Fin de semaine, au bureau
Ma semaine est finie, les dossiers classés. Je m’apprête à passer aux toilettes pour un léger coup de peigne et de rouge à lèvre avant de passer mon manteau et filer attraper mon bus.
Le programme est sans surprise : après le traiteur pour les carottes râpées et l’oeuf en gelée, direction maison pour une soirée plateau télé sur le canapé en rotin.
Je suis devant l’ascenseur et j’entends des bruits inhabituels sortant du bureau de Jackie, la chef-comptable. Curieuse, je passe la tête : j’avais zappé , c’est son anniversaire, elle a apporté du champagne (c’est un secret) et le chef de la cantine a réchauffé des petits fours.
Je suis ravie de cet évènement qui rompt la monotonie prévue. On me tend une coupette, je me sers sur un plateau à ma portée, trinque avec la vedette du moment et lui demande discrètement quel âge elle arrose?
Elle n’en n’est pas à sa première coupe et me glisse dans l’oreille : » 54… mais ça reste un secret entre nous! »
« Croix de bois, croix de fer etc. » je jure tout ce qu ’elle veut!
C’est que Jackie, malgré nos 18 ans de différence, et bien, je n’irais pas dormir dans la baignoire! Grande, belle femme, comme on dit, peau mate, coiffure auburn avec juste quelques vagues ( je lui trouve un air « charleston »), toujours tirée à quatre épingles.
Je suis seule depuis presque deux ans, de trop rares aventures, rien de concret. Et Jackie, avec sa prestance et ses beaux gros seins… hmmm… elle fait partie de mes petites rêveries du samedi matin, lorsque je laisse ma main divaguer…
Mes penchants sont connus au bureau, mais personne ne s’en occupe, juste de petits sourires lorsque Denise venait parfois me chercher le soir. Après tout chacun vit comme il veut, n’est ce pas?
On discute, les gens mariés commencent à partir, j’ai repris du champagne, il n’est pas mauvais du tout, bientôt ne reste qu’une petite dizaine, je m’approche de Jackie et lui demande si son mari a prévu quelque chose pour son anniversaire. Pour toute réponse, un sourire malicieux. Si j’avais su, j’aurais pensé « carnassier ».
Intérieurement je l’envie, bien que pas tentée par un homme, mais les câlins, les attentions, le plaisir partagé, ça me manque.
Je lui souhaite une bonne fin de soirée, mais elle me prend le bras et sachant que je suis seule, me propose de venir dîner chez elle, sa voisine a préparé un repas, cela lui ferait plaisir de me voir pour une fois ailleurs qu’au bureau.
Je suis surprise, mais j’accepte, juste je passe me changer et faire deux trois courses, histoire de ne pas arriver les mains vides. Elle me dit m’attendre vers 21h et qu’ une bouteille de champagne fera l’affaire.
Le repas
J’arrive vers 21h30, la douche m’a fait du bien, je me suis habillée bon chic bon genre, pour faire honneur, mais sans plus, n’ayant personne à séduire.
Jackie m’ouvre la porte avec un grand sourire. Elle n’a pas eu le temps de se changer et me dit être un peu pompette.
Elle m’installe au salon, me sert un verre (on continue au champagne), on trinque et elle appelle : « Cécile, viens que je te présente Ariel »
Je dois avoir l’air bête lorsque une seconde Jackie arrive. Même classe, cheveux noirs courts, beaux yeux noisette, chemisier un peu trop ouvert, peut être.
Elle attrape une coupe, nos verres tintent : « Bienvenue, je suis ravie, vous êtes ravissante, passons à table. »
Je bredouille à Jackie : « Nous n’attendons pas votre mari? »
J’ai du dire une bêtise, car les voilà qui se mettent à rire. Jackie m’explique : « mon mari, comme tu dis, il est devant toi! Tu comprends? »
Je bafouille : « mais, l’alliance? »
« Elle date de mon mariage, malgré le divorce je l’ai conservée, ça contribue à parfois me fournir un prétexte à refuser les invitations masculines. »
Le repas se passe sans encombre, Cécile, femme au foyer, est un cordon bleu et la conversation animée et variée.
Toutefois, je note quelques sous-entendus, un pied qui frôle l’autre sous la table, des sourires.
