Chapitre 4 : Annie la salope
Je viens de surprendre ma sur Effa qui suçait la bite d’un homme que je ne connais pas. Mais quel homme ! Non, quelle bite ! J’en ai vues et je m’en suis prise des bites. J’adore ça ! Mais celle-ci elle est énorme ! Mi-homme, mi- centaure. C’est un dieu et j’en bave d’envie. Ma sur me traite d’ailleurs de nympho depuis qu’elle m’a vu me faire sauter par 3 hommes de concert dans la cave de mes parents lorsque que nous étions très jeunes. J’avais une bite dans ma chatte, une dans mon cul et l’autre dans ma bouche.
Je suis mariée mais sans enfants. Au début je croyais que c’était de la faute de mon mari. Je collectionnais les amants dans l’espoir de me faire mettre en cloque mais rien à faire. En fait c’est moi qui ne peux enfanter. Cela ne m’a pas empêchée de continuer de me faire baiser par des hommes que je trouve à mon goût d’autant que mon mari n’est pas un foudre de guerre en la matière. J’ai la réputation d’être une femme sulfureuse et salope mais ça ne me défrise pas du tout et j’attire encore plus de mâles. De plus, avec ma constitution spéciale, je suis large du vagin et ma clapette accueille sans vergogne, un chibre de bonne taille, voir deux à la fois et c’est un vrai réservoir de foutre.
En parlant de mâle, j’ai devant moi une espèce rare, unique à vrai dire ! Il vient de jouir en arrosant littéralement ma sur de sperme et son énorme sexe est encore en érection. Gros comme une canette de bière et deux fois plus longue.
J’ai la bouche ouverte et les yeux verrouillés sur cette queue hors norme. J’avance vers cette bite qui me nargue et je tombe à genoux pour la prendre dans mes deux mains.
Je suis en adoration devant cette merveille c’est ma sur qui me sort de ma contemplation.
— Annie ! Arrête ça tout de suite ! Tu te comportes comme la pire des salopes !
— Je ne te contredirais pas, petite sur. Je suis une avaleuse de bites. Toujours prête ! Comme les scouts !
Ma frangine peut dire ce qu’elle veut, je m’en contrefiche. D’ailleurs le propriétaire de ce bijou n’a pas l’air de s’en offusquer.
— Ainsi vous êtes la sur d’EffaJe me présente. Bob le fiancé de Zeïa. Heureux de vous connaitre Annie.
— Enchantée Bob. Le fiancé de ma niècevraiment ? Et l’amant de ma sur apparemment
— Pas tout à fait, chère madameNous avons un deal. Votre sur vous expliquera en quoi il consiste. Dites doncvous avez l’air d’apprécier ce que vous tenez en main Êtes-vous aussi doué que votre sur pour les fellations ?
— Bien sûr que je suis douée. Beaucoup plus que ma sur.
J’avance ma tête et je frôle de mes lèvres le gros gland violacé tout gonflé. Je saisi le bas de son sexe et ma langue sort de ma bouche comme un serpent saute sur sa proie. Je lèche fiévreusement ce sexe extraordinaire et j’ouvre ma bouche pour le dévorer. Bob pousse un peu son monstre et force ma mâchoire à s’ouvrir un peu plus. Je laisse cette bite envahir ma bouche et lorsqu’elle est pleine, j’ai encore ma main qui serre son sexe à sa base.
Ma tête monte et descend tandis que ma main caresse le reste de sa queue sous les cris de ma sur qui me traite de salope en me tirant les cheveux pour m’arrêter de sucer.
— Laisse-là fairedit Bob. Assieds- toi, regarde ou vas faire un tour ailleurs si tu ne supportes pas que je me tape ta salope de sur.
Ça c’est un homme ! Ma sur hausse ses épaules et se résigne.
— Je vais aller faire quelques courses. Je te laisse avec cette catin, Bob. Défonce-lui sa chatte comme une pute !
— C’est ça. File surette. Je peux me débrouiller toute seule.
Ma sur disparue, je reprends sa bite et je me l’enfonce dans ma bouche. Après plusieurs allers-retours ma gorge frappée par son gros gland se détend un peu et je peux avaler les trois quarts de se concombre odorant. Je passe à la vitesse supérieure en utilisant en même temps ma bouche et mes mains et en faisant attention de ne pas m’étrangler quand son gland passe mon pharynx en repoussant mes amygdales.
