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Cours très particuliers – Chapitre 1

Cours très particuliers - Chapitre 1



En septembre, Bac en poche, jintègre un BTS dassistante de direction. Je me rends compte rapidement que je ne comprends pas grand chose en économie. Début octobre, vu mes notes, mes parents me proposent de prendre des cours particuliers. Je demande à mon prof déco qui accepte de me recevoir à son domicile le mercredi après-midi de 14 à 16 heures.

Le mercredi, je me rends chez lui, il minvite à minstaller dans la cuisine.

Il me demande pourquoi je veux prendre des cours particuliers, je lui explique que les 2 premières notes que jai eues sont lamentables et que je ne comprends rien à cette matière.

Il me dit que jai bien fait de ne pas attendre la fin de lannée scolaire pour tenter de remédier à mes lacunes.

Il sassoit à mes côtés et reprend les cours quil a déjà faits en les commentant et en me posant des questions destinées à vérifier que jai bien compris. Pendant les 2 heures de cours, il est très proche de moi et je sens à plusieurs reprises ses doigts frôler mes cuisses et ma poitrine et sa cuisse se coller à la mienne, mais je pense que cest involontaire. Et pourtant, en le quittant, je remarque une bosse au niveau de sa braguette.

Le mercredi suivant, après mêtre installée, il me propose quelques petits exercices, pour vérifier mon niveau. Puis il se lève et me dit :

— Résolvez ces petits exo, je reviens dans quelques minutes. En effet, une vingtaine de minutes plus tard, il revient, sassoit près de moi et me dit :

— Alors, quavez-vous pensé de ces exo ?

— Les 2 premiers, je crois que jai compris et aussi le 4ème, mais les autres . Il se rapproche de moi, regarde ce que jai fait et me dit :

— Le 1er, cest bon, le 2ème il faudrait terminer, quant aux autres . Vous semblez avoir de grosses lacunes !

En même temps, je sens sa main se promener sur ma cuisse et remonter du genou vers mon ventre. Je retire immédiatement ma jambe, il me dit :

— Vous savez, vu votre niveau, vous nêtes pas prête dobtenir de bonnes notes, je pourrais bien sûr vous aider, si ..

— Si quoi ?

— Si vous le vouliez vraiment et si vous y mettiez du vôtre .

— Comment ça, si jy mettais du mien ?

— Eh bien, je pourrais vous noter très positivement si vous étiez gentille avec moi, donnant, donnant, vous comprenez ?

Jai très bien compris, le vieux cochon propose de me caresser, voire plus, en échange de quelques bonnes notes. Sa main sest posée à nouveau sur ma cuisse, heureusement que jai mis un jean ! La main est remontée memprisonner et me pétrir un sein. Que faire ? Prendre une décision sans attendre !

Cest pas le problème quil me saute, quoique que ça serait la 1ère fois pour moi avec un vieux (il a au moins cinquante ans) et je suis pas sûre daimer ça et puis est-ce que ça en vaut la peine ? Oui, mais que dire à mes parents ? Il a compris que ça me pose un problème, il ajoute :

— Tu sais, je serai très gentil avec toi, je texpliquerai tout ce que tu ne comprends pas, tu auras de bonnes notes, et tu garderas largent que te donnent tes parents pour payer les cours, en échange il te suffit simplement dêtre câline avec moi.

En même temps sa main est passée sous mon tee-shirt, il caresse mes seins à travers mon sous-tif et je dois bien avouer que ses caresses commencent à mexciter, il ajoute :

— Tu es très mignonne, tu me plais beaucoup, on pourrait passer de bons moments ensembles !

Il est de taille moyenne, légèrement enveloppé, cheveux poivre et sel, avec des lunettes, lair sévère, en résumé : cest pas un don juan, et quitte à faire ça avec un prof, jaurais préféré le prof de sport ! Enfin, cest pas non plus pour sortir avec lui !

Tant pis ! Je lui dis que jaccepte sa proposition, mais que je veux de très bonnes notes. Il me dit :

— Tu les auras, maintenant, caresse-moi, jai tellement envie de toi ! Sa braguette est déjà ouverte, je passe la main et découvre un sexe gros et dur ! Effectivement, je lui fais un effet certain ! Je sors lengin, gros engin, gros et long, une belle bite, bien bandée ! Je ne mattendais pas à ça et comme je suis un peu coquine, le cours commence à mintéresser !

Jentreprends de le masturber lentement. Il défait les attaches de mon jean et sa main atteint mon entrecuisse, jécarte les cuisses, il écarte mon slip et atteint mon minou déjà mouillé, quil pénètre de ses doigts sans plus attendre tout en chatouillant mon clito. Je mouille de plus en plus. Sa bite a encore augmentée de volume et de longueur, nayant pas une grande expérience des grosses queues, je la trouve impressionnante ! Il lèche ses doigts mouillés de ma cyprine et me dit :

— Tu mouilles bien dis donc ! Caresse-moi doucement, serres bien ma verge dans ta main, fais la coulisser de haut en bas, humm, cest bon, jai de plus en plus envie de toi, tu vas voir quand je vais te la mettre dans ta petite chatte, je vais te remplir.

Tout en le caressant, je me surprends à penser que jaimerais bien quil me remplisse la chatte, ça doit être bon dêtre fouillée par un pareil engin ! Par contre je ne voudrais pas essayer dans mon petit trou, il me déchirerait ! Je continue mes allers-retours en serrant le plus fort possible, il gémit, il a retiré mon sous-tif et me malaxe les seins à pleines mains, puis il se lève et me dit :

— Jaime beaucoup les seins lourds et fermes comme tu as, allez viens ! (Il memmène dans une chambre),

— Mets-toi à poil, jai trop envie de te prendre !

Jai un peu la trouille, je comprends que je vais y passer et maintenant cette grosse queue me fait peur, va telle pouvoir sinsérer dans ma petite chatte ? En même temps, je suis très excitée à lidée dêtre empalée par ce gros chibre ! Nous sommes nus, il me demande de mallonger sur le lit, se couche sur moi en écartant bien mes cuisses, je lui dis :

— Mais vous navez pas mis de préservatif ?

