre les pans de son string ouvert. Elle jure en glissant sur mon chibre et sautille allègrement dessus pendant plusieurs minutes. Après avoir joui, elle se retire et Christine prend sa place. Elle s’assied très lentement et je comprend vite pourquoi : elle a gardé le plug dans le cul. Elle se lance donc dans une double pénétration avec cet énorme sex-toy derrière. Jusqu’à présent, nous l’avions toujours fait dans l’autre sens : moi dans son cul et elle qui joue avec un gode assez fin. Très droite, Christine s’enfonce sur mon sexe et fait quelques allers-retours, aidée en cela par Véro, avant de se retirer. Elle se met à quatre pattes et me demande d’ôter le plug. Je l’attrape et tire lentement dessus. Christine gémit bruyamment lorsqu’il franchit son anus, dont le diamètre équivaut à celui d’une balle de ping-pong. Bon gré, mal gré, Véro prend connaissance de l’intimité la plus profonde de Christine.
Cette dernière vient à califourchon, dos à moi et s’allonge sur mon épaule. Cette position est particulière pour nous car, 20 ans plus tôt, j’avais failli la sodomiser ainsi alors qu’elle était encore vierge. Cette fois, pas de tergiversation : Christine prend ma bite et la dirige tout droit dans son anus dans lequel elle glisse facilement. C’est la sodomie la plus aisée de ma vie. Christine confirme :
— Oh mon Dieu ! C’est tellement bon ! Ça glisse tout seul !
Excitée par ma masturbation, elle jouit puis elle se retire pour se tourner face à moi. Pendant ce temps, j’embrasse Véro et goûte à ses seins. Christine m’oriente derrière et me fait pénétrer.
La situation est parfaite : ma femme empalée sur ma bite, côté anal, tandis que je m’occupe des énormes seins de Véro qui a retiré son chemisier et sa jupe. Les deux femmes portent les mêmes dessous : un ensemble rouge composé d’un soutien-gorge demi-sein, d’un string ouvert et d’un porte-jarretelles. Ma langue excite Véro. Je lui dis de se mettre debout sur le canapé. Elle place ses pieds de part et d’autre de mon buste afin que j’aie, à hauteur du visage, son minou que je dévore immédiatement. Véro enchaine rapidement trois orgasmes successifs.
Je fais signe à Christine que j’arrive au bout et quelques secondes plus tard, elle se retire. Comme un seul homme, les deux femmes me lèvent et s’agenouillent devant moi. Christine me masturbe vivement, elle sait si bien le faire. Je les arrose. Leur bouche et leur seins sont particulièrement maculés de mon sperme. Elles rient. Moi aussi. Je m’affale dans le canapé.
Christine se relève et me tend la bouteille de champagne. Je fais sauter le bouchon et sers trois coupes tandis que les filles vont faire une rapide toilette. Nous trinquons ensuite et Christine m’explique comment, par l’intermédiaire de l’école dans laquelle nous étudiions, elle a retrouvé Véronique. Celle-ci raconte son parcours. Elle avait rencontré son futur mari durant les vacances d’été 1995, raison pour laquelle elle ne m’avait jamais rappelé. Trois ans plus tard, ils s’étaient mariés. Deux enfants étaient nés de cette union, un garçon en 2001 et une fille en 2004. Ils se sont séparés en 2011 et ont divorcé en 2013. Côté professionnel, Véro avait fait différents stages dans des restaurants avant de créer son entreprise de service traiteur à domicile.
A la demande de Christine, Véro évoque ensuite le fameux déjeuner au Petit-Dimison qui avait marqué le début de notre courte relation. Nous rions. Elle dit :
— On peut dire que c’était un excellent déjeuner et un début d’après-midi parfait !
— Parce que tu te souviens de ce qu’on avait mangé ?
— Absolument pas. Mais je me souviens que j’ai compris très vite qu’on allait coucher ensemble !
Nouvel éclat de rire.
— Tu te souviens de la descente ?
— Bien sûr ! J’étais ravie que nous ne soyons que les deux dans la cabine.
— Tu avais à peine attendu le départ
— Non ? Je ne me souviens pas de ça. Par contre, je nous revois très bien. Toi assis au fond de la cabine, face au vide, et moi à genoux entre tes jambes.
— Tu m’avais sucé tout le long.
— Oui. Tu te souviens du regard du type qui avait ouvert la porte ?
— Je suis sûr qu’il a vu ce que nous faisions.
Christine intervient :
— De telles aventures, ça crée des souvenirs impérissables.
— Je ne vais pas te dire le contraire, mais il y a deux autres souvenirs plus marquants à mes yeux que cette escapade.
Je suis surpris :
— Ah bon ? Lesquels ?
— Le premier, c’est notre arrivée chez mon père le soir même. On s’était bien cherché durant toute la soirée et tu m’as baisée comme un fou : quelque soit la position, tu me pilonnais à toute vitesse. Et tu avais tenu un sacré moment ! J’en pouvais plus ! J’avais le vagin en feu et les lèvres douloureuses tellement tu me prenais fort. Je me souviens que j’étais montée sur toi pour te calmer, mais tu m’avais attrapé les hanches pour me prendre plus fort et plus vite. Une vraie machine !
Nous éclatons de rire. Christine confirme :
— Parfois, c’est vrai que tu y vas très fort. Mais moi, j’aime bien.
Je me défends un peu tout de même :
— Hé ho ! Si je me souviens bien, on l’a refait durant la nuit et plus d’une fois. Alors je ne pense pas que ça devait être si douloureux que ça !
Véro rit.
— Oui, c’est vrai qu’on l’avait refait plusieurs fois. Tu m’avais même mis un doigt dans le derrière. C’était la première fois qu’on me faisait ça.
