Trois jours après l’arrivée de Julie à Lyon, nous commencions à avoir un rythme convenable. Le matin, après la rituelle gorge profonde du réveil, Julie se mettait à quatre pattes sur le lit, écartant elle-même ses fesses, et alors je la sodomisais jusqu’à éjaculer dans son étroit fondement, puis plaçais son plug en elle. Bien sûr, je m’occupais aussi de sa petite chatte, constamment dégoulinante, toujours en manque d’attention. Je la pénétrais aussi souvent que je pénétrais son cul, mais Julie n’était autorisée à jouir que lorsque je la sodomisais.. A plusieurs reprises, Julie m’avait donc demandé de la prendre par derrière, trop désireuse de jouir. Je ne me faisais pas fait prier, et j’avais à chaque fois cassé ce petit cul que j’aimais tant maltraiter.
Le mercredi avait été une journée pluvieuse. Aussi nous étions restés à l’appartement quasiment toute la journée. Julie ne portait que son plug anal, et les traces d’une fessée un peu plus violente que d’habitude. Sinon, elle déambulait entièrement nue chez moi. En fin d’après-midi, je lui ai dis d’aller se faire belle, sans lui en dire plus. Je lui ai simplement dit que nous allions sortir, puisque le soleil en faisait de même.
Elle s’est enfermée dans la salle de bain et en est ressortie trente minutes plus tard, maquillée et coiffée, avec classe et sobriété, mais toujours aussi nue.
Comment je dois m’habiller ? m’a-t-elle demandé.
Bonne question. J’hésitais encore. J’avais bien envie de la laisser nue pour le reste de son séjour à mes côtés. Je me suis tout de même résigné à aller fouiller dans sa valise et j’en ai sorti une jupe un peu ample, et un chemisier qui, une fois sur elle, ne cachait pas grand chose de ses formes. Tant mieux. Pour finaliser sa tenue, j’ai été chercher dans une caisse, au fond de mon armoire, et en ai ressorti un épais collier de cuir. Je l’ai tendu à Julie qui l’a pris en main, et l’a longuement observé.
Il est gros, a-t-elle dit à voix basse.
Tu es observatrice, ai-je répondu avec ironie.
Tout le monde va le voir
Et tu as de la jugeote. Allez, enfile ça et on y va.
Résignée, Julie a passé la lanière de cuir autour de son cou, tentant de le dissimuler du mieux qu’elle pouvait derrière ses cheveux ou le col de son chemisier. J’ai alors attrapé l’anneau doré au centre du collier, et l’ai tirée vers moi en l’étranglant légèrement.
Une chienne ne devrait pas avoir honte de son collier, lui ai-je dis avant de l’embrasser langoureusement, ce qui lui a redonné un semblant de sourire. Allez, on y va.
Nous avons pris la voiture et sommes partis en direction de l’Ile Barbe, au nord de la ville, sur la Saône. On s’est garés pour prendre un verre de vin en terrasse en face de l’île, admirant les couleurs du ciel au soleil couchant. Bizarrement presque seuls à cette terrasse, la scène était largement teintée de romantisme. Julie et moi parlions en buvant nos verres de vin blanc frais, et je caressais son bras, puis embrassais sa joue. Nous étions un couple normal aux yeux de tous. Ou plutôt, aux yeux de tous ceux qui n’auraient pas encore vu le collier de Julie.
Lorsque la nuit est vraiment tombée, je me suis levé pour régler l’addition, et nous sommes retournés à la voiture. Nous ne sommes pas allés bien loin cependant. J’ai simplement traversé le petit pont qui nous menait sur l’île. Un lampadaire, à la lumière faiblarde, éclairait partiellement une partie de l’île où quelques personnes étaient posées en fumant et en buvant quelques bières. Des voitures y étaient garées, mais j’ai préféré m’avancer un peu plus loin, du côté où aucun lampadaire n’éclairait quoi que ce soit. En arrivant là où je voulais arriver, mes phares ont rapidement éclairé quelques personnes qui traînaient ça et là.
Où est-ce qu’on est ? m’a demandé Julie.
L’Ile Barbe ! Un haut lieu de la vie nocturne lyonnaise, ai-je répondu avec un sourire.
C’est-à-dire ? m’a-t-elle alors demandé avec un brin de scepticisme dans la voix.
Tu verras bien.
J’ai garé la voiture et, une fois sorti, je l’ai contournée pour ouvrir la portière de Julie, qui visiblement n’osait pas.
Tu n’as pas à avoir peur, lui ai-je dis en lui donnant la main. Je suis là, et tout va bien ! Dernière chose, cependant…
Et j’ai attrapé dans la boîte à gants une laisse en cuir noir, que j’ai attaché au collier de Julie. Celle-ci ne s’en est pas offusquée. Sûrement s’y attendait-elle lorsque j’ai attaché le collier autour de son cou. Pour finir, j’ai déboutonné deux boutons de son chemisier, agrandissant outrageusement son décolleté.
