Ma mère m’avais donc consigné à mon lit, finit les mardis avec elle dans le même lit.
Qu’à cela ne tienne, je trouverais bien un autre moyen d’assouvir mon appétit sexuel, car à 14 ans les filles ne sont pas prêtes pour ce genre de relation. Et puis c’était si simple avec ma mère, pas besoin de belles paroles, je faisais ce que je voulais pendant son sommeil tant que je ne la réveillais pas.
J’ai donc continué à la rejoindre pendant la nuit, quand elle dormait profondément. Pour ça j’attendais devant sa porte de chambre quand elle allait se coucher, je guettais l’extinction de la lumière, attendais 15-20 minutes les premiers ronflements. Cette attente était à chaque fois interminable, mais au moins je ne devais pas attendre un mardi sur deux, c’était maintenant quand bon me semblait tout au long de la semaine.
J’ouvrais donc doucement sa porte, et m’approchais à pas de velours du lit. Je me mettait du côté libre, pénétrais sous les draps, et quand elle se mettait sur le côté je venais me coller à elle, et commençais ma masturbation totalement à l’insu de ma mère. A 15 ans j’ai commencé à intéresser à cette énorme paire de seins. Je me masturbais maintenant en massant ses seins. Nouvelle sensation divine. J’avais l’impression de pouvoir faire ce que je voulais d’elle, c’était ma poupée, et avec mes premiers visionnages de vidéos pornos c’était tout bonnement devenu ma chienne….
Un jour où je devais avoir 16 ans je suis tombé sur un de ses strings sales, je l’ai mis dans ma poche et j’ai rejoint ma chambre, fermé la porte à double tour. Je me suis allongé sur mon lit le string sur le visage le nez sur son odeur, et je me suis masturbé un long moment. J’adorais son odeur intime, mais je voulais y goutter à la source. Un soir j’ai donc rejoint sa chambre, je me suis présentais au pied du lit, j’ai soulevé le drap et me suis glissé comme un serpent, tout doucement entre ses jambes. Ma bouche était enfin à hauteur de sa chatte. L’odeur m’enivrait, j’étais comme fou en trouvant devant cette merveille de création, le fait de faire subir ça à ma propre mère était loin de me rendre honteux, j’étais encore plus excité de profiter de ma mère inconsciente juste là devant moi.
J’ai approché mon nez de ce fruit mûr devant moi, l’odeur était forte mais délicieuse, j’ai alors collé ma bouche sur ses lèvre et ai goutté à ce jus délicieux. Une érection limite douloureuse est apparue. J’ai joué avec ses lèvres pendant 5 bonnes minutes, en roulant des pelles à cette magnifique bouche défendue, tout en caressant ses magnifiques cuisses charnues et douces.
J’ai ensuite attendu qu’elle se tourne comme à son habitude, et je me suis masturbé entre ses fesses….
Encore un pas de plus franchis dans l’utilisation perverse que je faisais de ma mère.
L’ultime étape était de la pénétrer de mon sexe…. Disons le franchement: de la baiser pendant son sommeil, un viol tout en douceur et sans victime consciente….
Suite au prochain chapitre.