— Pas besoin, je ne suis pas malade, tes malade toi ?

— Non bien sûr, mais ça serait mieux.

— Non je naime pas ça, tu prends la pilule jespère !

— Oui.

— Alors pas de problème, tu vas me sentir gicler dans ton ventre !

Je replis mes jambes, genoux vers ma tête, il est toujours aussi raide et gros, il cherche lentrée, jattrape son membre et le guide sur ma vulve en lui demandant de me pénétrer lentement, je sens son gland forcer ma vulve puis avancer doucement dans mon vagin, jai limpression quil va me déchirer mais cest très bon, il me fait mal, mais les douleurs font vite place au plaisir et mes gémissements lui font comprendre que japprécie énormément cette pénétration, quelques minutes après il est tout au fond, je gémis de plus en plus fort, jai jamais eu un truc aussi gros dans le ventre et en même temps je sens que je ne vais pas tarder à venir. En effet il commence à me pilonner lentement et quelques secondes suffisent pour que jatteigne lorgasme, je devrais dire les orgasmes, car ça ne sarrête plus, il accélère le rythme et je crie de plaisir tellement cest bon. Enfin, je le sens se raidir, sa bite me semble avoir encore grossie et il se vide à grosses giclées tout au fond de mon ventre en continuant à me limer, son sperme ressort de mon vagin et jai un dernier orgasme juste avant quil ne se retire.

Nous reprenons nos esprits, il me dit :

— Ca a été ? Je ne tai pas fait mal ?

— Non au contraire, cétait merveilleux !

— Il ta bien baisée le vieux, hein ? Prête à remettre ça ?

— Quand vous voulez Monsieur, cétait tellement bon, jai encore des spasmes ! Il pose la main sur mon ventre et membrasse sur le front.

— Tes une bonne petite, tu ma bien fait jouir, la semaine prochaine, tu mets une jupe, pas de sous-tif, ten as pas besoin, tu me suceras en arrivant pour me calmer, je te ferai lamour après tavoir donné ton cours, viens vers 13h30 que jai le temps de profiter de ton corps.

— Le problème, cest que je ne sais même pas si les jupes que jai me vont encore, je ne porte que des pantalons.

— Bien, je vais prendre tes mesures, et je commanderai ce que jai envie que tu portes, tu te changeras en arrivant, et il ny aura pas de problème. Tu es daccord ?

— Oui bien sûr, mais ça va vous revenir cher tout cela !

— Cest pas grave, jai les moyens, et puis ça me fait plaisir, cest pas tous les jours quon baise une petite poupée de 18 ans, avec un corps comme le tien, surtout quand on en a 53.

— Je comprends.

— Au fait, tu peux mappeler par mon prénom, cest Roger.

Le vendredi, TP déco, le lundi le prof rend les copies, avec un 17 pour moi, jen conclue que les cours particuliers sont bénéfiques !

Le mercredi suivant, jarrive chez mon prof qui minvite aussitôt à me changer dans la chambre. Les vêtements quil a achetés sont posés sur le lit : une jupe courte plissée rouge, un petit haut blanc, très moulant, des bas dim-up noir (qui tiennent tout seuls) et une paire de chaussures noire à talons. Pas de sous-vêtements. Cest la première fois que je mets des bas et des talons, ça fait drôle, jai limpression que je vais me casser la figure, pourtant quand jétais petite je mamusais à mettre les talons hauts de ma mère !

Une fois changée, je le rejoins dans la cuisine, il me regarde, me toise, sourit et me dit :

— Tu sais que tes particulièrement bandante en jupette, tas de belles jambes, approche. Je vais vers lui, il passe sa main entre mes cuisses, remonte lentement, atteint mon sexe et pénètre mon intimité de ses doigts, il dit :

— Rien pour gêner la progression, pas de petite culotte et pas dhorrible collant, voilà qui est agréable !

Puis à travers le tissu du petit haut qui ne cache rien, il mordille mes tétons qui entrent en érection et se mettent à durcir, il saperçoit que je commence à mouiller, il me dit :

— Petite cochonne, ça te plait de te faire triturer, tu lattends cette grosse bite, elle ta manquée pendant la semaine, avoue que tu y as rêvée !

— Oui jai rêvé que vous me preniez dans la classe, jécartais bien les cuisses pour vous recevoir, jétais toute mouillée, je me suis masturbée pour me calmer. Mais cest surtout quand je vous ai vu en cours que jai pensé à votre grosse queue !

— Et taurais aimé que je tenfile devant tes camarades hein ? Bien petite cochonne, des pensés lubriques pendant les cours, ça mérite une fessée ça ! Couches-toi sur mes genoux !

Javoue que je ne suis pas très fière, jai un peu peur, je me couche néanmoins sur ses genoux, il me caresse les fesses et me dit :

— Tu as un superbe cul, de belles fesses rebondies, douces et fermes, certainement très agréables à faire rougir un peu.

En disant cela, ses doigts se promènent dans ma raie entre mes fesses et il trouve mon anus quil pénètre dun doigt. Ne trouvant pas de résistance, il men met un second, il fouille un peu et men met un troisième. Il dit :

— Ton sphincter semble se dilater bien facilement, tu as lhabitude de te faire sodomiser ?

— Oui, dis-je dans un râle, un peu honteuse davouer ces choses personnelles.

— Tu aimes ça alors !

— Ben, oui !

— Tu jouis quand on tencule ?

— Oh oui ! Enfin pas toujours, mais si cest bien fait, oui !

— Et moi qui te prenais pour une petite fille sage, javais presque honte du marché que je tai proposé, en fait tu nes pas une petite cochonne, tu es une vraie petite salope, tu aimes le cul ! Soit dit, heureusement quil y a des femmes comme toi !

Je vais donc envisager de te mettre ma grosse verge dans ton petit cul, mais il faut prévoir des étapes de dilatation. Tu vas aimer, tu verras.

Je me dis "merde, il va menculer le salaud, pourvu quil me déchire pas !"

