Je prépare le café, il est presque midi, il fait un temps splendide, je nous installe au bord de la piscine, après ma douche, nue, jai enfilé volontairement, un ancien débardeur de sport de Pierre, immense pour moi, de taille xxl , dans lequel je suis tellement à laise pour trainer à la maison. Il marrive en haut des cuisses, quand je massois, très indiscret, il remonte au niveau de ma chatte, et par les larges emmanchures, ma poitrine se ballade en totale liberté, parfois un de mes seins épris de vagabondage, pointe le bout dun téton en dehors des ouvertures. Je sais que je suis totalement indécente, mais je men fous. Antoine pourra me mater à sa guise, en toute tranquillité, et rien que dy penser, jen ai déjà des frissons à lintérieur du vagin.
— Salut mman
— Bonjour chéri ! ça y est . tu émerges ! jespère que tu as bien dormi « lui dis-je avec un sourire coquin »
— Oui ! mais jai fait un rêve érotique me dit-il en se marrant.
— Alors ! on a dû faire le même. !
Il vient vers moi, me soulève par la taille, et pose un baiser sur mes lèvres. Son geste relève automatiquement mon maillot trop large, jai aussitôt minette et fesses à lair. En me reposant, il maintient quelques instant mon maigre vêtement relevé, à hauteur de mes hanches, il me regarde la chatte avec un sourire coquin. Humm.. ! jadore son regard sur la fourche de mes jambes.
— Très chouette ta petite tenue matinale maman jadore ! tu sais que si tu te penches en avant je vais tout voire !
— Il me semble que je nai plus beaucoup de secrets pour toi mon Amour ! Bon on arrête, et on redevient sérieux chéri.
— Tu dis ça, mais tu me fais voire la moitié de tes nichons ! comment veux tu que je sois sérieux.
Je suis heureuse, je redoutais tellement le moment ou nous nous retrouverions, peur de la gène, un peu de honte aussi, peur que nous soyons un peu figés, gauches et crispés, après une nuit quil faut bien qualifier dincestueuse. Non rien de tout ça, mon Antoine est hyper décontracté, joyeux. Je suis soulagée, il ne men faut pas plus pour que ma tête se remette à gamberger. Jaimerai tout lui donner, je désire le combler, et les convenances encore une fois on sen fout, jai confiance en lui, je sais quil gardera notre secret.
— Bon ! tu termines ton petit déje, et moi je mets quelque chose de plus décent, et je vais acheter de quoi déjeuner à allez 15 heures, on se la fait à lespagnole ! si tu tennuies tu peux toujours passer un coup de tondeuse, ça marrangerai, puisque que Monsieur est maintenant le Maitre en ce lieu, et Maitre de sa toute nouvelle esclave sexuelle !!!il y a aussi quelques contraintes à devenir propriétaire de sa mère.. !
Notre déjeuner se termine, délicieux magrets au barbecue, petite poêlée de ceps et de morilles, et deux bouteilles de Bandol rosé. Nous avons beaucoup discuté, de ses études, de ses copains, et un peu de Sarah la lâcheuse, de son père et de sa jeunette, enfin un peu de tout dans une ambiance complice, propice aux confidences. Javais remis mon débardeur pour voyeur en rentrant des courses, Antoine profite très allégrement de mes seins, qui apparaissent et disparaissent aussitôt, je crois quil apprécie particulièrement ce petit jeu de colin-maillard coquin.
— Maman je vais te dire, quand jai eu envie de toi pour la première fois !
— Quest ce que tu me dis, chéri . pourquoi me dis tu ça ?
— Tu sais ! je sais depuis plusieurs années que Papa et toi vous étiez un couple . heu comment dirais-je un peu libre ! ce nétait un secret pour personne, et je voudrai te dire aujourdhui que je nen ai jamais souffert, bien au contraire, vous vous entendiez vachement bien, je nai manqué de rien, jai eu une enfance merveilleuse.
