Chapitre 9
Depuis cette punition Aurélie changea, elle fut pendant des jours silencieuse, pensive. Elle vint souvent le soir se blottir soit dans mes bras, soit elle mettait sa tête sur mon épaule, me prenait une main et on restait ainsi sans se parler je respectais le mutisme de maman. Elle ressentait encore des douleurs, elle devait, sans doute, se poser des tas de questions, mais ne disait rien. Je ne disais donc rien moi aussi, je la caressais tendrement, infiniment pendant tous ces longs silences. Cela dura environ trois semaines, puis maman refit surface, elle m’embrassait pour un oui, pour un non. Ce qui était certain, c’est que nous ne parlions plus de cette punition, silence total, comme si rien n’eut lieu. Mais à son comportement, je vis le changement d’attitude d’Aurélie envers moi, elle me regardait différemment, me demandait sans cesse et pour tout et n’importe quoi si cela me plaisait, si j’étais d’accord pour ceci et cela, si elle pouvait faire ceci ou cela… Elle avait, en fait, laissé son autorité parentale et sa haute distinction de femme assez despotique que je lui connaissais envers ma personne.
Elle s’était mise sous mon autorité, elle était soumise à moi. Je dois reconnaitre que cela établissait un nouvel ordre et m’effrayait légèrement, à savoir si j’étais apte et assez mature pour endosser ce personnage que mère mis sur pied par sa soumission. Je décidais de faire comme si de rien nétait et de continuer ma façon d’agir envers maman même si je faisais parfois semblant de jouer ce rôle de mâle. Pour un homme de jugement moyen restreint aux limites de notre société actuelle, quelque chose comme l’inceste lui semblerait extrêmement tabou et perverti, il ne réaliserait pas à quel point l’inceste pouvait être beau et naturel. Cela donna un lien encore plus incassable, une connexion plus profonde que n’importe quelle autre. À la fin, tout le monde finira au même endroit, peu importe le chemin emprunté. La relation entre ma mère et moi, la luxure et les fantasmes accomplis, nous a donné le bonheur sans fin. Nous continuons notre vie de couple, Aurélie et moi, quotidienneté, domesticités partagées, conversations et communications sur tout, gaité de vivre ensemble, câlins et plus en harmonie avec nos envies.
Deux mois passèrent, je sentais qu’Aurélie devenait apathique, cela ne me plaisait guère, je devais trouver quelque chose pour stimuler sa libido et lui redonner un tonus que l’on partage depuis le début de notre relation. Je voulais maman heureuse et enjouée. Pour cela, ayant vu sur le net, une exposition au Grand Palais à Paris qui pouvait nous intéresser, je proposais à Aurélie, d’aller la voir un WE. Nous prendrions une chambre pour le samedi, deux jours et une nuit dans la capitale, nous mettraient un peu de baume au cur et un changement à la routine qui nous envahissait. On en discuta, Aurélie et moi, et nous fûmes d’accord pour un WE à Paris.
On arriva en fin de matinée à Paris, nous passâmes à l’hôtel pour prendre possession de notre chambre et déposer nos bagages. Après qu’Aurélie se soit rafraichie et moi, me décontracter, nous décidâmes de partir à la recherche d’un restaurant pour déjeuner.
— Bébé, nous devrions plutôt prendre un déjeuner vite fait, ainsi nous irions tout de suite à l’exposition, qu’en penses-tu ?
— Tu as raison. Approchons-nous de l’expo cela sera mieux. Répondis-je
— Ok trésor, faisons ainsi, dit Aurélie
Arrivés devant la brasserie Lipp, à St Germain, pour prendre un taxi à la station, Aurélie me dit.
— Regarde, chéri, n’est-ce-pas Jack Nicholson qui entre chez Lipp ?
— Oui je crois, il doit sans doute aller y déjeuner.
Voyant Aurélie excitée de cette rencontre je fis la proposition suivante :
— Veux-tu que nous déjeunions nous aussi ici au milieu de la gentry parisienne ?
— Oui excellente idée mon bébé, cela nous changera de notre province, je suis d’accord, déjeunons ici me répond-elle enthousiaste.
Ce que nous fîmes, je plaçai maman de façon qu’elle puisse tout voir dans la salle. Elle fut émerveillée de reconnaitre des tas de gens connus.
Nous passâmes un excellent déjeuner, puis comme convenu nous allâmes voir l’exposition.
Le coupe-file nous fit gagner un temps certain que nous mîmes à profit pour rester plus longtemps à regarder les uvres.
Une fois sortis du musée, nous étions ravis d’avoir admiré les uvres exposées, maman et moi, nous étions légèrement fatigués mais heureux de notre déjeuner et de l’expo. On décida de rentrer, à l’hôtel, de se rafraichir et prendre un repos relaxant.
Ce que nous fîmes, on se câlina en toute délicatesse amoureuse sans y mettre une approche sexuelle in fine, seulement de la tendresse complice et tendrement amoureuse. Nous étions bien ainsi, une grande harmonie régnait dans la chambre.
Près de deux heures après Maman demanda ce que sera notre soirée. On choisit de diner tôt, puis d’aller voir une pièce de théâtre sur les boulevards, histoire de se distraire.
Une fois adopté, je téléphonai à la réception pour nous trouver deux places disponibles pour ce soir dans un théâtre des boulevards, ce qu’ils firent et nous avions deux choix, dont un que nous pensions impossible, le diner de cons au « variétés », même si nous n’étions pas bien placés nous choisîmes cette pièce.
Bien nous en a pris, magnifique, nous étions aux anges maman et moi, un chef d’uvre, nous avons ri à nous dilater la rate. Maman me dit nous devrions aller prendre un pot au café de Paris, pour nous remettre de ces fous rires. Aussitôt dit aussitôt fait, je pris un whisky, maman se contenta d’une marie brizzard sur glace.