Puis il retrousse ma jupette et me claque les fesses une bonne dizaine de fois en me traitant de petite putain, salope, chienne, etc. Je crie, il continue, il me fait mal, je lui dit que cest trop douloureux, il arrête enfin et me dit, en me montrant quil bande comme un taureau :

— Désolé, je me suis laissé emporter, ça ma tellement excité de penser que jallais prendre ton petit cul, mais ne tinquiètes pas je te préparerai avant pour quil ny ait aucun danger.

Puis il memmène dans une autre chambre (la chambre conjugale dit-il) qui comporte une armoire dont les portes sont des miroirs, il me dit :

— Retrousse ta jupe et regarde la couleur de tes adorables petites fesses. Il a vraiment frappé fort, jai les fesses toutes rouges avec la marque de ses mains. Il ajoute :

— Tu vois, cest comme ça quon punit les vilaines petites filles qui ne sont pas sages ! Une bonne fessée ! Bon, maintenant tu vas me sucer ! Il baisse son pantalon et son slip et sallonge sur le lit conjugal. Il me dit :

— Mets-toi à genoux, perpendiculaire à moi, de façon à ce que je puisse te regarder me sucer et retrousse ta jupe sur ton dos afin que je puisse voir ton cul dans le miroir, tu écarteras un peu les cuisses pour que je vois aussi ta fente. Je me mets comme il dit et je prends son dard dans la main, entre temps il a débandé, sa bite est plus courte mais pratiquement aussi grosse que bandée, je pose mes lèvres sur son gland que je titille avec ma langue passant et repassant sur le méat, je le masturbe légèrement avec une main et caresse ses boules avec lautre, il ma mis une main au cul et menfonce un doigt dans lanus pendant que son autre main vient se poser sur mes cheveux, sa bite commence à reprendre vigueur, elle a maintenant une belle taille et la consistance du béton, jai du mal à lenfourner tellement elle est épaisse, jy parviens tout de même en pensant que je fais le plus facile, jaurais certainement plus de mal pour recevoir sa visite dans mon petit trou ! Je commence mes allers-retours sur cette énorme hampe de chaire, dabord lents, puis plus rapides, essayant de lintroduire le plus loin possible au fond de ma gorge, il ne bouge pas, il me laisse la maîtrise de la fellation, mais il mencourage par des "suces salope, lèche moi la bite" ou "allez, ptite pute, pompes mon jus de couilles".

Je maide beaucoup de ma langue sur son gland, je sens plusieurs fois ses muscles se crisper, mais il parvient à se retenir, je décide daccélérer le rythme de mes va-et-vient en lui malaxant toujours les boulles, quelques minutes après je sens ses muscles se crisper, sa main appuyer sur ma tête, sa bite trembler et il explose dans ma bouche en râlant de plaisir, il men met au moins une dizaine de giclées, un sperme bien épais, un sperme de jeune homme, étonnant, jen ai plein la bouche, et ça dégouline, je le regarde, je ne peux pas parler, il maintient sa bite au fond de ma bouche, il récupère et quelques instants après approche sa bouche de la mienne et membrasse en récupérant une partie de son sperme avec sa langue. Nos langues sentremêlent, javale ce quil me reste de sa semence, il me dit :

— Tu es une championne de la pipe, tu aimes ça, je pense quon ne ma jamais sucé comme ça ! Tu ne peux pas imaginer comme je suis heureux que tu ais des lacunes en éco !

— Merci ! Mais sans vouloir gâcher ce moment merveilleux, jai peur que nos ébats laissent des traces sur le lit conjugal !

— Le dessus de lit devait justement être porté au pressing !

Cest la première fois quil membrasse avec la langue !

Il se rhabille, je rajuste ma jupe et mon petit haut et nous allons dans la cuisine pour le cours. Il sassoit près de moi et me délivre son savoir sans arrêter de caresser mes seins, mes cuisses et ma foufoune. Le cours terminé, il me prend la main et la pose sur sa braguette pour me montrer combien il a envie de moi ! Puis il memmène dans la chambre et se déshabille, je veux retirer ma jupe quand il me dit :

— Reste habillée, cest un de mes fantasmes de prendre une fille en jupe plissée rouge.

— Vos désirs sont des ordres Monsieur.

— Oui, tout ce que tu veux, cest tempaler sur ma bite !

— Cest aussi un de mes fantasmes de mempaler sur votre bite !

Il me pousse sur le lit, relève ma jupe pour dégager mon ventre, se couche sur moi, jécarte les cuisses, il positionne son gland sur ma vulve et dun coup de reins me pénètre de plusieurs centimètres. Surprise, je pousse un cri de douleur quil prend pour du plaisir. Il me dit :

— Taimes ça ptite pute, tu te sens bien avec ma queue dans la chatte, tu te sentiras encore mieux quand tu lauras dans le cul !

Un autre coup de reins et il est tout au fond de moi, je gémis de douleur et de plaisir, je croise mes jambes sur son dos, je suis totalement offerte, jattends ses assauts, je lui dis :

— Je te sens bien là, tu mas bien prise, baises-moi, fais moi jouir, je suis une salope, jaime ta queue, vas-y défonce-moi ! Défonce ta ptite pute !

Il grogne et entame une série daller-retour, allant tout au fond de mon vagin, qui marrache des gémissements et des cris de plaisir. Pendant quil me pilonne, jattrape ses couilles pour les malaxer. Je sens les contractions dans mon ventre et lui dis :

— Je viens, tu me sens ? Je vais jouir, ah, cest bon ahhhhhhaa !

Il arrête de me fourrer, membrasse dans le cou et me dit :

— Oui je tai senti, tas bien aimé, tu ne regrettes pas de te faire sauter par un vieux !

— Au contraire, jadore, tu me baises bien, ce sera bon de tavoir dans mon cul !

Il sallonge sur le lit et me demande de venir sur lui.