— Je doute qu’on ne te l’ait pas refait depuis.
Véro rougit. Christine rit. Le sujet semble gêner Véro. Je l’embrasse.
— Et l’autre souvenir alors ?
— La journée de classe le lendemain, la plus excitante de toute ma scolarité.
Christine dit :
— Je suis sûre que je vais apprendre des choses.
— Il faut reprendre depuis le début. On voulait se réveiller un peu plus tôt pour pouvoir faire l’amour tranquillement au réveil. Sauf qu’on s’est levé en retard et donc pas de câlins. Juste le temps d’une douche et de s’habiller. J’avais prévu la jupe bleue, car Florent m’avait dit qu’il l’adorait. On est tellement efficace qu’on en est presque en avance au moment de partir. Si bien que Florent lève ma jupe, enlève mon string et me prends sur la table à manger. Un rapport très rapide.
— Très apprécié si je me souviens bien !
Véronique rigole :
— Oui, ça m’avait beaucoup excitée de faire l’amour juste avant de partir. On passe à la salle de bains et de retour dans la cuisine, Florent ramasse mon string, le met dans sa poche en me disant que je n’en ai pas besoin aujourd’hui. Imagine : je n’étais jamais sortie sans culotte de ma vie. Je n’ai pas réagit, peut-être que je me disais qu’il allait me le rendre en arrivant.
— Et je ne l’ai pas fait.
— Non. Mais durant le trajet, je n’ai pensé qu’à mon absence de string. Nous étions en fin d’année, la promotion était dans la poche et depuis la veille, j’étais en mode sexe. Et donc, ça ne me choquait pas de ne pas avoir de string. Au contraire, ça m’excitait beaucoup.
Christine provoque :
— Et ça, tu l’as refait ?
— Sans culotte ? Ah oui, très souvent. Ça plaisait beaucoup à mon mari.
— Au mien aussi, je te rassure.
Elles rient. Véro reprend son récit.
— On arrive à l’école. Tu te garais toujours dans une rue derrière, dans une zone résidentielle. Il nous restait quelques minutes, on se chauffe un peu et je te suce.
— Dans le rétroviseur, je voyais d’autres élèves arriver. Il ne passait que quelques mètres derrière la voiture, c’était très excitant.
— Et tu as joui pendant la sonnerie.
— Ah ah ah ! Oui, je m’en souviens ! On avait dû se dépêcher.
— On est arrivé devant la classe alors que tout le monde entrait. Le timing parfait. Ensuite, ça avait été plus calme.
— Jusqu’à midi.
— Les toilettes étaient vides et on a pu entrer facilement dans la cabine. Vingt secondes après, il devait y avoir entre huit et douze fille ! Déjà ça, ça m’a beaucoup excitée. Ensuite, je pensais qu’il n’y aurait qu’une fellation. Mais quand tu m’a redressée et tournée, là, tu m’as rendue folle. Je me disais "non, c’est pas possible" et dans le même temps, "oui, j’ai tellement envie" !
Nous éclatons de rire. Véro boit un peu.
— Visualise la scène, Christine : je suis debout les mains sur la porte, ma jupe est relevée au-dessus de mes fesses. En haut, je n’ai rien car mon chemisier ouvert a été roulé à ma taille et mon soutien-gorge est au niveau de mon nombril. Ton mari me prend par derrière, les mains sur mes seins. Autour, ça papote, ça rit. La poignée est actionnée à plusieurs reprises et ça me stresse à chaque fois.
— J’aurais fait une crise cardiaque à cet âge-là !
— J’en étais pas loin, ah ah ah ! Ça m’a rassuré quand ça s’est calmé, comme si elles étaient toutes sorties en même temps. On a pu finir tranquillement et descendre manger à la cafétéria.
Je précise :
— A un détail près.
— Un soutien-gorge près. Florent me l’a retiré. Heureusement que mon chemisier était noir. On a mangé puis on est sorti. Il y avait une bonne partie de la classe. Tu étais là, Christine.
— Certainement, mais je ne me souviens pas précisément de ce jour.
— Et bien là, j’ai commencé à m’exhiber. J’écartais les jambes chaque fois que Florent était en face de moi.
— Alors ça, tu ne me l’avais pas raconté !
— Attends la suite.
Nous rions. Véro reprend :
— Les exhibitions se sont poursuivies en classe.
— Mais noooon ?!!?
— Florent était deux rangs devant moi, sur ma gauche. Il se tournait et j’ouvrais la jambe vers lui.
— On a fait ça durant les deux premières heures.
— Ensuite, on a changé de salle de classe et on s’est assis l’un à côté de l’autre, au fond de la salle.
— Et là ?
— J’ai ouvert mon chemisier jusqu’au nombril. De loin, le prof ne voyait rien et Florent avait une vue parfaite sur mon sein droit.
— Mais ce n’est pas tout.
— Je faisais mine de prendre des notes, penchée sur le bureau, et Florent, en tendant le bras juste sous le niveau du bureau, me caressait. Ce salaud me pinçait le téton ! J’étais tellement excitée, c’était fou. Le prof était face à la classe et je me faisais peloter. Et tout à la fin de cours, je me suis tournée face à Florent et je lui ai montré ma poitrine en écartant mon chemisier. Personne n’a rien vu.
— C’est incroyable ! Dire que j’étais dans la même classe que vous et je ne me suis rendue compte de rien !
Je ris :
— Bon, je te rassure, c’est le seul minou et les seuls seins que j’ai vu dans une salle de classe !
Les deux femmes sourient et ma femme m’embrasse longuement. Le récit de Véronique a fait monter la température et le baiser de Christine me fait à nouveau bander. Véronique prend mon sexe en main puis en bouche. Alors que la température monte, Christine dit :
— Allons dans la chambre.