— Je te remercie chéri, tu lèves des doutes que nous pourrions avoir ton père et moi, sur ton éducation, et sur le jugement que tu peux porter sur nous . Mais que veux tu dire par « envie de toi pour le première fois » tu veux dire envie de me baiser ?
— Oui maman ! je texplique, voilà, ça na plus dimportance maintenant. Cétait lannée de mon bac, donc il y a cinq ans, cétait à lépoque où Papa commençait de fricotter avec sa stagiaire, il était à Barcelone, à un congrès pour quelques jours. Un matin au petit déje, tu me dis « Antoine ce soir je sors, je vais dîner avec les responsables dUTH, il faut que nous nous nous mettions daccord sur quelques points juridiques, avant la signature du contrat, cest urgent et ton père est absent » Je ne sais pas si tu ten rappelles ? Je tai répondu que ça navait pas dimportance parce que moi je faisais une teuf, avec mes potes et que je resterai dormir chez Sophie, tu te rappelles, ! ma copine de lépoque ! Seulement, la teuf en question a été annulée au dernier moment, et moi je suis tranquillement rentré à la maison. Cest sur les coups de deux heures du mat, que je vous ai entendu rentrer, pas très discrets votre arrivée, vous parliez fort, et tu disais en te marrant « allez ! un dernier coup de champagne, et on finalise notre accord » Je tai entendu aller dans le frigo, puis sortir des verres, brancher la stéréo. Alors comme je suis curieux jétais intrigué, jai voulu voire avec qui tu étais. Tu te rappelles que ma chambre était prés du séjour, et quen entrebâillant la porte, je pouvais voire tout ce qui se passait dans la pièce. Cest ce que jai fait, et jai vu. Avec toi il y avait deux hommes, pas terribles dailleurs, je me rappelle que lun était petit et plutôt replet, cétait le plus jeune, lautre était plus grand, assez classe, mais je lai trouvé un peu vieux. Jai tout vu, maman ! comment tu tes faite draguer, comment tu les as allumés, je tai vu sur le canapé, sur fond de musique, assise entre eux, jai entendu votre conversation plein de sous-entendus, qui vous faisait rigoler, je vous ai vu boire, jai vu quand ils ont commencé à te tripoter, écarter les pans de ta longue robe rouge, tu as ouvert tes cuisses, tu riais , jai vu ta petite culotte rouge assortie à ta robe quand tu tes laissée trousser plus haut ,tu tes laissé faire, ils tembrassaient , puis tu tes levée, debout, haute perchée sur tes talons, lun devant , lautre derrière toi, ils ont fait glisser ta robe à tes pieds tu las enjambée, puis ils ont dégrafé ton soutien-gorge, ils ont peloté puis embrassé tes seins, tiré tes bouts, fait glisser ta petite culotte, et jai vu ta petite fente ,elle navait aucun poil autour, ce qui ma sidéré, ils ont écarté tes fesses, touché ta chatte, ils ont baissé leurs pantalons. Alors tu as pris leurs sexes et tu les as mis chacun à leur tour dans ta bouches, jétais effaré, mais bizarrement pas choqué, ensuite tu tes penchée en avant, puis accroupie sur le canapé, agenouillée devant eux, tu as relevé tes reins, cambré tes fesses, et tu tes faite prendre par derrière, chacun à leur tour, et je tai entendu.
— Arrête Antoine !! ce nest pas drôle, oublie sil te plait
— Mais écoute moi maman ,. cest vrai quau début jai été ahuri , et puis au fur et à mesure quils te déshabillaient, je tai trouvé de plus en plus belle, nue sur tes talons,. Alors quelque chose de bizarre cest passé en moi, je te jure maman ! jétais subjugué par ton corps nue, par tes fesses par ton sexe que je navais jamais vus et que tu donnais à ces deux hommes, ma colère sest estompée, jaurai tant aimé venir te caresser moi aussi , mon sexe sest mis à enfler je me suis mis à bander, autant que les deux mecs qui te baisaient comme des malades, alors quand tu tes mise à jouir à geindre et à crier très fort, je me suis branlé , et quand jai juté, jai eu limpression de jouir avec toi , en toi maman. Voilà,.il fallait que je le dise, il y a prescription maintenant, et je te jure que ça ne ma jamais choqué, et puis je nétais pas entièrement con, je pense que papa devait aussi en faire autant à Barcelone. Alors, ! tu vois, je nai pas eu besoin de psy, bien au contraire, au lieu dêtre traumatisé, tu mas fait avoir la plus belle jouissance dadolescent. Je taime maman ! Tu es super et toujours aussi bandante, et . je peux enfin assouvir ce vieux fantasme qui me hante depuis des années : Pouvoir te prendre comme ces deux salauds, il y a cinq ans ce qui vaut toute les analyses du monde. Au fait .. vous lavez signé votre contrat ?