Je magenouille au-dessus de son pieu, je place ma vulve juste sur son gland et je descends sur sa hampe, mon vagin engloutissant sa bite lentement, il a mis ses mains sur me hanches et me regarde mempaler sur son énorme dard. Le fait de sentir cette verge me pénétrer me fait mouiller de plus en plus, mes soupirs et gémissements senchaînent et senflamment, lorsque je lai entièrement engloutie, impossible de retenir le violent orgasme qui me monte dans le ventre et les cris de jouissance qui laccompagnent, que cest bon lamour ! Il entame alors une série de coups de reins, son gland cogne contre mon utérus et je jouis à nouveau à plusieurs reprises.

Il sarrête me dit :

— Jaime bien comme ça, toi aussi apparemment !

— Oui cest bon, tu me fais bien jouir !

Je vais te prendre en levrette, tu vas te mettre devant ce fauteuil, tu poses tes mains sur le coussin, tu écartes tes jambes et tu cambres bien ton cul, voilà comme ça, très bien. Il retrousse ma jupette et me pénètre aussitôt, sans forcer, je suis toute mouillée et toute ouverte. Il pose ses mains sur mes hanches et entame une série de va-et-vient puissants, immédiatement je reprends mes gémissements, mes soupirs et mes cris, impossible de men empêcher ! Il arrête de me limer, se penche un peu et attrape mes seins quil palpe avec insistance, en me pinçant les tétons, puis en gardant ses mains sur mes seins, il reprend ses aller-retour, quelques minutes après il décharge dans ma petite chatte en râlant comme un lion, me déclenchant un nouvel orgasme, pendant que ses mains se crispent sur mes seins, il attend plusieurs minutes avant de ressortir de ma grotte et me dit :

— Je suis tellement bien dans toi que jaimerais y rester toute une nuit. Ce à quoi je réponds :

— Toute une nuit avec toi, jadorerais, tu me prendrais toute la nuit, ça serait bon, hummm !

Il ajoute :

— Il est presque 17h, le cours a duré longtemps aujourdhui ! La semaine prochaine on dilate ton sphincter et je tencule, OK ?

— Daccord.

— Je moccupe de tout.

Le vendredi, après le TP, le prof me dit :

— Mlle D. vous viendrez me voir après le cours sil vous plait. A la fin du cours, jattends que mes camarades sortent et je vais au bureau pour savoir ce quil me veut.

— Vous vouliez me voir Monsieur ?

— Oui, tu as dis que tu accepterais de passer une nuit avec moi. Samedi ma femme part avec une amie, elle ne revient que dimanche soir, peux-tu tarranger pour coucher chez moi ?

— Oui, bien sûr, je dirai à mes parents que jai une soirée chez une amie et que je coucherais chez elle, mais il faudra que je rentre le dimanche pour midi.

— Cest parfait tu peux arriver vers 18 heures ?

— Daccord. Il me passe la main aux fesses par-dessus mon jean et me dit :

— Allez, va rejoindre tes camarades, à demain soir, jai déjà envie de toi, quest-ce que je vais te mettre, je vais te faire hurler de plaisir ! Jéclate de rire et lui répond :

— Prétentieux !

Le samedi soir, à 18 heures, jarrive chez mon prof qui minvite aussitôt à me changer dans la chambre. Il me dit :

— Tu mets les vêtements qui sont sur le lit, par la suite, au cours de la soirée, tu en passeras dautres. Ne te poses pas de questions, ce sont des fantasmes que tu vas maider à réaliser.

En effet, des vêtements sont posés sur le lit, un chemisier noir en soie, une jupe plissée noire très courte, un jupon blanc avec le bord en dentelle, un petit tablier blanc de servante, un porte-jarretelles noir en dentelle, une paire de bas résilles et les chaussures noires à talons.

Il rentre dans la chambre, je suis nue, il membrasse, caresse mes fesses et mon minou, soupèse mes seins, sassoit sur le fauteuil et me regarde passer le porte-jarretelles, enfiler les bas, essayer dattacher les bas en ajustant les jarretelles, cest une première pour moi et ce nest pas évident, il veut maider mais ses mains et ses doigts ségarent, je parviens enfin à les attacher, jenfile le jupon et la petite jupe, le chemisier, le tablier et les chaussures et je suis prête. Il me dit :

— Voilà, cest bien, regarde comme tu es belle ! Il me fait tourner devant le miroir, le chemisier ne cache pas vraiment mes seins, la dentelle du jupon dépasse de la jupe sur laquelle est attaché le tablier. Ces vêtements sont si courts quils laissent voir les jarretelles et le haut des bas, jimagine que les putes doivent être habillées de cette façon pour attirer les clients !

— Tu es parfaite, super bandante, tu vas voir ce quon va te mettre !

— Comment ce que vous allez me mettre, vous nêtes pas seul ?

— Non, ma femme est partie avec une amie, son mari était seul, il se serait ennuyé, je lai invité pour la soirée, tu verras il est très gentil.

— Mais cétait pas prévu, je ne peux pas rester habillée comme ça devant quelquun que je ne connais pas, jai lair dune pute !

— Non tu nas pas lair dune pute, tu as lair dune belle jeune fille habillée sexy pour faire plaisir à ses amis et les exciter, tu vas voir on va passer une bonne soirée, allez viens !

— Votre ami va me prendre aussi ?

— Oui, bien sûr, pourquoi ça te gêne ?

— Ben, je le connais pas !

— Et moi, tu me connaissais avant que je te saute ? Non, hein ? Alors arrête de faire ta mijaurée. Tu aimes la bite et on va ten donner. Tu na pas envie de mon phallus dans ton minou ?

— Si, bien sur !

— Alors suis-moi et tais-toi ! En désespoir de cause je le suis, il memmène dans le salon et me fait entrer, je vois un homme brun, la quarantaine, de bonne taille, dapparence musclé, que je reconnais aussitôt (je lai eu comme prof en seconde), il me toise et sourit, je deviens rouge comme une pivoine, jai honte de me présenter dans cette tenue. Roger fait les présentations, il dit :

— Paul et Anne, mais vous vous connaissez peut-être.

— Oui dit Paul, jai eu nôtre charmante Anne comme élève en seconde je crois.