Je serre ses couilles dans une main quand je sens qu’il va jouir en espérant qu’il a encore des réserves après tout ce que ma sur lui en a trait.
La première giclée va directement dans mon larynx et je suis obligée de retirer sa queue de ma bouche pour respirer, mais je la reprends vite pour recevoir les jets suivant et avaler son sperme qui remplit ma bouche. Balançant son foutre d’une joue à l’autre, j’avale aussi vite que je peux, mais cet homme est une force de la nature.
Sa semence est de qualité, onctueuse et excellente, mais ça déborde quand même par les commissures de ma bouche et ça coule sur mon menton.
Avec mes doigts je recueille l’excès de sperme pour l’avaler et je soupire.
— C’est incroyable. Votre sperme a un goût surprenant, très agréable.
— Tu te débrouilles pas mal, Annie. Je n’ai pas résisté longtemps à ta bouche gourmande. Voyons voir si ta chatte est aussi bonne. Déshabille- toi !
Putain ! Il bande toujours ! Il s’est vidé les couilles deux fois en quelques minutes et sa bite est toujours en érection.
Je ne vais pas me faire prier car je dois défendre ma réputation d’être la pire des salopes selon ma sur. Je suis rapidement nue et je m’assieds sur le bord de la table pour lui offrir ma chatte imberbe qui coule depuis un bon moment.
Bob s’approche de moi, la bite conquérante et me dit.
— Parfait, Annie, j’aime les femmes soumises et salopes. Écarte un peu plus les cuisses. Oui comme ça. T’as une chatte superbe ! Pas un poil pour cacher cette beauté.
— On me l’a dit souvent, veinard
Il peut dire ce qu’il veut, moi ce qui m’intéresse c’est cette bite fantastique qui exerce une fascination sur moi sans borne.
— Ma bite te plaît, Anniec’est ça qui te fait mouiller autant ? Tu la veux dans ta goulotte de salope ?
Je bredouille un oui inarticulé car ce sexe me coupe le sifflet et effectivement je suis trempée.
— Quoi Annieje ne comprends pas. Tu la veux oui ou non !
— Ouiii, ooohhh ouiiiiiii, je la veux !
Non seulement sa bite est très longue, mais elle est épaisse avec un gros gland écarlate comme un champignon vénéneux. Me fixant dans les yeux, avec un sourire pervers et en secouant sa queue sous mes yeux, il me dit.
— Et ton mari, Annie, tu y penses ?
— Rien à foutre de ce minus. C’est un nain à coté de ta bite de cheval.
Rien que de voir ce sexe s’agiter devant moi, j’ai ma chatte qui palpite à l’idée d’essayer de prendre cette bite géante toute entière en elle.
Je tends le bras pour essayer d’attraper son sexe mais il saisit ma main et me tire vers lui.
— Viens, vas dans la chambre et attends-moi. Je vais boire un coup et je te rejoins.
Putain de salaud ! Il me fait languir alors que je brule d’envie ! Je ramasse mes vêtements sur le sol et apercevant son slip, je le prends immédiatement pour le porter à mon visage et sentir son odeur musquée. Son odeur est délicieuse, tellement forte, tellement viril. Arrivée dans la chambre de ma sur je tombe sur son lit et le nez dans son slip, ma main plonge entre mes cuisses. Je me masturbe en frottant mon clito et j’imagine la bite de Bob qui force mon sexe pour me pénétrer. J’ai rapidement un petit orgasme et j’entends.
— Petite salope ! Tu pourrais au moins m’attendre ! Mais tu me plais de plus en plus. On va bien s’entendre tous les deux.
Surprise je sursaute et je me mets debout au bord du lit.
Le visage souriant Bob s’approche de moi et me prend dans ses bras en écrasant mes gros seins contre sa poitrine musclée. Son parfum est enivrant et tout mon corps tremble sous son étreinte. La tête légèrement en arrière, je fixe ses yeux bleu- acier et je vois que son désir est aussi fort que le mien. Sans bien m’en rendre compte, je pose mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassons doucement au début, puis mon baiser devient plus passionné car ses mains caressent mon dos en descendant vers mes fesses qu’il saisit fermement en me tirant contre lui. En sentant son sexe contre mon ventre je gémis doucement.