Au milieu de tas de gens, on regarda la mode vestimentaire des Parisiens noctambules, on se gaussa parfois, bref au bout d’une heure on décida de faire un tour dans Paris centre, en voiture, avant de rentrer pour la nuit à l’hôtel.
En effet, nous avions pris notre véhicule pour nous rendre au théâtre, d’où l’idée de faire le tour du centre parisien, ainsi nous partîmes de l’opéra pour aller faire un tour au Louvre, en passant par les guichets, revenir rive gauche vers l’Assemblée Nationale, prendre le pont de la Concorde pour arriver place de la Concorde et remonter les champs jusqu’ à l’Arc de Triomphe, on en fit le tour, avenue Kléber et nous voilà au Trocadéro vison sublime de la tour Eiffel depuis la place du Trocadéro, ensuite on descendit aux pieds de la tour Eiffel et là, vision parfaite du Trocadéro. Paris mérite bien son nom de ville lumière. Nous étions enchantés.
Au lieu de repartir sur St-Germain, je pris le pont d’Iéna pour remonter vers l’Arc. Il mettait venue une idée en tête, sans doute le whisky, une fois de nouveau à l’Arc on en refit le tour, pour sortir avenue Foch et nous filions vers la porte Dauphine.
Peu avant, place Dauphine, je m’arrêtais sur l’avenue Foch. Eteignais mes lumières, me décontracter, j’entendis Aurélie me demander :
— Pourquoi t’arrêtes-tu ici ?
— Décontracte-toi, mon amour, laisse-toi aller, fais-moi confiance, tu vas aimer j’en suis sûr.
— Tu m’intrigues mon trésor, qu’as-tu encore imaginé ?
— Que du bonheur pour toi mon amour, tu verras…
Je me penchai vers elle lui donna un baiser d’amour, et lentement je lui caressais ses seins, je sortis ses mamelons du haut de sa robe, ils étaient déjà durs, les suçais avec douceur, je fis glisser une main entre ses cuisses pour atteindre son entrejambe, il était déjà humide, j’ôtais sa culotte avec son aide, elle se souleva pour que je puisse le faire, maman était lascive, je l’embrassai encore, puis je me remis en place sur mon siège, allumais le plafonnier de son côté. Inquiète Aurélie dit :
— Mais que fais-tu ? Tu es devenu fou, on pourrait nous voir.
— C’est le but Maman, on va venir t’admirer, ne crains rien, les portes sont bloquées, et n’ouvre pas ta vitre.
— Qui doit venir nous voir ? Je ne comprends pas… quelqu’un vient vers nous regarde, éteins la lumière s’il te plait !
Aurélie remonta son bustier pour cacher ses seins, l’homme arriva près de sa vitre se pencha pour mieux nous voir, Aurélie était épouvantée, je rabaissais d’un coup le haut de sa robe, les seins à l’air Aurélie stupéfiait resta inerte. L’homme trifouilla sa braguette, sortit son sexe et commença à se branler.
— Regarde ! il a sorti son sexe et il se masturbe, dit Aurélie
— Oui amour, ceux sont tes seins qui le captivent et il se branle
— Tu crois que je peux faire effet ainsi si vite bébé ?
— Ceux sont des voyeurs patentés, et s’ils trouvent un modèle à leurs gouts ils se font du bien répondis-je
— Mais comment sais-tu tout cela et connaissait l’endroit ?
— Sur le Net, on arrive à tout savoir tu sais, il suffit de chercher.
— Regarde un autre s’approche, tu n’as pas peur ?
— Non la voiture est fermée et les vitres sont levées.
— Mais il sort sa bite lui aussi c’est fou !
— Tu devrais leur en montrer plus, ils vont t’admirer mieux
— Tu crois mais que veux-tu que je fasse de plus ?
— Tes jambes, ton sexe, montre-toi ils vont s’exciter davantage sur toi.
Disant cela, elle releva sa robe, montra sa culotte en dentelle noire et écarta celle-ci pour découvrir son sexe.
Les deux hommes s’approchèrent encore plus pour voir le spectacle et se branlèrent plus vite.
— C’est excitant de les voir faire, tu es sûr que l’on ne risque rien, me demanda-t-elle ?
— Ne t’inquiète pas je fais le guet, amuse-toi avec eux mon amour, je surveille, répondis-je
Un troisième énergumène arriva, cela excita davantage Aurélie, qui du coup enleva sa robe et sa culotte, complètement nue, elle se montra lascive à souhait à ses admirateurs.
Deux autres vinrent s’ajouter pour voir Aurélie, alors complètement à son affaire elle abaissa son siège pour que tous puissent avoir une vision d’elle, elle se caressait les seins, les plaquait à la vitre, montra sa chatte ouverte, se masturba devant eux, fit semblant de les sucer, bref elle monta en excitation devant ces six queues bandantes devant son corps.
Je m’aventurais à toucher son sexe celui-ci était franchement humide par la cyprine d’Aurélie.
Cela devait durer depuis un quart d’heure quand j’entendis Aurélie me dire :
— Regarde trésor, un est en train de jouir, un autre aussi, ils jouissent sur ma vue amour, c’est extraordinaire s’exclama-t-elle
— Tu sais jolie comme tu es, cela est normal répondis je
— Autant de bites se branlant jamais je n’aurais imaginé cela amour, si on m’avait dit cela en pleine rue en plus, dit-elle en branlant sa chatte fougueusement.
Relevant les yeux je vis un véhicule de police venant en sens inverse, je dis à Aurélie
— On a de la mauvaise visite, on doit partir ne te relève pas je démarre lui dis-je
Ce que je fis rapidement, pour méloigner prestement, tous feux éteints, vers les maréchaux, arrivés vers porte Maillot pas de véhicule de la maréchaussée aux fesses je diminuais ma vitesse, soulagé.