— Oui Monsieur en seconde.

— Je vois avec plaisir que tu as fait ton chemin depuis. Roger reprend :

— Anne a honte dêtre habillée ainsi, cest moi qui ai choisi ses vêtements, quen penses-tu Paul ?

— Anne est très jolie, habillée très sexy et très agréable à regarder, pour tout dire, elle me fait déjà bander !

— Comme tu las compris, jentretiens avec Anne des rapports privilégiés, mais jai omis de lui dire que tu serais présent ce soir et du fait quelle est timide, elle est un peu gênée, cest pourquoi je te demande dêtre particulièrement aimable avec elle.

— Je ne lui ferai que du bien, promis, tu nas pas changé Anne, tu es toujours aussi jolie, tu en faisais tourner des têtes et pas que celles de tes camarades !

— Donc vous vous connaissez, les relations nen seront que plus faciles. Soulève ta jupette Anne pour montrer à Paul ce quil na encore jamais vu.

Honteuse, jattrape le bas de ma jupe et du jupon et les relève jusquà ma taille. Paul dit :

— Pas de petite culotte ! Très bien ! Tu as un très joli minou Anne, il donne envie de le manger, tourne-toi sil te plait. Oh, tes fesses sont magnifiques, elles donnent envie de les caresser, de les prendre, je me souviens, tu étais toujours en pantalon mais tu avais le plus beau cul de la classe et peut-être même du lycée !

— Tu peux la caresser, dit Roger, elle aime ça !

— Et cerise sur le gâteau, porte-jarretelles, bas et seins nus sous le chemisier ! Tu es super bandante ! Il passe ses mains sur mes seins par léchancrure du chemisier, me chatouille les tétons, il me demande décarter les cuisses, caresse mon minou, me met un doigt, pétrit mes fesses, passe un doigt dans ma raie, sarrête sur ma rosette dans laquelle il linsère.

— Magnifique, elle est vraiment magnifique !

— Ravi quelle te plaise ! dit Roger, puis il ajoute :

— Anne, nous allons prendre lapéritif et tu vas nous servir dans le salon, tout est prêt, il te reste à remplir les verres.

Paul retire le doigt quil ma enfoncé dans le cul. Je leur demande ce quils veulent boire, whisky coca pour Paul, whisky pur pour Roger. Je maccroupis pour servir les verres, mais Roger me dit :

— Ah non, pas accroupie, tu gardes les jambes bien droites et bien écartées et tu te penches en avant pour servir, le but de cette tenue de soubrette cest que tu nous excites au maximum en nous montrant tes fesses, ta raie, ta rosette et ta fente dun côté, tes seins de lautre, cest pour cela que tu ne portes pas de culotte, ni de soutien-gorge. Tu profiteras de notre excitation par la suite lorsquon te prendra. Si nous sommes trop excités, nous te demanderons de nous faire une petite gâterie, voire un peu plus ! Tu bois quoi ma belle ?

— Je vais boire un jus dorange avec des glaçons.

— Très bien, sers nous et ajoute des glaçons. Bien sur positionnes-toi pour quon profite de la vue. Merci ma belle.

Ils sont tous les deux assis sur le grand fauteuil, devant la table basse, je me mets le plus près possible de la table dans la position que Roger ma dit, mes fesses ne sont pas très éloignées de leur visage, aussitôt, deux mains se posent sur mes jambes et remontent vers mes fesses et ma minette. Roger dit :

— Regarde Paul, on dirait un bijou dans son écrin, le couvercle est représenté par la jupette et le jupon, les côtés sont délimités par les jarretelles, le coussin est formé par les bas, et au centre le bijou que lon peut enfiler par lun ou lautre de ses chatons, eux-mêmes entourés de deux magnifiques globes bien fermes, la nature est bien faite tout de même ! Paul dit :

— Tu es un poète Roger, il est vrai que ce spectacle est vraiment magnifique ! Je ne men lasserais pas mais elle me fait terriblement bander, jen peux plus !

— Saute là si tu veux, mais pas par le cul, il faut la préparer dabord, ou demande lui de te faire une pipe, elle suce très bien.

— Je voudrais simplement la prendre par la chatte en levrette et tirer un coup, je peux ?

— Bien sur, mets-toi en position Anne, Paul a les couilles pleines, il a envie de se vider. Je me retourne, il a déjà sorti sa queue, beau morceau, pas comme celle de Roger bien sur, moins épaisse mais presquaussi longue ! Je magenouille et le prends en bouche, quelques aller-retour me font comprendre quil est prêt à exploser, je lui passe un préservatif et je me mets en position, mains posées sur la table basse, jupe et jupon retroussés, cul bien cambré, jambes écartées, Roger regarde en souriant et dit :

— Magnifique ! Paul place sa bite contre ma vulve et me pénètre lentement, je gémis un peu et me crispe pour lui montrer que jaime, il magrippe les hanches, termine sa pénétration et commence à me limer à grands coups de reins, je ne suis pas assez excitée pour jouir mais je remue bien mon cul pour quil se soulage rapidement, ce qui ne tarde pas, il jouit en poussant un long râle animal et se retire aussitôt, je me retourne, lembrasse sur les lèvres et lui dis :

— Merci Paul, cétait bon ! Il na pas mis 5 minutes pour décharger !

— Cest moi qui te remercie, excuses-moi dêtre venu si vite, javais tellement envie de toi !

— Envies refoulées depuis des années et qui réapparaissent ! dit Roger.

— Certainement, et je nen savais rien, mais après avoir vu ses charmes si joliment offerts, je nai pas pu me retenir ! Il retire le préservatif, le jette dans la poubelle et revient sasseoir, Roger me fait asseoir entre eux, sort sa bite et me dit :

— Ca ma bien excité de te voir prendre quelques coups de queue ma chérie, allez suce maintenant ! Je me penche sur lui, le prends en bouche, et commence une série de va-et-vient sur sa hampe qui durcit rapidement et prend sa taille habituelle. Pendant que je le pompe et que je lui caresse les boules, il discute avec Paul, ils parlent du lycée et de leurs collègues et jen apprends de bonnes ! Mais je ne dis rien, on ne parle pas la bouche pleine !

