L’apprentissage du futur mâle dominant. Débourrage du poulain.
Bonjour !
Vous avez fait connaissance avec moi quand je vous ai conté le jour où mon frère Claude est devenu le nouveau Mâle dominant de la meute d’une bande de petits cons friqués.
Je vais remonter en arrière de quelques mois pour vous expliquer en détail la façon dont j’ai découvert cette pépite sous mon propre toit.
Si vous suivez l’histoire, vous savez déjà mon prénom ; Léna. (Lire « le mâle et un couple très spécial pour lui » et « le mâle dominant de la meute »)
Je mesure 1m65, la même taille que mon frère, un visage que les garçons disent agréable, des seins menus et une chatte épilée aux lèvres très fines et discrètes. Je ne sais pas pourquoi je ressemble si peu à mon frère.
J’ai déjà eu des rapports avec des garçons, mais le dernier, Paul, était un coureur ne cherchant qu’à multiplier les aventures. Je l’ai quitté avec une bonne paire de claques pour lui apprendre à respecter les filles.
Et comme si ça ne suffisait pas, je suis tombé l’autre jour sur mes parents en train de baiser dans leur chambre. Il faut dire aussi que j’aurais dû frapper avant d’entrer…
Mais ma rancur et la vision de mon père copulant avec ma mère m’avaient mise dans tous mes états. Je vais continuer à vous décrire la suite des événements au présent car je préfère.
Il faut que je trouve un moyen de calmer l’envie irrépressible de me taper le premier mec qui passe.
En passant devant la porte de la chambre de mon frère, j’entends un bruit de sommier qui grince, je passe la tête et surprend Claude en train de renifler une de mes petites culottes.
Quelle maison de dépravés ! Je ne croyais pas que mon frère s’intéressait déjà au sexe mais la preuve est faite que l’enfant innocent ne croit plus au Père Noël mais a trouvé un autre centre d’intérêt.
Je suis si furibonde que je rentre comme une furie dans sa chambre et lui arrache mon sous-vêtement.
— Petit vicieux ! Ça te fait bander de sentir ma petite culotte ? Fais voir !
J’arrache le drap et perçois à travers son pantalon de pyjama déformé sur le devant une virilité d’une longueur peu commune.
— Ah, ah ! Tu bandes déjà mon salaud !
Je monte sur le lit, me mets à califourchon sur lui et coince son sexe entre mes cuisses.
Il essaie de me repousser mais ce mouvement pourtant anodin fait que son membre heurte le haut de ma fente.
Sous ce mini-choc érotique, un long frisson parcourt mon corps. Je tire sur les jambes de son pantalon de pyjama pour découvrir l’objet et me sens défaillir.
Quelle n’est pas ma surprise en voyant surgir un sexe monumental en érection.
— Putain frérot ! T’as-quoi entre les jambes ? J’ai jamais vu ça… Dommage que tu bandes mou !
Je pose ma main droite sur l’apparition pour la dégager du pyjama, j’ai l’impression de saisir un serpent qui veut fuir en s’étendant encore plus.
J’aurais dû me reprendre, rompre cet attouchement illicite mais je ne peux m’y résoudre.
Je reste immobile, prolongeant le contact troublant et angoissant de cette virilité incroyable avec ma main.
Mais surprise… Je me suis lourdement trompée. La matraque molle de petit truand se transforme en bâton de gendarme rigide.
Je n’ai même pas besoin de le branler pour que son engin soit aussi raide que la justice.
Je relâche enfin sa verge qui se plaque contre son ventre. On dirait une batte de base-ball, la hampe est aussi grosse que mon poignet et la longueur de cette teub est presque aussi longue que mon avant-bras.
Et que dire de ce gland monstrueux, encore plus large que ce manche déjà hors normes, qui dépasse en entier de son nombril. La paire de couilles est proportionnelle au gourdin.
Je suis estomaquée, hébétée, complètement surprise par l’énormité du service trois pièces de mon frère qui contraste avec le physique de son propriétaire et surtout en comparaison avec la verge de papa d’une taille plus que moyenne. Paul, que je considérais comme un gars bien membré est lui aussi complètement détrôné à côté de ce gros porteur.
Bon ! Vous allez me dire : Un homme avec une bite XXL, il y en a d’autres !
Mais on voit bien que vous n’avez jamais vu mon frère. On dirait que le sort s’est acharné sur lui. Il n’est pas très grand, pas musclé, un visage encore poupin constellé d’acné qui lui donne l’air d’un gamin.
Un vilain petit canard quoi … Mais le canard a une queue d’étalon !!!
Je redresse avec difficulté cette jeune virilité raide et d’une dureté incroyable qui me résiste pour l’écraser contre mon bas-ventre et la coller contre mon pubis. J’éprouve un instant d’abandon et de félicité, un plaisir insolite rien que de la sentir à travers mes habits.
Il en a pris son parti et n’est plus aussi farouche qu’au début. Je dirais même qu’il m’encourage du regard et semble ouvert à l’approfondissement de la chose.
Je veux savoir si la machine est en état de marche.