Aurélie avait remis de l’ordre dans sa tenue ou absence de tenue
— Je peux relever mon siège ? dit-elle
— Oui on est seul, quelle aventure. Répondis-je
Aurélie ne releva rien et me disait de rentrer à l’hôtel de suite d’un ton impératif.
Ce que je fis, nous voilà rentrer.
Dès que nous fûmes dans la chambre, alors qu’Aurélie resta muette le temps du trajet.
Elle s’enleva presto sa robe, nue au-dessous, elle se mit à quatre pattes et me disait
— Baise- moi ! Baise-moi vite je n’en peux plus, je veux être possédée tu entends !
— Oui OK ! J’arrive un instant je me déshabille répondis-je
Connaissant Aurèlie, je savais que dans cet état, seule la fornication brute l’intéressait. Je me déshabillais vite fait et sans aucun préambule de voir son cul en face de moi, chatte ouverte, je me mis à bander illico. Je la pénétrer d’un coup franc et puissant, facile car maman mouillait abondement.
— Oui Bébé, défonce-moi. Oui ! Cest trop bon va bien au fond avec de bons coups tu sais faire dit-elle
Des gémissements commencèrent à poindre, de sa gorge, avec les onomatopées salaces de maman. Cela finit toujours par m’exciter énormément de voir Aurélie en cet état de transe sexuelle. Alors je redoublais de violents coups de butoir. En y allant moi aussi de mes mots outranciers qui excitaient Aurélie et je dois dire moi aussi.
— Tiens ma salope, prends, prends ma bite dans ta chatte, tu aimes salope aimée tu aimes, tiens, encore tiens prends tout, jusqu’aux couilles.
— Oui vas-y ! Tape-moi les fesses, salaud, fait du mal à mon cul, répondait-elle
Ce que je fis, ainsi que la torsion sans limite de ses tétons, le malaxage de ses mamelons sans égard aucun. Le cul rouge, elle finit par exploser dans un rugissement de lionne et là j’arrosais sa chatte de plusieurs jets de foutre. Je m’écrasais sur elle, elle-même s’étala sur le lit, on resta ainsi un moment pour récupérer.
On remua pour se séparer.
— Merci trésor, je t’aime, tu es formidable. Je sais que tu sais que je sais que tu sais. Me dit-elle
— Holà ! Cest compliqué tout cela émis-je
— Mais non, c’est simple, lorsque je suis dans cet état d’excitation extrême, tu sais très bien que ce n’est pas ton sexe que je recherche, mais simplement une bite pour me satisfaire dans un primaire accouplement bestial.
— Oui, c’est vrai, tu sais je finis par te connaitre mon amour et tout cela est merveilleux de te voir ainsi. Répondis-je
— Oui depuis que nous avons franchi la ligne de morale, je me sens libre, et tu as le don de me faire découvrir celle que je suis, une femme sexuelle, maso, aimante de toi, et cela n’est possible que parce que j’ai une confiance totale en toi, en ton amour, quand tu m’emmènes dans des fantasmes, des envies, j’y vais sans retenue. Tu sais pourquoi ? Parce que quand mon regard croise le tien, dans ces moments-là, je ne vois jamais de la surprise, de l’étonnement ou autre, non il n’y a dans ton regard que de l’amour pour moi. Cela me permet de vivre mes envies en toute franchise. Ton amour pour moi ne faiblit en rien et le mien non plus. Et nous le savons.
— Oui c’est tout à fait cela mon amour, c’est tout nous.
Aurélie vint se blottir sur mon épaule, nous restions silencieux puis caresses après caresses douces et câlines, nous nous sommes mis à faire l’amour comme deux amoureux, deux personnes qui n’en font qu’un et après une jouissance commune nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Chapitre 10
Ce soir-là, je demandais, à Aurélie, de mettre la robe noire en coton extensible, en disant que cela me ferait extrêmement plaisir. Je souhaitais que mon ami me jalouse un peu envoyant la jolie femme que tu étais…
— Pourquoi serait-il jaloux de toi, bébé, je suis ta mère ? Demanda Aurélie
— Parce que je ne te présenterais pas en tant que telle, mais en une amie de ma mère, elle-même absente à cause d’un séminaire à l’étranger. Répondis-je
— Mais pourquoi dire cela, Thomas, je ne comprends pas
— Parce que je ne veux pas devoir faire attention à tous mes gestes et paroles avec mon ami Bruno, et que nous serions tous plus décontractés ainsi, ni plus ni moins…
— Ouais, je ne suis pas très convaincue, mais bon si tu le veux ainsi pourquoi pas.
Aurélie enfila sa robe noire, je la regardais, elle était resplendissante dans ce fourreau en coton.
— Maman, tu es magnifique mais regarde, on voit les reliefs de ton soutien-gorge cela n’est pas très esthétique, tu ne trouves pas ?
— Oui ce n’est pas très joli, en effet, je ferais mieux de changer de robe.
— Ah non ! Tu es trop belle ainsi, je suggère que tu ôtes ton soutien-gorge, essaye donc pour voir.
— Tu crois, j’ai peur que mes seins tombent sans retenue.
— Mais non ! La robe est conçue pour un maintien de poitrine, faisons un essai, tu veux bien.
Aurélie s’exécuta et enleva son soutien-gorge, remit sa robe, se regarda dans le miroir, tourna sur elle-même puis dit
— Esthétiquement c’est mieux, c’est certain, mais regarde amour, j’ai peur que la robe glisse et que mes seins apparaissent.
— Mais non regarde je tire vers le bas rien ne vient, en revanche tu es très sexy ainsi, un régal pour les yeux.