Nous avons dîné au champagne, Cécile a allumé des bougies, Jackie à soufflé les siennes (5 seulement), nous en sommes au café, avec une prune de Souillac, sa région d’origine (elle en a gardé un léger accent, c’est à fondre). J’ai passé une très bonne soirée, mais il est temps de songer à rentrer.
Au moment de prendre mon manteau, Cécile m’attire dans la cuisine et m’explique qu’elle aimerait beaucoup que je reste, que je plais bien à Jackie et qu’elle même…
Tout cela avec tact, en insistant sur le fait que rien ne me retient si je préfère rentrer en taxi.
Mes jambes ne sont pas trop vaillantes, c’est la première fois que cela m’arrive, bien sur, dans les films porno…, mais là, en vrai! Mais je ne risque rien, alors, voyons ce qui arrivera.
Cécile reprend mon manteau et nous retournons au salon.
La nuit
Jackie m’enlace gentiment et m’embrasse en me disant que dès que je me sens gênée, une chambre pour moi seule, insiste-t-elle, est à ma disposition.
La conversation reprend, elle me dit avoir été peinée d’apprendre que mon amie m’avait laissé tomber et que depuis un certain temps elle avait imaginé une soirée comme celle-ci, avec l’accord de Cécile, bien sur.
Celle-ci s’est changée et ma bouche a du tomber, car elle est en nuisette, string sur ticket de métro et soutien-gorge noir pigeonnant laissant apparaître des tétons qu’elle a passés au rouge à lèvre. Elle est un peu trop maquillée, un peu comme ces femmes, limite vulgaire, mais terriblement sexy. Elle a passé des claquettes noires simples, simplement à tomber! Elle porte trois paquets cadeau.
« A ouvrir quand je te le dirai, ma chérie »
J’ai une vue imprenable sur ses fesses lorsqu’elle se penche pour embrasser Jackie et je ne résiste pas quand elle m’attire par le bras vers elle et met mon visage face à Jackie.
Mon Dieu, quel baiser. J’ai chaud, j’ai froid, sa langue me fouille la bouche, boit ma salive, s’enlace sur la mienne. Elle est très longue, je m’en apercevrai plus tard.
Je dois être plus rouge qu’une tomate quand je lui prend le visage et lui déclare en avoir rêvé depuis longtemps. Moi aussi avoue-t-elle en me le prouvant.
Déshabille-toi me souffle Cécile en lui tendant son premier cadeau. Je me mets à l’aise mais garde slip, soutien-gorge et talons.
Jackie est ravie de la robe de chambre en soie et nous gratifie d’un strip-tease, en rythme avec la musique douce, qui me fascine au point qu’il me faut un certain temps pour réaliser que sans en avoir l’air Cécile caresse mon abricot.
La dernière chaussure à rejoint les bas et le reste, elle a enfilé la robe de chambre et l’entr’ouvre aussitôt pour recevoir Cécile entre ses cuisses soigneusement épilées. Ma dernière visite à l’esthéticienne remonte à… pfff… et ma touffe de brune ressemble à la jungle.
Je me mets dans la position confortable de la voyeuse, je les trouve très belles dans leur cinquantaine passée et malgré mon excitation je ne bouge pas, sûre qu’elles viendront la calmer.
Impossible d’ignorer ce que Cécile fait à Jackie, car d’une voix rauque elle la dirige en des termes que ne renierait pas la pire des maquerelles :
« Bouffe moi toute la chatte, tu es la Reine des lécheuses de cramouille! Aspire mes lèvres, comme ça , NON, OUI, encore arrête, continue, mets un doigt, non, deux et caresse mon anus, JE JOUISSSSS! »
Quand elle se relève, Cécile continue de se caresser sur un de ses pieds.
Et bien ! Moi qui avec Denise ne suis jamais sortie du 69 et du frotti-frotta, je viens d’en prendre plein les mirettes et les oreilles.
Cela doit se voir, car elles me demandent en choeur si je suis choquée. J’arrive à murmurer que je les adore.
L’atmosphère se relâche avec un verre de champagne.
Jackie m’explique que Cécile lui a fait découvrir une dimension nouvelle de l’amour physique et des plaisirs insoupçonnés. Pas pour longtemps, car elle est entre mes cuisses et je comprends vite de quoi il s’agit.