Maintenant tu es prête. Allons-y.
Sans attendre de réponse, j’ai tiré sur la laisse, et ai emprunté un petit chemin à travers les fourrés. Sur la route, nous avons croisé quelques personnes, dont nous distinguions plus les formes qu’autre chose. A droite, un homme se masturbait, seul, sûrement en train de regarder le couple, à gauche, en pleine action, la main de monsieur sous la jupe de madame. Deux autres hommes nous suivaient, ayant remarqué le collier et la laisse de Julie. Par-ci, par-là, des couples ou des personnes seules se baladaient nus, batifolaient, se branlaient ou baisaient carrément. Le temple de l’exhibitionnisme et de l’échangisme outdoor se trouvait sur cette île. Nous avons marché encore quelques mètres, et quitté le chemin pour rejoindre une pelouse vide. Les deux hommes nous suivaient toujours.
A genoux, ai-je alors ordonné à Julie.
Elle s’est exécutée un peu fébrilement mais s’est exécutée. Les deux hommes se rapprochaient de plus en plus, jusqu’à être face à nous.
Jolie chienne, a dit l’un d’eux.
On peut en profiter ? a demandé le deuxième.
Vous pouvez vous branler dessus, ai-je répondu.
Julie m’a regardé, un peu surprise et inquiète du sort qui lui était réservé.
Elle adore le sperme, ai-je continué en la regardant. N’est-ce pas ?
Oui… oui Monsieur.
Aussitôt, les deux hommes ont sorti leurs sexes sans demander leur reste, et ont commencé à l’agiter face à Julie. Je lui ai demandé d’ouvrir son chemisier, dévoilant ainsi sa belle poitrine aux lascars. La manuvre s’est avérée fructueuse, et le résultat rapide. Le premier jet de sperme a atteint Julie en plein visage. Un peu surprise, elle s’est reculée par réflexe, mais s’est vite remise en place pour accueillir les jets suivants. Le deuxième homme n’a pas tardé à rejoindre le premier, souillant un peu plus encore le visage de ma belle. A peine avaient-ils terminé qu’ils ont rangé leur matériel dans leur jean, et sont partis en me remerciant, peut-être à la recherche d’un autre spectacle.
J’ai regardé un instant Julie et l’ai trouvée absolument magnifique, à genoux, baignant dans cette déchéance, ce sperme d’inconnus dégoulinant de son menton jusqu’à ses seins. Je n’ai d’ailleurs pas hésité à lui dire à quel point je la trouvais belle ainsi, et Julie m’a souri un peu gênée.
On va jouer à un jeu, lui ai-je alors dit en caressant ses cheveux. Tu veux jouer ?
Oui… Avec toi, toujours.
Bien. Le jeu est simple. Tu vas compter le nombre de queues que tu auras fait bander ce soir. Je vais compter aussi et on verra en fin de soirée si les comptes sont bons.
Et s’ils ne le sont pas ?
Tu verras bien…
Un homme arrivait déjà dans notre direction.
Il paraît qu’il y a une chienne à disposition ici ? nous a-t-il demandé, dégrafant déjà son pantalon.
Les nouvelles allaient vite sur l’île, et trois autres hommes ont rapidement rejoint le premier. Puis d’autres encore après. Et tous se sont allègrement répandu sur le visage souillé de Julie, ne voyant en elle qu’un réceptacle pour leur semence. Moi, je voyais plus loin. Derrière le foutre qui collait à ses cheveux, à ses yeux, qui barbouillait son visage et coulait sur ses seins et sa jupe, je voyais une femme offerte, dévouée, et libre. Car il faut être libre pour jouir des dégradations que je lui infligeais.
Puis il y a eu un moment d’accalmie, et je me suis agenouillé près d’elle pour savoir si tout allait bien pour elle. Elle m’a regardé avec un sourire, et a hoché la tête, un filet de sperme se balançant sur son menton. Ma main s’est alors glissée sous sa jupe, et a remonté le long de ses cuisses entrouvertes. Du bout du doigt, j’ai titillé l’entrée de son sexe, dégoulinant lui aussi. Julie aimait visiblement la façon dont je la traitais, et ça me motivait à continuer. Je lui ai souri à mon tour en enfonçant deux doigts d’un coup dans son vagin. Je l’ai doigtée une dizaine de secondes seulement, mais la chienne était tellement en chaleur que c’était suffisant pour la faire haleter. Mes doigts se sont alors retirés et je me suis relevé, puis je lui ai ordonné d’ouvrir la bouche. J’y ai enfoncé mes doigts poisseux, tout au fond de sa gorge, provoquant haut-le-cur et toussotements.
En piste maintenant, lui ai-je dis en tirant à nouveau sur la laisse, ton public est de retour.