— Ce n’est pas trop aguicheur pour ton ami, me demanda-t-elle, il risque d’être gêné.
— Non, je ne le crois pas, tu es ravissante ainsi et n’oublie pas tu es venue, croyant que j’étais seul pour passer une soirée ensemble car je dirais à mon ami que tu es ma maitresse et la personne qui m’a déniaisé ainsi on sera en complète vérité de ce point de vue-là.
— Est-ce nécessaire de lui dire cela, je ne te suis pas bien.
— Parce que je veux pouvoir te regarder avec mes yeux d’amour naturellement sans avoir à me cacher de mon ami, me sentir bien et libre pendant cette soirée. Mon ami retourne dans son pays et je ne le reverrai peut-être jamais, en tous les cas pas de sitôt.
— Oui, tu as sans doute raison mon bébé.
— Tu n’as pas une culotte plus légère, on en devine les contours ?
— Non, je ne vois pas quoi mettre d’autre sinon une gaine.
— Ne met rien alors !
— Mais je serai nue sous la robe trésor, cela va m’incommoder vis-à-vis de ton ami.
— On ne s’apercevra de rien ma chérie, puis de te savoir nue sous ta robe m’excite par avance mon amour.
— Tu es toujours aussi crapuleux.
Maman releva sa robe, enleva culotte puis remis sa robe en place.
— C’est mieux et on ne voit rien, tu es à croquer si mon ami n’allait pas tarder je te ferais des câlins chauds, dis-je
— J’ai l’impression d’être nue amour
— Mais non ! Regarde-toi dans la psyché
— Oui, effectivement on ne voit rien.
— Ta robe est trop sur les genoux, tu devrais la relever cela mettrait tes jolies jambes en valeur.
— Tu crois, dit-elle en remontant le tissu de la robe, comme cela.
— Encore un peu remonte là jusqu’à mi-cuisse.
— Ce n’est pas trop seyant ?
— Non ! Tu es splendide, admets-le
— Si je te plais ainsi mon bébé c’est l’essentiel, je me sens bien en définitive dans ce tissu c’est une seconde peau.
— Voilà, cela fait je vais m’arranger le visage et me coiffer me dit-elle et toi comment vas-tu t’habiller ?
— Simplement, un pantalon puis un pull léger ras du cou.
— Parfait, de toute manière quoi que tu endosses tu es toujours élégant mon amour.
— Je suis bien le fils de ma mère dis-je en souriant et en lui envoyant un baiser
— A tout de suite !
Bruno arriva à l’heure, Aurélie était déjà installée au salon dans le canapé. Je fis les présentations ;
— Claudine, une amie de maman et aussi la mienne, Bruno un ami
Une fois que tout le monde se salua je fis asseoir Bruno dans le fauteuil, face à Aurélie alias Claudine.
Le courant passa vite entre les deux, la conversation sur des généralités alla bon train, je m’éclipsais pour servir les amuse-gueules puis demandais ce qu’ils désiraient comme apéritif.
— Un martini avec un zeste de citron, choisissait Aurélie comme d’habitude
— Un whisky sur glaçon prit Bruno
Pour ma part ce fut un americano, je mis du gin dans le martini d’Aurélie pour corser la chose, un Chivas pour Bruno et moi mon cocktail.
Nous trinquions en chur, durant la conversation je glissai insidieusement que Claudine était présente ce soir car sachant que Maman serait absente, elle pensa que j’étais seul et voulut venir me tenir compagnie, j’interrogeais Bruno si cela l’importunait, la réponse, bien sûr, fut non étant donné le tact de mon ami, je m’empressais de dire que Claudine, alias Aurélie, était une grande amie intime, vu que cette chère Claudine fut mon initiatrice en ce qui concerne les pratiques dites sexuelles.
— Thomas ! Cest gênant de dire ces choses-là, devant moi, à ton ami, ceux sont des faits intimes, dit Aurélie
— Je dis cela car si par envie il me prenait de mettre mon bras autour de ton cou, Bruno ne comprendrait pas mon attitude. Répondis-je
— N’empêche dit Aurélie
Là-dessus Bruno relança la conversation sur un autre sujet, je m’éclipsais de nouveau pour préparer les mets avant de passer à table. Je laissais seuls les deux autres convives. La mise en place prit peu de temps, j’avais commandé le repas chez un excellent traiteur. Je revins au salon pour dire qu’il était le moment de passer à table.
Le repas se passa fort bien, nous avions bien mangé et bien bu, mélange de vin blanc en entrées, puis rouge pour la fin des agapes, champagne au dessert.
Une fois le repas fini nous retournions au salon pour qui voulait un café, tous en fait. Je fis le service, puis vint m’asseoir sur le canapé près d’Aurélie, alias Claudine. Je pris alors un malin plaisir à pincer le téton gauche, d’Aurélie, libre sous sa robe merveilleuse.
— Je ne sais pas pour vous deux mais pour ma part j’ai bien mangé, bien bu, je me sens bien et d’humeur joyeuse, dis-je
Les deux autres convives étaient d’accord avec moi.
Le téton d’Aurèlie se mit immanquablement à durcir et pointer à travers sa robe, ce qui ne pouvait échapper à Bruno, assis en face de nous. Il ne quittait plus du regard la poitrine d’Aurélie. Lorsqu’il vu que je le regardais, de le voir rougir m’incita à embrasser Aurélie, j’écartais ses lèvres, surprise Aurélie n’opposa pas de résistance à ce baiser langoureux.
Je sentais la douceur de ses lèvres contre les miennes, la chaleur de sa langue me rendant mon baiser, je continuais à malaxer son sein.
Bruno ne savait pas très bien comment agir et réagir, je sentis Aurélie gênée.