— Oui ! bien sûr ! tas une drôle de mère quand même !
— Oui, mais je laime comme ça ! et surtout je voudrai quelle ne change jamais !
Après ces petites révélations, nous avons fini de siroter silencieusement notre rosé chacun dans nos pensées. Puisquil ne fallait rien changer, je ne changerai pas. Antoine me veut! et bien il m’aura. Nous nous installons cote à cote sur des matelas de plages, pour faire une petite sieste-bronzette au bord de la piscine. La chose étant entendue, jôte mon débardeur, je suis complétement nue, mes seins étalés, mes deux petites fraises bien dressées et ma fente bien exposée au soleil printanier. Antoine comme moi sest mis nu, il a enlevé son bermuda, comme ça je peux bien voire son long sexe étalé sur son ventre, la chaleur du soleil lui procure une demi-érection, je le contemple, son gland nest pas encore complétement décalotté, il est trop beau, lenvie me gagne à nouveau , sinsinue en moi, gagne mon ventre, mon sexe shumidifie et mes pointes se durcissent, jai envie de sa queue, besoin de la saisir , de la décalotter, de le caresser ,de la branler, de la sucer, de lenfouir dans ma bouche. Jen mouille, mes cuises sécartent sans que je men rende compte, le soleil chauffe voluptueusement mon entrejambes, en ouvrant largement mes cuisses, ma fente cest elle aussi entrouverte, je complète louverture des lèvres de ma vulve avec deux doigts, je dégage mon clitoris des nymphettes qui lenfermaient, et tout doucement en décrivant des petits cercles concentriques avec mon index autour de mon bouton damour, je me caresse tout doucement, offerte au soleil et les yeux fixés sur le sexe de mon enfant.
— Ca va pour toi maman !
Il me surprend, je croyais quil dormait, il ma vu faire, il me regarde, avec un petit sourire moqueur, mais je vois aussi dans son regard bleu, une certaine concupiscence, ses yeux se fixent sur mon entre-jambes, sur ma chatte à demi ouverte. Pour quil me voit mieux, je mécarte encore plus en relevant les jambes, je continue tranquillement de me caresser. Il me fixe, il y trouve son plaisir, car sa queue se gonfle, enfle et se dresse à la verticale de son ventre bronzé. Le gland bien rose et bien décalotté se détache sur la peau halée de son pubis. Je continue de me masturber, jai introduit un doigt dans ma fente complétement mouillée, il me regarde, ce qui multiplie mon plaisir et mon désir. Javais promis de devenir sa pute, et bien je le suis totalement devenu maintenant. Je mexhibe outrageusement, je veux quil me mate, me tripote, me baise, me fasse mal, et pourquoi pas ! quil me sodomise aussi, si cest son plaisir.
Les cuisses toujours ouvertes, je me tourne vers lui, dune main je continue de me masturber, un doigts enfoncé dans la chatte, de mon autre main je saisi la verge dAntoine, et je la branle tellement fort que je dois lui faire mal. Je suis tellement excitée !
— Doucement ! maman !
