J’habite une petite résidence en forme de U, et depuis quelques mois, une jeune femme a emménagé dans un appartement, en face du mien, au même étage. Blonde, pas très grande, un joli minois, la taille fine, des hanches et des fesses arrondies qui lui confèrent une silhouette des plus charmantes.
Chez elle, la demoiselle vit, jours et nuits en tenue d’Eve, ou au mieux en string, ce qui souligne à la perfection le volume de ses formes attirantes. Surtout que, quelle que soit la saison, elle vit sans tirer les rideaux de la grande baie vitrée qui sert de façade à nos appartements.
Autant vous dire que le programme de mes soirées est souvent le même, car mon côté voyeur se trouve assouvi par le spectacle permanent qui s’offre à moi. Dès que la nuit est tombée, j’éteins les lumières de mon séjour et je me cale confortablement dans mon canapé, jumelles en mains, pour admirer ce corps nu qui vaque aux tâches ménagères, pratique des exercices physiques, s’étale dans le sofa… hélas, seule la chambre à coucher ne se trouve pas dans mon champ de vision.
La créature ne semble pas connaître la pudeur. Par exemple, lorsqu’elle prend une douche, elle ne ferme jamais la porte de sa salle de bain. Je peux donc l’observer en train de se savonner copieusement, de se sécher, puis de caresser toutes les faces de son corps de rêve en s’enduisant d’onguents divers. Quand elle reçoit des amies, elle enfile une robe d’hôtesse légèrement transparente, et il n’est pas rare que ses invitées la rejoignent dans sa nudité. Le spectacle s’avère alors un vrai régal, de voir déambuler en toute innocence une troupe de jeunes filles dénudées.
J’ai remarqué qu’une grande brune au regard bleu perçant, généralement habillée sexy, vient assez souvent et toujours seule. Malheureusement, elles se replient longuement dans la chambre et je n’ai encore jamais pu observer leurs jeux saphiques.
Jusqu’à ce fameux soir !
C’était une soirée d’automne, les deux commères paraissaient bien excitées, car je les voyais rire au moindre prétexte. Elles ont passé un coup de fil et, sautillant comme des puces, ont disparu dans la chambre. Elles sont réapparues très vite, mais en ayant changé de tenues. Ma voisine s’était enveloppée dans une serviette de bain minimaliste et son amie, la brune, s’était littéralement moulée dans un fourreau de tissus blanc, très transparent qui collait à chaque centimètre de sa peau et la couvrait des aisselles au ras des fesses. Elle portait dessous un string en dentelle rouge, qui soulignait ses deux jolies fesses. J’imaginais qu’elles avaient monté un plan, car je ne les avais jamais vues dans de telles dispositions.
Au bout d’un moment, la brune avait décroché l’interphone et ma voisine s’était précipitée sous la douche pour se savonner copieusement puis, sans s’être rincée, avait tripatouillé dans la cuisine pour couper l’eau. Quelques instants plus tard, l’autre avait ouvert la porte de l’appartement pour faire entrer un individu, dont la tenue de travail et la grosse mallette indiquaient qu’il pouvait être plombier. Elle accueillit le jeune homme avec un grand sourire, en le regardant droit dans les yeux, lui indiquant la direction de la salle de bain.
Voilà donc quel était leur plan ! Piéger un pauvre plombier, en sabotant l’alimentation de la douche… Il faut dire qu’elles étaient chanceuses, car l’ouvrier en question était bel homme et, sous son blouson, paraissait plutôt bien bâti. Le pauvre garçon avait dû vite comprendre dans quel guet-apens il venait de tomber, mais dans un premier temps, il ne se laissa pas déstabiliser par la tenue des deux jeunes femmes. Toujours nue et couverte de mousse, ma voisine lui indiqua l’emplacement des robinets en se penchant en avant, jambes tendues, exposant ostensiblement sa croupe béante. L’ouvrier s’accroupit pour observer l’état des lieux, se retrouvant ainsi avec le pubis moussu de ma voisine sous le nez. Ses yeux avaient du mal à se détacher des formes agréables de la jeune femme.