Bruno se le leva et dit « Bien il est tard, je vais vous laisser ». Je pensais que ma surprise, mise au point dans mon esprit seul partait en vrille. Je devais prendre la main, coute que coute, me levant à mon tour et remarquant le renflement au niveau de sa braguette de Bruno, je lançais :
— Ce serait dommage, mon cher Bruno, de ne pas profiter de ce moment de bien-être et de nous quitter aussi précipitamment, reste donc avec nous et profite de ce moment, dis-je désespéré de voir ma surprise tomber à l’eau.
Bruno resta debout, je regardais vers Aurélie, là je vis son regard lubrique qui restait fixe sur la bosse du pantalon de Bruno. Je décidais de jouer mon va-tout, je passais derrière Aurélie, me mit à malaxer ses deux seins, Aurélie ne broncha pas, les tétons durcirent aussitôt, alors je pris le haut de sa robe et la tira vers le bas afin de mettre sa jolie poitrine à jour et à la vue de Bruno. Je palpais les seins durcis avec exaltation.
— Thomas, que fais-tu donc tu mets mal à l’aise Bruno, tu devrais cesser cette débauche lascive, dit-elle en ne cessant de regarder cette bosse qui gonflait toujours.
Bruno ne bougeait toujours pas, hypnotisé par la poitrine d’Aurélie, je refis le tour m’approcha de Bruno, une main dans son dos je le forçais à s’approcher du canapé, il était maintenant à cinquante centimètres d’Aurélie, je me rassis, me penchait et léchais le téton droit en passant une main sur sa cuisse ce qui fit remonter sa robe. Aurélie se trémoussa, m’éloigna de son sein en disant :
— Chérie arrête ! Bruno n’est pas à l’aise, tu vois bien.
Je repris mon léchage du téton droit, au lieu de m’arrêter, Aurélie poussa un petit gémissement. Devant ce spectacle, Bruno s’approcha, ne sachant pas trop quoi faire, il se mit à genoux se pencha et lécha l’autre sein d’Aurélie. Un nouveau gémissement d’Aurélie qui se mit à mettre ses mains sur notre nuque ce qui indiqua qu’elle succombait à nos désirs.
— Mon Dieu ! Que faites-vous ? Vous me mettez dans un état second, vous abusez de mon enivrement pour me transporter vers des désirs inavouables. Vous êtes deux chenapans admirables, dit-elle en gémissant légèrement.
Pendant ce temps, je remontais ma main vers l’entrecuisse dAurélie, ce qui me permit de sentir sa chatte humide et gonflée de désir. J’introduisis deux doigts dans son con poisseux d’excitation. C’est alors qu’elle se mit à caresser nos sexes durcis à travers nos pantalons, tout en écartant plus largement les cuisses.
Je retirais mes doigts de son sexe très humide, me penchais vers son oreille et murmurais d’un ton suave :
— Mon amour sort sa queue et suce-le tu en meurs d’envie lui dis-je.
Aussitôt, Aurélie dans un état second fit descendre la braguette de Bruno et extirpait son membre raide de son caleçon.
— Holà ! Vous êtes bien monté mon bel ami dit-elle
Son regard resta fixé sur ce membre bien long, bien large, tout ce qu’elle adore. Elle le prit en bouche, je m’étais un peu reculé pour mieux admirer ce spectacle. Aurélie me regarda tout en le suçant, je la regardais et lui fit un sourire complice, elle ferma les yeux pour agréer cette complicité entre elle et moi. Elle avait du mal à le gober tellement il était large, elle y arriva, le goba en entier, ce fut un spectacle délicieux à voir. Je sortis ma bite bandante et me caressais devant elle, elle regarda mes yeux et me fit comprendre qu’elle appréciait de voir me masturber, elle fit aller et venir sa langue sur la hampe de Bruno sans me quitter du regard, le regoba, la chose l’excitait follement, sucer et me voir la regarder faire.
Je revins proche d’eux et je présentais ma queue à Aurélie, elle m’avala à mon tour et branla Bruno. Elle passa de l’un à l’autre, ce jeu dura au moins pendant cinq minutes puis je dis à Bruno de lui lécher sa chatte, elle adore cela. Bruno ne se fit pas prier, il s’agenouilla et enfonça sa langue entre ses lèvres ouvertes et commença à lui bouffer consciencieusement sa chatte. Je continuais pour ma part à lui caresser les seins, je l’embrassais intensément aussi.
Je descendis ma main doucement sur son ventre puis sur son pubis, avec mes doigts je voulais sentir l’état de son clito, il bandait bien. J’effleurais la langue de Bruno léchant ses lèvres charnues et gonflées de plaisir. Je mis deux doigts dans son vagin, Bruno continua de lécher ses lèvres, me lécha les doigts en même temps, je sentis que cela excita encore davantage Aurélie, elle dégoulina plus abondamment.
Bruno se révélait un virtuose du sexe.
Je trouvais le point « g » d’Aurélie avec mes doigts je le cerclais avec force et tendresse, Bruno mordillait le clito d’Aurélie. Je sentais les contractions du ventre de ma mère. Elle prit les mains de Bruno, les portaient sur ses seins en les comprimant dessus, il comprit qu’il devait les triturer sans douceur ce qui amena les gémissements stridents d’Aurélie. Aurélie accentua torsions, contractions, tensions corporelles à mesure de l’ampleur de sa jouissance.
A la fin de son orgasme, nous cessâmes nos activités sur son corps détendu et relâché après le bonheur éprouvé.
Il y eut un moment de silence et de décontraction de tous.
Ainsi qu’un moment de solitude surtout de la part de Bruno qui venait simplement de réaliser ce que nous avions accompli.
Je me mis à parler pour détendre l’ambiance.
— Alors Bruno, ne trouves-tu pas que Claudine est encore plus splendide lorsqu’elle est en extase ?