Pour me faire pardonner ma brusquerie, je plonge sa queue tout au fond de ma gorge, je la pompe comme une pute du bois de Boulogne, je me suis mise à genoux mon cul bien relevé, comme une chatte en chaleur qui attend de se faire couvrir par un mâle. Je suce mon fils, un moment qui dure une éternité, je suis tellement bien. Antoine se laisse faire en ondulant légèrement du bassin pour mieux enfoncer sa queue dans ma bouche.
_ Maman ! Fais voire ton cul !
Au ton de sa voix, je sais que ce nest pas une faveur quil me demande, mais un ordre que je dois exécuter. Je jouis dentendre enfin cet ordre humiliant que jattends depuis si longtemps. Lui ne bouge pas, il reste allongé à plat dos sur le matelas, cest moi qui, à quatre pattes, me place à lenvers au dessus de lui, à genoux, mon entrejambes au dessus de son visage.
— Remonte toi plus, penche toi plus et écarte bien tes fesses !
Je prends appui sur une main, bras tendu, et de mon autre main, avec mes doigts en éventail, jécarte le plus possible une de mes fesses, de mon clitoris à mon anus.
— Écarte toi plus maman ! cest pas suffisant.
Cet ordre mélectrise, membrase du plus profond de mon vagin jusquà la pointes de mes seins, la cyprine coule de mon trou, inonde mes cuisses. Docilement je pose mon buste et mes seins entre ses jambes sur le matelas, mon visage sur un côté, et là, de mes deux mains libérées, doigts bien ouverts, je mécarte complètement, je tire sur les deux lobes de mes fesses, mes indexes distendent le plus possible le trou de mon vagin, mes deux petits doigts au plus prés de mon anus tentent de le faire sentrouvrir, sans y parvenir, je suis trop serrée.
— Tu es trop belle comme ça maman ! tu es une superbe belle putain que jadore, dis moi que tus es ma pute !
— Oui chéri je suis ta pute ! rien quà toi
— Alors je peux faire ce que je veux de toi ?
— Oui amour ! ce que tu veux, je tappartiens
— Alors taimerai, si je te donnais à baiser ? comme papa le faisait
— Si ça te fait plaisir ! bien sûr Antoine, que jaimerai, tu fais ce que tu veux je suis daccord
Jai le souffle court, le cur qui bat à cent à lheure, jarrive a peine à lui répondre, mais chaque question quil me pose me transporte dans univers de phantasme, de jouissance, je ne suis plus moi, je suis une autre, une pute qui se donne, une esclave qui se soumet. Jaimerai aussi être à la place de mon garçon, pour me voire grande ouverte.
— Antoine dis moi comment je suis ? que vois-tu de moi ?
— Complètement offerte maman, tu es très belle comme ça ! reste sans bouger comme ça tant que je voudrais !
— Oui chéri ! est ce que tu aimes me voire toute ouverte, je te plais comme ça ? tu me regardes complétement, dis moi.?
— Tout ! maman, je vois tout de toi, ta chatte toute rose que tu écartes bien, je vois ton trou bien ouvert en triangle, je vois tes lèvres complètement distendues, et même je peux voir à lintérieur, ton petit méat et son petit trou par où tu fais pipi, maman, ton clitoris est bien dégagé, je vois aussi ton anus un peu plus brun, mais lui, il nest pas assez ouvert !
— Oui chéri ! regarde moi encore, profite de moi tant que tu veux, fais ce que tu veux ! mais il faut que tu me baises aussi après, que tu me prennes, jai le feu partout, baise moi chéri, je nen peux plus !
— Cest moi qui décide ! et cest quand je voudrai maman !
Je sens sa langue, lécher mon humidité, il maide à mécarter davantage, je sens ses doigts aider les miens à ouvrir mon anus, son pouce cherche à entrer, mon trou souvre avec difficulté,
— Doucement chéri, tu me fais mal ! mouille moi !
Il crache un peu de salive entre mes fesses, cest chaud cest doux, ça coule dans ma raie, du coup cest son index plus fin qui ouvre doucement mon trou interdit. Jhalète de plaisir, comment aurais-je pu imaginer quAntoine, mon garçon me donnerai tant de plaisir ! et surtout quaucune gène, aucune honte ne me freineraient .