Roger ma attrapé un sein et me maltraite le mamelon, quant à Paul, il est entrain de me doigter la chatte. Roger demande à Paul :

— Tu nous ressers un verre Paul, sil te plait ? Anne et moi sommes occupés, ressers là également, merci. Elle suce vraiment bien, tu verras dans un moment ! Je ne vais pas tarder à lui inonder la gorge ! En effet quelques minutes plus tard je sens les sursauts annonciateurs de la montée du plaisir et il explose dans ma bouche. Lui aussi est super excité, je ne peux pas contenir tout son foutre, ça déborde. Jessuie le trop plein avec une serviette. Il membrasse et me dit :

— Tes vraiment une championne de la pipe ! Les deux hommes sont calmés, ils me caressent la chatte et les seins, lun deux me masturbe, sils continuent ils vont me donner envie ! Nous terminons nos verres, Roger dit à Paul :

— Tu veux te la faire une nouvelle fois avant le diner ?

— Non, après.

— Jai prévu un repas froid, style buffet, ainsi on pourra la prendre quand on en aura envie, si elle nest pas déjà en mains bien sur !

— Pourquoi ? On pourrait se la faire à deux aussi.

— Ah oui, cest une bonne idée !

— Avant de diner, nous allons commencer à lui préparer lanus, viens ma chérie, regarde cest un plug, il se glisse dans lanus, on peut le porter plusieurs heures tout en travaillant, en faisant les courses, en se promenant ou même au lycée ! A lextrémité il y a un socle qui reste à lextérieur de lanus et permet de le retirer facilement. Le socle est orné dune pierre imitant le diamant, cest un bijou pour ton magnifique petit cul. Je te loffre, tu pourras ainsi préparer ton anus le mercredi. Mets-toi à genoux sur le fauteuil et écarte bien tes fesses. Il me met un peu de lubrifiant en me massant la rondelle et en me plantant le doigt dans le cul pour quil pénètre bien, puis il minsère le plug qui rentre sans aucune difficulté. Il dit :

— Jaurais dû prendre la taille au-dessus, ton sphincter se dilate sans problème. Paul demande :

— Il fait quel diamètre ?

— 30 mm, jaurais dû prendre 40mm, mais cest plus lourd à porter. On verra plus tard, en attendant tu gardes celui-là, que tu mettras pour mes cours ! Rien que de savoir que tu las dans ton cul, ça sera super !

Pour te préparer à nos assauts, je vais tengoder. Il me montre le godemiché, cest un gros engin avec un aspect veineux rappelant un pénis au comble de lérection, avec des testicules à lextrémité et une ventouse qui permet de le fixer où lon veut. Il est de couleur chocolat, ça me rappelle des souvenirs. Paul demande :

— Il est gros celui-là, tu crois quil va rentrer ?

— Oui sans problème. Il ajoute du lubrifiant, dans mon anus et sur le gode puis il place lextrémité du gland sur ma rondelle et appui pour en forcer lentrée, il me dit :

— Aide-moi en poussant comme si tu étais constipée, et si je te fais mal dit-le ma chérie, nhésite pas. Je pousse, Roger aussi, je sens le gland sinsérer lentement dans mon anus, au début ça va, mon sphincter se détend et laisse passer lintrus mais tout à coup je ressens une douleur, je préviens Roger qui stoppe la progression du gode et me dit :

— Le gland est presque rentré, quand il sera passé, le reste rentrera tout seul.

En effet, Roger recommence à pousser et le gland passe, la hampe suit, je sens le gode me remplir, cest bon, le plaisir a pris le pas sur la douleur.

— Jai limpression que mon cul va exploser, mais cest très bon, continue ! Roger entame quelques allers-retours pour me détendre et je commence à apprécier cette nouvelle présence, Roger a compris, il augmente le rythme, je gémis de bonheur et atteins rapidement lorgasme.

— Cest pas comme une vraie bite mais cest bon quand même !

Roger maintient le gode planté entre mes fesses et dit :

— Paul, ouvre son chemisier quon voit ses seins et prend là en photo de profil, avec ce gode dans le cul et cette tenue de soubrette, elle est super bandante. Je dis :

— Non pas de photo, ça je veux pas !

— Tu nous ennuies, cest juste un souvenir, tu ne vas pas nous faire tout un foin pour une photo ! Puis il ajoute :

— Bon maintenant quil est rentré et que le passage est fait, tu vas le garder dans le cul pendant le repas, nous te servirons à manger pendant que tu thabitueras au volume. Pour Paul ça ira, pour moi il faudra te dilater un peu plus.

— Il est tout au fond là ?

— Oui tout au fond,

— Ca fait drôle davoir ce truc qui bouge pas, coincé dans mon cul, cest vraiment pas comme une bite ! Roger ajoute :

— Sil le faut jai un autre gode un peu moins long mais aussi gros et gonflable, son diamètre est extensible.

Ils me servent et nous mangeons en discutant. Le repas pris, Roger dit :

— Alors, voyons le résultat.

Je me libère du pieu qui me transperce, et me penche pour leur montrer mon entrée dilatée. Roger dit :

— Bien, un trou béant soffre à notre vue, je pense quon va pouvoir tenculer sans problème ma chérie, pour te donner un ordre didée, mets ton doigt dans ton cul ! Je le mets, effectivement, mon petit trou est nettement élargi !

— Ca va se refermer quand ?

— Dans un jour ou deux, dici là tauras pas de problème pour aller aux toilettes ! Il faut que je prenne une autre photo de ce gouffre qui va avaler nos bites ! Ne tinquiètes pas Anne, je tenverrai ces photos sur ton mail !

— Tu ménerves avec tes photos !

Paul et Roger se déshabillent, sortent leur bite et sassoient sur le fauteuil. Je magenouille entre eux, prend une bite dans chaque main et les suce tour à tour jusquà ce quils durcissent. Roger dit à Paul :

— Quand tu es prêt, tu la prends pendant quelle me suce !