— Oui c’est certain répond-il si on m’avait dit que notre soirée allait de terminer ainsi, jamais je ne l’aurais cru. Je suis aux anges et merci de me prodiguer ce bonheur avec ce partage en totale confiance et complicité.
Je regardais Bruno lorsqu’il parlait et je vis son visage encore humide du dégoulinage de la chatte de Aurélie et de sa salive, Aurélie le regardait aussi, et tout à coup elle se leva, alla subitement se jeter à son cou, une pulsion sans doute à la vision de sa bouche encore humide, l’embrassa et finit par lui donner un baiser enflammé.
Bruno fut surpris mais je vis qu’il rendit le baiser sulfureux à Aurélie.
Mère était de nouveau en transe devant Bruno, elle finit d’enlever ses vêtements, commença par sa chemise, elle lécha les tétons, les triturais, les massais, sa main descendit sur son ventre pour défaire la ceinture de son pantalon, il tomba à ses pieds avec son caleçon, sa main arriva à sa bite qui bandait encore, elle la caressa avec sa main en lui léchant son nombril.
Mère était sublime dans sa lubricité exacerbée, je l’admirais et regarde le spectacle offert à mes yeux, maman en transe amoureuse, sublime !
Bruno avait mis ses mains sur la tête d’aurélie, il devait avoir envie de se faire sucer, Aurélie comprit le message vu le gland de celui-ci bandant et monstrueux à souhait pour le gout de maman elle le reprit en bouche avec délectation cela se voyait parfaitement.
Pour ne pas être en reste, je finis de me déshabiller, je bandais, par la vision de maman, sans doute, à l’uvre sur la queue de Bruno, instinctivement je me mis à me caresser ma bite. Aurélie me regardait à ce moment-là, je vis ses yeux sourire, lui fit un sourire vicieux à mon tour, cela lui donna un tonus supplémentaire pour son suçage de queue. Bruno avait sa tête en arrière les yeux clos il appréciait son pompage.
Je m’agenouillais derrière aurélie, elle-même aux pieds de Bruno, je mis ma main sur ses fesses, puis un doigt dans sa raie culière, m’arrêtais à l’anus en fis le tour, le contour délicatement puis descendis vers ses lèvres intimes et là avec deux doigts je vins branler sa chatte, triturer son clito, mes doigts entrèrent dans son vagin gluant de cyprine. Avec ma main et mes deux doigts en elle je tirais le derrière vers le haut pour faire comprendre à maman qu’elle se mette en position de « quatre pattes » ce qu’elle fit. Ce qui me permit de sortir mes deux doigts de son vagin pour le remplacer par mon gland, la branlant avec celui-ci. Sa moule engluée de sa dernière jouissance et de sa mouille nouvelle j’entrais dans son sexe facilement, je la pénétrais jusqu’aux couilles, je remuais doucement.
Voilà ! Maman était prise par moi, et suçait Bruno. Je fus fier de moi à cet instant. Je réalisais un fantasme de mère, en effet elle avait deux bites simultanément en elle, pour l’instant bouche et vagin. J’étais certain que cela évoluerait vu la transe folle de maman. Elle remua du cul pour me faire comprendre son excitation et sa satisfaction, j’activais mon mouvement de va-et-vient. Elle activa la pipe sur Bruno.
Je me retirais de sa chatte et dit à Aurélie :
— Arrête de le sucer, assis toi sur le canapé et toi Bruno il serait temps que tu la pénètre, je pense qu’elle n’aspire qu’à cela
Elle se retourna pour s’asseoir, on pouvait voir sa chatte suant de mouille, ses lèvres gonflées d’avoir sucé Bruno.
Celui-ci ne se le fit pas dire deux fois, il attrapa ses jambes, l’attira au bord du canapé, écarta ses cuisses. Il lui branla sa chatte avec son gland le lubrifiant ainsi. Puis il appuya plusieurs fois sur le trou et finit par commencer à pénétrer Aurélie.
J’eus l’impression de la voir s’écarteler, magnifique.
Il entra millimètre par millimètre, Aurèlie gémissait lentement
— Continue, continue, n’aie pas peur je mouille fort, mets-le-moi en entier, baise ma chatte de ta queue énorme, oui vas-y !!! Gémissait-elle
— Oh thomas, il m’emplit je suis bourré à bloc, c’est bon mon bébé, c’est merveilleux ! me dit-elle en s’adressant à moi
— Alors profite, ma douce amie, savoure. C’est impressionnant de te voir écarteler ainsi, ma salope tu es merveilleuse à voir lui dis-je
— J’ai l’impression d’être dans un étui bien huilé dit Bruno
Il commença ses va-et-vient dans sa chatte lentement puis plus rapidement. Il se mit à sortir son gland pour le remettre. Maintenant que le passage fut fait cela alla plus vite, Aurélie gémissait à chaque coup de boutoir. Elle prit ses fesses en mains et le tira vers elle, elle la voulait bien à fond sa queue ma douce mère.
J’arrêtais Bruno dans son pilonnage pour lui demander de s’asseoir dans le canapé, celui-ci étonner certes mais s’exécuta. Aurélie pantoise et déconcertée, sans doute, par le vide crée par l’absence de la bite de Bruno.
— Ma douce assieds-toi à califourchon et empale-toi sur sa queue que je puisse voir tes jolies fesses dis-je à Aurélie.
Elle s’exécuta rapidement, elle devait avoir envie de sentir à nouveau la queue de Bruno dans sa chatte. Elle reprit elle-même les allers-retours sur la queue de Bruno.
Celle-ci devint luisante tellement elle dégoulinait de cyprine par cet empalement, les gémissements enflés à chaque soubresaut.