En changeant de position, Antoine sest placé derrière moi, il sest agenouillé sur le matelas, je sais que maintenant il va enfin me prendre, me prendre en levrette, comme un chien qui couvre sa chienne. Je suis prête à laccueillir, je coule, mon sexe est trempé. Il menfonce violemment, les lèvres de mon abricot souvrent sans aucune difficulté pour le laisser entrer. Je suis heureuse, son sexe va et vient, rempli mon vagin, mes halètements se transforment en douces plaintes. Il me tient par les hanches, cest moi maintenant qui seule, écarte mes fesses, mes ongles bien enfoncés dans la chaire de mon cul. Sa bite en allant et venant me donne de plus en plus de plaisir, dabord il lenfonce, tout au fond de moi, puis il la retire complétement, je sens alors mon trou se refermer, puis de nouveau elle plonge en moi, mécartant à nouveau . Jaimerai que cette jouissance soit éternelle, que mon sexe puisse souvrir et se refermer indéfiniment, je me retiens de me lâcher, je sais quAntoine se maîtrise complétement et que de cette façon il me maitrise aussi. Une dernière fois son sexe sort de mon trou devenu béant à force de pénétrations, il le place maintenant à lentrée de mon anus, je sens le gland dAntoine chercher le passage de mon intimité. Mais ce sexe est bien plus gros que le doigt quAntoine à introduit dans mon cul quelques minutes plus tôt.
— Chéri, tu me fais mal, tes trop gros !
— Dis-moi ! ma petite putain de maman, tu tes déjà fait enculer ?
— Oui chéri,
— Beaucoup de fois ?
— Oui bien sûr !
— Tu mas dis que tu étais ma pute maman, je peux faire ce que je veux, alors je vais tenculer et tu vas te laisser faire !
Ces paroles me mettent le feu au ventre, mon cul sirise comme si un courant électrique le parcourait, mon con coule comme une fontaine, je vais me faire sodomiser par mon fils, je nen éprouve aucune honte, mais plutôt un immense bonheur, une jouissance qui me paralyse.
— Oui chéri fais ce que tu veux, mais prends moi doucement.
Avec mes doigts je continue de mouvrir le plus possible. Au dessus de mes fesses, Antoine fait encore couler de sa salive qui irrigue mon petit trou. Alors lui libérant le passage, je me cambre autant que je le peux, je remonte mes fesses soumise comme le sont les femelles singes, et jattends que mon mâle puisse sintroduire plus facilement en moi. Je pousse malgré moi un petit cri, quand le gland dAntoine, en une forte poussée, senfonce dans mon
derrière, mon anus souvre, sélargit, j accepte sans trop de douleur la longue queue qui me perfore. Doucement Antoine enfonce la totalité de son membre, je sens ses couilles buter contre ma vulve, qui elle, sest refermée, mes deux orifices ne pouvant être dilatés en même temps, quel dommage !alors glissant une main entre mes cuisses, je branle mon clitoris, ça augmente mon plaisir. Antoine va et vient dans mon cul, et je nai plus de douleur, la douceur de cette pénétration est tellement bienfaisante que je me mets à jouir de plus en plus fort, et surtout à crier de plus en plus fort, ce ne sont plus de douces plaintes de jouissance, ni des halètements de femmes prise, mais un long feulement rauque de femelle en chaleur qui séchappe de ma gorge, en reprenant mon souffle, je mentends lui murmurer,
— Viens chéri, viens avec moi, encore, baise moi plus fort, encore encore je suis ta chienne, je suis ta pute, encule moi !!
— Oui maman, je te baise je tencule.
Il va en moi, comme ça, pendant de longues minutes, je me suis légèrement relevée, aussitôt mes seins libérés gigotent en cadence, à la même mesure que les coups de reins qui enfoncent le sexe de mon de mon fils dans mon cul. Je suis folle dexcitation, de jouissance, sans men rendre compte je pousse mon anus au devant de la queue qui mencule. Dans un déchainement partagé, un immense spasme me fait trembler, derrière moi Antoine crie son bonheur, son sperme gicle tout au fond de moi inondant mon rectum, lubrifiant mon anus.dilaté Je jouis je suis folle et je mécroule.