Je m’extrais de ses bras et je m’assieds sur le lit pour de nouveau admirer son pénis en érection, fébrile de le réceptionner. Je lui présente mon cloaque de chatte aux lèvres gonflées et luisante de jus en glissant un doigt dedans. Ma chatte est trempée et je mets mon doigt dans ma bouche pour sucer mon jus intime avant de m’allonger sur le dos, cuisses ouvertes.
Je me laisse tomber sur le lit, ferme mes yeux et j’attends qu’il me pénètre de son glaive.
Bob a du se mettre à genoux car je sens ses lèvres qui baisent mon corps. Elles caressent mes mollets, cuisses, ventre, bras, joues et lèvres. Mais je sens aussi autre chose de plus ferme. Sa longue queue qui me fait frissonner. J’écarte encore plus mes jambes en remontant mes cuisses pour exposer mes lèvres ouvertes et mon clitoris. Je sais par expérience que ma vulve rose, telle une double tulipe ouverte, avec mes petites lèvres ondulées et épanouies sur mes grandes lèvres, libère mon clito excité. Cette représentation de mon intimité booste mon appétit sexuel et infailliblement celui de ma proie.
Dès que je sens son gland glisser entre mes lèvres de chatte, je me cambre en avançant mes hanches en gémissant bruyamment, mais Bob continue à déplacer sa queue plus haut. Elle passe sur mon ventre en laissant une trace comme de la bave d’escargot pour se nicher entre mes seins. Décidément il continu de me faire languir. De mes deux mains je resserre mes seins et j’embrasse son nud luisant par mon jus qu’il a récolté au passage.
Une petite cravate de notaire entre mes gros seins accompagné par des coups de langue sur son gland à chaque fois qu’il apparait devant ma bouche, pour lui plaire et jouer à son petit jeu, avant que son bâton d’amour redescende plus bas.
Son gland passe entre mes lèvres de chatte engorgées de jus et glisse vers le haut pour taquiner mon clito. En soupirant de plaisir j’avance mes hanches pour répondre à sa caresse et je ne retiens pas mes gémissements de contentement car il sait soigner l’alcôve de ma vulve. Mais je ne tiens plus !
— S’il te plaitpour l’amour du ciel enfonce-toi en moi. Prends-moi !
Il me pénètre enfin. Son gros gland glisse entre mes lèvres trempées et s’enfonce dans mon trou à bites encore un peu étroit. Sans exagérer, son gourdin exerce une extension extrême des parois de mon vagin.
Il me donne de petites poussées et je sens que mon vagin va capituler et lui laisser le passage. Il est si gros qu’à chaque poussée il comprime mon point G. C’est sublime ! J’adore ce moment ou une queue me pénètre et j’avance mon bassin pour qu’elle s’enfonce plus profondément. Jamais une bite n’a dilaté mon vagin de cette manière ! Alors que j’attendais qu’il me baise plus loin, Bob se retire presque de ma chatte me laissant frustrée.
— Non ! Baise-moi ! Tringle- moi à fond ! Je la veux toute entière en moi !
— Tu crois qu’une salope comme toi mérite ce pénis ? Tu penses l’avoir mérité ?
— Ouiii ! Je me suis soumise à tous tes préliminaires. Je t’ai sucé et j’ai avalé ton sperme. Et je le referai quand tu voudras. Tu me feras des gorges profondes si c’est ce que tu désires. Tu pourras prendre mon cul si tu en a envie. Mais baise-moi avant que je devienne folle.
— Putain de salope. Tu vas t’en rappeler de ma bite !
— AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH !
La vache ! Bob vient de m’embrocher d’un seul coup sur sa monstrueuse queue d’une dureté incroyable. Il me baise avec de puissants coups de bite. À chaque poussée le lit se déplace de plusieurs centimètres Il va finir par me défoncer le col d’utérus avec son gland qui repousse ma matrice.
Heureusement il se calme un peu et je peux profiter pleinement de son organe disproportionné. J’enroule mes jambes autour de sa taille et je reprends sa bite entièrement pour la branler avec ma chatte distendue que je contracte pour qu’il sente combien elle est satisfaite.