Elle roulait des pelles à Bruno, sans arrêt copieusement. Je m’éclipsais rapidement puis revint avec ma boite de vaseline. Je m’engluais les mains copieusement de vaseline, m’en mis sur ma bite bandante avec grande quantité.
Puis avec mes doigts bien visqueux je m’aventurais dans sa raie du cul, arrêt sur l’anus, mis un doigt dans son cul, quelques aller-retour, Aurélie remua son cul pendant que je l’enculais avec mon doigt, puis j’en mis deux, les tourna dans son cul en appuyant sur la queue de Bruno. C’était déroutant et fascinant.
Je retirais mes doigts et l’enculât avec ma bite d’un coup et d’un seul.
Aurélie se cabra, poussait un petit cri de douleur, je restais ainsi sans bouger, Bruno aussi, il dut être surpris de sentir ma queue sur sa bite.
Etant le plus à l’aise des deux, j’activais mes va-et-vient, je sortais parfois ma bite pour la remettre illico. Aurélie commença à gémir à chaque coup de boutoir dans son cul, Bruno remuait comme il pouvait dans sa chatte. Aurélie devait éprouver un besoin de se sentir bien enculée, bien défoncée de ce côté-là.
Car elle me criait dans un état de commencement d’extase :
— Plus vite, plus vite, oui défonce-moi, éclate mon cul, oui, encore, c’est bon amour, je n’ai jamais connu un truc pareil, oui défonce-moi mon cul, oui amour je sens tes couilles qui viennent battre mes fesses.
— Oui ma salope je t’encule, oui tu te fais baisée, enculée à souhait comme tu aimes… dis-je à mon tour.
— Oui, j’ai enfin deux bites en moi, depuis que j’en rêvais. J’ai tellement fantasmé d’avoir une queue dans la chatte et un autre dans le cul en même temps. Dit-elle en murmurant.
Aurélie remua tellement que je sentis que Bruno jouissait dans sa chatte, elle se mit à râler comme une dératée criant toutes sortes d’onomatopées et des oui je jouis je jouis !!!!
Entendant jouir Aurélie ainsi j’activais mes aller/retour dans son cul pour éjaculer dans son anus, mes jets de sperme dans ses entrailles. Elle se mit à hurler
— Je jouis du cul, je jouis du cul ! Et un sanglot de bonheur vint du fond de sa gorge
Elle s’affala sur Bruno, épuisée, morte de jouissance éclatée de toute part. Je sortis de son cul, alla m’asseoir sur le canapé.
Un instant après, Aurélie se désarçonna de Bruno pour s’asseoir entre nous deux.
On reprenait nos esprits en nous donnant des regards et des sourires entendus et satisfaits.
Dégoulinante de toutes parts, Aurélie se leva une main sur la chatte et l’autre obstruant son anus afin de retenir le sperme. Elle fila dans la salle de bains pour se laver.
Bruno commença à se rhabiller après s’être rafraichi sous ma douche, il me fit ses adieux en même temps, me remerciant pour cette mémorable soirée d’adieu, il me chargea de dire à « Claudine » ses meilleurs souvenirs, le ravissement de sa connaissance de la remercier pour cette soirée inoubliable, de l’embrasser affectueusement en gardant l’espoir de se revoir tous et promis de nous faire signe s’il retournait en France. Je l’embrassai, le raccompagnait. Nous n’aimions pas les séquences d’adieu, on se quitta ainsi le plus rapidement possible sans trop s’épancher.
Une fois Bruno parti, je rejoignis, sourire aux lèvres, Aurélie dans sa salle de bains, elle était sous le bec verseur de la douche se rafraichissant.
— Et Bruno que fait-il ? me demanda-t-elle
— Il a préféré partir tout de suite, il n’aime pas les adieux. Il te salue et te fait part de toute sa reconnaissance éternelle pour le don de cette douce soirée voluptueuse. Répondis-je
— Pourquoi ce sourire ravi et content de soi me questionna-t-elle
— Parce que tout a parfaitement été et ma surprise pour toi fut des plus réussies, ce n’était pas gagné d’avance crois-moi.
Je l’ai pris dans mes bras et nous laissions couler l’eau sur nous. Je l’embrassais et la caressait de toute part de façon délicate et voluptueuse. Un vrai câlin d’amour.
Aurélie semblait heureuse et sereine dans mes bras. Elle me fit part du bonheur vécu lors de la soirée et me remercia de lui avoir permis de connaitre sa double pénétration avec deux vraies bites dont une des plus majestueuses.
— Cela est dû au hasard mon amour, nous ne pouvions deviner mais le hasard fit bien les choses dis-je en lui caressant les fesses encore sous l’enchantement de sa double enfilade.
Je passai ma main dans la raie de son cul, mit un puis deux doigts dans son anus, je fis quelques va et vient puis les ressortis pour aller dans sa chatte faire de même.
— Je dois dire que tu m’as bien aidé pour réussir ma surprise, mon amour dis-je
— Je me demandai pourquoi tu me présentais sous le nom de Claudine, je m’attendais à quelque chose certes, mais pas à cela, en vérité. Tu as le don mon amour de me faire vivre tous mes fantasmes sexuels et je te suis dans tes idées car je sais que je peux avoir une totale confiance en toi donc je les vis intensément en toute liberté, car ton amour pour moi ne varie pas, tu m’aimes quoiqu’il puisse se passer. Je t’aime aussi mon amour.
— Ce que je veux, c’est que tu sois toi et que tu sois heureuse avec moi pour toujours mon amour, je suis tien et tu es mienne dans un immense amour partagé. Cela me comble de bonheur tu ne peux pas savoir.
Elle m’embrassa amoureusement, nous nous séchâmes puis nous alliâmes au lit pour une nuitée réparatrice de nos jouissances.