— OK, cest bon pour moi, dit Paul. Il sagenouille derrière moi, pose son gland sur ma rosette bien dilatée et pénètre entre mes reins sans difficulté, je sens bien sa queue senfoncer en moi, cest bon, je la sens vibrer entre mes fesses, en même temps il attrape mon minou et chatouille mon clito. Je prends le dard de Roger en bouche, mais lorsque Paul commence à me pilonner, je ne peux plus le garder et je me contente de le masturber. Je gémis de plus en plus fort et lorsque jatteins lorgasme, je ne peux mempêcher de crier. Paul se retire sans avoir jouis et Roger le remplace aussitôt. Il me pénètre sans difficultés non plus, je comprends rapidement pourquoi, je sens sa queue grossir et sallonger pendant quil me lime, il ne bandait pas à fond lorsquil ma prise, cest une sensation très agréable et jatteins rapidement un nouvel orgasme, ce qui narrête pas Roger qui continue de me limer à la même cadence, mes orgasmes ne sarrêtent plus, mon ventre me fait mal à cause des contractions ininterrompues, mais cest vraiment bon, jaimerais que ça dure toujours. Je sens la verge de Roger grossir encore et quelques secondes plus tard il décharge sa sauce à grandes giclées dans mes entrailles en râlant comme une bête. Il reste en moi quelques minutes en membrassant dans le cou et triturant mes seins, le temps que sa bite dégonfle, il me dit :

— Ca a été pour toi ? Tu as bien pris ton pied ? Je te reprendrai comme ça, tu es bien serrée, cest très agréable.

— Oh oui cétait super, je tai bien senti décharger dans mon cul !

Paul nattend pas, il me remet la sienne aussitôt, dun seul coup de reins il est au fond et il entreprend un ramonage intensif du conduit, qui mamène quelques minutes plus tard un nouvel orgasme. Il continue à me pilonner jusquà ce quà son tour il explose. Jai toujours mal au ventre, mais mes amants mont bien faite jouir. Cest agréable davoir deux hommes ! Mais cest fatigant !

Roger me prend par le cou et dit :

— Cest bien ma chérie, tu nous as comblé ! Et il membrasse.

— Vous mavez comblé aussi tous les deux !

— On va laisser reposer nos outils pendant que Paul va nous servir un rafraîchissement et que tu vas aller passer une autre tenue ! Allez, viens ma déesse ! Il me prend par la taille et memmène dans la chambre. Il est nu, au repos sa verge pend entre ses jambes, il voit mon regard et me dit :

— Pas de souci, je te la remettrai tout à lheure, la nuit nest pas finie ! Il prend une poche et en sort une jupe courte écossaise, droite devant et plissée derrière, un chemisier blanc entièrement transparent, un porte-jarretelles en dentelle blanche et des bas blancs à couture. Il ajoute :

— Déshabille-toi, tu ne gardes que les chaussures. Il met les vêtements de soubrette dans un sac. Jenfile les bas, ajuste les jarretelles et y attache les bas, je passe le chemisier et la jupe, toujours pas de soutif ni de culotte ! Je naurai pas besoin de les retirer ! Il me regarde et dit :

— Parfaite, regarde comme tu es belle dans le miroir, tu vas encore nous faire bander ma chérie !

Le chemisier ne sers à rien, cest comme si jen avais pas, la jupe est très courte, comme lautre elle laisse voir les jarretelles et le haut des bas ; plissée derrière, elle fait bien ressortir la cambrure de mes reins. Je lui dis :

— Tu aimes bien mhabiller comme une pute !

— Cest une tenue sexy de jeune fille que tu portes. La tenue suivante, ça va être autre chose !

— Il y en a beaucoup de tenues ?

— Quatre mais jen garde une pour mercredi prochain, tout les deux ! Allez, viens montrer à Paul tes nouveaux vêtements ! Je rentre dans le salon, la télé est allumée, ils ont mis un film X, Paul me regarde et sourit :

— Tu es super sexy, relève ta jupe tu nas toujours pas de culotte, tu vas finir par tenrhumer ! dit-il en mattrapant un sein et en posant lautre main sur ma chatte. Roger dit :

— Ma petite Anne, tu tassois entre nous deux, de façon à ce que tes orifices soient parfaitement accessibles, on regarde le film en te tripotant pour se remettre en forme. Pendant ce temps, je vais tenfiler ce gros godemiché dans la chatte, il est gonflable et on pourra en agrandir le diamètre si besoin est, pendant que Paul te plantera un gode plus petit dans le cul, quon remplacera par la suite par un plus gros, afin que tu thabitues à te faire prendre simultanément des deux côtés.

— Et vous allez me prendre comme ça ? Tous les deux en même temps ?

— Oui, tu verras comme cest bon ! Vu la grosseur de mon sexe, je prendrai ton minou et Paul tenculera.

Roger menfile le gode gonflable dans le minou sans difficulté, Paul fait de même entre mes fesses, la présence de ces 2 objets mentraine quelques douleurs et des gémissements. Roger commence à gonfler le gros gode. Plus il le gonfle, plus je sens lenveloppe mécarter les chaires et plus je gémis. Quelques minutes plus tard la pression devient si forte que je lui demande darrêter le gonflage, je vois cet énorme engin entre mes cuisses et je mimagine le morceau qui a pénétré dans ma petite chatte, jai peur. Alors, chacun deux samuse à effectuer quelques allers-retours, mes gémissements sont de plus en plus forts, Roger dit :

— Ma parole, mais elle va jouir cette petite pute ! Taimes ça petite salope, être fourrée par les 2 trous !

— Non, jai mal, je dois mhabituer à ces 2 pieux qui me défoncent avant de jouer avec !