Petit à petit, je reprends mon souffle, je tremble, est ce de froid ? est-ce dépuisement ? Je suis allongée à plat ventre, le corps chaud dAntoine me recouvre, je suis sans vie, sans ressource, je sens des larmes couler doucement sur mes joues. Antoine les remarque.
— Pardon, je tai fais mal maman ? tu pleures
— Non, pas du tout chéri !, cest de bonheur, comment aurais-je pu imaginer un jour, chose si inimaginable ? imaginer une telle jouissance, tu ne peux pas savoir la joie que tu mapportes chéri, je suis si bien avec toi, tu es le plus bel amant que je naurai jamais, Antoine, je taime, je me donne à toi sans aucune retenue, je tappartiens désormais, tu pourras me demander ce que tu veux, tu auras toujours mon accord, ces instants sont pures merveilles, jaime tellement me donner me faire prendre. Merci amour !
Tendrement, mon garçon, lèche mes larmes, et pose de délicats baisers sur mes paupières. Je suis bien, et puis tendrement il caresse mes seins, ceux qui lui ont donné la vie. Comme un enfant il porte ses lèvres sur mes aréoles, et doucement aspire la pointe dun de mes seins, comme sil voulait en extraire mon lait nourricier. Quoi de plus beau que cet instant de douceur, après lexplosion de nos passions. Nous restons comme ça, collés lun à lautre. Les lèvres dAntoine sur les bouts de mes nichons, font vibrer doucement mes mamelons qui se crispent et durcissent à nouveau. Je dois devenir folle ! Je viens de jouir comme une malade, et le désir me reprend déjà. Sur ma cuisse le sexe dAntoine prend le même chemin, sans être dur, je sens son sexe qui regonfle doucement. Je suis effarée !
— Antoine ne me dit pas que tu veux encore me baiser!
— Pourquoi pas ! quand on choisit un jeune amant, il faut assurer ! je te signale que tu as tes bouts de nichons qui deviennent tout durs !
En disant ça, il sest écarté de moi, il est assis sur un matelas les genoux relevés, je vois entre ses jambes, ses testicules qui pendent, on dirait deux belles figues gorgées de soleil, et son jeune sexe déjà à demi bandé.
Je suis dingue, je crois que je me referai bien baiser encore, mais dans ma chatte cette foi. De toute façon je suis prête à tout pour lui faire plaisir. Je dois devenir nympho ! Alors je ne me pose plus de question, foin de philosophie, de sociologie, plus de convenance, je mempare de la queue de mon garçon et en quelques mouvements de va et vient, rapides, elle regonfle, elle sallonge, enfle, grossie, il bande de nouveau comme un âne mon Antoine. Alors lâchant à regrets une si belle bite, je mallonge à plat dos sur un matelas, je relève bien haut mes jambes, Antoine se place au-dessus de moi, entre mes cuisses grandes ouvertes. Je reprends sa pine dans une main et je lintroduis directement dans mon trou, je suis tellement mouillée que ce sexe glisse sans aucun effort entre les muqueuses de mon vagin. Antoine me prend, me baise longtemps calmement, sans relâche, ses coups de reins font gigoter mes seins, ses couilles tapent en cadence le bas de mes fesses. Je sens à nouveau le plaisir renaitre, prendre possession de mon ventre, la bite de mon fils continue son va et vient infernal dans mon vagin, ma jouissance monte enfle, se transforme en orgasme puissant rauque. Quand je sens enfin le sperme de mon garçon gicler tout au fond de ma chatte. Je suis bien je suis heureuse, je suis repue, je suis rompue.
— Maman !
— Oui chéri !
— Tu prends bien la pilule ?
— Évidement ! imbécile, tu me vois enceinte de mon fils à 45 ans ?
Et là ! nous pouffons de rire !!!