En effet, au loin, trois hommes arrivaient pour profiter de la chienne dont tout le monde avait entendu parler ce soir sur l’Ile Barbe. Et ils ont été encore nombreux à venir se répandre sur son visage dévasté. Le spectacle a duré encore vingt bonnes minutes, avant que j’y mette un terme. Il y a eu des déçus, râlant d’être arrivés trop tard, mais bons joueurs, ils sont repartis vers d’autres fourrés, où d’autres spectacles devaient être donnés. Pour nous, il était temps de retrouver la voiture. J’ai tiré sur la laisse et Julie s’est relevée, mais j’ai fouetté le haut de sa cuisse avec cette même laisse.
A quatre pattes, ai-je dis sèchement.
Oui Monsieur, pardon.
C’est donc à quatre pattes que Julie m’a suivi jusqu’à la voiture. Le visage recouvert de sperme, ses seins ballotant à chaque mouvement, ses mains et ses genoux plein de terre et d’herbe mouillée, la rendaient plus chienne encore. Plus je l’humiliais, plus je la trouvais belle, et j’avais envie de lui faire subir toutes les pires perversions au monde pour la magnifier encore un peu plus.
Arrivés à la voiture, elle est restée à quatre pattes. Docile. J’ai attrapé une boite de mouchoirs dans la boîte à gants et ai alors commencé à essuyer son visage.
Alors, ai-je lancé, combien en as-tu compté ?
Vingt-six, m’a répondu Julie.
Tu as fait bander vingt-six queues ?
Je crois oui.
Erreur, lui ai-je répondu en la giflant doucement. Tu en as oublié une.
Julie m’a regardé avec étonnement, mais a compris son erreur quand elle m’a vu défaire ma ceinture. J’ai sorti mon sexe de mon pantalon, lui présentant la vingt-septième queue bien dure par sa faute. Lorsque je lui ai dit d’ouvrir sa bouche, Julie s’est exécuté, résignée, désolée d’avoir fait cette bête erreur.
Tu as oublié la plus importante de toutes, en plus, ai-je dit en glissant mon sexe contre sa langue.
J’ai poussé en attrapant l’arrière de son crâne, et à un rythme soutenu, j’ai commencé à baiser sa gorge. Julie encaissait sa punition comme une pro, s’étouffant à peine sur mon sexe planté en elle. Peut-être pensait-elle que c’était la punition que je lui avais réservée pour avoir perdu au jeu, mais elle n’y était pas. Je ne faisais que m’échauffer. Après quelques minutes de cette gorge profonde qui avait ravagé un peu plus, si cela était possible, son visage, et lui avoir soulevé le cur une ou deux fois, je me suis retiré, et me suis concentré sur son fessier. D’un geste de la main, j’ai relevé sa jupe au-dessus de son cul, et du bout du pied, je lui ai fait écarter les cuisses. J’ai bien un instant zieuté sur son anus, distendu par le plug qu’elle portait toujours, mais c’est sa chatte, entrouverte, trempée, que je voulais. Je m’y suis enfoncé en un mouvement.
Julie a laissé s’échapper un cri de surprise, je l’avais pénétrée jusqu’à la garde. Mes mains ont attrapé ses fesses, que j’ai malaxées, pétries, griffées et claquées, et je l’ai baisée comme un sauvage, sans retenue. Un couple est passé non loin. Il faut dire que nous n’étions pas discrets, à côté de la voiture, sous la lumière des phares qui passaient près de nous. Ils se sont mutuellement touchés un instant, la main de l’homme caressant la poitrine lourde et dénudée de sa femme. Puis ils sont partis vers un coin plus à l’écart, et sans lumière.
De mon côté, je continuais ma besogne entre les cuisses de Julie. Elle ne retenaient même plus ses cris. Au bout de quelques minutes, la tête posée contre la pelouse, elle a réunit ses dernières forces pour me demander :
S’il te plait… s’il te plait… est-ce que je peux jouir ? S’il te p…
Une énorme claque sur son cul l’a faite taire.
Est-ce que tu as l’impression que je suis dans ton cul ? ai-je répondu sèchement. Non, tu ne peux pas jouir.
Et j’ai continué à la baiser. Julie se retenait, mordant ses poings, mais elle n’a pas joui. Contrairement à moi. Je me suis répandu dans son vagin bruyamment. Oui c’était sadique, mais j’avais envie de lui montrer que moi, j’avais pu jouir. Une fois vidé, je me suis retiré d’entre ses cuisses, et j’ai claqué à nouveau son cul.
En route, lui ai-je dit. Tu as besoin d’une bonne douche.
Un peu dépitée, Julie s’est relevée et est entrée dans la voiture. Sa laisse tombait entre ses deux seins encore à l’air. Elle était terriblement chienne, terriblement belle. En chemin, j’ai posé ma main sur sa cuisse et l’ai caressée affectueusement. Oui, j’étais un salaud, car non, je ne l’avais pas faite jouir. Mais j’étais fier d’elle, et elle en serait récompensée. Elle le savait.