Pendant ce temps, son amie avait rempli une bassine d’eau dans l’évier de la cuisine et, laissant le plombier à son dépannage, elles se dirigèrent toutes les deux vers la salle de bain. Avec un bol qu’elle plongeait dans la bassine, elle versait de l’eau sur la tête de ma voisine pour la rincer. Mais l’eau était froide et la jeune femme se débattait sous les aspersions de sa complice qui ne se privait pas de la caresser sur tout le corps pour éliminer la mousse. Les deux filles n’arrêtaient pas de s’éclabousser et de pouffer de rire. Bien entendu, le peu de tissu qui recouvrait la brune fut trempé et devint totalement transparent, mettant en relief ses aréoles brunes et son string rouge. Et bien sûr, tout cela en présence du pauvre plombier qui avait le plus grand mal à se concentrer sur sa réparation. Surtout, depuis que les deux femmes avaient soudé leurs bouches dans un baiser torride. Leurs mains parcourant le corps de l’autre sans retenue.
La robe de la brune n’était plus qu’une bande de tissu roulé sur son ventre et sous la dentelle rouge, la main de ma voisine fourrageait énergiquement entre les jambes de son amie, pendant que celle-ci gobait à pleine bouche les seins durcis de sa maîtresse.
Momentanément rassasiées, elles se tournèrent alors vers le mâle qui, devant se sentir à l’étroit depuis un petit moment, se frottait régulièrement le bas-ventre. Trempées, provocantes, appétissantes, elles rejoignirent le travailleur, l’invitèrent à se relever, et chacune d’un côté commencèrent à le caresser sous toutes les coutures. Son tee-shirt ne résista pas longtemps et disparut par-dessus sa tête, alors que la ceinture qui tenait son pantalon lâcha prise sous les petits doigts agiles.
Désormais en fâcheuse posture, le pantalon sur les chevilles, les deux coquines furent surprises et ravies de découvrir un affriolant boxer aux couleurs exotiques, décoré d’un palmier, soulevé par les dimensions impressionnantes du membre fièrement gonflé qu’elles s’empressèrent de sonder à travers le tissu bariolé. D’un seul trait, avec une parfaite coordination, elles baissèrent le boxer, ce qui libéra d’un coup, le pénis impatient de prendre l’air. Il était impressionnant, tant, par ses dimensions, que par sa forme en arc de cercle, recourbé vers le ventre et dont le gland atteignait le nombril.
Un instant sidérées, les deux femmes furent comme hypnotisées par tant de virilité, mais elles se reprirent rapidement et apprivoisèrent ce mastodonte qui les narguait. Et, c’est à genoux qu’elles grimpèrent au palmier dressé pour recueillir le suc transparent qui suintait à son sommet. Espiègles, elles se disputèrent le filet qui s’était formé entre leurs doigts. Le plombier avait bien compris où elles voulaient en venir, alors il commença, lui aussi, à se servir de ses mains calleuses. Et de l’ouvrage il allait devoir en fournir pour satisfaire les attentes de ses insatiables clientes.
D’abord, il les fit relever, puis caressa leurs corps en insistant bien sur leurs parties les plus sensibles : seins, ventre, fesses, intérieur des cuisses. Pendant ce temps, elles faisaient coulisser voluptueusement la peau de sa verge, tandis qu’elles mélangeaient leurs deux bouches dans de profonds baisers. Le plombier commença à sentir la tension qui montait. Ne voulant décevoir ces dames en partant trop vite, il mit fin à ses caresses. Il projeta littéralement les deux femmes à genoux sur le canapé, l’une à côté de l’autre. Il les lécha alternativement, de bas en haut, du clitoris jusqu’entre les fesses. Les filles avaient l’air d’apprécier, car elles tendaient leurs croupes et cambraient les reins pour faciliter la tâche de leur bienfaiteur.