Le dos arqué pour ne pas en perdre un centimètre, je me baise toute seule en gémissant de plaisir car ma chatte part en convulsions que je ne peux contrôler. Heureusement d’ailleurs.
— Tu es super bonne, Annie salope. Continue de me dire ce que tu feras pour moi. Je veux connaitre tes limites.
— Tous ce que tu veux ! Je serai ta pute et tu pourras me vendre à tes amis. Tu pourras me baiser chez moi devant mon mari. Tu pourras m’attacher dans ta salle de réunion avec une pancarte « Chatte gratuite pour personnel méritant à la place d’une prime payable en liquide ». Tu pourras même baiser ma sur devant moi et ensuite j’aspirai le sperme qui coulera de sa chatte.
Je ne peux plus lui lancer des d’insanités car Bob a recommencé à me baiser sauvagement et je sens qu’un orgasme va éclater dans mon corps. À chaque coup de bite j’hurle.
— Oui ! Oui ! Oui ! Encore !
J’arrive encore à aller à sa rencontre en gémissant et ses couilles frappaient mon cul comme si je recevais une fessée.
— Puisque tu seras mon esclave, je vais te faire jouir comme jamais tu n’as joui. Et si tu fais tout ce que tu m’as promis je te ferais jouir, encore et encore, jusqu’à ce que tu me demandes grâcemais ça n’arrivera pastu n’auras plus de voix.
La bouche ouverte dans un grand cri silencieux je suis submergée par un formidable orgasme. Ma chatte s’est verrouillée sur sa bite comme si elle ne voulait pas abandonner son emprise sur ce membre envahisseur. Le trop plein de cyprine comprimé par son piston s’échappe par les côtés de ma vulve tendue à l’extrême et tout commence à vibrer en moi.
Je ne peux ni gémir ni crier, cet enfoiré de salopard avait raison. Mais comme il ne bouge plus, je me baise sauvagement sur son sexe plus dur que jamais Bob me bloque contre lui complètement embroché dans mon sexe. Quand sa queue sursaute dans ma chatte, je la comprime avec mes muscles internes.
— Salope ! Crie-t-il
Je relâche la pression et avec un puissant rugissement, il décharge sa semence dans ma chatte. Ses salves de sperme chaud frappent mon utérus avec force et je repars dans un autre orgasme encore plus dévastateur que le premier.
Il se vide les couilles pendant plus d’une minute avant de se retirer et de me lâcher, exsangue et sans force sur le lit. L’aurais-je eu ce démon. Moi je suis morte et sans voix.
Quand je refais surface en ouvrant mes yeux, je vois son sperme, mélangé à mon jus, qui coule hors de ma chatte béante et rouge d’avoir été tant malmenée.
Mais quand je vois sa bite toujours en érection après avoir joui plusieurs fois avec ma sur et moi, je suis époustouflée !
— Bob ! Ce n’est pas possible ! Qu’est-ce qu’il faut faire pour vous satisfaire et vider complétement vos burnes ?
— Je crois que je prendre une de vos suggestions de salope. Je vais vous sodomiser, Annie. Tu m’en diras des nouvelles. Ma bite ira au-delà de ton rectum pour chatouiller ton colon !
— Ouais. Et bien ce sera pour la prochaine fois ! Ma fille ne va pas tarder à rentrer et je ne veux pas qu’elle assiste à ça. Ça pourrait la traumatiser définitivement de voir ton cul défoncé par sa putain de grosse queue.
Putain! c’est ma sur vient d’entrer ! Ouf ! Je vais pouvoir échapper à sa queue inépuisable. Il m’a baisé comme un dieu mais ma chatte ne s’est pas encore remise de ses coups de bites. Il lui faudra un certain temps pour retrouver sa taille normale.
— Annie, va te rafraichir dans la salle de bain avant de partir. Si tu voyais ta gueule ! Une vraie poufiasse ! Mais comme dab’ tu m’as piqué mon amant ! Tu es la pire des salopes. Mais je t’aime quand même. Allez, file !
Elle a raison car dans la glace de l’armoire je ne me reconnais plus. J’ai la mine défaite comme si je n’avais pas dormi 3 jours, mon maquillage a coulé et j’ai des taches de foutre partout ! Mais putain, quel pied j’ai pris !