— Oui habitue-toi bien, pour taider on va ten mettre un plus gros dans le cul. Malgré mes protestations, ils me font mettre à 4 pattes, Paul retire le petit gode pour le remplacer par le gros, celui avec les testicules quils mont mis tout à lheure pour me préparer. Il lenduit de lubrifiant et lintroduit lentement dans mon petit conduit. Les 2 godes se touchent rapidement, jai mal, je recommence à gémir, Roger me demande comment ça va, je lui réponds que cest très douloureux, que je me sens totalement remplie et que jai limpression que mon ventre va exploser ! Il dit :

— On stoppe les allers-retours pour que ton ventre shabitue au volume.

Et quelques minutes après :

— Allez, je crois que cest bon, les passages doivent être faits, on va lui retirer les godes, mais avant une petite photo souvenir, avec les 2 godes bien enfoncés et la jupette retroussée sur le dos, ça va être super érotique ! On en fait une aussi une avec ma bite dans sa bouche, les trois orifices occupés ! Il rit et ajoute :

— Une aussi pour Paul puis je dégonfle le gode de ton minou.

— Oui, merci, faites vite toutes les photos que vous voulez et dégonflez ce monstrueux engin.

Après plusieurs photos, dont une avec les deux bites dans la bouche, enfin seulement les glands, le reste ne risquant pas de rentrer, ils me libèrent enfin. Je nai jamais vu ma chatte autant dilatée. Je leur dis que jai mal au ventre et au cul et que je veux me reposer un moment. Roger me demande décarter les cuisses et prend des photos de mes orifices dilatés, nimporte quoi pourvu quils me laissent un moment tranquille. Je demande :

— Quelle heure est-il ?

— Tinquiètes pas, on a tout le temps, il nest que 21h30.

— On a la nuit devant nous renchérit Roger. Ils parlent un moment de leurs amours et de leurs conquêtes, parfois au sein même du lycée, dautres profs ou des conseillères dorientation. Puis Paul me dit :

— Tu as un petit ami Anne ?

— Oui.

— Il est dans ta classe ?

— Non, à lIUT.

— Il sait ce que tu fais ce soir ?

— Non, bien sûr !

— Il naimerait pas ?

— Je ne crois pas, non !

— Tas déjà fait lamour avec lui ?

— Oui.

— Cétait bien ?

— Pas super, il a très peu dexpérience.

— Tu ne lui fais pas profiter de la tienne ?

— Je ne préfère pas, jai peur quil me prenne pour une pute et quil se demande qui ma appris tout ça, je préfère passer pour une jeune fille sage !

— Oui, je comprends. Roger dit :

— Bon, la jeune fille sage, ça va mieux ta chatte et ton cul ? On peut envisager une visite groupés ?

— Oui, mais faites attention, prenez-moi doucement, regarde : mes grandes lèvres sont toutes enflées. Roger donne les directives :

— On va prendre la jeune fille sage sur le lit conjugal, ce sera agréable avec les miroirs, on se verra mieux !

Arrivés dans la chambre aux miroirs, Roger sallonge sur le lit et sans plus attendre minvite à mempaler la chatte sur son dard, une fois sa queue bien au fond il me demande de mallonger sur lui tout en gardant sa bite au fond de ma chatte, puis Paul saccroupit et me pénètre lentement le cul, quelques petites douleurs, le souffle coupé sur le moment, lorsquil a passé le sphincter, du fait de lespace réduit par le proche voisinage de la bite à Roger, mais rien de comparable avec les godes. Bien sûr je sens bien les deux sexes qui me remplissent totalement le ventre, lun contre lautre, ils ne bougent pas et la situation commence à mexciter, je leur dis :

— Alors les mecs, vous jouez aux cartes ou vous me tirez ?

Paul se met en action, de très petits coups de reins, très vite jai le ventre et les reins en feu, cest vraiment bon, je sais déjà que je vais venir rapidement, je commence à gémir de plaisir et ça sentend de plus en plus, Roger se met également à donner des coups de reins et je comprends mieux lexpression "être prise en sandwich" chaque action dun partenaire est aussitôt amplifiée par laction de lautre ! Et avec deux sexes dans le ventre, le plaisir est multiplié. Cest une première pour moi, mais cest réellement super, jadore, je commence à jouir et à crier de plaisir. Ils ont compris quils pouvaient se lâcher et cest à grands coups de reins quils me prennent maintenant. Je crie ma jouissance et leur demande de ne pas arrêter, de continuer à me prendre comme des bêtes, de défoncer ma chatte et mon cul en feux, je ne suis plus quun sexe rempli de bites. Jai mal partout à force de jouir. Je crois que je vais défaillir. Ils continuent à me bourrer un bon moment pendant lequel jenchaîne orgasme sur orgasme, mais tout a une fin, ils sont si excités quils ne peuvent se retenir plus longtemps et presque en même temps, ils inondent mes entrailles de leurs puissantes giclées en râlant. Je comprends alors que Paul na pas, lui non plus, mis de préservatif ! Mais cest tellement bon que je ne peux pas lui en vouloir.

Mes amants restent un moment en moi, comme sils étaient collés, Roger profite de laccalmie pour faire quelques photos grâce aux miroirs. Puis Paul se retire de mes fesses, je me relève et ma chatte et mon cul se transforment en torrents de sperme. Ca dégouline sur mes cuisses, sur mes bas et sur le lit, il y en a partout ! Paul dit :

— Excuses-moi ma petite Anne, dans lexcitation je nai pas mis de préservatif.

— Aucune importance, et puis cétait bien plus agréable au naturel ! Roger dit :

— Cétait super, il y a vraiment longtemps que je navais pas jouis aussi fort, Anne, non seulement tu es belle mais en plus tu es une sacrée baiseuse, tu aimes vraiment ça. Sil sait samuser, ton mari sera un homme comblé ! Paul renchérit :

— Je crois que je nai jamais pris autant de plaisir que dans ton petit cul ma chère Anne, je naurais jamais pensé cela quand je bavais sur tes fesses en cours il y a quelques temps !

— Merci mes chéris, mais cest grâce à vous deux si on a pris un tel pied, moi non plus je navais jamais jouis aussi fort ! Je crois que je vais devenir accroc à la double pénétration, il me faudra deux maris pour me combler ! Roger dit :

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