Je commence à astiquer le manche le faisant bander comme un taureau. Mais la chose est si nouvelle pour lui qu’en moins d’une minute, il envoie la purée.
Je voulais savoir si tout était en règle et je peux dire que je suis servie. Dans un râle, il déverse un véritable torrent de lave blanche qui couvre son corps, sa tête, le mur, les draps, le sol.
J’essais de contrôler le débit et la direction de ses éjaculations mais ne fais qu’empirer les choses.
Je ne savais pas qu’un homme pouvait produire autant de foutre en une seule fois.
Il m’a avoué ensuite que c’était la première fois qu’une femme le branlait et qu’il n’avait jamais autant jouit.
Devant la catastrophe spermique, j’ai passé une partie de la nuit à rendre acceptable la chambre pour que ma mère ne se pose pas trop de questions et aérer la pièce. Quand j’ai quitté sa chambre, je me suis retournée et lui ai dit d’un air de défi en voyant cette verge exceptionnelle :
— Ce n’est que partie-remise, frérot, je reviendrai demain soir !
Une fois de retour dans ma chambre, j’essaie de sauver mes habits complètement souillés de sa semence après avoir pris une douche.
Je n’ai pratiquement pas dormi de la nuit et quand Morphée m’emmenait dans ses bras, mes rêves étaient envahis de faunes aux queues monstrueuses qui me prenaient sans discontinuer et me noyaient sous des litres de foutre à en remplir une pleine baignoire.
Dès le lendemain matin au petit-déjeuner en faisant attention de ne pas attirer le regard de mes parents, je veux vérifier si je n’ai pas affabulé hier soir. Je glisse la main sous la table et vais tâter l’entrejambe de Claude. Mes doigts rentrent en contact avec un pénis mou qui ne demande qu’à se réveiller. Je frotte ma main sur le pantalon de pyjama, pressant régulièrement son tuyau qui réagit à une vitesse folle comme hier.
Le tissu se tend à tout rompre sous la poussée exponentielle de cette bite incroyable. Je regarde Claude qui ne bouge plus, le regard fixe et la bouche crispée par un rictus. Il tourne des yeux implorant vers moi. Mais que veulent-ils me dirent ? Continue ou arrête avant la catastrophe ?
Je continue à le chauffer et je sens quelque chose de poisseux détremper son pyjama et engluer mes doigts.
Il en renverse son café au lait avant de se lever avec hâte pour regagner sa chambre en cachant aux parents l’énorme tache qui n’arrête pas de s’agrandir sur son pyjama.
Je lèche mes doigts et jette un il à sa place constatant que son pantalon n’a pas pu stopper l’énorme quantité de foutre qu’il a encore lâchée. Pour ne pas que ma mère ne se rende compte de l’incident, je me précipite sur une lavette et une éponge pour nettoyer les débordements de mon frère ainsi que le café renversé sur la table et le sol.
Il faut réagir vite dans ces moments là…
Mon frère m’a fuit pendant toute la journée mais je réussis à le coincer pour lui rappeler ma promesse.
— Surtout ne te branles pas tout seul en pensant à ce qu’on va faire ce soir, garde tes forces et ta liqueur pour moi, j’en ferai bon usage !
J’attends de ne plus rien entendre dans la maison pour gagner la chambre de mon frère. Il m’attend avec impatience, couché complètement nu sur son lit en se branlant doucement pour entretenir son érection.
Je vois enfin en pleine lumière et sans voile cette monstrueuse queue… Le fait qu’il ne soit pas grand et qu’il est un peu penché en avant à cause des coussins qu’il a sous la tête amène l’extrémité de son mandrin pratiquement au contact de ses pectoraux. Je sors mon portable et fais un gros plan sur la chose. Je vais faire mourir de jalousie mes copines quand je vais leur montrer cette photo anonyme mais si parlante…
— Ecoute Claude ! Comme je ne veux pas courir le risque que tu te laisses emporter par l’ivresse du sexe, je vais t’attacher au lit pour uvrer en toute sécurité, tu es d’accord ?
— D’accord Léna !
J’attache résolument ses mains et ses pieds aux montants du lit, le voilà écartelé et nu à ma merci. Je vais m’employer à enflammer cette terre inculte. Faire chanter à ce vilain canard le chant du cygne.
Quand je prends en main cette hampe magnifique, tous mes poils se hérissent. Ce corps de gamin me gène mais l’énorme pénis envoie aux orties mes derniers doutes.
Je détaille longuement l’épi si épais d’une forme un peu triangulaire, très large sur le dessus et qui s’affine pour se terminer sur de dessous par l’énorme veine gonflée de sang qui irrigue les corps caverneux. Sous mes caresses, elle se raidit et se dresse encore un peu plus si c’est humainement possible. Je pétris ses couilles, les serrant doucement. Une véritable forêt vierge de poils gâchent ma vue.
— Ta bite est pleine de poils, je vais remédier à tout ça !
— Qu’entends-tu par là ? S’inquiète-t-il.
— Tu vas bientôt le savoir…
(À suivre)