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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 6

De Hervé à Vanessa, chienne soumise - Chapitre 6



Émile est subjugué par nos poitrines. Il se place entre nous deux et soupèse nos mamelles. Il embrasse celui de Malika puis le mien.

— Papa, il bande pour toi… Lui dit Domi.

Il baisse les yeux et me sourit.

— Encore un caprice de ma fille, fit-il en me décalottant. Il me retourne et voit mon bijou anal. Très jolie. Laissons la table pour demain. Allez-vous habiller, Resto ce soir.

Malika lui saute au cou et lui roule un patin d’enfer. Elle me regarde et me pousse vers la bouche d’Émile. La langue d’Émile s’enroule à la mienne. Je ne résiste pas et je me surprends à aimer.

Émile est venu choisir ma tenue. Elle se compose d’un tee-shirt blanc très classe et de grande marque, sans manche. On peut voir la naissance de mes seins à chaque mouvement de bras. Évidemment, un décolleté très profond. Un mini-short en cuir noir et un gilet-filet. Il m’a choisi des escarpins à talon plat. Merci Émile. Il m’a offert un ras-de-cou noir, deux bracelets assortis et un sac à main, plus pochette que sac.

Quand je vois Malika, je suis subjuguée. Elle porte une robe fuseau rouge. Elle lui moule le corps à la perfection. De chaque côté, deux fentes à mi-cuisses. Des talons d’au moins dix centimètres viennent parfaire sa tenue.

Évidemment, ni elle ni moi ne portons de dessous. Quant à Domi, elle porte un tailleur strict et une jupe noire et de petits escarpins, comme moi, sans talon.

— Papa ! On va être en retard.

— Oui, oui, on y va…

Malika monte à l’arrière de la grosse berline noire avec Émile. Moi, à l’avant, aux côtés de Domi qui prend le volant. Je me retourne et je vois qu’elle n’a pas perdu de temps, elle embrasse son maitre et amant amoureusement. Pourquoi lui en vouloir.

On arrive devant un restaurant étoilé de Montpellier. En bonne chauffeuse, Dominique ouvre la porte à son père. Je fais le tour pour les rejoindre mais Malika est déjà au bras d’Émile. Domi me prend la main.

— Ne t’inquiète pas. C’est toujours comme cela et il va falloir t’y faire.

Émile connait les lieux. On est installé à une table dans une petite alcôve. Vu le nombre de couverts et de verres il va falloir bien se comporter. On boit de l’excellent champagne millésimé, on mange, très peu à mon goût.

— Vous n’irez pas danser et me laisser seul avec Malika ? Dit Émile après un fabuleux dessert. On vous rejoint très vite.

On ne discute pas et Domi m’entraine dans un dédale de couloirs. Refaire le chemin inverse me serait impossible. Après avoir marché bien dix minutes dans les couloirs de l’hôtel, on arrive devant une double porte noire. Elle toque. Une petite fenêtre s’ouvre.

— Ah Domi, lui dit une voix féminine.

La lourde porte métallique s’ouvre. Domi rentre en m’entrainant. Je suis dans un couloir aux parois recouvertes de velours rouge. L’éclairage est subtil. La femme qui nous accueille est fluette, petite et un visage de poupon. Sa tenue vestimentaire donne le ton, on n’est pas venu pour tricoter. Elle porte un soutien push-up en cuir, une guêpière de la même matière et des bas résille attachés à cette dernière. Ses seins sont de taille raisonnable et des pinces ornent ses tétons. Son sexe est glabre, piercé et un petit tatouage d’un démon rigolo vient parfaire le tout.

— Caro, enchantée. Me dit-elle en me faisant un smac.

Quant à l’accueil de Domi, il est beaucoup plus sensuel.

— Ton père n’est pas là ?

— Si, il est avec Vanessa. Il arrive.

Elle nous fait entrer dans une salle. L’ambiance y est très érotique, voire pornographique. Des couples, principalement, se tiennent au bar. Quelques hommes seuls, deux ou trois femmes. Elle nous conduit jusqu’à une table basse avec banquette en cuir rouge. Domi et moi, on s’y installe. Caro revient avec une bouteille de champagne et quatre verres.

— Regarde tous ces couples, la plupart sont illégitimes, à part celui-là. Me dit-elle en me montrant un homme et une femme. Ils sont frère et sur. Excitant, non.

Je n’avais pas remarqué, mais tous les hommes tiennent par une laisse, sauf le frère et la sur. C’est elle qui a les rennes. Elles ont toutes des tenues sans équivoque de ce qui se trame dans cet endroit. De l’autre côté de la pièce, dans les mêmes fauteuils, une nana, d’une quarantaine d’années, a commencé à pomper son mec. Enfin je pense qu’il l’est. Domi m’arrache à mon inspection en me tendant une flûte.

— Ici c’est la maison de la débauche des notables de Montpellier et de ses alentours. Regarde là-bas. Une gonzesse que tu as rencontrée à mon salon.

Deux superbes créatures entament une danse sensuelle autour d’une barre de pull-danse. Elles se frottent le sexe sur la barre et la lèche ensuite. La musique est lascive, érotique. Mon sexe est à l’étroit dans mon petit short en cuir. Domi s’en aperçoit et en rigole. Elle se place face à moi, accroupie et me libère la bite de ce carcan et me tire sur la peau de mon prépuce. Elle retourne à sa place.

— Voilà qui est mieux. Me dit-elle en sirotant son champagne. Je la trouve très belle, très grosse. J’ai hâte qu’ils reviennent.

Me voilà la bite à l’air devant tous ces couples. Plusieurs n’ont plus d’yeux que pour moi. Les deux filles qui dansent se sont arrêté un court instant. L’une d’elles se pince les lèvres, l’autre suce son doigt. Elles me fixent toutes les deux. Je suis sauvée par l’arrivée d’Émile et de Malika. Elle est nue et est tenue en laisse comme les autres couples. Son rose-bud se termine par une queue de crin. Il me sourit en voyant mon rostre. Il chuchote un mot à Domi, qui se lève et vient s’asseoir à côté de moi. Elle me passe un collier, ainsi qu’une laisse. Elle me fait mettre debout et m’enlève mon short. Mon tee-shirt ne cache rien de mes attributs.

— Fais fondre cette pilule sous ta langue. Ne t’inquiète pas, c’est un puissant désinhibiteur.

Je vois qu’Émile donne la même à Malika. Elle me fait un clin d’il avant de la placer. J’obtempère. C’est âcre, voir astringent. Dégueulasse quoi. On s’assoit. Domi me masturbe d’une main, de l’autre elle tient la laisse.

Une autre messe basse entre le père et la fille et me voilà déambulant au milieu de la piste, en direction des deux barres de danse. Les deux danseuses me lèvent les bras, m’écartent les jambes et me voilà attachée. Elles me confondent avec leur barre et se frottent sur mes cuisses. L’une d’elles vient même jouer avec mon anneau. Du bout de la langue elle essaie de me violer mon méat.

Le cachet commence à faire son effet. Un long filet de présperme se forme et tombe à terre. Elle l’enroule autour de son majeur et me le fait sucer. L’autre c’est placé derrière moi. Elle m’écarte les fesses et me branle le cul avec mon bijou. L’extase, je crois que j’ai atteint le Nirvana. Tout se brouille dans ma tête, mais pas ma vue. La première continue à jouer avec mon liquide séminal, la seconde a retiré l’objet de mes fesses et m’encule avec sa langue, ses doigts. Je vois que Malika n’est pas en reste. Elle se gouine avec Domi, pendant qu’Émile l’encule en me regardant.

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