J’en renverse mon verre, qu’elle lappe sur mon minou. Denise était une apprentie, Cécile est une experte. En quelques minutes je suis au 7ème ciel, c’est un feu d’artifice et ça repart…
Jackie me roule des galoches d’enfer, me caresse les seins, les pince, fait rouler les petits tétons, je crois bien que j’embrasse les siens. Elle m’incite à l’insulter, à la guider (pas besoin, pas besoin, elle sait ce qu’il me faut!), me tend une cravache en cuir et m’écarte ses fesses en m’ordonnant de la cravacher sur le petit rond.
ET JE LE FAIS!
Hésitante au début, l’effet est tel sur elle et indirectement sur moi que je m’enhardis.
Et j’envois tout valdinguer avec un cri de bête car je pars sans savoir où je vais!
De découvertes en découvertes
J’ai dû m’endormir.
En me réveillant je vois Cécile allongée, une jambe en l’air, culbutée par une furie nommée Jackie équipée d’un god à ceinture. Me savoir réveillée les excite et elles crient « Ensemble! » avec un sourire béat.
Jackie me fait un clin d’oeil : « mon second cadeau. C’est génial. Veux tu essayer? »
Je répond vivement que je ne suis pas une fan de la bite, que je n’ai pas envie de recevoir et que je ne saurais pas donner.
Cécile me dit que ça n’est pas pareil, qu’il y a la peau, les yeux, les caresses d’une femme, qu’elle non plus n’est pas (à la différence de Jackie qui ne déteste pas de temps en temps) une « fan de la bite », en détachant la ceinture des hanches de Jackie qui se laisse faire agenouillée.
Surprise, la ceinture ôtée, reste le manche! Elle se lève et je vois une belle femme équipée d’un bel engin bleu, stylisé, fièrement dressé que Cécile lèche, suce, pompe, branle… et en riant de mon étonnement en sort un plus petit, plus courbé, du sexe de Jackie.
Jusqu’à présent, j’ai participé, de façon assez passive. Je n’ai pratiquement pas bougé de mon bout de divan.
Je me lève, jète mes chaussures, me poste jambes écartées devant Jackie et les deux pouces dans l’élastique de mon slip lui dit : »voilà mon cadeau si tu veux l’ouvrir! »
Et je me fais brouter le bonbon debout, avec une, non, deux, paires de mains qui m’explorent doucement.
Soudain je réalise qu’une seconde langue me fouille l’anus. Encore une première, ma foi, elles repoussent mes limites loin. Et je leur fais confiance lorsqu’un doigt, rejoint par un second pénètrent ma petite bague. J’ai eu comme un sursaut, Cécile m’a apaisée comme un cheval rétif, me parlant doucement en me caressant : « tu sais, c’est par là que je jouis le plus fort, tu aimeras me le faire.» Mon ventre ondule sous la double pénétration. C’est mon sexe qui explose, mais la brulûre qui reste derrière est si agréable.
Un nième bouchon saute, en buvant je demande à Cécile si elle n’est pas jalouse?
« Non.»
Elle a sa part de plaisir, le plaisir de voir et sentir celui de Jackie. D’ailleurs s’empresse d’ajouter celle-ci, cela fait du temps qu’elles fantasment sur moi (Jackie m’a photographiée en cachette) et si je le veux, la nuit n’est pas finie.
Et comment je le veux, je m’entends dire que oui, j’ai bien envie de tâter du god de Jackie.
Elles sont radieuses. Et je crois bien que je les aime!
Cécile lève le bras : « tu peux ouvrir ton dernier paquet .»
Sur le coup je ne distingue pas bien. C’est un autre gode-ceinture, celui-ci a trois, oui trois bites!
Une grande, une moyenne et une petite.
Cécile le prend, commence par le petit, me demande de lui mouiller la rosette et de l’y maintenir. Bingo! Elle m’a bien eu, j’ai bien aimé, je recommencerai! Pendant ce temps elle a mis le moyen dans sa petite fente, là pas besoin de lécher, dommage…
Et voilà un joli petit mec qui n’entend pas en rester là.« A toi, Ariel chérie, tu la prendra par devant. Tu n’auras rien à faire.» Et elle m’installe l’engin, heureusement, ma partie est fine car je suis serrée.
Jackie mallonge sur le canapé, elle s’ouvre bien tant elle mouille et me chevauche.
« Alors, ma Salope, tu aime quand je te baise? Et me baiser en même temps? »
Sa peau est si douce, ses baiser fougueux, j’en reviens pas mais qu’est ce que c’est bon et je me dis que dans le rond ça doit aussi être chouette.
« Ecarte mes fesses qu’elle m’encule. » Quel soupir quand ça rentre!