Une fois que la lubrification lui parut suffisante, il présenta son gourdin contre la rosette de ma voisine, qui ouvrit des yeux exorbités devant la goujaterie de ce mâle qui s’apprêtait à lui perforer le derrière. Résolument, il s’enfonça en elle qui hurla sous la dilatation extrême de son engin. Pour faire passer ce douloureux moment, sa copine lui malaxa les seins tendrement tout en lui aspirant la bouche. Mais le plombier ne se laissa pas attendrir par ce que je devinais être des cris de douleur, et commença à donner de profonds coups de reins dans le cul de ma petite voisine qui frappait convulsivement le dossier du canapé pour supporter les coups de l’argoulet qui la chevauchait rudement.
Malgré le visage larmoyant de sa monture qui implorait clémence, il paraissait infatigable et maintenait son rythme diabolique. À ses côtés, sa copine en état de sidération était impuissante à la réconforter. Au bout d’un moment, qui leur parut une éternité, le mâle en rut se cabra contre les fesses de sa cliente et déchargea convulsivement sa tension dans son fondement écartelé.
En ayant fini avec la première, il attrapa la petite brune effrontée par les cheveux, et lui intima l’ordre de nettoyer son calibre couvert de sa semence et des effluves musqués de sa copine. Sans lui laisser le choix, il introduisit son sexe encore dur dans la bouche pulpeuse qui le reçut avec des haut-le-cur. Pendant ce temps, il ramassa avec ses doigts, les fluides douteux qui sortaient du rectum de ma voisine, dévastée pour les lui faire lécher.
Quand il estima que son hygiène était suffisante, il saisit sa nouvelle victime par les aisselles, et la planta littéralement sur son vit dressé à la verticale. Pour ne pas tomber, elle noua ses bras autour de la nuque, et ses jambes autour de la taille du plombier et plaqua ses petits seins érigés contre sa poitrine velue. En parfait professionnel, l’ouvrier plombier se dirigea, avec son attelage, vers la salle de bain et se plaça sous le jet de la douche. Ses grosses mains sous les fesses faisaient monter et descendre comme un brimborion le mince corps de la petite brune qui hurlait sa jouissance d’être dilatée à l’extrême. Heureusement que l’eau de la douche rafraîchissait les ardeurs de l’étalon, qui s’astiquait imperturbablement la verge avec la fille, comme si elle n’était qu’une vulgaire poupée en silicone.
Elle enchaîna les orgasmes sans discontinuer, jusqu’à ce qu’enfin l’infatigable mâle se soit vidé dans son vagin distendu, et qu’il l’ait laissée tomber toute pantelante sur le carrelage trempé de la douche.
En artisan consciencieux, il nettoya son ’outillage’’ sous le jet de la douche, au-dessus de la petite brune complètement groggy, se sécha avec la première serviette venue, et se rhabilla. Il ramassa rapidement son matériel, fit signer un formulaire et s’éclipsa sans un signe ni un regard à ses infortunées clientes.
Les deux pauvres filles faisaient peine à voir. Ma voisine, le visage et le cul ravagés par la douleur et l’humiliation et sa copine, honteuse et épuisée d’avoir joui si intensément. Enroulée dans une serviette, cette dernière rejoignit son amie sur le canapé pour tenter de la consoler en lui prodiguant de douces caresses. Enfin, elle lui prit le bras et elles se dirigèrent vers la chambre pour un moment que j’imaginais tendre et câlin.
J’étais abasourdi par ce que je venais de suivre en direct depuis mon observatoire. Le stratagème des deux filles pour attirer un homme dans leur tanière ; leur façon de l’allumer ; comment la situation leur a totalement échappée, et de quelle manière elles se sont quasiment fait violer. Mon boxer était maculé d’une large tache humide et je ressentais un besoin violent de soulager mes bourses engorgées.
Je me dis que la leçon devrait porter ses fruits, et qu’elles ne seraient certainement pas prêtes à goûter, de sitôt, un bon gros pénis…
Dommage !