Une fois au lit nous discutions de notre soirée de ce qui lui avait plu, ce dont j’ai adoré aussi, puis j’entendis Aurélie me dire :
— Dis-moi, mon amour, tu as une idée de la date où tu reverras Bruno.
— Non, aucune, pourquoi cette question, ma chérie, tu as envie de le revoir.
— Pas spécialement, mon trésor, mais j’ai comme un regret…
— Ah oui ! Lequel ? Si je peux savoir
— Bien sûr ! Que tu peux avoir connaissance, tu es intéressé au premier chef, mon bébé.
— Dis-moi alors…
— J’eusse aimé qu’il me sodomisât, voilà ! Pour que tu puisses voir mon anus éclaté par son énorme sexe. Et j’en aurai joui surement… Cela t’aurait plu mon trésor de voir ta salope de mère se faire pourfendre le cul.
— Je n’en sais rien, sans doute, c’est dommage, tu aurais dû lui dire d’attendre quand tu es partie sous la douche.
— Ce n’est que partie remise et ce n’est pas primordial, notre priorité demeure Marie-Paule, l’échéance de son arrivée approche
— Bonne nuit mon trésor, je t’aime
— Moi aussi je t’aime fort mon amour
Et on s’endormit ainsi heureux et comblés de bonheur…
Le lendemain matin alors que je faisais le petit déjeuner pendant qu’Aurélie prenait sa douche, l’interphone crépita, je me demandais qui cela pouvait bien être à cette heure-ci.
J’allai décrocher pour savoir et surprise je reconnus la voix de Bruno,
— Oui Bruno, mais que fais-tu là ? Je croyais que tu partais ce matin.
— Ouvre-moi ! je te raconterai me répondit-il
— Ok. Et j’obtempérais
Quelques minutes plus tard voici Bruno, tout sourire, devant la porte de la maison.
— Bonjour comment vas-tu ce matin ?
— Bien lui dis-je en l’embrassant, et toi que fais- tu là je te croyais sur le départ ?
— Pour tout te dire, je n’ai pas cessé de penser que je me suis conduit comme un goujat, en ne saluant pas Claudine. Alors j’ai pensé qu’elle serait encore avec toi ce matin. J’ai reporté mon départ, au prochain vol, et me voici dans l’espoir qu’elle soit encore avec toi. Maintenant tu sais tout.
— Effectivement Claudine est encore là, elle est sous la douche. Content de te revoir, tu as déjeuné ?
— Un café j’ai pris dit-il
— Bien tu vas prendre ton petit déjeuner avec nous alors, ainsi tu diras tes repentances à Claudine. On parla de toi hier nuit, surtout Claudine. En bien et Claudine a émis quelques regrets. Mais bon vous discuterez de cela au petit déjeuner. Mets-toi à l’aise et assied-toi je vais voir où elle en est.
Je me rendis dans la salle de bains pour voir Aurélie, elle sortait de sa douche.
— Mon amour, les dieux de l’amour sont avec toi.
— Pourquoi dis-tu cela bébé
— Parce que devine qui vient de sonner et qui t’attends au salon ?
— Arrête avec tes devinettes, tu m’intrigues…
— Bruno est là !
— Non ! Mais je croyais qu’il devait partir
— Oui mais comme il regrettait de pas te saluer il est revenu ce matin pour.
— Tu ne me fais pas une farce trésor là
— Non il va prendre le petit dej avec nous. On t’attend
— Simple je mets un peignoir de bain et j’arrive. Ca alors quelle surprise !
Aurélie derrière mes pas, nue sous son peignoir, sourire aux lèvres et déjà ce regard que je connaissais bien, démontrait son désir monter en puissance.
— Bonjour Bruno, Thomas m’a raconté, c’est gentil d’avoir retardé ton départ pour me saluer. J’apprécie énormément ton geste.
— Merci Claudine, bien dormi ? Oui en effet cela me mettait mal à l’aise de ne pas t’avoir saluée.
Ils s’embrassèrent, Aurélie appréciât la présence de Bruno, cela se voyait à la brillance de son regard. J’en connaissais la raison…
— Bien si on attaquait notre petit déjeuner cela nous donnerait des forces pour la journée, dis-je
On se mit à table, on dévora notre petit déjeuner. Aurélie laissa s’entrouvrir son peignoir, ainsi Bruno et moi nous avions une vue plongeante sur ces seins merveilleux, d’ailleurs Bruno ne les quittait point des yeux.
Aurélie s’étira en arrière sur sa chaise cela permit à son peignoir de partir sur les côtés, nous avions ainsi ses seins en pleine représentation.
— Mon Bruno chéri, je dois avouer que nous parlions de toi peu avant de nous endormir et je lui faisais part de mon regret que tu sois partir aussi vite. Alors que tu sois revenu pour moi me comble de joie et de bonheur dit-elle à Bruno
— Je te l’accorde aussi j’ai essayé de réparer ma grossière erreur répondit Bruno
Pour aider Aurélie, je me mêlais à la conversation en avançant ses paroles :
— Tu sais, Bruno les regrets de Claudine ne furent pas sur ton manque de salutations. Non, ils portaient sur une autre nature, dis-je
— Ah et quels étaient-ils ? Me questionna Bruno ?
— Claudine te le dira mieux que moi, n’est-ce pas Claudine ?
— Oui et je ne vais pas y aller par quatre chemins. En effet j’ai émis des regrets car j’eusse aimé qu’avant de nous quitter tu me sodomisasses, ressentir mon anus dilaté par ton sexe, hors norme, m’aurait enchanté. Voilà c’est dit, déclara-t-elle à Bruno.
— Eh bien écoute Claudine, j’ai un peu de temps devant moi et si tu le veux toujours tu me vois dispo pour te satisfaire, à mon grand