Au début, seule Cécile bouge, lentement, puis elle ne résiste pas et donne de grands coups de rein, ça sent la femelle, la sueur, mes jambes frottent le corps de Cécile, Jackie nous dirige, insulte, flatte, frappe mes fesses parce que je ne la baise pas assez, griffe mes hanches parce qu’elle ne veut pas jouir si vite et en fin de compte rugit comme une tigresse.
L’inconfort de ma position disparaît vite, je sens ses gros nichons frotter les miens, je les frappe, les pince les mords quand je peux, Cécile lui défonce le cul, je sens ses mouvements de reins vigoureux, j’entends ses tapes sur ses fesses, leur complicité à laquelle Oh!bonheur, elles m’associent.
Cécile part la première, je la rejoins vite et enfin, Jackie part d’un gigantesque éclat de rire.
Où est elle la comptable si stricte du boulot? Et ça me fait rire aussi! Je le leur dis et ça repart de plus belle.
Ces deux femmes sont des pots de confiture remplis de caresses et de doux baisers. Je leur confesse (j’adore ce mot) que dorénavant il y aura un avant et un après Elles. Un long silence suit, mais les gestes sont clairs. Elles aussi sont surprises par notre entente.
Ma timidité a volé en éclats.
J’emploie des mots que je n’aurais jamais osé dire auparavant, j’ai découvert des jeux auxquels je ne rêvais même pas. J’apprécie leurs courbes affirmées mais mélodieuses, apanage de l’âge bien entretenu. Bref je suis éprise et comblée.
Cécile qui ne perd pas le Nord se met en levrette sur le tapis et m’informe sans détour qu’elle est prête à se faire mettre dans le cul. J’objecte de la taille de mon engin, mais elle l’a choisi en connaissance de cause et de fait, elle a l’anus souple et après une feuille de rose « pas mal du tout », dixit, je l’enfile sous les yeux attentifs de son amante qui se fait brouter. Plus d’une fois le gode sort, prestement remis dans son oeillet par Cécile que je défonce littéralement, énervée que je suis par le frottement du harnais sur mon bas-ventre et mon clito.
En retirant mon harnachement, je sens des doigts glisser le long de ma raie et avant que je réalise, aidée par une Cécile complice qui a distrait mon attention en se mettant en 69, Jackie me prend le petit trou avec habileté.
A la vive déchirure succède un bien-être nouveau. Elle me prend avec douceur, ondule, frotte son abdomen, m’enveloppe, me caresse les seins, le ventre, les cheveux et au lieu des gros mots habituels m’appelle sa petite chérie, sa petite grenouille, me dit que mon cul va la faire jouir, qu’elle y fait attention, qu’on est pareilles, qu’elle aussi aime l’avoir rempli. Son rire m’indique que tout ça était vrai.
Elle a la même délicatesse en se retirant, je continue le 69 sous ses compliments. Et bientôt les miens se joignant à ceux de Cécile nous concluons que nous en avons toutes les trois bien pris partout et allons nous coucher dans le vaste lit.
Je leur avoue qu’il y a bien longtemps que je n’avais fait l’amour et que j’ai envisagé d’aller voir une prostituée, mais pas osé sauter le pas. Cécile file dans la salle de bain et revient maquillée outrageusement, jupe ras la moule, bustier dentelle transparent, talons 14cm à bride. Elle a de quoi se reconvertir en cas de besoin!
Jackie m’explique c’est un de leur jeux préféré et qu’elles avaient hésité à me le montrer ce soir (la nuisette c’était pas triste non plus!)
Elles se sont offert une fille lors de vacances en Thaïlande, un excellent souvenir. Des doigts et une bouche de fée.
Elle me montre, c’est très convaincant.
Discrètement, Jackie fait des photos avec son téléphone. Puis sans se cacher, car elle veut sa part de léchouilles.
Quel plaisir de se réveiller avec une bouche sur le minet, des doigts qui se perdent dans la touffe, un corps chaud qui se frotte et faire de même.
Elles ont même réussi à se frotter le bouton sur mes petits seins. Beaucoup plus facile pour moi de chevaucher les leurs (surtout ceux de Jackie, deux lourdes poires aux longs tétons).
J’ai adoré frotter nos sexes humides.
Nous avons joué à nous pratiquer la même caresse, découvert que le triangle est une bien jolie figure et que 69 se divise par trois.